Week-end à la campagne avec 3 soumis – juin 2014 #3 – bizutage pour un jeune chiot

Hello 🙂

Je suis en train de préparer un post pour la nouvelle rubrique « mode d’emploi » du site, le premier sujet sera une compilation d’idées sur le tease and denial et autres agréments de chasteté. J’ai déjà pas mal de choses mais si vous avez des idées originales n’hésitez pas à partager vos expériences => http://mllemilie.com/contact/

Il n’y aura probablement pas de publication ce week-end puisque je n’ai pas eu le temps de prendre de l’avance sur mon texte, à moins que je vous sorte une nouvelle partie de mon témoignage, c’est une bonne idée ça ! 🙂 J’enverrais ça samedi ou dimanche.

Pour relire les parties précédentes de cette série vous avez le sommaire ici.

Pour en revenir à l’action, après la préparation les choses sérieuses pouvaient enfin commencer. J’étais en train d’asseoir mon pouvoir en les mettant en situation de stress. Nous nous étions arrêtés au milieu de nulle part, je suis sortie de la voiture, j’ai passé quelques minutes à consulter mon smartphone pendant que mes soumis étaient encore à l’intérieur. Je vous rappelle que la sécurité enfant étant activée ils étaient coincés et ne pouvaient ouvrir la portière eux-mêmes. Quand j’ai estimé qu’ils avaient assez mariné j’ai ouvert la portière en leur faisant signe de sortir. J’avais pris un air sévère et j’avais ma cravache à la main.
— En ligne !
J’allais les passer en revue et les inspecter comme il se doit.
Chétif et Chouchou ont mis leurs mains derrière la tête par réflexe, le nouveau a encore eu un temps de retard, imitant ses camarades quelques secondes après eux. Je me suis mise face à lui, il a baissé la tête pour ne pas avoir à m’affronter. J’ai dit avec sarcasme.
— Mes yeux sont plus hauts.
Il a répondu nerveusement.
— Je ne regardais pas vos ….
Trop intimidé pour finir sa phrase.
— Pourquoi ? Ils ne sont pas assez jolis pour que tu daignes avoir le réflexe de les regarder ? Je te préviens tout de suite je n’aime déjà pas les soumis rebelles mais si tu veux m’attaquer sur mon physique n’espère pas en sortir vivant ! Parce que là ce n’est plus du BDSM mais la guerre !
Il devait se demander où il était tombé. Je prends beaucoup de plaisir à jouer aux hystériques capricieuses. Je voulais être claire dès le départ, mes soumis doivent s’attendre à toujours être pris en défaut, à devoir abandonner de raisonner avec moi lorsque je fais une crise d’autoritarisme. Quoi qu’ils aient fait ils doivent avoir le réflexe de s’excuser d’être des hommes et de se laisser punir point final. Ce n’est pas mon problème s’ils se sentent émasculés à être baladé de la sorte. Surtout que le coup du décolleté est un classique.
— Je ne voulais pas. Vous êtes très jolie maitresse et vos …
— Donc tu les as regardés ?
Il a souri, essayant de dédramatiser la situation.
— Moi ça ne me fait pas sourire ! Manquer de respect au corps d’une femme n’est pas digne d’une personne se prétendant soumise.
— Je ne le referais plus.
— Tu n’as jamais vu de seins ?
Il a répondu fièrement.
— Si maitresse.
J’ai soupiré en levant les yeux.
— Évidemment tu es un homme, tu passes ton temps à mater du porno.
Contre toute attente il m’a contredite.
— Non.
— Pardon ?
S’il y a bien une chose qui me fait m’emporter c’est bien un soumis qui me conteste. En soi ce n’est pas un problème, s’il veut se faire piétiner c’est son problème pas le mien.
— Tu vas oser me mentir en me regardant dans les yeux ? Tu veux me faire croire que tu ne regardes pas de porno ?
Il a senti le danger arriver et a fait machine arrière.
— Un petit peu.
Trop tard il avait mis le pied là où il ne fallait pas et je devais lui faire passer l’envie de recommencer. La fermeté il n’y a que ça de vrai.
— Combien ?
— 1 à 2 fois par semaine.
J’ai écarquillé les yeux avant de m’enflammer.
— De 1, ne me prends pas pour une idiote, moi je ne suis pas née avec un chromosome défaillant je sais très bien que tu me donnes un chiffre sous-estimé. De 2 …
J’ai pris une inspiration pour me tenter de me ressaisir et créer un effet d’angoisse.
— Non mais tu te rends compte de ce que tu dis ! 2 fois par semaine c’est « un peu » ? Tu te rends compte à quel point ça va mal dans ta tête pour que tu en viennes à penser ça ?
Je jouais la petite fille pure et parfaite qui fait culpabiliser. Je le descendais tout en me valorisant.J’ai soupiré d’énervement, je me suis adressé aux deux autres soumis. Ils essayaient de se faire tout petits pour ne pas se faire prendre à partie, appréciant de n’être que spectateur. Il y a une excitation spéciale à n’être qu’observateur de la punition d’un autre soumis, c’est comme une vidéo sauf que vous êtes proche du danger, suffisamment proche pour être le prochain.
— Qu’est-ce que la masturbation ?
Ils ont répondu.
— Un délit maitresse.
La réponse avait fusé, un autre signe de dressage qui ne trompe pas, ils savaient qu’il ne faut pas contredire sa dominante. Ma place dans le jeu c’est d’avoir les rênes, de trouver les idées, les soumis peuvent bien me laisser le droit de définir la rhétorique de ce petit monde que nous nous créons.
Je me suis retourné vers le nouveau.
— Alors tu avoues ? Tu es un délinquant ?
Il était embêté, ne sachant pas quoi dire.
— Oui.
— Fais une phrase complète.
— Je suis un délinquant maitresse.
— Tu sais que les châtiments corporels ont cours sous mon autorité.
Il a rougi, excité par la perspective.
— Je vais te faire passer l’envie de te faire punir. Même pas une heure et tu m’agaces déjà. Profites-en tu ne passeras pas une autre heure sans un changement radical de comportement. Déshabillez-vous ! Inspection surprise des colliers et des cages.
Je leur ai jeté des sacs plastiques aux pieds pour qu’ils mettent leur affaires. Comme j’avais été ferme en continu pas un seul n’a hésité à retirer ses vêtements malgré le fait que nous soyons en pleine nature. J’aime ces moments où je n’ai qu’à claquer des doigts pour faire tomber des tabous. Avec la motivation adéquate les soumis ont du potentiel. Je suis restée à côté du nouveau, dès que son torse a été nu j’ai pris un marqueur pour lui faire une marque sur l’épaule. Il s’est laissé faire sans comprendre.
— Je tiens les scores. Pour ne pas oublier vos erreurs et vous traiter en conséquence. En fonction des marques que vous avez vous perdez en confort. Tu comprendras bientôt à quel point elles sont infamantes.
Il y avait un petit côté bizutage au traitement que je leur faisais subir. La confiscation des effets personnels les mettait à ma totale merci.
— S’il y en a qui n’ont pas pris soin de leur cage ils rentreront à Paris tout nu et à pied.
En tant que dominante j’ai un plaisir tout particulier à voir mes soumis prendre soin des instruments de discipline, par exemple huiler le cuir d’un strap pour garder sa souplesse et conserver son pouvoir correctionnel. C’est une marque de respect envers l’outil et le dominant qui le manie. Sans faire mal au soumis je lui donne une leçon « conduit toi bien ou tu le recevras. Tu sais à quel point il fera mal tu l’as préparé toi-même ». C’est aussi pour cela qu’il faut exposer les instruments de discipline lorsque l’on a un mari soumis, pour qu’il n’oublie jamais ses engagements. Pour la cage de chasteté c’est un peu le même processus. Le soumis n’aime pas sa cage et pourtant doit en prendre soin, cela renforce son émasculation. C’est lui dire « la cage n’est pas l’ennemi, c’est ton désir que tu dois craindre ».
J’ai noté une petite pointe d’angoisse dans leur attitude, je les imaginais en train d’anticiper ce que j’allais pourvoir leur reprocher. Les inspections sont une pratique très intéressante en début de séance, le soumis attend immobile et donne au dominant le pouvoir de le juger, c’est très symbolique.
J’ai commencé par mes soumis expérimentés, j’ai vérifié leur collier. Pendant les séances je leur fais porter un collier avec une médaille en forme d’os personnalisée avec leur nom de soumis. J’ai rajouté un petit cadenas pour les empêcher de l’enlever par eux-mêmes, symboliquement ils vont être coincés dans ce rôle pendant tout le week-end. Ce n’était qu’un détail, le plus important restait l’inspection de la cage sous toutes ses coutures. Il ne s’agissait pas de simplement la regarder mais bien de la manipuler brutalement comme une démonstration de ma force. Cela semblait inconfortable pour eux de voir leur queue remise à la verticale avec la traction sur les bourses que cela impliquait. Bizarrement ils ne se sont pas plaints 🙂
J’ai pointé du doigt une jointure de celle de Chétif.
— C’est quoi ces fissures ?
— C’est l’usure maitresse.
— Moi je crois que c’est plutôt une tentative ratée d’évasion.
Il a dégluti pendant que je me relevais. J’ai mis ma cravache sous ses bourses. Depuis que j’avais vu Candice manier « la cravache à bourses » je n’arrêtais pas d’y penser. J’avais toujours trouvé les cravaches en forme de cœur ridicules, elle m’avait montré une utilité que j’ignorais et cela m’avait stimulé.
— Tu préfères avouer ton délit ou il faut que je t’interroge.
— Je préfère avouer maitresse. J’ai tenté de m’évader.
C’était frustrant qu’il craque immédiatement, je l’aurais bien frappé un peu.
— Bien, il va falloir durcir ta détention. Tu es responsable de tes actes tu ne peux t’en prendre à toi-même. Tu as une idée de ce qui ce serait passé si j’avais pris ta queue hors de sa cage ? Tu sais ce que je fais aux queues en liberté ?
— Vous les rendez inutilisable définitivement.
— Je les broie ! Douloureusement.
Il fallait voir la tête du nouveau à côté, sa queue était en liberté et il était le prochain à passer l’inspection, il craignait ce que j’allais lui faire. Vous vous doutez d’ailleurs qu’il avait pris du volume à cause de la situation. Avoir une érection devant leur maitresse et une situation que les hommes ne le vivent généralement pas très bien. Ils ont raison, avec moi cela se termine mal.
Le moment qu’il redoutait est arrivé, je me suis mise devant lui, jouant la déception en le voyant. J’ai croisé les bras de mécontentement.
— Regardes tes camarades. Tu n’as pas l’impression qu’il te manque quelque chose ? Tu n’as pas l’impression de sortir du lot ?
— Je ne savais pas qu’il en fallait une cage et un collier sinon je l’aurais fait je vous assure.
— ll me semblait que tu avais des valeurs BDSM ? Depuis quand un garçon du milieu ne passe pas son temps en cage ? Le monde change bien, les valeurs se perdent. Malheureusement je suis la gardienne des règles et je ne suis pas trop d’accord avec cette vie dissolue que tu mènes. Cela fait combien de temps que ta queue est en infraction mon jeune récidiviste ? Et oui je n’ai pas oublié tes délits précédents. Tout va se cumuler et ça va faire mal.
Il a répondu à côté.
— J’ai pas les moyens. Ça coute cher une cage.
J’ai gloussé devant son audace. Les deux autres soumis n’osaient pas dire un mot pour le soutenir, ils n’avaient pas intérêt.
— Ce n’est pas un investissement lourd, les best-sellers c’est quoi CB 6000 /3000 ? Et elles valent 30 euros. Bien sûr elles sont en plastique ce n’est pas pour un port prolongé mais tu as déjà de quoi faire pour apprendre.
— Je ne savais pas.
— Tu te rappelle ton problème avec le porno dont nous venons juste de parler ? Tu vois un rapport de cause à conséquence avec l’absence de cage.
— Si je garde la clé ce n’est pas amusant, ça n’empêche rien.
J’ai marmonné « je vais t’en donner de l’amusement » avant de dire sur un ton plus pédagogue.
— Ça te permet de tester le confort avant la mise sous clé définitive. Il faut trouver la bonne taille et ça prend du temps. Est-ce que tu veux me faire perdre du temps ? C’est ça ? Je suis une femme, ma responsabilité c’est la clé pas la cage.
— Je n’y avais pas pensé.
J’ai regardé les deux autres soumis l’air blasée.
— Et pourquoi il n’y a pas pensé ? Chouchou ?
— Parce que nous autres les hommes nous ne sommes pas équipés pour penser.
J’ai souri en me tournant vers le nouveau.
— Tu es d’accord avec ça ? Quelle question. Evidemment que tu es d’accord tu viens de le prouver par l’exemple. Non. Si je veux être précise tu viens de prouver que tu es con. Cela ne prouve pas que tous les hommes le sont.
Cette précision ne lui faisait ni chaud ni froid. J’agissais de manière hautaine.
— Je te rassure tu es minable pour un homme mais tu ne t’éloignes pas trop de la moyenne. C’est déprimant de faire ce genre de constat. Je devrais m’y faire, vous constituez quand même la moitié de la population. Suffisamment nombreux pour la tirer vers le bas.
J’étais en train de me perdre dans mon argumentaire, je me suis recentrée.
— Bref, un homme ne peut pas débarquer devant une femme et dire « je veux être soumis » ça se prépare tout ça. Question de respect. Tu dois te présenter devant nous en ayant fait un minimum de travail. Tu as fait cette préparation ?
Il était envahi de honte.
— Non.
— Tu as envie de me respecter ?
— Je vous respecte maitresse.
— Pour l’instant ce n’est pas ce que disent tes actes. Tu as envie de t’améliorer ?
Il a hoché la tête. J’ai insisté.
— Même si cela signifie souffrir ? Tu es prêt à te ramasser des corrections plus sévères les unes que les autres
— Oui maitresse.
— Bien, première leçon : les bases.
J’ai pointé sa queue de ma cravache.
— Chétif qu’est-ce que c’est ?
Mécaniquement il a répondu.
— Une zone très sensible spécialement conçue pour vous servir à nous torturer et nous éduquer par la souffrance.
— Ça peut donner du plaisir ? Chouchou ?
Tout aussi discipliné que son congénère il a répondu.
— C’est une utilisation déviante, nous n’avons pas le droit de faire ça. C’est immonde.
Je dois reconnaitre que je ressens une certaine fierté à voir les effets de mon dressage sur mes soumis. Je râle quand j’ai moins d’occasion de les punir et pourtant j’ai des pointes d’orgueil à les voir filer droit grâce à moi. Je ne suis pas simple à comprendre. J’avais envie de les montrer à tout le monde en disant « c’est moi qui les ais fait ! ». Les soumis doutent parfois que nous sommes fiers d’eux, nous ne le montrons pas souvent et pourtant c’est le cas.
— D’ici peu de temps toi aussi tu sauras répondre de la sorte. Ça te fait envie ?
Il avait un grand sourire.
— Oui maitresse.
— De toute façon nous allons vite être fixés. Vous deux, vous avez entendu ? Il veut que rien ne lui soit épargné alors je compte sur vous. Si vous le voyez faire une connerie vous le balancez ou je vous considérerais comme complice. D’ailleurs je vais monter les enchères, vous êtes responsable de son comportement. C’est aux chiens de s’occuper des chiots après tout. Tiens je crois que je viens de te trouver un surnom, ça sera le Chiot à présent. Ce surnom te plait ?
— C’est vous qui décidez maitresse.
Je lui ai ébouriffé les cheveux.
— Ça c’est un bon chiot. En plus on va pouvoir vous appeler les 3 C. Il y a plein de noms rigolos qui commencent par un C. Pas vrai ?
— Oui maitresse.
— Tu me donnes des exemples le Chiot ?
— Connard, crétin …
— J’ai une idée de jeu ! Chacun votre tour vous allez me donner des synonymes de « mâle » commençant par C. Bien sûr interdiction d’utiliser plusieurs fois le même. Ma chère collègue la cravache saura épauler ceux qui ont le moins de vocabulaire.
J’ai désigné Chétif.
— Crasseux.
Puis Chouchou.
— Castré.
Enfin le Chiot.
— Crédule.
Et ainsi de suite.
— Clochard.
— Casse-pied.
— Cochon.
Ils hésitaient de plus en plus à chaque réponse, j’étais en train de faire les paris sur qui ferait le premier faux pas.
— Cloche.
— Crevard.
— Criminel.
— Clodo.
Chétif s’est pris un coup de cravache sur les bourses.
— Quelqu’un l’avait déjà dit.
— Il avait dit clochard ce n’est pas pareil.
Il s’est repris un deuxième coup sur les bourses.
— Ça te semble trop ressemblant maintenant ?
— Oui pardon maitresse.
Qu’est-ce que ça faisait du bien de lui cravacher les couilles, j’adore ça. Chouchou a continué.
— Crapule.
Je l’ai repris.
— Stop, n’avance pas si vite. Chétif n’a toujours pas dit le sien.
— Euh … Catastrophique.
J’ai désigné Chouchou.
— Mais je viens d’en donner un !
— Tu as parlé quand ce n’était pas ton tour, estimes-toi heureux de ne pas avoir été cravaché.
— Pardon maitresse.
Il s’est mis à chercher, je préparais mon coup de manière ostensible pour le déconcentrer.
— Critiquable ?
— J’accepte. Suivant.
Le Chiot allait dire un mot mais s’est figé en sentant le cuir de ma cravache sur sa queue. Il a semblé avoir un blanc.
— Pardon maitresse je l’ai sur le bout de la langue.
J’ai tapoté sur ses bourses, il était « très tendu » et c’est un euphémisme. Je crois qu’inconsciemment il voulait me tester.
— Candide !
— Bien.
J’étais presque déçue qu’il trouve quelque chose.
— Je ne vous croyais pas si doué avec les mots. Je vais peut-être finir par vous trouver une utilité.
J’ai repris un ton plus sérieux pour rappeler mes consignes.
— Quoi qu’il en soit le Chiot a besoin qu’on lui explique comment le monde marche et j’ai autre chose à faire ce week-end alors vous allez prendre soin de lui. S’il ne respecte pas les règles je considérerais que vous n’avez pas rempli votre tâche de mentor et vous en assumerez les conséquences. Et pour être sûre que vous ne me cacherez rien je vais vous donner une carotte. À chaque fois que vous le donnerez une info vous éviterez la correction et vous recevrez une récompense.
J’adore monter les soumis les uns contre les autres. D’ailleurs je n’allais pas être déçue des effets de cette consigne.

La suite par ici.

Le témoignage de Damien : mari soumis s02e02 lavement

Hello 🙂
Un peu de lecture pour votre week-end 😀 Toujours un témoignage je prépare intensivement ma propre production ^_^

Les parties précédentes sont ici
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La vie sexuelle de notre couple ne se résume bien sûr pas uniquement aux facesitting, nous avons bien d’autres façons de nous amuser. Mon intention est de traiter les pratiques par ordre de « difficulté » émotionnelle.
Sur le second pallier nous trouvons une pratique assez particulière. Au départ, lorsque nous avons déterminé les conditions de ma soumission, je lui avais dit que j’aimerais qu’elle porte la ceinture dans le couple, elle m’avait répondu avec un sourire espiègle :
— Ne t’inquiètes pas, la ceinture, je vais la porter.
Même si je n’avais pas compris la signification de cette phrase sur le moment j’avais cependant l’intuition qu’il y avait un sens caché. Pour être honnête j’étais plus probablement en train de me mentir pour ne pas avoir à affronter cette idée. Après la cage de chasteté, le facesitting vous avez compris que je vais vous parler de la sodomie et des gode-ceintures.
Ce sont des pratiques assez intimidantes qui me font instantanément me sentir dociles. J’y ressens une certaine honte, c’est un peu la « dernière frontière », pour moi, même être forcé à faire des fellations à un gode n’est pas aussi intime.
Après mon entrainement de base, quand elle m’a annoncé que désormais elle allait m’apprendre tout le volet anal j’ai eu une réaction de dégonflé, probablement la pire réaction à avoir devant une femme dominante.
— Non, pas la sodomie s’il te plait.
Elle s’est approchée, envahissant mon espace.
— Attend, tu viens de dire quoi ? Il n’y a qu’une seule phrase qui peut te sauver tu ferais bien de la dire en vitesse.
Je déteste ces moments, lorsque je me rends compte que je viens de lui forcer la main et qu’elle est obligée d’aller encore plus loin pour me mater et me montrer qui commande. Non pas que je lui en veuille, c’est le jeu de rôle qui l’impose, c’est moi que je déteste pour avoir été inattentif. C’est une question de cohérence, je veux être soumis donc je dois lui obéir et pas uniquement lorsque ça me fait plaisir. La notion de contrainte est une partie fondamentale de mon plaisir, je dois sentir le poids de sa divine autorité, je dois éprouver ma détermination en pliant sous son joug et en faisant machine arrière. Ce que je veux n’a aucune importance.
À vrai dire même si parfois c’est involontaire cela m’amuse aussi de lui tenir tête pour qu’elle passe en mode « stricte », c’est jouissif de me faire remettre à ma place. J’aime faire des bêtises je ne peux pas m’en empêcher et cette situation l’amuse également. Ne la prenez pas pour autant pour une malade, bien qu’elle s’amuse d’avoir une proie qui se débat elle n’est pas folle, la règle est simple, soit je dis le safeword soit elle me force la main, ce sont les règles du jeu telles que nous les avons définies.
J’aime être son soumis et je ne veux pas dire le mot qui me ferait redevenir un homme normal, j’ai trop goutté à l’adrénaline que procure le BDSM pour m’en passer. Le safeword brise le jeu, il n’est pas censé être à usage unique mais l’utiliser c’est avoir du pouvoir sur elle et ça je ne le veux pas. Si je l’utilise ne serais-ce qu’une seule fois je n’imagine pas être capable de revenir dans le rôle, j’ai peur de tout le temps y repenser. Surtout qu’elle reste très superficielle avec moi dans l’intensité des jeux ce ne sont pas de vrais épreuves. Je sais que certains soumis aiment être poussés à bout jusqu’à devoir abandonner et prouver leur lâcheté en utilisant le safeword, ce n’est pas mon cas. Nous avons convenu qu’elle serait très progressive et modérée, je n’ai aucune raison de l’utiliser. À partir du moment où les limites sont claires il n’y a pas de risques de les dépasser.
Je dois concéder que dans des moments pareils je suis quand même heureux de savoir que ce « parachute » existe. Pour faire simple je lui avais dit « non », la lutte pour le pouvoir venait de s’enclencher et je ne pense pas avoir jamais gagné contre elle à ce jeu.
Elle venait de me dire qu’elle attendait une phrase particulière, la seule qui pourrait me tirer d’affaire, elle faisait référence à une reddition totale et instantanée. Lorsque vous vivez au quotidien avec votre dominante il est impossible d’avoir une attention de tous les instants et d’éviter une phrase de travers, il est bien plus prudent de prévoir des mécanismes de sortie. Si je m’aplatissais devant elle alors j’éviterais une trop grosse sanction. Inversement en refusant je pouvais lui faire comprendre que je voulais jouer. Je ne suis pas du genre de soumis à demander une fessée, je prends davantage de plaisir « à la mériter » même si c’est parfois artificiel. C’est une ambiance dont j’ai besoin.
Cette situation m’avait mise dans un état mental particulier, d’un côté je craignais la sanction, tenter d’usurper le trône étant au sommet de la hiérarchie des crimes, d’un autre j’avais du mal avec l’alternative, présenter des excuses est douloureux, surement à cause de ma sale fierté masculine. C’est une sensation étrange que de confesser un moment de faiblesse sachant qu’elle n’hésitera pas à l’exploiter cruellement. En même temps une fois les armes déposées je me sens protégé, c’est comme un serment d’allégeance, comme du temps de la chevalerie, « je m’engage à te servir et tu me protèges en retour ». Reste à définir ce qu’est cette protection. Je sais que je ne suis pas tout seul dans la vie, peu importe les problèmes « dans le monde extérieur » j’aurais toujours une place disponible à ses pieds tant que je n’essaye pas de fomenter un coup d’État. Elle me protège de mes travers, me donne un but dans la vie. J’ai du mal à mettre des mots sur cet aspect, je sais qu’elle est indispensable à mon équilibre sans savoir exactement comment. L’échange de pouvoir n’est pas à sens unique, c’est pour notre bénéfice mutuel même si les apparences disent le contraire.
— C’était un lapsus, mon corps t’appartient tu peux mettre ce que tu veux dans chacun de mes orifices.
— Et je ne vais pas m’en priver.
Ensuite elle m’a puni de la pire manière qu’il soit, en ne faisant rien, j’ai dû attendre pendant des jours qu’elle mette en pratique ce qu’elle m’avait annoncé. Vous avez idée du niveau du supplice qu’il y a à rentrer le soir en se sachant pas ce qui va m’arriver ? Le pire étant que je savais qu’elle attendrait que je baisse ma garde pour exercer son courroux.
Il faut bien vous mettre dans ma tête, je suis quelqu’un de classique sur le point de vue sexuel et j’allais me retrouver dans la situation de me faire sodomiser par ma femme. Pour moi lui obéir, porter une cage de chasteté et les autres marques de soumission ne remettait pas en cause mon statut d’homme. J’étais un homme inférieur à une femme mais un homme tout de même. Se retrouver avec le sexe en cage ne le détruit pas. À la limite même me faire pénétrer par un gode est une punition pas une remise en cause de ce que je suis. Par contre me faire prendre par un gode-ceinture était pour moi l’humiliation ultime. Je n’allais pas devoir faire toute les basses corvées, je n’allais pas être privé de plaisir, j’allais être « la femme » pendant l’acte. C’est toute ma conception de la sexualité qui était remise en cause, mon identité. Je n’avais pas idée de ce qui m’attendait « de l’autre côté ». Est-ce que j’allais aimer ? Est-ce que ça allait être horrible ? Qui je serais après ça ?
En même temps ces pratiques me fascinent depuis que j’en avais connaissance. Avant d’être soumis j’étais déjà en contact avec le monde BDSM via Candice qui m’en parlait. J’ai passé un temps pas possible à me repasser certaines images en tête, c’était de l’obsession. Une « femme phallique », c’est un concept tellement intimidant.
J’ai été fébrile pendant des jours, regrettant cette phrase de trop, si j’avais été moins aventureux mon initiation aurait eu lieu sur le moment et j’aurais eu une réponse à mes questions. Il avait fallu que je lui conteste le pouvoir, quel idiot j’avais été. L’attente a été une vraie torture, une leçon aussi douloureuse que nécessaire vu mon comportement, je ne critique pas sa décision.
Je me rassurais en me disant que j’avais aussi eu des aprioris négatifs sur le facesitting et pourtant j’avais aimé ça. Je devais faire confiance à Candice pour faire ce qui était bon pour nous. Elle avait raison de nous faire essayer de nouvelles pratiques, j’ai toujours eu du mal à sortir de la routine, à tenter de nouvelles choses, nous nous complétons bien sur cet aspect. Au pire je ne risquais rien, je n’aimerais pas ça et nous passerions à autre chose. À ne rien essayer de nouveau on passe à côté de bonnes idées. Des fois ça marche moins, par exemple la féminisation n’a pas bien pris avec moi, je n’ai pas eu besoin de le lui dire, bien au contraire j’étais méticuleux pour ne pas lui forcer la main. Elle l’a senti et a pris la décision adéquate, nous sommes passé à autre chose. J’ai confiance en son jugement, c’est ça la soumission. C’est justement parce que j’ai des réticences à essayer qu’elle doit m’y amener
Puis le soir tant redouté est arrivé, elle a remis l’idée sur le tapis. J’avais pensé à ce moment des dizaines, non, des centaines de fois. Comment elle allait gérer la situation ? Parfois j’essaye d’imaginer ce qui se passe dans sa tête. J’ai une angoisse à prendre des décisions nouvelles, j’ai peur de faire des erreurs. J’ai un très grand respect de cette capacité qu’elle a de prendre ses responsabilités.
Sentant mon hésitation sur le sujet elle a jugé opportun d’être très stricte, de m’imposer un cadre ferme pour ne pas me laisser de marge de manœuvre. Dans le rôle d’une sorte de sergent-instructeur elle m’a appelé sèchement comme on appellerait un chien. J’ai sursauté et me suis jeté au sol, bien conditionné à réagir à des ordres secs donnés en poussant la voix. Rien de superflu, juste un ordre à exécuter sans réfléchir. Je pensais trop à ce moment alors elle me mettait dans le rôle d’un soldat qui doit arrêter de penser. Un moyen de calmer mon angoisse. Obéir aveuglement à ses ordres est une position apaisante et moins difficile qu’il n’y parait.
— Ici !
Elle avait sa cravache à la main, j’ai tremblé. C’est un instrument qu’elle affectionne tout particulièrement et pourtant ne l’utilises pas souvent avec moi, la douleur est très vive et je la supporte mal. C’est un sacrifice qu’elle fait en général pour mon confort. En effet être soumis ne signifie pas pour autant avoir le monopole des concessions. On ne parle pas souvent des sacrifices fait par les dominas pourtant bien présents, elles n’aiment pas en parler et les soumis ne s’en rendant pas tout le temps compte.
Quoi qu’il en était la cravache était de sortie ce qui signifiait que je devais me tenir particulièrement à carreau. Comme je peux lui faire sentir quand j’aimerais qu’elle devienne plus stricte elle peut me faire sentir qu’il ne faut pas que je déconne.
— Dans la salle de bain !
L’ordre a été accompagné d’une tape à la cravache sur les flancs, pas un vrai coup, suffisamment pour que je le sente et que détale comme le trouillard que je suis. Elle m’a rejoint calmement, gardant ses escarpins aux pieds pour que j’entende ses pas résonner dans le couloir, à contre-temps elle tapait sa cravache dans sa main. Après plusieurs jours à angoisser pour avoir dit un mot de travers et sous la menace d’une cravache j’étais fermement décidé à obéir sans sourciller.
— La tête sur le sol, les mains sur la nuque et le cul en l’air !
Simultanément mes fesses venaient de se prendre un coup de cravache bien plus sévère que la tape précédente, elle me montrait qu’elle ne tolérerait plus aucune désobéissance. C’était la fermenté dont j’avais besoin.
— Ecartes les cuisses !
Encore une fois la cravache est venue préventivement me frapper. Les 2 carrés brulants créés sur ma peau me démangeaient. Si je n’avais pas eu peur d’un déluge ardent en représailles je les aurais bien frottés. C’est toujours dans ces situations, lorsque vous ne pouvez pas bouger, que vous avez « le nez qui démange ». J’ai entendu des bruits derrière moi, je n’osais pas tourner la tête pour regarder, je pesais le pour et le contre à chaque instant « est-ce que ce mouvement vaut son cout en cravache ? ».
Elle a mis une de ses mains dans le creux de mes reins pour me faire cambrer puis j’ai senti une canule me rentrer dans les fesses, sans avertissement. Elle s’est relevé, toujours sans un mot, elle n’avait pas besoin de m’expliquer la situation, je subissais un lavement et tout mouvement serait sanctionné, c’est tout ce que j’avais besoin de savoir. C’était mon premier, une sensation vraiment étrange, presque indolore au début s’en était même agréable. Sentir ce liquide chaud couler en soi n’était pas si terrible. Après quelques minutes elle m’a retiré la canule et m’a dis de rester en place. Nous avons attendu en silence. Rapidement les « bulles » ont commencés à apparaitre, des bruits dans mon ventre, la pression était en train de monter mon corps voulait expulser ce trop plein. J’avais des crampes terribles dans l’estomac, je luttais contre un ennemi intérieur, pire je luttais contre moi-même. Mon corps était idiot, il ne voulait pas comprendre qu’il devait tolérer ce liquide et se plier à cette épreuve. Rien ne devait sortir tant que la permission n’était pas donnée. Céder n’était pas une possibilité, mon corps ne faisait rien pour me faciliter la tâche, il ne pensait pas aux conséquences.
Elle m’a dit de me relever, j’ai senti le liquide se déplacer en moi. Elle a gloussé avant de me dire de sautiller sur place. J’ai commencé timidement, le liquide montait et descendait avec un temps de retard, de l’inertie. La pression anale augmentait d’autant, je ne savais pas combien de temps j’allais pouvoir tenir à ce rythme. Une sensation aussi étrange que désagréable
Après quelques mouvements elle m’a fait remettre en position. Je l’ai remercié, je craignais que la suite soit pire, j’avais raison.
Par moment la tension redescendait, c’était agréable, à d’autre la pression sur mon sphincter était terrible, j’avais envie de lâcher. Sans m’en rendre compte je gémissais de plus en plus fort au mépris des règles du jeu. Elles étaient pourtant simples, n’avoir aucun comportement qui ne m’ait pas été dicté. J’aurais dû savoir que je m’exposais à des conséquences très déplaisantes à ne pas les respecter. Comme toujours dans ces moments je m’en suis rendu compte trop tard.
— Alors comme ça tu veux gémir sans permission ? Nous allons devoir remédier à ce problème.
J’ai essayé d’étouffer un « Oh Non », elle s’est figée.
— Qu’est-ce que tu viens de dire ?
J’ai répondu sous la panique.
— Je viens de dire « pardon ».
Je croisais les doigts pour qu’elle accepte ce mensonge. Elle s’est mise au-dessus de moi.
— Tu sais ce qui va t’arriver ?
— Je vais être traité comme je le mérite. À la manière forte. Merci.
— A la chercher comme ça je suppose que tu l’aimes beaucoup. Soit, comme tu préfères.
J’étais obligé de réclamer un durcissement de ma condition, qu’aurais-je pu faire d’autre ? Lui tenir tête et qu’elle m’apprenne qui commande ? Si je voulais que tout ce passe bien je devais respecter les règles et accepter la punition.
— Ecartes les fesses !
Je les ai tirées lentement, contractant mon sphincter pour ne pas lâcher. La position était encore plus désagréable que la précédente c’était peu dire.
— Alors comme ça cet orifice ne m’est pas accessible
— Si chérie, totalement. Tu peux lui faire ce que tu veux.
— Ce n’est pas ce que tu m’as dit l’autre jour.
— Je me trompais, j’étais stupide j’en ai pris conscience.
— Ce n’est pas grave tu sais. Je n’ai rien contre les portes fermées. Je prends beaucoup de plaisir à les défoncer.
Soudain j’ai senti mon anus me bruler, je venais de me prendre un coup de cravache dessus, un vrai coup. Sous l’effet de la surprise tout mon corps s’est crispé. Déjà qu’en temps normal j’ai du mal avec la cravache alors la recevoir sur un endroit où la peau est si sensible allait m’apprendre la leçon pour longtemps. Quel idiot j’avais été, dire « non » à ma dominante, je méritais mon traitement.
Etre forcé de garder mon sphincter contracté ne faisait qu’amplifier la douleur cependant j’ai tenu bon de ce côté, par contre les larmes se sont mises à couler sur mon visage, le prix de l’émotion. Comme si cela ne suffisait pas je me suis pris un deuxième coup dans la foulée, à ce rythme j’allais tout relâcher sur le sol de la salle de bain. Je me voyais déjà être obligé de tout nettoyer. Il aurait été si simple de refermer mes fesses, désobéir une fois de plus quelle idée stupide ! Je ne gagnerais jamais à résister.
— Refuser la sodomie, c’est encore ta virilité qui te fait dire des âneries.
La cravache est descendue de quelques centimètres pour aller titiller ma cage. Ma queue était toute dure du fait de la tension dans le bassin. Candice était très sévère, elle m’apprenait la leçon comme il fallait, j’allais passer des semaines à être docile et cette pensée m’excitait au plus haut point.
— Il est temps de prendre le problème à la source.
Je n’ai pas eu le temps de répondre que déjà un coup était tombé sur mes bourses. C’était presque un soulagement, la douleur était certes présente mais ailleurs. Le répit n’a été que de courte durée, rapidement elle est repassée sur mon anus. À chaque coup je pensais être au plus bas dans la capacité à lâcher du terrain, j’étais prêt à toutes les concessions puis un autre tombait et je trouvais la force d’aller encore plus bas. Sa méthode de négociation a toujours été redoutable. J’adore me sentir fondre petit à petit. À chaque coup la douleur était plus vive avant de diffuser dans toute la zone. Je sentais la chaleur persister davantage à chaque impact et c’était excitant. Si le coup en lui-même était douloureux la chaleur résultante était tellement stimulante.
— Un dernier coup pour la route et tu pourras aller aux toilettes.
— Merci chérie !
Elle a pris son temps pour viser, je savais que ce coup allait être plus dur que les autres et je me préparais en me contractant, c’était mes dernières forces. J’avais fait le plus dur je ne devais pas céder maintenant. Je la connaissais bien, le coup a en effet était sévère. C’est le cul en feu que j’ai détalé vers les toilettes, les derniers mètres ont été les plus durs.
C’était une forme de plaisir qui m’était encore inconnue, aussi primitive que puissante, pourtant je n’ai pas d’envies ou de fantasmes scato, trop étrange pour que je dise sur le moment si je l’aimais au point de la revivre à intervalle régulier. Sentir la pression se relâcher et filer à travers mon sphincter encore chauffé et endolori par la cravache était un tel moment de soulagement que j’en avais des larmes de bonheur sur le visage.
En apparence elle était méchante avec moi mais c’était ce que voulais ressentir, ne la prenez pas pour une mauvaise personne, ce qu’elle me faisait subir était nécessaire à mon plaisir. Plus elle me traite durement plus je prends du plaisir ensuite, il y a un rapport de proportionnalité. Jouer avec elle est une épreuve mais j’aime ça, si ce n’était pas le cas le safeword serait là pour me sauver la mise.

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