Simplet découvre le BDSM : le dressage sévère d’un débutant #25

Dernière partie de l’année pour l’histoire en cours ! Après je laisse Candice vous raconter ce qu’elle fait. Premier post attendu pour samedi. Je ne ferais pas de 26eme post comme annoncé précédemment pour l’instant. Je trouve que je n’ai pas assez de choses à dire pour séparer la fin en deux. Je ne suis pas très inspirée en ce moment il faut dire. Je le regretterais surement plus tard mais tant pis. Une pause me fera du bien.

Je mettrais le sommaire à jour en conséquence.

Bonnes vacances !

* * *

Nous sommes retournés dans la cave, une tension en moins, ça fait du bien de créer un point de rupture où l’on peut tout mettre à plat.

– Maintenant que tu es revenu dans l’enclos je vais pouvoir continuer sur mon idée. Si tu ne m’avais pas grossièrement interrompu je n’aurais pas eu besoin de faire tout ce cirque.

– Pardon, maitresse.

– Je disais donc, le problème du bas. Tu sais qu’il existe maintenant ?

– Oui, maitresse.

Il était à genoux au centre de la pièce, j’ai posé une boite devant lui. Je lui ai fait signe pour qu’il l’ouvre.

– Tu sais ce que c’est ?

Il l’a ouverte, s’arrêtant un instant en découvrant son contenu.

– Oui, maitresse, c’est une cage de chasteté.

– Elle va servir à quoi ?

– À m’empêcher de faire des bêtises.

– Ça te ferait du bien de te masturber après notre rencontre. Pourquoi tu accepterais d’y renoncer ?

– Je ne l’ai pas mérité, maitresse, et je suis trop faible pour me retenir tout seul.

La fin de la phrase sonnait faux mais il allait apprendre à devenir un bon acteur avec le temps, je n’avais aucun doute là-dessus. Les soumis apprennent vite quand ils reçoivent des coups.

– Tu la mets ?

Il a pris les différentes pièces.

– Je ne sais pas trop m’en servir, maitresse.

– Raison de plus pour la mettre en cage.

Il a souri et a commencé à me répondre

– Non c’est pas ce que je voulais dire.

Il a croisé mon regard et s’est rappelé que c’était évident que je déformais ses paroles, que ça ne servait à rien de me le faire remarquer.

– Pardon maitresse j’ai pris la parole sans avoir rien à dire

– Il y a un mieux, c’est déjà ça, tu t’en rends compte.

Je lui ai fait signe de l’index d’approcher. Il a posé son nouveau jouet pour venir vers moi. Je lui ai mis une série de 6 gifles sans prévenir puis je lui ai fait signe de retourner à sa place. Sans un mot, il savait pourquoi il se faisait punir ce n’était pas nécessaire d’en rajouter.

– Merci, maitresse.

Il s’était interrompu immédiatement après sa bêtise pour s’excuser mais ça ne changeait rien au fait qu’il l’avait faite.

– Tu penses que ça être dur de la porter ?

– Je ne sais pas, maitresse.

– Tu te masturbes souvent ? Quelle est ta plus grande période d’abstinence ?

– Je ne sais pas maitresse, quelques jours.

– Les premiers jours vont être terribles. Tu n’as pas idée de l’état dans lequel peuvent te mettre tes hormones.

Il a mis sa verge dans l’étui.

– Verrouilles bien le tout. C’est un modèle small mais comme ta queue est petite il ne faudrait pas qu’elle puisse s’échapper.

En réalité c’était un modèle standard mais toutes les occasions sont bonnes pour humilier les soumis. Il a fini de la poser, attendant que je lui donne la dernière pièce, le cadenas. Je me suis approchée de lui, prenant un soin particulier à prendre une démarche sexy.

– Crois-moi, d’ici quelques jours tu seras tellement sous l’influence de tes hormones que je te ferai faire ce que je veux, mêmes les choses les plus dégradantes.

J’ai marqué un temps de pause pendant que je le penchais vers son oreille.

– Et ça tombe bien c’est ce que j’ai l’intention de te faire faire.

J’ai pu constater sur son visage l’inconfort de cette première répression d’érection, ça m’a amusé. Je lui ai tendu la main, dévoilant deux cadenas.

– Un cadenas en métal ou un en plastique numéroté ? L’un est inviolable, pour les faibles qui en ont besoin, l’autre est réservé aux bons soumis dociles, ou aux soumis faibles qui veulent se prendre une raclée. Auquel vas-tu avoir droit ?

Il a répondu immédiatement.

– À celui en métal, maitresse, s’il vous plait, je suis faible.

Je lui ai fait signe des yeux pour qu’il le prenne. Il y a deux écoles, les dominas qui préfèrent verrouiller le soumis elles-mêmes pour montrer leur emprise et celles qui préfèrent que ce soit le soumis qui le fasse lui-même par dévotion. Je suis plus souvent de la deuxième, à moins que j’utilise la cage de manière punitive en voulant la serrer moi-même. Il a posé le cadenas.

– Respire bien avant de retirer la clé. Prends bien conscience qu’une fois que tu me l’auras donné tu ne pourras plus la récupérer avant longtemps. Elle sera à moi.

J’aime bien ritualiser ce moment, qu’il prenne conscience de ce qu’il me donne. Je suis joueuse, s’il me donne une clé en me disant de la restituer uniquement quand il l’aura mérité je le fais pour de vrai. Une fois la clé en ma possession je me suis accoudé sur son épaule.

– Tu es sûr que ça ne va pas te manquer.

J’ai commencé à tapoter sur sa cage avec mes doigts, quelques vibrations pour le stimuler un peu.

– Qu’est-ce que tu vas faire de ton temps si tu ne regardes plus de jolies jeunes femmes se prendre des fessées ? Elles vont être déçues que tu ne regardes plus leurs courbes. Elles devaient être tellement fières que tu te masturbes en les regardant.

J’aime tourmenter les hommes en cage. Ça les rend dociles mais c’est surtout par sadisme pur. Etre castré est une des peurs primitives des hommes autant en profiter.

– C’est ce que tu m’avais dit non ? Tu aimes regarder les jeunes femmes.

Je me suis mis devant lui, réajustant mon décolleté. Il a détourné le regard, j’ai pris un air surpris.

– Ça alors ! Tu as perdu ta sale habitude de nous mâter ? Il me semblait qu’elle était « naturelle » et que tu ne pouvais rien y faire.

– Je n’ai pas le droit de prendre du plaisir sans votre permission, maitresse.

– Oh ! Et ça ne marche qu’avec moi ?

– Non, maitresse, je montrerais du respect envers le corps de toutes les femmes. Manquer de respect envers une femme c’est vous manquer de respect à vous, maitresse.

– Et tu n’as pas envie de me manquer de respect ?

– Non, maitresse.

– Pourquoi ?

– Parce que je serais sévèrement puni pour ça et que je n’ai pas envie de vous mettre en colère.

– Ça c’est un bon soumis. Ça mérite une récompense.

Je suis allée chercher mon ordinateur portable et je me suis à côté de lui.

– Voyons voir ça. Quelles vidéos tu m’as envoyées pour me montrer le genre de chose que tu aimais.

J’en ai lancé une, il détournait toujours le regard, j’ai monté le son.

– Pas la peine de regarder ailleurs. Tu as dû les mâter tellement de fois que juste avec le son tu visualiseras la scène.

J’aime bien ce genre de supplice, ils sont simples à mettre en place, je n’ai pas besoin de me casser la voix ou d’être violente. Cela fait une bonne pause dans la séance sans le mettre à l’aise.

– Ça tire ?

– Oui, merci maitresse.

– C’est pour ton bien, et ne te plaint pas trop ou je te donnerais de vrais raisons de le faire. Tu vas finir par apprendre que tu n’obéis pas par peur de la sanction mais parce que tu m’appartiens, et que je décide ce qu’il arrive à ton corps.

– Pardon maitresse.

Après quelques vidéos j’ai décidé de passer à autre chose.

– Assez d’amusements on va repasser aux choses sérieuses.

– Merci, mademoiselle.

– Mademoiselle ? Vraiment ?

– Pardon, je voulais dire maitresse.

Son cerveau faisait face à une nouvelle donnée, être en cage nécessite tout un apprentissage. C’est compliqué de perdre une faculté, je le compare souvent avec les restrictions de mouvements, peut-être à tort mais c’est le plus proche que j’ai pu expérimenter. Passer une journée avec des menottes aux chevilles est compliqué, on doit réapprendre à marcher. Sans compter qu’il y a un côté de claustrophobie qui se réveille. En temps normal je n’ai pas de problème avec les petits espace mais lorsque je suis menottée je serais parfois prête à m’arracher un bras ou une jambe. Ça occupe l’esprit et nous fait faire des bêtises par inadvertance.

– Quand on a le privilège de pouvoir m’appeler maitresse on l’utilise. À moins de trouver que ça ne vaut rien.

– Non, je vous assure je vous respecte j’ai …

Il n’a pas terminé sa phrase, marquant un temps de pause.

– Pardon maitresse, j’ai été inattentif c’est un comportement indigne d’un bon soumis. C’est ma faute je mérite d’être corrigé sans pitié.

– Il y a de l’espoir après tout, tu es toujours insolent mais au moins tu t’en rends compte et tu arrêtes de te trouver des excuses bidons. Bon, il faut que je fasse les gros yeux mais c’est déjà un mieux. Tu vas prendre cher parce que mine de rien ton insolence commences à me taper sur le système mais je sais que tu vas t’améliorer dans peu de temps.

En réalité je n’étais pas fâchée, c’était une occasion d’essayer d’autres jeux mais en tendant davantage sur ce qu’il aimait. En fin de session il faut que le soumis garde un bon souvenir.

– Tu as envie de quoi ?

Il a rougi.

– C’est un peu ridicule.

J’ai soupiré suffisamment fort pour qu’il s’excuse immédiatement et baisse les yeux en regrettant sa réponse.

– Si tu veux que je te vaccine contre le ridicule ça peut se faire mais tu ne vas pas apprécier

– C’est un peu cliché, maitresse.

– Ok tu as oublié ce que ça fait d’esquiver mes questions ? Parce que je crois que ma question était claire.

– J’aimerais que …

– Tais-toi ! Je t’ai laissé une chance de choisir toi-même. Tu n’as l’as pas prise tant pis, je fais le choix à ta place. J’ai bien compris la technique : manière forte systématique. À chaque fois que j’essaye d’être sympa tu abuses, j’arrête tu as gagné. Ne viens pas te plaindre que l’on ne fait pas ce que tu aimes après ça.

J’ai un regret, par curiosité j’aurai bien aimé savoir ce qu’il allait dire. Ça me travaille encore de ne pas savoir. Quoi qu’il en soit je suis allée chercher une cravache. Une cravache classique il était encore trop jeune dans sa pratique pour la cravache de dressage.

– Un petit jeu pour tester ta docilité. Tu sais ce que s’est la docilité ?

– C’est devoir se tenir tranquille, maitresse.

– C’est une qualité ou un défaut pour un bon soumis ?

Il a paru surpris par ma question, la réponse était trop évidente.

– Une qualité, maitresse.

– Donc si tu fais ce que tu m’as promis tout à l’heure tu vas prendre sur toi pour afficher la plus grande docilité.

– Oui, maitresse.

– Tu me permets d’en douter et de te tester ?

– Oui, bien sûr maitresse.

Je me suis mise à ralentir le débit de mes paroles, je voulais être très claire sur les règles du prochain jeu.

– Je vais te faire prendre une position, une position difficile à tenir pour voir si tu es capable de prendre sur toi et rester docile. À quatre pattes, cuisses écartées. Non, plutôt à genoux, front sur le sol. Utilises tes mains pour écarter les fesses. Je veux voir la raie des fesses bien exposée à ma cravache.

J’ai commencé à la passer doucement sur toute la zone, pour qu’il s’habitue à son contact avant que les premiers coups ne tombent.

– C’est une zone très sensible, tu vas avoir envie de refermer les cuisses pour te protéger. C’est ce que ferait un mauvais soumis. Un bon soumis garderait la zone bien apparente pour ne pas se soustraire à la volonté de sa maitresse bien aimée.Tu aimes m’appartenir pas vrai ?

– Oui, maitresse.Je suis fier d’être votre propriété.

– Alors bon ou mauvais soumis ?

– Bon soumis, maitresse.

– Ce n’était pas une question qui attendait une réponse de ta part. Seuls tes actes en décideront. Je vais commencer soft. Je vais même te faire une promesse, j’irai jusqu’à 50 coups, quoi qu’il arrive, même si je dois t’immobiliser avec une barre d’écartement. Pas plus pas moins. Saches que tu ne réduiras pas ton supplice en craquant, tu ne feras que me décevoir. Tu me trouves pet-être sadique mais tu vas voir c’est plus simple comme ça. Tu vas pouvoir te dire que le réflexe de fermer les cuisses est stupide, tu as un vrai argument pour te convaincre.

J’ai davantage écarté ses cuisses du pied pour augmenter son inconfort.

– Écartes bien les fesses avec les mains, gardes les bien ouvertes. C’est bien de coopérer à ta punition, tu as peut-être l’impression que tu aggraves les choses mais en réalité ça te sert. Plus tu coopères mieux ça se passe.

Je prends du plaisir à faire souffrir un soumis mais le pied total c’est de le faire coopérer et dire merci à sa punition. Je me suis mise débout au-dessus de lui, le coinçant entre mes jambes. Mes collants touchant ses flancs.

– Cambres toi bien, creuse les reins, offres toi comme il faut.

J’ai commencé à frapper, la cravache peut faire terriblement mal quand les coups se superposent. En l’espèce comme je frappais uniquement sur la zone sensible entre les fesses cela allait fatalement arriver. C’était un jeu entre moi qui essayais de le faire craquer et lui qui devait tenir. Ce n’était pas dangereux, la cravache ne blesse pas, mais c’était douloureux. Une douleur très intime. La zone a vite virée au rouge. J’ai pris le bout de la cravache en main, j’aime sentir la chaleur qu’elle dégage après une bonne série de coups.

– Tu as les fesses qui te glissent des doigts, remets les bien

– Pardon, maitresse.

Je me mordillais les lèvres, je passais un bien meilleur moment que lui c’était le cas de le dire. Je suis repartie pour une autre série. À partir du vingtième coup il a commencé à être mal à l’aise. Dans mon excitation j’avais dû être un peu brusque, cinquante coups c’était peut-être beaucoup pour un débutant. C’est le genre de moment où je dois revenir sur ma parole sans en avoir l’air.

– J’ai envie de faire un petit jeu sadique qu’est-ce que tu en penses ?

Il a répondu à bout de souffle, je ne voyais pas son visage mais il devait être rouge.

– Selon vos désirs, maitresse.

– Tu peux économiser 20 coups mais il y aura une contrepartie. Ça t’intéresse ?

– Oui, maitresse.

– Après chaque coup je veux que tu me dises « merci maitresse, le coup suivant peut-il être plus fort s’il vous plait ? ». Si tu n’es pas assez motivé pour le dire ou si tu manques à ton obligation de docilité en ne tenant plus la position on repart sur 50 coups avec un malus de 20. Autrement dit si tu respectes le deal il ne te restera plus que 10 coups à prendre. Sinon 50. Honnête pas vrai ?

Je ne pense pas avoir été très claire mais ça n’a pas semblé le déranger. Il devait avoir retenu qu’il y avait une option où il ne lui restait plus que 10 coups.

– Oui, merci maitresse.

Je lui ai mis la dernière série en tentant d’augmenter la force entre chaque coup, j’ai eu du mal sur la fin j’étais déjà bien motivée. Je l’ai contourné pour observer le résultat de mon travail. Toute la zone avait nettement changé de couleur. Malgré la douleur il avait aimé ça, sa queue était comprimée dans sa cage. Les punitions si près du sexe sont toujours excitantes.

– Tu commences à ressembler à un vrai soumis dit-moi. À genoux, la tête contre le sol, la queue en cage et la raie des fesses rouge.

– Merci maitresse.

J’ai passé ma cravache entre ses fesses, il a frissonné à son contact.

– Je te fais peur ? Tu as peur qu’une nouvelle série parte ? C’est bien, tu commences à comprendre pourquoi les soumis m’obéissent au moindre claquement de doigt.

J’ai tapé un peu plus fort sur la cage pour le stimuler.

– Ça a l’air d’être comprimé tout ça. Tu es sûr de vouloir garder la cage ?

– Je ne pense rien, c’est à vous de décider ce qui est bon pour moi, maitresse.

– C’est bien, on va pouvoir finir sur une note positive alors. Un dernier baisé sur mes chaussures, tu te rhabilles et tu files. On se revoit bientôt. Et tu as intérêt à ce que je puisse constater que tu as respecté mes consignes. Je parle, entre autres, de ton obligation de faire du sport.

– Oui, maitresse.

Je n’aime pas m’éterniser en fin de séance, finir sur un bon comportement et une douleur restante est efficace à mon sens. Le soumis se retrouve dans la rue avec le cœur qui bat encore fort, le postérieur douloureux. Il n’avait pas mérité une vraie récompense c’était le moins que je puisse dire, il ne s’en tirait pas si mal après tout pour un premier contact réel.

Un peu plus tard dans la soirée, juste avant d’aller me coucher je lui ai envoyé des messages pour savoir comment il se sentait. Les soumis sont plus souvent capables d’être direct lorsque je suis loin et qu’ils sont protégés par un écran. Il avait apprécié même s’il était encore dans un état fébrile. La soumission est une épreuve pour le corps il faut un temps de récupération. Surtout lorsqu’il n’y a pas eu de prise de plaisir. Le corps attend ce signal de fin qui n’arrive pas. Je ne me faisais aucun doute que j’allais le travailler toute la nuit, la chasteté imposée allait l’empêcher de dormir et son esprit allait continuer de divaguer en pensant à la suite.

Une réflexion sur « Simplet découvre le BDSM : le dressage sévère d’un débutant #25 »

  1. Bonjour Mademoiselle.

    Mon voeux le plus chère, serait de rencontrer et de pouvoir jouer avec une Déesse telle que Vous. j’adore Vôtre façon d’être et de faire respecter Vôtre autorité. Vous êtes par moment très douce et à d’autre humiliante à souhait. Vous resterez certainement pour moi qu’un fantasme, mais sachez Mademoiselle, que suivant Vôtre volonté, je me prosternerais à Vos divins pieds avec un immense plaisir, dans l’attente de recevoir l’ordre de pouvoir embrasser Vos intouchables escarpins.

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