Le témoignage de Damien : mari soumis s02e01 facesitting cuni tease and denial

Hello 🙂

Alors le temps de trouver un moment pour écrire par moi-même (je suis surchargée de boulot en ce moment) je publie quelques témoignages. Je vais profiter du week-end pour m’y remettre vous aurez ça la semaine prochaine.

C’est donc reparti pour les témoignages d’hommes soumis, et comme on ne change pas une équipe qui gagne je pioche dans les écrits de Damien (qui en avait déjà écris 3) . C’est en plusieurs parties, c’est sur la vie sexuelle dans un couple soumis.

Sa série précédente se trouve ici
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Pour ce nouveau témoignage je voudrais revenir sur un nouveau aspect de la sexualité de notre couple. Il ne faut en effet pas s’y tromper, être astreint à la cage de chasteté ne signifie pas que nous abandonnons notre vie sexuelle, bien au contraire, tout cela n’est qu’un jeu pour arriver à une autre forme de satisfaction. Il ne s’agit pas tant de m’émasculer que de me forcer à mettre mon plaisir de côté tant que madame n’est pas comblée, c’est un moyen de contrôle qu’elle a sur mon comportement comme le sont les menottes pour les mouvements ou l’interdiction de regarder la télé avant d’avoir fini ses devoirs pour un enfant. La privation de plaisir n’est qu’une conséquence collatérale pas une fin en soi.
Avant que je lui demande de me traiter comme un soumis notre vie sexuelle était très classique, à ceci près qu’elle tenait à avoir le dessus ce qui n’était pas pour me déplaire. Comme souvent il y a des plus et des moins à chaque situation, être en couple avec une dominatrice est certes difficile cependant je ne peux que concéder qu’une femme entreprenante a aussi ses avantages. Il faut avouer qu’elles sont des tigresses au lit, s’en est presque intimidant. Qu’est-ce que c’est bon d’être avec une partenaire qui montre autant d’implication. Avant elle je n’avais pas connu de femme qui s’investissait autant dans nos relations sexuelles. Quand j’entends des potes critiquer leurs copines parce qu’elles sont trop coincées et que ça gâche leur plaisir je me dis que j’ai de la chance avec la mienne.
C’est aussi un avantage à double tranchant, savoir qu’elle me fera pleurer de bonheur au lit rend la frustration d’être en cage encore plus forte, c’est une sacrée motivation à respecter ses règles. J’en viens presque à préférer les châtiments corporels, après tout même si ce sont des mauvais moments à passer ils sont relativement brefs. Lorsqu’elle met les mains sur les hanches alors que je viens de la contredire je lui propose systématiquement de consentir à une fessée pour tenter d’échapper aux mots fatidiques « x semaines supplémentaires ». À y réfléchir cela doit être l’effet recherché. Cela ne signifie pas que ses fessées sont douces bien au contraire, simplement que l’alternative est terrible, la frustration est un supplice difficilement inimaginable.
Tous mes collègues d’infortune sauront à quel point certaines situations peuvent être difficiles à vivre, lorsque notre keyholdeuse joue avec nos nerfs et que nous ne pouvons que nous approcher du piège comme un moustique qui va se faire électrocuter. Ces moments où nous savons que quelque chose va de travers mais où nous ne pouvons pas résister à l’appel du plaisir. Pour vous donner un exemple lorsqu’elle m’a posé pour la première fois ma cage de chasteté elle m’a demandé si je voulais une dernière fellation pour la route, je savais qu’il y avait un piège, elle en fait rarement elle n’aime pas ça. Quand elle a attrapé 2 élastiques pour se faire des couettes, battant des cils, jouant la jeune fille innocente, se mettant même à genoux à mes pieds. Je savais que je ne devais pas aller sur cette voie, la tentation était trop forte, j’étais trop faible. Vous voyez arriver la suite, après m’avoir fait monter proche du plaisir elle s’est arrêté, se relevant avec un sourire malicieux.
— Mains sur la tête. Reste sage, nous allons attendre qu’elle redescende avant de la mettre dans sa cage. Avec un peu de chance tu auras la fin de cet orgasme d’ici quelques semaines. La frustration ne fait que commencer, je vais t’apprendre à réclamer de la chasteté.
Elle m’a mis son index sur les lèvres.
— Si j’entends autre chose que « merci chérie » je peux t’assurer que ces semaines deviendront des mois.
Elle venait de m’interrompre en pleine montée de plaisir se comportant comme une peste, j’aurais eu toutes les raisons de la critiquer, au moins de me montrer sarcastique. Vous savez ce que j’ai dit ?
— Merci chérie.
Sans la moindre once de virilité dans la voix de peur qu’elle mette sa menace à exécution. Comme elle le dit souvent « un homme ça se tient par les couilles », je peux vous assurer qu’elle a une sacrée poigne pour tenir les miennes.
Sur le moment je pensais être au summum de la souffrance, je pensais bêtement qu’une période d’abstinence n’était rien face à un orgasme interrompu, je la sous-estimais, les semaines suivantes se sont enchainées dans ma plus grande impuissance à maitriser quoi que ce soit, chaque jour amenant son lot d’épreuves. Motivée par mon insistance à devenir chaste elle ne m’a rien épargné, elle avait décidé que pour ma première période je ne serais libéré que lorsque j’aurais compris la leçon, sans m’en dire vraiment le contenu. Elle avait mis un calendrier sur le frigo pour matérialiser le temps qu’il restait à purger dans la cage, chaque fois que je commettais un impair elle levait la main, non pas pour me frapper mais m’indiquer combien de jours supplémentaire je venais de me prendre, 1, 2, 3, 4 voire 5. Je devais rajouter des croix pour repousser l’échéance, si je contestais c’était immédiatement 5 jours de plus. Je peux vous assurer qu’elle ne m’a fait aucun cadeau, je m’en suis pris des enchainements, au bout de 6 semaines j’étais un agneau.
Pendant toute la période elle n’a pas lésiné sur les moyens, les vêtements moulants, les poses langoureuses pendant qu’elle se prélassait sur le canapé, j’ai tout eu. Elle tenait à s’assurer que la détention de ma queue soit la plus dure possible. Il faut dire que de mon côté je n’ai rien fait pour l’alléger, vous n’allez peut-être pas comprendre cet aspect mais j’ai toujours insisté pour qu’elle soit cruelle avec moi. D’une part car c’est ce qu’elle aime et je ne veux pas qu’elle réfrène son plaisir. D’autre part car plus elle est impitoyable avec moi et plus je la désire. J’ai toujours trouvé les femmes résolues magnifiques.
S’il y a bien une chose à savoir sur moi c’est que je veux son bonheur. J’ai dû lui répéter plusieurs fois que je voulais qu’elle me critique sexuellement, non pas que j’aime cette sensation de castration, je peux retourner le problème dans tous les sens il n’en reste pas moins que la critique est le seul moyen de progresser. Si elle ne me dit pas ce que je dois améliorer je ne pourrais pas le rectifier.
De son côté elle trouvait que c’était trop castrateur, qu’elle ne voulait pas me dégouter du sexe, au fond elle est bien plus gentille qu’elle veut bien le reconnaitre. Je l’ai supplié pour qu’elle ne laisse rien passer, qu’elle mette son plaisir au-dessus de tout et elle a fini par craquer. Depuis elle a fait mon éducation sexuelle « à la dure ».
J’avais certes sous-estimé la douleur que peut engendrer le fait d’avoir à présenter des excuses pour une piètre performance, c’était un jeu dangereux auquel je voulais jouer par défi. C’est une notion que les gens ont parfois du mal à comprendre, me demandant si j’ai vraiment conscience qu’il y a un déséquilibre, s’il y a vraiment de l’amour. Je m’en moque. Je veux la rendre heureuse, elle peut me faire ce qu’elle veut ça ne changera rien, elle pourrait ne pas m’aimer que ça ne ferait pas de différence. Si me mettre en pièce peut la faire jouir qu’elle le fasse. Je la vénère, à mes yeux elle mérite ce qu’il a de mieux. Il n’y a pas de « tu en fais déjà assez » je ne ferais jamais trop de choses pour son bonheur. Tous les jours quand je la vois je n’ai qu’une envie, me dévouer encore davantage pour la rendre heureuse quoi qu’il m’en coute. Je défie quiconque d’y trouver une logique, il n’y a aucune raison rationnelle à ce comportement c’est uniquement de la passion, de la dévotion. Certains dédits leur vie à un dieu moi j’ai décidé de la dédier à ma femme. Certains sont capables de se priver, de se sacrifier pour le bien être de leur enfants, moi c’est pour elle. Je n’y ai aucun intérêt personnel si ce n’est la satisfaction d’être utile, d’avoir un but. Je n’agis pas par nécessité, je ne suis pas soumis pour obtenir quelque chose, il n’y a aucune logique à vouloir faire un bilan gain sur perte, elle n’est pas un placement boursier.
Je suis heureux avec elle, j’aime qu’elle me récompense pour mon dévouement envers elle cependant ce n’est pas la condition de ma soumission, juste un bonus (et quel bonus !).
Avant elle j’avais toujours eu une vie sexuelle très classique, je n’étais pas très au courant des méthodes alternatives pour amener une femme au nirvana. J’étais un ignorant, je me considère encore comme un débutant d’ailleurs. Si un jour j’arrive à maitriser les méthodes les plus efficaces pour les mener au plaisir ce serait un accomplissement dont je serais très fier. C’est une ambition qui peut vous paraitre risible mais c’est la mienne.
Ayant été rendu impuissant par ma cage (temporairement pas définitivement) j’ai dû me focaliser sur d’autres moyens de la combler. Elle ne m’a rien épargné dans l’apprentissage, j’ai ramassé des corrections magistrales pour des erreurs d’inattention. J’ai parfois trouvé qu’elle abusait, je ne voulais surtout pas reconnaitre que je n’avais pas réussi à la satisfaire. C’est très dur de l’accepter, il est plus simple de penser que l’autre se trompe.
L’équation est pourtant plutôt simple, l’autre sait s’il a pris du plaisir ou pas. Il n’y a pas de « ça aurait dû marcher j’ai fait ce qu’il faut » qui tienne, c’est binaire « oui » ou « non » et le seule juge c’est l’autre. Dans un cas tout va bien, dans l’autre j’apprends le coût de la déception d’une femme. C’est ce que je voulais, ce que j’avais demandé, je serais mal placé pour la critiquer.
Même si vous allez me prendre pour un rétrograde je dois confesser qu’avant d’être son soumis je n’avais jamais tenté le sexe oral, j’avais un apriori négatif sur le fait de poser ma langue sur le sexe d’une femme. Elle le savait donc ça a été son premier chantier. Pour ne rien laisser au hasard elle a attendu quelques jours que je m’habitue à la cage puis elle m’a rougi les fesses préalablement, sans me dire pourquoi d’ailleurs, de façon à ce que je ne sois pas tenté de m’opposer à ses directives. Elle m’a envoyé dans la chambre, j’étais intimidé de ne pas savoir à quelle sauce j’allais être mangé. Ce n’était pas inhabituel en soi, elle tient à ce que je sois stressé quand nous faisons l’amour, elle trouve qu’être sur la défensive me coupe toute envie d’initiative et c’est ce qu’elle veut, que je sois passif. L’amour avec une femme dominante est particulier, il faut absolument être inactif tant que je n’ai pas sa permission pour agir, je dois lui démontrer que je ne représente aucun danger, je ne dois prendre aucune initiative, je suis sa proie. J’aime ça, quand elle est assise sur mon torse et qu’elle me prend de haut. Elle a jeté son top avant de venir sur le lit. Elle portait un soutient-gorge noir push-up donnant à son décolleté un aspect fier, arrogant. J’en ai d’autant plus envie que je ne peux le toucher que rarement. Comme la plupart du temps je suis en dessous et qu’elle n’aime pas que mes mains se baladent sans sa permission je ne peux jouer avec ses seins que lorsqu’elle me les mets sous le nez. C’est frustrant d’avoir autant envie de les toucher, de les avoir à quelques centimètres mais de devoir attendre qu’elle le veuille. Le moins que l’on puisse dire c’est que son corps ne m’appartient pas et elle me le fait comprendre.
Je reconnais que le corps d’une femme est une merveille qui mérite les traitements les plus doux. Je me sens coupable à chaque fois que je caresse sa peau, j’ai peur de l’abimer.
Elle avait une présence qui m’a apaisé, elle était si déterminée, si puissante. Quoi qu’il arrive je savais qu’elle avait la situation en main, je n’avais qu’à jouer ma partition sous sa direction.
Elle a enlevé son short et s’est mise sur moi. J’avais la tête entre ses cuisses, à quelques centimètres du « triangle » féminin, je trouve cette zone fascinante, elle symbolise la différence qu’il y a entre nous. Elle m’a fait embrasser l’avant de sa culotte en signe de respect. J’avais des frissons rien qu’à toucher son mont de vénus à travers le tissu.
— Chaton tu vas faire ce que je te dis. Je vais t’apprendre, te dire pas à pas ce qu’il faut faire. Je ne veux pas d’initiative, nous reprenons tout depuis le départ n’essayes pas de sauter des étapes.
J’étais encore hypnotisé par son triangle.
— Oui chérie.
— Tu n’es qu’un outil au service de mon plaisir et les objets sont faits pour être utilisé, pas pour agir tout seul, nous ne sommes pas dans un film de fantôme.
— Non. Je ne suis pas un fantôme, je t’assure que je n’ai rien d’un esprit.
Elle a rigolé. J’ai pris une inspiration, je me suis dit que ça ne serait qu’un mauvais moment à passer. Comme convenu elle allait s’amuser, pas moi. Je lui avais demandé de me traiter en mari soumis il fallait que j’assume le rôle.
Pour être honnête C’est facile de dire que l’on veut faire passer le plaisir de l’autre avant le sien lorsque nous sommes loin du passage à l’acte, le faire est autrement plus intimidant. À nous écouter nous sommes tous des modèles de générosité, d’altruisme d’héroïsme. Lorsqu’il faut en venir aux actes les solutions sont bien moins évidentes.
Elle a retiré sa culotte, j’ai embrassé tendrement son mont de Vénus. D’abord en effleurant à peine sa peau puis, après quelques minutes, en la plissant entre mes lèvres. J’avais révisé mes leçons en cherchant sur le net. Voir son corps réagir à mes caresses était très excitant, elle haletait et alternait les phases de contraction et de relâchement. J’avais une partie de moi qui voulais l’accompagner sur le chemin du plaisir, ce n’était pourtant pas mon rôle, je devais rester concentrer sur elle. Ressentir du plaisir nous rend moins efficace et c’est pour cela qu’elle m’avait astreint au port de la cage de discipline, celle avec des pointes, celle qui réprime douloureusement tout laisser-aller. Au début il est difficile de se contrôler alors que notre partenaire gémi, comme tout échec se traduit par une douleur très vive vous apprenez très vite à vous concentrer uniquement sur votre tâche.
Pour l’instant je n’embrassais que le pourtour de la zone cible, notamment ses cuisses en partant de l’extérieur pour créer un gradient pointant vers son sexe. Je redoutais le contact son entrejambe. En temps normal cette petite zone rose qui s’humidifie est une invitation à la pénétration, un signe très excitant. Pour moi qui n’avais jamais eu l’occasion d’y goutter c’était davantage la peur de l’inconnu. En même temps avoir son sexe au-dessus de mon visage était très excitant. Je pouvais voir son clitoris de près, c’était en quelque sorte ma cible du jour.
Elle a avancé son bassin, fini les préliminaires je devais passer dans le vif du sujet.
— Prêt ?
Je me suis ressaisi, lécher se liquide ne me faisait pas envie mais ça lui ferait du bien je devais passer outre, je le devais pour elle.
— Oui
Elle a dit ce qu’il fallait pour éliminer toute démotivation de ma part.
— Tu recules je te démonte. Tend la langue.
Ce n’était pas à moi de me déplacer, en étant au-dessus elle gardait le contrôle de la situation, c’est elle qui décidait les zones auxquelles j’avais accès.
— Pour le premier contact donne un grand coup de langue, racle bien la totalité du la surface. La langue bien à plat ou tes fesses expérimenterons une nouvelle nuance de rouge cramoisi.
C’était mieux comme ça, un grand saut dans le vide plutôt que de stagner sur le bord. J’ai fait ce qu’elle m’avait dit et contrairement à ce que je redoutais ce n’a pas été désagréable. J’ai eu l’air un peu idiot en me rendant compte que même si son plaisir était prioritaire ce n’était pas si déplaisant pour moi. Nous avons parfois des aprioris négatifs sans vraies raisons. Pour avoir fait des recherches par la suite j’ai découvert que il y a tout un système « d’incitation » naturel, un peu comme des phéromones. C’est vrai que le sexe ne doit rien avoir de répulsif si l’on veut perpétuer l’espèce. Désormais c’est presque une addiction, j’essaye d’être le plus parfait possible pour la faire mouiller, c’est un renversement total de situation.
J’ai continué d’explorer de la langue les moindres replis extérieurs de son sexe pour être sûr de ne laisser aucune zone sous-stimulée. Sous ses directives, j’ai écarté ses lèvres pour aller plus profondément en elle, collant littéralement mon visage contre son sexe. Elle m’a guidé pour me positionner comme il fallait. J’ai appris par la suite que l’anatomie féminine n’est pas fixe, il n’y a pas de point G a un endroit donné mais un centre nerveux quelque part, il n’est pas au même endroit pour toutes les femmes. Vous ne pouvez pas faire une carte « les points sensibles » valable pour toutes les femmes, il y en a forcément mais pas aux mêmes endroits d’une à l’autre. La seule personne à pouvoir vous aider à le trouver est votre partenaire, en se mettant au-dessus elle gardait assez de liberté pour ajuster mes stimulations.
Comme elle était sur moi je ne pouvais pas voir ce que je faisais, je naviguais uniquement au toucher. C’est curieux d’explorer son partenaire de cette façon, de découvrir son corps dans ses moindres recoins. Vous prenez des points de repères mentalement. Les creux, les zones plates. Parfois vous touchez un endroit et vous entendez un gémissement plus prononcé. Je ressentais les contractions de son corps du bout de la langue et sur le visage du fait qu’il soit collé entre ses cuisses. De part ses gémissements je l’imaginais la tête en arrière la bouche ouverte. Comme j’étais empêché d’y prendre du plaisir j’ai pu me concentrer pour me synchroniser avec elle, j’appuyais plus fortement quand elle se relâchait et inversement l’interrompais mes stimulations quand elle montait trop pour la laisser reprendre son souffle. Il y avait une forme de complicité entre nous, ce n’était pas si égoïste, nous étions à deux pour arriver à un but commun.
Il y a une forme de gratification à déclencher un orgasme, cela fait plaisir d’arriver au résultat, ça me fait devenir perfectionniste, c’est un défi sans cesse renouvelé.
J’ai toujours trouvé les orgasmes féminins fascinants, j’ai un peu l’impression qu’ils sont douloureux, cette façon de soupirer, de pleurer, comme une sorte de décharge électrique qui transpercerait leur corps. En tout cas j’ai la conviction qu’ils sont différents des nôtres.
Elle s’est allongé sur le côté pour reprendre son souffle, visiblement elle était très bien. De mon côté j’allais devoir m’endormir sans avoir eu d’orgasme, une situation assez étrange. Je pris conscience du problème, de ce que ressente les femmes qui font parfois l’amour sans atteindre le sommet. En quelque sorte j’avais comme une sensation de manque. Une sorte de douleur entre mes jambes.
Je n’étais pas bête au point de lui demander un orgasme mais je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander ce qu’elle avait pensé de ma prestation. Elle a grogné, elle voulait savourer le moment après l’orgasme et je la déconcentrais.
— J’allais dire perfectible mais pas mal pour une première, 2 jours de malus, mais vu que tu me cherches ça sera 1 semaine.
J’ai eu l’impression de me prendre un coup de poing entre les jambes. Je pensais avoir été castré par la privation de plaisir, j’ai compris ce qu’elle voulait dire par douleur de la vérité. J’étais pourtant fier de moi, c’était ma première fois, j’ai été vexé que mes « mérites » ne soient pas reconnus. Je suis compliqué, je veux qu’elle soit honnête et en même temps je suis blessé quand elle l’est. Je veux tout et son contraire. S’il y a bien une chose dont je suis certain c’est que je suis masochiste.
Je lui en ai voulu sur le moment puis j’ai compris l’intérêt. Après des jours de pratique lorsqu’elle m’a réellement complimenté je me suis senti bien, je savais qu’elle ne mentait pas pour me ménager.
J’ai pris sur mon égo pour m’améliorer et désormais ce que je redoutais avant de l’essayer est devenu la forme la plus fréquente d’orgasme pour elle. Environ 2 à 3 fois par semaine j’y passe. Parfois elle se laisse même aller à me laisser guider, elle se met sur le dos et me donne les commandes. C’est très gratifiant.

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La suite ici.

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