Dressage bdsm sévère pour un soumis débutant #53 : douleurs, chaines et fouet pour une soubrette ayant oubliée ses obligations

Hello 🙂

Au programme de ce post une grosse punition pour Simplet, mon soumis-soubrette en formation. De quoi rendre la soirée mémorable dans sa petite tête.

Sommaire de mon histoire en cours pour rattraper les parties précédentes si nécessaire.

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Pendant que ma consoeur faisait un peu de facesitting j’allais pouvoir m’occuper de ma soubrette. Simplet, en débutant qu’il était, n’avait pas brillé dans sa performance et dans une relation BDSM tout échec doit avoir des conséquences déplaisantes, sinon ce n’est pas amusant. Il marchait derrière moi pendant que je m’approchais du matériel.
— Simplet, Simplet, Simplet.
Je me suis retournée en pivotant rapidement sur la pointe des pieds, il s’est figé.
— Tu as aimé porter des talons et une jupe ?
Il a rougi.
— Oui maitresse.
— Et comment as-tu trouvé ta prestation en soubrette ?
Il a semblé gêné par ma question, il ne devait pas s’estimer mauvais mais ne pouvait pas me le dire tel quel, il était plus prudent pour lui de paraitre modeste.
— Pas excellente.
Je me suis éclaircie la voix.
— Pour résumer. Je te laisse le privilège de te travestir, en y mettant simplement une contrepartie insignifiante, tu devais juste me servir, je ne suis pas si difficile. Qu’est-ce que tu as fait ? Tu as trouvé intelligent de te concentrer sur ta satisfaction plutôt que de faire les efforts requis en remerciement.
En formulant ma phrase de cette façon vous comprenez bien qu’il n’ait rien trouvé à répondre.
— Tu ne me trouves pas assez généreuse pour mériter ton attention ?
— Ce n’est pas ça maitresse.
— Alors c’est quoi ?
— Je ne sais pas.
J’ai mis une main sur la hanche.
— Et après on me reproche d’être trop stricte. Comme si j’avais le choix !! C’est le seul moyen de vous gérer ! Comme ton statut inférieur le laissait présager tu n’as mis aucune bonne volonté dans ta mission, tu refuses de souffrir pour une cause qui t’es supérieure, moi.
Un discours classique mais s’il est efficace pourquoi s’en priver. Les fantasmes reposent sur des schémas classiques, cela rassure les soumis et leur donne un minimum de contrôle. Par moment je fais preuve d’originalité mais la plupart du temps je suis prévisible.
— Tu te prétends un être intelligent alors même que tu te laisses mener par ta queue ?Espèce de raté. Tu m’as déçu, et ce n’est pas une attitude que je tolère.
— Pardon maitresse
— Pourquoi tu n’as pas voulu respecter ta part du marché ?
— Je ne suis pas assez doué.
J’ai rigolé.
— C’était au-delà de tes capacités ? Laisses-moi rire. Si même en soubrette tu arrives à rater tes objectifs… Ce n’est pourtant pas si difficile. Je me demande ce qu’il va falloir inventer comme rôle si même cette tâche basique t’échappe.
Je l’ai regardé fixement pour créer un moment de silence et ainsi contraster avec ma hausse d’intonation qui allait suivre.
— Trêve de plaisanterie, il n’y avait rien de compliqué ! Tu n’as pas eu envie de le faire, pas la volonté d’affronter la difficulté, c‘est ça la vérité. Les couilles synonymes de courage ? Et puis quoi encore. Vous avez bien escroqué le monde en le faisant croire. Pour le coup c’était bien joué. Eriger la virilité en parangon de vertu a été l’arnaque du millénaire. Mais toutes les tromperies ont une fin. À un moment ou à un autre tous les mensonges s’effondrent.
J’ai soupiré en levant les yeux au plafond. J’en ai profité pour me calmer. Faire redescendre la pression pour mieux la faire remonter plus tard.
— Je dis ça mais je devrais montrer l’exemple. Je sais bien que j’essaye de me voiler la face. Je ne trompe personne. Je vais être honnête. Je vais le dire une fois pour toute. Si tu as échoué c’est ma faute. Je ne dois pas rejeter la responsabilité sur toi, c’est uniquement ma faute.
La réplique était inattendue, après avoir été classique je me permettais un peu d’improvisation. Je lui ai laissé un instant pour qu’il puisse comprendre où je voulais en venir.
— Un soumis mal dressé c’est toujours la faute de sa maitresse. Si j’étais plus stricte avec toi tu n’agirais pas comme un con. Si je ne t’avais pas épargné dès le départ tu n’aurais pas pris tes aises. J’ai été trop gentille, ça me perdra. J’ai fait une bêtise j’assume. Maintenant je me remonte les manches et je te donne un aperçu de l’enfer comme j’aurais dû le faire depuis le début. J’espère que tu es fier de toi tu viens de compromettre le sort de tous les hommes qui passeront après toi. Je ne me laisserais plus jamais avoir à ce point.
Il y avait une certaine logique, si j’avais été plus stricte il n’aurait pas osé échouer et en même temps je lui annonçais que j’allais lui en faire baver. Les menaces les plus crédibles sont celles qui sont logiques. J’essayais de faire prendre à ses quelques erreurs des proportions bibliques.
— Demi tour. Mains sur la tête.
J’ai fini de m’approcher du matériel à disposition, comme j’étais dans son dos il ne pouvait pas voir ce que j’étais en train de préparer.
— Tu sais ce qui arrive aux soubrettes pas sages ?
Il a répondu avec un stress dans la voix.
— Elles sont punies.
— Encore heureux. Et plus précisément ?
Avant même qu’il ait eu le temps de répondre j’ai fait claquer un fouet sur le sol. Une lanière simple en cuir de plus d’un mètre provoquant un bruit si particulier, un son propre à vous glacer le sang. J’étais dans son dos donc je n’ai pas pu voir la réaction sur son visage mais j’ai senti qu’il avait fermé les yeux en comprenant ce que j’avais en tête. C’était peut-être simplement mon imagination, en tout cas c’est l’effet que j’avais voulu provoquer.
— Les soubrettes pas sages tâtent du fouet. Quoi de plus normal tu ne trouves pas ?
— Oui maitresse merci.
Rien qu’au son sec du fouet contre le sol il avait déjà commencé à trembler. Je n’aime pas être loin de mon soumis pendant la punition mais le fouet est efficace pour la discipline. Du point de vue sonore la stimulation est terrible. Il ne fait pas simplement mal, il en impose, je ressens la douleur provoquée.
— Tu vas le détester. C’est un instrument de discipline très sévère et j’en abuse sur les soubrettes. Les ratés comme toi n’ont plus rien à perdre, vous êtes déjà au fond du trou. Une douleur extrême, c’est la seule chose qui reste efficace à votre niveau.
Je suis passé devant lui, à l’expression sur son visage je peux vous dire qu’il regrettait déjà son manque d’implication.
— Mais tu vas aussi le recevoir parce que je l’ai décidé, et quand je décide quelque chose qu’est-ce qui ce passe ?
— Ça arrive.
— Pourquoi ?
— Parce que vous êtes une femme et que vous dirigez le monde. Ce que vous voulez doit être fait.
J’ai enroulé le fouet et je le lui ai mis sous le nez.
— Embrasse.
Il a avancé la bouche, posant délicatement ses lèvres sur le cuir, craintif mais l’acceptant comme nécessaire. Il a parlé d’une voix étouffée.
— Je suis désolé.
J’ai gloussé.
— Comme si ça allait changer quelque chose.
Je me suis éloignée de lui.
— Les autres abrutis venez ici.
J’ai désigné Simplet du fouet.
— Déshabillez le.
Ils se sont affairés, bien content d’être à leur place et pas la sienne. Pièce après pièce sa tenue de soubrette a finie sur le sol. Sa peau était désormais totalement exposée à mon fouet.
— Une fois nu vous l’attacherez aux anneaux du plafond.
Je suis assez classique sur ce point, j’aime donner le fouet sur un soumis en Y.
Une fois qu’ils ont eu finis ils m’ont regardé, attendant la suite des instructions. Le soumis arrivé troisième s’est mis à genoux, rapidement imité par le premier. J’aime constater que les leçons finissent par rentrer dans leur petite tête de mâle.
— Allez chercher des plugs vibrants et asseyez-vous dessus par là. Assez près pour voir ce qu’il va arriver à votre camarade mais pas trop pour ne pas vous prendre des coups. C’est que c’est dangereux un fouet. Il ne faudrait pas que quelqu’un soit blessé à son contact.
J’ai regardé Simplet en souriant.
— En tout cas pas involontairement.
C’était paradoxal, il n’essayait pas de fuir, il semblait vouloir que je commence à le frapper ou plutôt il voulait vite commencer pour en finir. C’était vain, j’allais commencer quand cela me chanterait et pas une seconde avant.
Les deux autres soumis se sont mis en position comme je leur avais demandé.
— Vous allez assister à une correction. C’est un événement heureux donc je veux que vous y preniez plaisir. C’est bien de voir la justice en action, il faut s’en réjouir, c’est le bien qui triomphe. Pour être sûre que vous associez ce moment à quelque chose d’agréable je veux que vous vous masturbiez tout le long. Attention ! Pas de jouissance, juste du plaisir c’est compris.
— Oui princesse.
— Sinon il va vous arriver quoi ?
J’ai désigné un des deux soumis pour qu’il réponde.
— Je me retrouverais à sa place.
— Bien.
Je me suis mise en position, me servant de mon autre main pour guider la lanière quand elle partirait. J’aime la sensation du cuir qui file entre mes doigts. Le premier coup est parti sur ses fesses, très classique pour débuter en douceur. Sur le dos la douleur est plus difficile à supporter tout en restant acceptable, la vraie difficulté arrive lorsque le fouet commence à enlacer tout le corps, lorsque le ventre, le torse, le sexe commencent à être touchés. C’est une douleur très spéciale.
J’ai alterné les coups assez doux avec les vrais qui lui arrachaient des cris. Le fouet était plutôt moyen, 1m5/2m je dirais, en cuir ou tout du moins recouvert, il était plutôt léger. De quoi laisser des marques rouges sans blesser. Chez moi j’ai du matériel bien plus efficace, il faut ce qu’il faut pour mater des hommes.
Après quelques minutes je me suis approchée de lui pour profiter de la chaleur des marques, j’ai passé mes doigts sur les trainées rougeâtres. J’étais plutôt satisfaite de mon travail.
— Il parait que ça fait mal, je suis sûre que je peux mieux faire. Qu’est-ce que tu en dis ?
— Avec vous tout est possible maitresse.
Je ne suis pas sûre que c’était pensé comme un compliment, j’allais néanmoins le prendre comme tel.
— Nous allons jouer à un jeu. Tu vas devoir garder la bouche fermée quoi qu’il arrive. Tu peux gémir mais pas ouvrir la bouche. Le gage si tu perds sera …
Je me suis mise à réfléchir.
— Tu préfères une menace si tu échoues ou une récompense si tu réussis ? Qu’est-ce qui te motiverait le plus ?
Sur son visage je pouvais lire sa réponse « je m’en fou ». Il a soupiré.
— Je ne peux pas choisir. Une seule des options est possible. Mon statut inférieur ne me permet pas de recevoir de récompense.
— Tu es sûr de ne pas vouloir de récompense ?
— J’en ai envie mais je ne dois pas me laisser diriger par le bout de ma queue ou vous allez la punir.
— Donc tu préfères volontairement renoncer à prendre du plaisir ?
— Je préfère arrêter de le chercher, il est sans importance. Tout ce qui compte c’est la raison pour laquelle j’existe : vous servir.
— Bonne réponse.
Les soumis deviennent très motivés lorsqu’il s’agit d’éviter un supplice trop long. C’est une des techniques disponibles pour gérer la difficulté des sessions.
J’ai repris ma position de départ non sans lui donner une claque sur les fesses au passage. J’ai refait claquer mon fouet sur le sol avant de reprendre ma punition, il pliait les genoux à chaque coup pour atténuer la douleur.
Je prenais un vilain plaisir à y aller de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je le faisais danser sous les coups. J’ai fini par avoir mes cheveux en pleine figure. Une des raisons pour lesquelles je m’attache habituellement les cheveux est que sinon je finis par les manger. Je reconnais que les avoir relâchés donne un style plus « sauvageonne » mais pendant les punitions ce n’est pas pratique du tout, surtout lorsque je fais des grands mouvements.
J’ai profité de ma pause forcée pour jeter un coup d’oeil aux autres soumis, ils étaient toujours en train de s’astiquer le manche.
— Le spectacle vous plait ?
— Oui, merci princesse.
Je suis allée prendre les télécommandes de leurs plugs. J’en ai enclenché une avant d’alterner le regard entre les deux soumis pour voir lequel était stimulé. Aucun d’eux ne réagissait. J’ai pris un air contrarié, peut-être un peu trop pour être honnête…
— Le matériel c’est comme les soumis, pas très fiable.
J’ai passé la vitesse de vibration supérieure.
— Toujours rien.
À mon sourire ils se doutaient bien que je jouais volontairement à l’idiote. C’était Simplet que j’étais en train de torturer, il avait un oeuf vibrant dans les fesses depuis le début. Un peu de plaisir « accidentel » pour rendre la punition plus supportable. J’ai passé une vitesse de plus, il a commencé à se mordre les lèvres.
Je suis allée vers lui en souriant.
— Tu ne vas pas avoir la bêtise de me dire que je me suis trompée par vrai. Une femme qui se trompe ça n’existe pas. Je ne peux pas faire d’erreur. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Non maitresse.
— Donc tu vas rester stoïque pas vrai ?
— Oui maitresse.
J’ai rigolé avant de couper les vibrations.
— Bien, fini la récréation, repassons aux choses sérieuses.
Je suis allée prendre une barre d’écartement pour la lui mettre aux chevilles. J’ai ensuite détaché sa cage avec un sourire malicieux. Je voulais lui faire croire que son sexe allait y passer lui aussi.
— Où est-ce que tu veux le prochain coup ?
— Pas sur les couilles s’il vous plait.
— Pourquoi.
— Elles sont trop faibles pour le supporter.
— Tu préfèrerais qu’elles soient au chaud dans ta cage ?
— Oui maitresse s’il vous plait remettez-moi ma cage.
— Tu peux faire beaucoup mieux. J’en suis sûre. Implore-moi comme si le sort de tes couilles en dépendait. Non attend. C’est justement le cas.
J’ai rigolé de plus belle.
— S’il vous plait maitresse épargnez mes pitoyables couilles, soyez indulgente, une déesse doit être miséricordieuse envers tout ce qui est petit et fragile.
Quand un homme en vient à montrer autant de passion lorsqu’il critique son sexe c’est qu’il a vraiment peur de la menace qui pèse sur lui. Tant mieux la suite n’en serait que plus excitante. Il comprenait désormais l’utilité de la barre d’écartement, il pouvait lutter autant qu’il voulait il n’allait pas pouvoir cesser d’exposer son sexe.
— Si je te la remets ça sera pour combien de temps ?
— 1 mois !
— C’est tout ? Elles ne doivent pas être si fragile que ça après tout. Tu n’as pas l’air motivé.
J’ai négligemment fait claquer le fouet sur le sol.
— 2 mois !
— Rien que des mots. D’ici 15 jours tu en pleureras de frustration. Tu n’as pas idée de ce que tu es en train d’abandonner.
— Peu importe, je n’aurais pas le choix que de le supporter. Laissez-moi une chance s’il vous plait.
J’ai pris un instant pour agréger toutes les données. Je lui avais déjà mis une copieuse volée de coup il était à bout, à moi de finir en beauté. Comment achever cette série ? J’ai eu une idée.
J’ai mis une main sous ma jupe et j’ai fait glisser ma culotte jusqu’à mes pieds. Les deux autres soumis venaient d’arrêter de se stimuler, probablement de peur d’aller trop loin. Savoir que nous sommes sans sous-vêtement est une fantasme très efficace pour stimuler l’imagination de ces messieurs. Je connais certaines maitresses qui en mettent deux rien pour le plaisir de faire fantasmer à tort le soumis, savoir qu’elles contrôlent la situation, qu’elles ne sont pas réellement nues sous leur jupe. Jouer avec les fantasmes est amusant.
J’ai ramassé ma culotte pour l’approcher du visage de Simplet.
— D’accord pour deux mois. Je ne veux plus rien entendre à partir de maintenant. Ouvre la bouche.
Il a obéi docilement pendant que je lui enfournais ma culotte comme un bâillon. Pour la dernière série de coup j’allais entrecouper mes salves d’un sermon, pour appuyer l’humiliation et la douleur.
— 15 coups, soit sage et je m’arrêterais là pour toute la fin de soirée, plus de coups pour toi.
Le premier coup est tombé en travers de son dos, un prélude au champ de bataille que j’allais installer sur son corps.
— C’est bien les hommes.
Le second coup a claqué sur ses fesses lui faisant faire un bond avant qu’il ne reparte en arrière à cause des attaches.
— Toujours à mentir.
Cette fois-ci j’ai entouré tout son ventre.
— À cacher l’effroyable vérité.
Par provocation j’ai fait claquer un coup sur le sol pour le faire sursauter. Le coup suivant est arrivé dans la foulée avant qu’il n’ait le temps de comprendre.
— Votre queue aussi grande que votre courage.
Même avec ma culotte dans sa bouche je pouvais entendre clairement ses gémissements, ils devenaient de plus en plus intense.
— Vous préférez obéir à votre queue plutôt que de suivre nos sages conseils.
J’ai commencé à accélérer le rythme des coups, j’allais le faire danser, sautiller d’un pied sur l’autre dans très peu de temps.
— Toujours à nous déshabiller du regard.
Je me suis acharnée sur ses fesses, le coup suivant tombant également sur elles.
— À penser que nous ne sommes que des récompenses pour votre bon plaisir.
J’ai jeté un coup d’oeil aux deux autres soumis s’astiquaient de plus belle, ils ont eu comme un doute sur le moment.
— Vous êtes grossier et vous vous prétendez supérieur à des créatures aussi parfaites que nous. Où est la logique ?
Les chaines au plafond n’arrêtaient pas de cliqueter sous ses mouvements, le fouet ça brûle vraiment, il fallait bien ça pour l’immobiliser.
— Tu es fait pour ramper, te trainer au sol jusqu’à mes pieds.
Bientôt le denier coup, 15 coups c’est très court. Je montais en puissance pour qu’il garde la sensation le plus longtemps possible, quelques marques temporaires sont un joli cadeau souvenir pour un soumis qui sort d’une soirée
— Tu vois ce que c’est le vrai pouvoir ?
J’avais pris le partis d’accompagner la montée en intensité de mes coups en haussant la voix.
— Tu vois cette impuissance lorsque tu es en face de moi ?
Il gigotait de plus belle
— Tu es un homme.
Le coup suivant est passé très près de son sexe, j’avais dit que je ne le toucherais pas mais ça me faisait envie. Tout ce que je m’interdis m’attire.
— Je suis une femme.
Pour l’avant-dernier coup j’ai hésité. Ça allait être un doublé, deux coups d’affilé sur les cuisses pour qu’il s’en souvienne à chaque fois qu’il serait assis pendant l’heure qu’il restait.
— Tu me dois obéissance et respect !
Le fouet est retombé sur le sol lourdement, comme inanimé, épuisé d’avoir effectué sa tâche. Simplet avait eu un peu le même comportement, après le concert de gémissement il était désormais calme, épuisé par l’effort, sanglotant. Je lui ai enlevé ma culotte de la bouche pour l’aider à reprendre son souffle.
— N’oublies jamais que la vraie place d’un homme c’est d’être à mes pieds
— Oui maitresse.
Je l’ai détaché, il est tombé sur le sol à mes pieds, hésitant à les embrasser. Je lui ai mis un pied sur le dos comme je l’aurais fait avec une bête conquise. Je lui ai appuyé sur les marques, tournant ma semelle pour pincer sa peau, jouant avec mon talon et les rainures laissées par le fouet.
J’ai regardé les deux autres soumis.
— Bien. Vous 2 arrêtez de vous toucher, la justice a été rendue vous n’avez plus de raison de vous satisfaire.
— Bien princesse.
— Simplet tu peux me remercier et embrasser mes chaussures.
— Merci maitresse.
Je l’ai laissé faire pendant quelques minutes.
J’étais montée haut dans les niveaux de douleur, en tout cas pour un débutant, c’était la fin de soirée je devais monter les enchères, c’était le dernier sprint.
— Bon, il nous reste encore une heure à meubler, j’ai dit que je n’allais plus de frapper et je vais tenir ma parole. Cela ne veut cependant pas dire que tu es en vacances. J’ai dit que j’allais arrêter les coups, pas que j’allais te laisser tranquille. Il y a un aspect de la soumission que j’aimerais tester. Tu vois de quoi je veux parler ?
Il a secoué la tête.
— Ah. Tu n’as pas encore retrouvé ta lucidité. Je trouve que tu ne gères pas très bien l’humiliation. Tu sais ce que nous allons faire pour y remédier ? Je vais prendre 30 minutes pour te montrer que la honte ne tue pas. Crois-moi après ça tu seras vacciné contre toutes les humiliations.
Je présentais ça comme une punition mais ça allait davantage être sa récompense pour toute la soirée, un jeu mémorable que j’allais associer à une prise de plaisir. Il était chaste depuis quelques jours il avait bien mérité quelque chose.

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La suite par ici !

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L’interrogatoire d’un soumis par une maitresse sadique #3 : conséquences déplaisantes

Hello 🙂

Au programme d’aujourd’hui la 3eme partie de mon récit, “les conséquences”, vous vous doutiez bien en lisant ce qui précédait qu’il ne pouvait pas me traiter de “salope sadique” sans avoir droit à un traitement complet 😀 J’ai une certain tendance à la rancune je dois l’avouer.

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Le sommaire de l’histoire est ici
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J’en avais fini avec la phase précédente, elle avait été un peu plus courte que ce que j’avais imaginé au départ, je ne peux pas tout contrôler et je pouvais déjà être satisfaite il s’était quand même pris plusieurs dizaines de gifles.
Je suis allée derrière lui pour l’enlacer, j’ai passé mes bras autour de son cou, posant ma tête sur son épaule. Ce n’était pas un moment de faiblesse de ma part, pour le soumis le passage des gestes durs aux tendres sont toujours difficiles à gérer émotionnellement, ils rendent ce qui suit plus douloureux. Il a frémi à mon contact.
— Et oui, ça fait mal d’aller à l’encontre de l’intérêt commun. Jouer le jeu de collectivité est bien plus satisfaisant. Accepter quelques contrariétés de temps en temps vaut mieux que lutter contre le système.
— Je sais, madame.
— Alors pourquoi tu le fais ?
— Je ne le fais pas.
Je lui ai dit à l’oreille.
— Tant que tu n’admettras pas qu’il y a une raison à ta présence ici nous ne pourrons pas avancer. Peu importe que tu ça ne soit pas ton intérêt immédiat de nous dire la vérité, tu dois le faire. Nous voulons savoir tous les détails de ce que tu as fait et les noms de tes complices, et nous allons les obtenir. N’espère pas que la douleur s’arrête avant, elle continuera encore et encore et encore tant que je ne serais pas satisfaite.
— Je ne peux pas vous dire ce que j’ignore.
— Ça tombe bien c’est ce que tu sais qui m’intéresse.
Je me suis redressée, laissant mes mains sur ses épaules.
— Dans la vie il faut varier les plaisirs, tu vas changer de position. Je sais qu’il va te paraitre opportun de tenter de te débattre, je peux presque le comprendre. Cependant comprendre et accepter sont deux choses différentes. N’oublis pas ce que j’ai dit à propos de la participation à l’interrogatoire. Elle est obligatoire. Toute résistance sera considérée comme un aveu de culpabilité. Tu n’as pas envie de te faire punir, pas vrai ? Ou tu veux te créer des problèmes supplémentaire ?
— Non, madame. Je vais être sage je vous le promets.
Toujours dans son dos j’ai mis une main dans le creux de ses omoplates pendant que je prenais de l’autre main la chaine de ses menottes pour la tirer vers le haut. Je l’ai forcé à se pencher en avant, le faisant mettre à genoux sur le sol. J’en ai profité pour lui mettre une barre d’écartement aux chevilles en prévision de la suite. J’ai attaché ses menottes à la barre pour l’immobiliser. Il s’est laissé faire. J’adore les moments où les soumis sont dociles alors que je leur fais participer aux supplices, il allait presque s’excuser de réagir normalement.
Etre obligé de coopérer à te la torture est d’une cruauté mentale inimaginable et je suis bien placée pour le savoir. Comme je l’ai déjà expliqué j’aime tester les scénarios en tant que soumise avant, pour m’aider à me projeter dans ce que ressent ma victime. Je passe peut-être pour sadique auprès de vous mais celle qui s’est chargée de me mener la vie dure a montré une « conscience professionnelle » hors norme. J’ai eu droit à quelque « jeux électriques » (assez faibles ne vous inquiétez pas) et elle a poussé le vice jusqu’à me mettre la télécommande dans la main pour me faire m’infliger moi-même les décharges. Je devais non seulement appuyer sur son ordre mais aussi laisser le doigt dessus tant que je n’avais pas sa permission pour arrêter. Si je n’obéissais pas elle le faisait elle-même plus longtemps et en passant un cran dans l’intensité. Il y a des vicieuses dans le monde je vous jure. Le pire dans tout ça c’est que le paroxysme pour moi a été le fait qu’elle m’ait obligé à la remercier après chaque supplice sous peine de le re-subir. Je joue pour trouver mes limites et elle a su appuyer dessus. D’ailleurs il faudrait que je vous raconter une séance avec moi en soumise pour changer, à moins que ça ne vous intéresse pas
— Tu vois c’est bien plus agréable de coopérer.
— Oui madame.
Je me suis éloignée pour aller redresser la chaise que j’avais envoyée balader quelques minutes plus tôt. Je l’ai tiré vers lui en faisant racler deux des pieds sur le sol, un bruit très sinistre. Je me suis assise en face de lui, je me suis calée contre le dossier et j’ai mis un pied sur son torse.
— Qu’est ce que tu disais de moi tout à l’heure ? J’étais quoi ? C’était quoi le qualificatif ?
— Pitié, madame.
J’aime l’angoisse des soumis quand ils sentent que je vais bientôt repartir sur un autre jeu.
— Si tu crois que je pourrais avoir pitié de toi c’est que tu n’as rien compris à la vie.
J’ai donné un coup du talon sur son torse pour le stimuler.
— Redis le !
Il est resté silencieux
— Tu ne dis rien parce que tu as peur des conséquences c’est ça ?
— Oui madame.
— C’est comme la vérité que tu refuses d’avouer. Tu as peur des conséquences.
— Non, c’est parce que je n’ai rien à dire.
— Donc tu gardes le silence quand tu as peur et quand tu ne sais rien ?
Il n’a rien répondu.
— Eh bien l’interrogatoire va être long à ce rythme. Tu te rends compte à quel point tu me compliques la tâche ?
— Pardon madame.
— « Une salope sadique », c’est comme ça que tu me vois ?
Il n’a rien osé répondre.
—Rien à redire ?
— Non madame.
— Et c’est un silence « mensonge » ou « vérité » ?
J’ai fait glisser le pied que j’avais sur son torse jusqu’à son visage pour aller appuyer sur ses joues. Un comportement très envahissant qui énerve rapidement n’importe qui. Malgré tout il sentait bien que ce n’était pas le moment de se permettre une réaction hostile envers moi.
— J’attends, qu’est-ce que tu penses vraiment de moi ?
Il résistait, il avait très bien compris que je voulais qu’il me complimente, remercier son bourreau est toujours une humiliation intéressante je l’avais bien retenu. Il a été moins résistant que moi ceci-dit il a presque flanché tout de suite.
— Vous êtes quelqu’un de bien madame.
— Et tu n’as pas envie de me remercier pour prendre à coeur ton interrogatoire ?
Il baissait la tête pour que je ne vois pas ses grimaces. S’il était clair qu’il ne voulait pas me remercier il redoutait davantage les conséquences d’un refus.
— Merci de m’interroger madame.
J’ai rigolé.
— T’es vraiment qu’un minable.
J’ai redescendu mes pieds sur son torse.
— Généralement tu es doué dans ce que tu fais ?
— Plutôt madame.
— Et ?
— Je ne sais pas madame.
Je lui ai remis un coup de talon sur le torse.
— La politesse dans une conversation c’est de retourner les questions. Tu n’es pas curieux de savoir si moi je suis douée ? Ou tu crains de le savoir ?
Il a fait non de la tête.
— Je vais te décevoir ce n’est pas le cas. J’obtiens des résultats ne te méprend pas, mais je n’arrive pas à détacher le boulot du plaisir. J’aime ce que je fais donc je prends trop mon temps. Tu sais ce que sais, aujourd’hui faut faire du chiffre, être rapide. Moi j’aime lorsque les interrogatoires sont interminables. Si je pouvais t’y maintenir éternellement je le ferais.
Une part importante de l’ambiance d’un interrogatoire repose sur les menaces, sur l’appréhension de ce qu’il pourrait y avoir si la victime n’avoue pas. Il s’agit simplement de faire peur, pas de le faire vraiment. Jouer avec l’imagination.
— Pas plus tard que tout à l’heure une fille y est passé avec un collègue. Elle faisait la forte tête comme toi. Une barre métallique dans le vagin, un bon coup d’électricité, en 15min c’était plié, elle a tout avoué et même plus. Je n’aurais pas aimé être à sa place.
Il savait que je racontais n’importe quoi et pourtant je suis sûre qu’il ne pouvait pas s’empêcher d’imaginer la scène et de la trouver excitante.
— C’est efficace mais ça n’a aucune classe tu ne trouves pas ? Appuyer sur un interrupteur où est le style ? Je ne me suis pas engagée pour appuyer sur des boutons ! C’est trop aseptisé pour moi. Tu comprendras quand ça sera ton tour tu verras. Quand je finirais mon service et que mes collègues prendront la suite.
Maintenant c’est lui qu’il imaginait dans la position que j’avais décrite. C’est toujours préférable d’agir dans cet ordre, faire imaginer la scène puis intégrer le soumis. Le pire dans tout ça c’est que je lui faisais craindre d’avoir à faire à quelqu’un d’autre, c’est humain nous préférons un danger connu à l’incertitude. C’est refuser un vaccin à cause d’un prétendu danger et fumer paquet sur paquet de cigarette.
— Enfin pas dans le vagin ça sera dur avec toi.
Je me suis mise à ricaner pendant qu’il souriait nerveusement. Je me suis assise droite sur la chaise, reposant mes pieds sur le sol.
— Tu veux savoir qu’est-ce qu’on fait aux hommes ?
— Non madame.
— Alors tu ne vas pas aimer ce que je vais t’expliquer.
Je me suis penchée pour mettre la main dans son pantalon et en sortir son sexe, j’allais lui donner pleins de détails pour appuyer ma petite torture mentale.
— Non, pour les hommes on met une sonde en métal à l’intérieur de la verge.
J’ai écarté les bords de son gland pour mettre en valeur l’ouverture et appuyer de l’ongle dessus. Les hommes détestent ça.
— Par là. Comment ça l’électricité peut se diffuser sur toute la longueur.
J’avais fait glisser deux doigts sur tout le long, de part et d’autre de sa verge.
— Et un anneau pour serrer les bourses pour conduire le courant vers l’extérieur.
Je les ai attrapées à pleine main le faisait sursauter.
— Mais ne t’inquiètes pas c’est tout aussi efficace, en tout cas pour vous faire gueuler.
Il a dégluti, s’imaginer torturé pour de vrai alors que j’étais basiquement en train de le caresser le mettait dans un état de culpabilité. Il savait que je n’utiliserais pas d’électricité sur lui, c’était hors du champ des possibles du point de vue de ses fantasmes, par contre il pressentait bien que son sexe allait avoir droit à son supplice à un moment où à un autre et cela l’angoissait.
Je l’ai relâché en me redressant.
— Tu ne gueuleras pas trop j’espère ? La pauvre petite va être aphone pendant des jours tellement elle a crié. Elle nous as obligé à travailler avec des protections auditive c’est pout te dire. Aucune préoccupation pour notre confort. Un vrai comportement antisocial, certaines personnes sont vraiment sans-gêne. J’espère que tu ne me feras pas honte de cette façon ?
Avouez que face à une personne aussi délirante dans ses valeurs vous auriez peur 🙂 C’était le but. Comme il ne répondait pas je lui ai mis un coup du bout du pied dans les flancs. J’ai haussé le ton.
— Je t’ennuie peut-être ? Tu préfères qu’on n’y retourne ?
— Non madame.
— Bien, donc je compte sur ta pleine coopération.
— Oui madame.
— Je peux te demander tout ce que je veux tu vas obéir ?
— Oui madame.
Je me suis rassise, satisfaite.
— On n’est pas bien tous les deux ici ?
— Si madame.
J’ai remis mon pied sur son visage.
— Embrasse mes semelles.
Il les a délicatement embrassées, j’ai repoussé son visage d’un coup brusque. Ce n’était pas encore le moment du scénario où il allait être récompensé, chaque chose en son temps.
— Je n’ai pas entendu de merci.
— Merci madame.
— Pitoyable. Toujours pas envie de soulager ta conscience en te confessant ?
— Je suis innocent je n’ai rien à confesser.
— Ça je ne crois pas. J’en ai vu passer des suspects tu sais. Si tu étais vraiment innocent tu chercherais désespérément une histoire à raconter pour te sortir de là. Tu es tellement concentré sur ne pas lâcher la vérité que tu en oublies d’inventer un mensonge. Tu ne me tromperas pas c’est un signe classique.
Il a relevé la tête.
— Mais non je n’ai rien fait.
— Tu finiras par craquer alors évites les souffrances inutiles.
— Je n’ai rien à dire je vous promet.
— Tes joues ne te font plus assez mal pour te motiver ?
Je leur ai donné un coup de semelle pour raviver leur sensibilité.
— Prend la responsabilité pour ce que tu es ! Soulage ta conscience.
J’ai soupiré.
On peut commencer par plus simple si tu veux. Tu sais que tu n’es pas là par hasard. Tu as quelque chose à te reprocher. Ne me dis pas quoi mais dis-moi que c’est vrai. Tu te sentiras mieux après. Fait moi confiance pour ça.
— Non je ne peux pas vous mentir, je n’ai rien fait.
Il reprenait confiance en lui, signal que la pause avait été suffisamment longue. J’ai claqué violemment mes talons sur le sol.
— Tu me forces à reposer ma question ! Tu sais ce qui arrives dans ce cas. C’est toujours pire la deuxième fois. Tu veux que ce soit pire ?
Il a fait non de la tête, il avait suffi que je hausse un peu le ton pour que sa confiance en lui foute le camp. Je me suis penchée en avant.
— Vous allez perdre toi et tes semblables alors pourquoi choisir la voie la plus douloureuse ? Tu es tout seul maintenant, ce ne sont pas tes idéaux qui vont te protéger ici. Avoues. Prend ta sentence et ça sera fini. Autant balancer les autres qu’est-ce que tu en penses ? Résister ne t’apporteras rien. La vérité c’est que les martyrs s’en prennent plein la gueule pour rien.
J’ai pris son visage entre mes mains.
— Est-ce que tu as fait quelque chose de mal ? Oui ou non?
— Non.
Je me suis levée.
— Non, non, non ! Tu ne joues pas le jeu.
J’ai repoussé la chaise du pied la refaisant crisser sur le sol.
— Bon j’arrête de jouer à la gentille fille et je te monte mon mauvais côté ? je deviens vraiment méchante ?
— Non.
Je l’ai attrapé par les cheveux.
— Alors dernière chance. Après on arrête ce jeu stupide. Je passerais aux vraies méthodes d’interrogatoires. Celles qui ont fait leurs preuves.
Devant la menace il n’a même pas eu le courage de me dire non. Je me suis éloignée pour prendre des ciseaux, j’ai découpé sa tenue pour le mettre nu. J’ai attaché ses menottes à une chaine reliée au plafond et j’ai tiré pour le forcer à se mettre debout, il a été obligé de se pencher en avant. Une position très inconfortable.
— Je veux coopérer je vous le promets.
— Moi aussi je te promets que tu vas coopérer. Et ce n’est pas que des paroles.
Il a sursauté lorsque j’ai fait claquer un fouet sur le sol.
— Je vais t’expliquer comment nous allons procéder. Je vais t’administrer des séries. En aucune façon une série ne pourra être interrompue. Même si tu avoues. Réfléchis bien avant de me mentir, tu ne pourras pas te rétracter n’importe quand.
Il s’est mis à gigoter, réflexe primitif de vouloir tester limites et d’essayer de s’échapper d’une situation nouvelle, il était bien attaché il pouvait me faire confiance pour ça.
— Je vous promet que je ne sais rien.
— Voilà ! C’est typiquement le genre de phrase qui va te causer des problèmes.
Je me suis échauffé le poignet pour me préparer à lui administrer le fouet.
— Ça ne m’amuse pas de recourir à ces méthodes. C’est dur, je dois prendre sur moi et me faire violence j’espère que tu apprécies mon dévouement ! Mes collègues passent directement aux méthodes extrêmes moi je laisse un peu de temps. Pour parler plus clairement tu vas me remercier à chaque coup ou tu te prendras en 5 bonus. C’est compris ?
— Oui madame.
Il respirait fortement pour se préparer physiquement à l’impact. Rien de mieux que les soumis expérimentés qui savent craindre ce qu’il faut.
— On commence soft ? 10 coups.
Il est resté silencieux, trop concentré dans sa préparation.
— Pas de « merci madame » ? Bien ça sera 50. Je t’avais prévenu c’est fois cinq. Quelque chose à dire cette fois-ci ?
Il a soupiré.
— Merci madame.
— Je préfère ça.
Le premier coup à sifflé dans l’air avant de claquer contre ses fesses.
— Tu vois c’est quand même plus classe que de l’électricité. C’est plus lent je le concède. Il va en falloir des coups avant que tu ne changes d’avis mais l’ambiance n’est pas la même. C’est plus amusant, ce n’est pas de l’aveu industriel.
— Tout le plaisir est pour vous madame.
J’ai rigolé.
— Je n’en doute pas une seconde. Toujours d’attaque pour faire de l’humour, moi qui avais peur de devoir me retenir. Pense à compter les coups et à dire merci. Le fouet a de nouveau fendu l’air. Il a tapé du pied pour évacuer la douleur.
— 2, merci madame.
— Voilà ça commence à rentrer. D’ici quelques semaines tu seras pleinement reprogrammé.
Il a eu des frissons en imaginant que ce traitement pourrait lui être infligé sur une durée aussi longue.
Vers le vingtième coup il s’est trompé dans le décompte, une bonne occasion de l’engueuler.
— On apprend à compter au CP, si tu te trompes c’est que c’est volontaire. Tu ne coopères pas. Combien de fois je t’ai dit que c’était mal ! Excuses toi.
Entre deux souffles il a difficilement dit.
— Je m’excuse madame.
Je lui ai administré un autre coup.
— 22, merci madame.
— Non, tu n’as pas coopéré tu assumes, on recommence à zéro. Point final.
Le gémissement qu’il a poussé à ce moment a été exquis. J’en ai remis une couche.
— Je te l’ai dit. Tant que tu ne coopères pas ta situation s’aggravera. Ce n’est pas moi qui décide.
Je ricanais bêtement devant son tourment, ça me fait toujours cet effet le sadisme.
J’ai pris un instant pour observer le résultat de ce début de série, sa peau était largement zébrée, surtout les cuisses. J’avais envie de lui frapper l’entrejambe mais je devais me retenir, cette zone était réservé pour plus tard.
J’ai repris la punition, il gigotait tant et plus pour essayer d’extérioriser un maximum sa douleur.
Sur la fin j’ai accéléré les coups, pas vraiment volontairement, ces sifflements me rendent toute chose, j’ai des frissons et des envies qui débarquent. C’est probablement le résultat du contraste entre les sifflements aigus du fouet et les gémissements rauques du soumis, ou peut-être les mouvements rapides d’extension de mon corps lorsque je frappe.
Il avait l’air si faible, si fragile, si ridicule, comme une poupée se balançant au gré des coups. Un corps nu suspendu renvoie un sentiment de vulnérabilité, de fragilité. Rien qu’à cette vision j’avais les seins qui se contractaient. Comme j’aime subir mes scénarios avant de les infliger, je connaissais l’effet de l’enchainement « claquement du fouet – impact rapide du bout qui touche à peine en rebondissant ». Je savais ce qu’il ressentait et cela m’excitait davantage. J’avais une sorte de démangeaison sous un de mes seins qui me rappelait la brulure d’une marque fantôme, j’avais envie de frotter à cet endroit comme si je venais de recevoir moi-même un coup.
Nous étions tous les deux essoufflés, d’ailleurs j’aurais pu être celle qui allait défaillir la première, je commençais à ne plus sentir mes jambes. Mon coeur martelait dans ma poitrine et mes tempes. Une réaction physiologique parallèle à la sienne, je pouvais aisément constater que je n’étais pas la seule à m’amuser, son sexe gonflait aussi.
Le remerciement pour le dernier coup a été presque un râle.
— 70, merci madame.
Je pouvais voir l’épuisement sur son visage, c’est physique le fouet, surtout après 70 coups.
J’ai passé la main sur sa peau, j’ai fait glisser mes doigts le long des marques les plus foncées.
— Tu mérites chacun des coups que tu as reçus tu sais.
Entre deux sanglots il a répondu.
— Oui merci madame.
J’ai posé ma main sur son bas ventre.
— Amuses toi tant que tu le peux. Si tu continues de faire la forte tête nous passerons à cette zone pour t’aider à devenir plus réceptif.
L’idée de se faire fouetter le sexe l’a fait gémir.
— Bon la série est finie tu sais ce que ça signifie ?
Il a hoché la tête.
— Tu vas avoir droit à une question pour déterminer si tu as envie qu’il y ait une série suivante ou pas. Tu as envie d’une autre série ?
Il a fait non de la tête.
J’ai mis ma main sous son menton pour lui relever la tête, il avait les yeux pleins de larmes.
— Est-ce que tu as fait quelque chose de répréhensible.
— Oui.
— Fais une phrase complète.
— J’ai fait quelque chose de mal je le reconnais madame.
— Tu vois on avance.
— Qu’est-ce que tu as fait de mal ?
— Je ne sais pas.
J’ai fait un hochement de tête désapprobateur, il a tenté de se rattraper.
— Je dirais tout ce que vous me direz de dire madame.
J’ai joué la surprise, celle qui s’amuse de sa mauvaise foi.
— Je ne suis pas là pour te dicter ta déclaration. Elle doit venir de toi. Je suis juste là pour la pousser dehors, la mettre en forme. La vérité est un concept si malléable… quand on dispose des bons instruments.
J’avais enroulé mon fouet en un cercle d’une trentaine de centimètre de diamètre, je lui soulevais le sexe avec.
— Comme tu as avoué avoir quelque chose à te reprocher je te laisse 5 min pour réfléchir à ta confession complète.
— Merci madame.
— Comme tu as l’air bien dans cette position je t’y laisse.
Je me suis éloignée rapidement.
Dans le couloir je me suis presque effondrée sur le sol, mes jambes ne me tenaient plus. J’ai soupiré profondément en rigolant, plutôt fière de moi.

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