Témoignage : Une expérience mémorable pour un soumis masochiste

Deuxième témoignage, radicalement différent du précédent pour explorer le champ des spécificités des soumis. Aujourd’hui c’est un masochiste qui est à l’honneur. J’ai beaucoup apprécié ce texte, il ne fait pas l’impasse sur les erreurs et les assume. Il y a pleins de choses à ne pas reproduire mais je pense qu’il apprendra beaucoup à ceux qui veulent en savoir plus sur la complexité de la psychologie des masochistes.

* * *

Même si je ne suis pas très confortable avec l’idée de me confier j’en éprouve le besoin. Ne serais-ce que pour me convaincre que je suis normal. À chaque fois que j’ai essayé sur des forums il y a toujours des trolls qui viennent pour descendre, si vous ne partagez pas leur vision parfaite du SM vous êtes un monstre, la communauté BDSM est très irrespectueuse des autres.
Pour autant quand je vois des personnes assumant quasi-ouvertement leurs envies j’en suis jaloux. J’aimerais avoir ce courage et cette confiance en soi. Je ne nie pas être masochiste mais Je ne libère la pression qu’occasionnellement, intensément mais rarement. Je lutte contre ces pulsions, intermittentes. Ces fantasmes sont quelque part un poids pour moi. Depuis que j’ai essayé les autres formes de plaisir me semblent si ternes et pourtant je ne peux pas les assumer trop souvent. Je ne suis pas soumis je suis masochiste, vraiment, au sens premier du terme. Je me moque de qui me frappe, d’accord je préfère les femmes, tant qu’à faire elles sont jolies à regarder, c’est un peu machiste mais elles me font moins peur, je vois une femme comme moins dangereuse. Ce n’est pas vrai mais c’est une sécurité qui me rassure pour me lancer. Avec elles je n’ai pas avoir la tentation de répondre aux coups. Elles me font me sentir plus minable, mais après tout ce n’est même pas une obligation. Si je ne trouve pas de femmes disponibles sur mon crédo quand j’ai un pic un homme fait aussi l’affaire. J’ai même essayé de me punir tout seul sans trouver je la volonté nécessaire pour aller au niveau qui me fait bander. Attention cependant à l’erreur d’interprétation, je ne me blesse pas, je ne me mutile pas, ce n’est pas un trouble psychiatrique qui me ferait me mettre en danger, je ne fais pas de suffocations ou de blessure, simplement des coups avec instruments comme des ceintures, des fouets ce genre de choses. J’en sors avec des bleus mais rien qui ne dure.
Alors pour voir venir une question, comment je peux y prendre du plaisir puisque c’est de ça dont il s’agit. C’est une activité sexuelle, si j’y prenais autant de plaisir qu’à remplir ma feuille d’impôt je ne le ferais pas. Le plaisir il est après, lorsque je prends un bain pour me réconforter, j’ai la peau qui est devenue sensible, Rien que la sensation de chaleur de l’eau est capable de me donner un orgasme. C’est jouir de la liberté retrouvée, rien que le fait d’avoir ma liberté de mouvement, de pouvoir bouger à ma guise sans avoir à demander la permission est formidable. Je suis tellement habitué à certaines choses que je dois les perdre pour me rendre compte qu’elles me manquent. Se masturber en regardant des filles en tenue légère est agréable mais le faire après avoir perdu pendant un temps le droit de lever les yeux au-delà du sol est encore plus intense.
Je ne fais que quelques séances par an, intenses, courtes, parfois 30 minutes me suffisent pour me calmer des mois. J’en ai rien à faire de l’ambiance, de la progressivité, je me moque d’avoir une fessée à la main pour y aller progressivement. Je ne juge pas ceux qui aiment mais là je décris ce qui me plait, désolé de faire la précision mais dès que vous le dites sur un forum vous vous faites insulter. Quand je trouve le courage de me lancer ce n’est pas pour perdre mon temps avec des gamineries. Je veux que ce soit vif, que mon partenaire s’acharne dans une explosion de violence pour me laisser comme une loque. J’exagère, je n’ai pas l’intention d’être blessé pendant un jeu mais c’est comme une drogue, je dois augmenter les doses pour ressentir que je suis vivant. Je m’en tape que l’on me dise que je suis un vilain garçon, je suis volontaire. Parfois je suis déçu et j’ai envie de dire à l’autre « frappes -moi ne cherche pas un alibi à la con, tu as envie de me faire mal assume je suis volontaire ». C’est difficile à décrire, je me sens minable pendant le reste de la soirée, passant si possible le week-end à m’occuper de moi, à rester sous une couverture douillette. Je crois que c’est le contraste que j’aime, ces montagnes russes émotionnelles.
Pour donner un exemple plus précis j’aimerais vous raconter ma première fois. Elle est symptomatique de ce que j’aime, je pense qu’elle a beaucoup fait dans mes « choix » sexuels.
A l’origine il y avait une petite annonce, je peux en réciter chaque mot de mémoire tellement je l’ai lu avant d’y répondre, cela faisait longtemps que j’avais des fantasmes SM mais ils n’avaient jamais fait irruption dans la réalité.
« Femme recherche souffre douleur jetable pour se défouler, un gars capable d’encaisser douleur extrême sans broncher. Expérimenté, dispo tout de suite pas de discussions interminables. »
J’étais débutant donc pas du tout dans le profile mais j’avais tellement attendu que j’étais prêt à mentir. Je n’en suis pas fier mais c’était impulsif. J’ai lu et lu cette annonce, écrivant  à plusieurs reprises une réponse mais l’annulant par peur. Sur une poussée de courage j’en ai validé une. Regrettant aussitôt, espérant que la place serait déjà prise, en même temps excité comme jamais. Une envie irrépressible de me masturber. C’était si bon. Une fois mon affaire finie j’ai eu honte d’avoir répondu. Quelle personne sensée aurait pu être volontaire pour ça. J’ai encore une fois fait machine arrière. Quelques heures après j’ai reçu un appel sur mon téléphone, ne me méfiant pas j’ai répondu, je n’étais plus chez moi et j’avais laissé cette partie de mon cerveau avec mon dossier porno sur mon ordinateur. J’en avais oublié avoir donné mon numéro. Quand j’ai compris de quoi il s’agissait j’ai eu une montée de panique, j’étais dans un état second. J’ai accepté un rendez-vous, confirmant une fois encore les mensonges de mon mail et assurant de ma fiabilité. Une fois raccroché j’ai eu des nausées, j’avais vraiment l’impression qu’il y avait deux personnes dans ma tête. J’aurais été chez moi je me serais de nouveau masturbé pour éloigner ce pervers dans ma tête, mais ce n’était pas le cas et j’ai eu suffisamment d’inconscience pour aller au rendez vous. Je me justifiais en disant qu’au pire ça serait qu’une mauvaise demi-heure et que je serais définitivement fixé sur mes envies après ça. Une bêtise que l’on fait une fois dans sa vie pour essayer.
Je devais l’attendre dans un sous-sol d’immeuble, j’avais pour instruction de récupérer au préalable un paquet dissimulé dans le local à poubelle, très glauque. Il y avait un sac avec un mot.
« fout toi à poil dans la cave n°5, mets la cagoule je ne veux pas voir ta gueule de con, le bandeau serré sur les yeux. Pieds et mains menottés. Ne touche à rien d’autre ou tu le sentiras passer ».
Dans un état second j’ai obéis. Me déshabiller n’a pas été trop dur, m’aveugler avec la cagoule non-plus. Là où j’ai hésité ça a été pour me menotter. Il y avait les menottes mais pas les clés, si je les mettais c’était fini pour moi, je ne pourrais plus me masturber en urgence pour trouver le courage de fuir. Je l’ai fait, me sentant immédiatement pris au piège au centre de cette pièce, j’avais froid.
Je me suis rendue compte que je voyais un peu à travers des mailles de la cagoule. Lorsque j’ai entendu des pas j’ai essayé de ne pas me mettre à pleurer pour ne pas montrer de faiblesse supplémentaire. Je savais que c’était une mauvaise idée de relever la tête, j’ai essayé de garder les yeux sur le sol mais j’ai quand même lancé quelques coups d’oeil. À ce que j’en ai vu, dans les 35 ans, type working girl, costume, pas de jupe mais pantalon, chemisier et veste. Brune, cheveux attachés. Des lunettes je crois mais j’avais la tête baissée la plupart du temps et je dois avouer que tout ça est un peu flou. Je ne me souviens pas de son nom, je ne me souviens même pas si elle me l’a dit. Ce souvenir tellement intense au point de vue émotionnel que je dois me contenir pour y penser sans me toucher. Lorsque j’y repense je ne vois pas les détails seulement les émotions. Elle n’avait rien dit, j’ai pensé que dire bonjour maitresse serait une bonne idée. Je me suis pris une droite et un coup de pied dans les couilles en réponse.
– Tu te prends pour qui sale merde ? Tu ne me parles pas tu encaisses. T’es un sale punching-ball, et ce genre de saloperie ça parle pas. Pour être bien clair tu dis un mot je te fais saigner.
Elle m’a remis un coup de pied dans les couilles. C’était mes premières douleurs infligées par une autre. Le moins que je puisse dire c’est que je n’avais pas commencé par de la douceur. Elle ne voulait pas que je participe, que je sois passif, ça tombait bien c’était ce que je voulais. Une pensée aussi terrifiante qu’excitante. Le plus dérangeant était l’érection qui montait, je m’en voulais, j’aurais tant aimé ne pas apprécier, j’aurais été normal. Elle a jeté ses talons, se massant les pieds au passage, ils devaient la faire souffrir.
– Tu te crois malin. Tu crois que tu vas réussir à m’enfoncer ?
J’avais très bien compris la règle consistant à se taire. D’ailleurs je ne crois pas qu’elle me parlait. Elle devait régler ses comptes avec quelqu’un d’autre. Décharger son stress de la journée. Elle a défait mes menottes, m’as fait mettre debout, pour m’installer une barre d’écartement. Elle m’a ensuite attaché les mains jointes au plafond, tirant assez pour que je sois sur la pointe des pieds. Les jambes écartées, mon sexe exposé sans protection, le corps étiré, cette sensation de vulnérabilité était tellement bonne. J’allais prendre cher. J’ai entendu le bruit de préparatifs derrière moi. Quand elle est repassée devant j’ai pu apercevoir qu’elle avait changé de tenue. Elle était dans une tenue de sport, débardeur et pantalon en lycra. Quand j’ai arrêté de regarder ses courbes par peur d’éjaculer tellement la séance était déjà intense j’ai vu qu’elle avait des gants de kickboxing. J’allais me faire tabasser. Je ne m’étais jamais battu et à l’exception de la droite que je venais de me prendre je n’avais jamais pris de coups.
Elle faisait des étirements pour se préparer, elle n’était pas particulièrement musclée ce qui m’a rassuré un peu. Quand les coups ont commencé à pleuvoir j’ai essayé de déterminer ma position face à eux. Ce n’était pas si douloureux, l’impact l’était mais ça restait supportable. Je me suis dit que même s’il y avait une probabilité que je n’aime pas ce qui se passait j’allais y survivre. C’était le torse qui prenait, un peu les cuisses et les fesses. Rien sur le dos pour vous rassurer. Les coups avec les poings ont eu du mal à passer, ceux avec les pieds étaient plus, je n’ose pas dire agréable mais moins concentrés. Elle a parlé, je n’ai pas fait attention, elle réglait ses comptes avec d’autres personnes, des gens qui l’avaient énervée pendant la journée, ça ne me concernait pas vraiment. J’étais suspendu au plafond, sur la pointe des pieds, à chaque coup je bougeais un peu, reprenant rapidement ma position pour épargner la douleur sur mes poignets. Un sac à patate humain.
Elle s’est arrêtée, jetant ses gants à terre, elle est repassée derrière moi. Alors qu’elle était encore dans mon dos j’ai senti les premiers coups de lanières en cuir qui s’abattaient sur mon corps. J’avais été pris de surprise, ça avait été tellement brutal, j’avais mal. J’avais l’impression que la lanière était chauffée à blanc, je sentais sa brulure sur ma peau. Je regrettais les coups précédents, je venais de trouver un instrument qui savait me tenir en respect. Je ne savais pas quoi faire, je ne pouvais rien en vrai. J’avais des frissons dans tout le corps. Ça a duré une éternité, je me suis dit que je n’aimais pas trop ça mais une fois qu’elle a eu fini mon corps a été parcouru par une vague de satisfaction, c’était bon. Tout ça pour ça, ça valait le coup je vous assure. Un effort mais une récompense à la hauteur. Elle ne m’a pas laissé profiter de cette sensation, elle s’est approchée, passant sa main entre mes jambes, je me contractais tant et plus, j’étais jeune, j’avais peur d’éjaculer à cause de la pression de sa main sur ma verge. Elle n’essayait pas de me faire craquer, elle dégageait ma verge pour m’attraper les boules. Elle les a prises fermement, c’était la première fois qu’une femme les touchaient de cette façon, il n’y avait aucune hésitation, aucun moyen de me libérer de cette emprise. J’ai compris ce que l’expression « tenir quelqu’un par les couilles » voulait dire. Elle les a tirées, me faisant bouger comme une marionnette.
– Alors c’est ça qui te rend puissant. T’es qu’une merde pathétique.
Elle tenait toujours ma verge de son autre main, sans même y faire attention. J’étais prêt à pleurer, la situation me plaisait mais je ne voulais pas me lâcher sur elle. Elle continuait de monologuer
– Alors tu te sens menacé par une femme, tu crois que tu vas me faire trébucher ne parlant dans mon dos, je suis meilleure que toi, je vais briser tes sales couilles.
Plus elle tirait plus ma verge grossissait, j’avais envie qu’elle m’arrache les boules pour que ce soit fini, il y avait bien un point où la douleur allait arrêter de me stimuler. Elle m’a lâché, je suis resté pendouillant, toujours suspendu au plafond. Elle s’est retourné d’un coup et s’est mise à me taper dans le bas ventre et sur le sexe avec les poings.
– Sale merde
Quand elle s’est arrêté j’ai eu une décharge dans le sexe, je me suis mis à pleuré quand les premiers spasmes éjaculatoires se sont produits.
– Ta gueule connard, arrêtes d’être un putain de bébé.
Quand elle a vu que j’avais déchargé elle s’est mise en colère.
– T’es qu’un porc, tu me dégoutes.
Après avoir éjaculé j’ai le bout du sexe qui devient très sensible, même le plaisir devient douloureux. Je me suis déjà retrouvé dans une femme à pleurer en me retirant, les simples stimulations pour sortir étant douloureuses. Elle devait le savoir puisqu’elle m’a attrapé le bout du sexe pour le frapper avec une règle plate en plastique. J’ai sautillé d’un pied sur l’autre sous l’effet de la douleur, terminant d’éjecter le restant de sperme que j’avais encore en stock
– Je vais t’apprendre à exister.
Elle est revenue avec un plug pour urètre.
– Plus rien ne sortira de ta saloperie.
Je n’avais pas imaginé recevoir ce genre de pratique, avant même d’avoir décidé ma position sur le sujet il était déjà en moi. Ce n’était pas douloureux, simplement une présence étrangère, une pression inhabituelle. Elle m’a détaché pour me mettre sur une chaise, après avoir passé de longues minutes sur la pointe des pieds cela m’a fait du bien. Elle m’a mis la tête en arrière, me faisant ouvrir la bouche pour me cracher à l’intérieur. Ce n’était pas si terrible, après tout lors d’un baisé nous échangeons aussi de la salive. Elle m’a relevé la cagoule pour dégager mes joues. Intérieurement je suppliais que ce ne soit pas pour les poings, je m’en étais pris plusieurs séries et je n’avais pas apprécié. Je subirais si elle le faisait parce que ce n’était pas si terrible, je savais que si je disais un mot ça serait pire. J’ai été soulagé de constater que ce n’était que des gifles, nombreuses, à un rythme soutenu mais rien que des gifles avec le plat de la main. J’ai été presque sonné sous la charge. Lorsqu’elle a été à bout de souffle elle s’est arrêtée. Mes joues étaient parcourues par des picotements, elles me brulaient atrocement mais c’était bon. J’imaginais déjà la sensation que j’allais avoir lorsque je les poserais sur un oreiller. La douceur décuplée que j’allais ressentir.
Elle m’a mis des pinces aux tétons, avec une chaine entre les deux. Elle les a serrées grâce à la vis qui permettait de le faire, elle a testé qu’elles étaient bien en place avant de sourire sadiquement. Elle a attrapé fermement la chaine la tirant vers l’avant. Sous la douleur j’ai été projeté en avant, me retrouvant à genoux sur le sol. Elle s’est mise dans mon dos, ses pieds de chaque côté me maintenant fermement sur le sol. Elle m’a mise dans la position du pénitent, à genoux les mains offertes, la paume vers le haut. Elle est allée chercher un instrument, j’ai eu des frissons en voyant que c’était un instrument en cuir, deux longues lanières plates. Elle a posé le bout sur mes mains, je luttais pour garder mes mains offertes, je me disais que ce n’était pas le moment de faire le con. Je déteste avoir raison dans ce genre de situation, j’aurais aimé que ce ne soit pas aussi douloureux que prévu. Le pire dans tout cela était de craindre de ne plus pouvoir me masturber après ça. Mentalement je croisais les doigts en espérant que lorsque ça s’arrêterait ça soit proportionnellement aussi agréable que la lanière que j’avais eu sur le corps.
– Alors ça te plait toujours d’avoir les mains baladeuses ?
Elle a attrapé mes mains pour les mettre sur ses seins. Elles étaient déjà brulantes, tremblantes la douceur du tissu du débardeur était délicieuse. Elle a continué à me crier dessus.
– Alors tu aimes ça ?
Elle a attrapé une de mes mains pour la mettre directement dessous, au contact direct de la peau du sein. J’étais coincé entre son soutien-gorge et son sein, la main cotonneuse. Elle a fait rebondir son sein en me secouant la main, c’était si bon que j’ai cru éjaculer une deuxième fois. Le plug urétral m’en aurait empêché de toute façon. Elle s’est moqué de moi.
– T’es qu’un pervers minable.
Elle s’est éloigné, défaisant son pantalon en lycra, elle a baissé sa culotte et s’est approchée de moi. Elle m’a fait ouvrir la bouche pour me la mettre en boule dedans comme un bâillon. C’était celle qu’elle portait, elle avait ses odeurs. Je m’étais toujours moqué des pervers achetant des culottes portées sur internet, j’étais en train de découvrir qu’en fait j’aimais ça. Je me détestais. Toujours en ce moquant de moi elle m’a suspendu à nouveau, les bras dans le dos cette fois, tirés vers le haut il me forçait à me pencher en avant. J’avais aussi récupéré la barre d’écartement. Elle a fait siffler dans l’air un tube creux en plastique creux, de la largeur d’un doigt.
– Avant de finir je vais te faire regretter d’être né.
Encore un nouvel instrument pour moi, j’étais angoissé à l’idée de ce qu’elle allait me faire même si l’annonce que c’était la fin ravivait mon plaisir. A l’impact je me suis dit que ce n’était pas si difficile mais la douleur au lieu d’estomper s’est mise à s’accroitre me faisant amplifier ma respiration. Les odeurs de la culotte emplissait ma bouche. J’ai adoré cette douleur qui ne peut plus être arrêtée une fois que le coup est parti. J’aurai pu dire stop que rien n’aurais changé.
Un deuxième coup est parti, amplifiant toujours ma réaction. Elle m’a frappé méthodiquement des fesses jusqu’aux mollets, en lignes droites régulières. Elle n’avait pas menti c’était infernal.
– La vie ça fait mal.
Elle m’a détaché sans autre commentaire, me mettant nu, mes vêtements dans les bras dans le couloir. J’étais en état de choc, le moindre de mes mouvements était douloureux. Rien que m’habiller à été terrible. Au moindre pas mon pantalon appuyait sur mes marques. Ma queue était dressée, prête à connaitre de multiples masturbations.
Quand je suis rentré chez moi, je me suis rendu compte que j’avais toujours le plug dans le sexe, la retirer a été un supplice, pas tant de la douleur que de devoir s’auto-infliger une douleur si intime. J’ai pris un bain pour apaiser mon corps, j’ai du le prendre sur le ventre je ne pouvais plus m’asseoir à cause des marques. J’ai dû rester sur le ventre pendant toute la soirée et la nuit. J’ai perdu le compte des masturbations ce week-end là, plus de 10, 20 je ne sais plus mais c’était tellement bon, rien qu’à m’asseoir sur mes marques et c’était la tour de Pise qui se montait en un instant.
Je n’ai jamais revu cette femme, j’ai bien reçu un autre message de sa part pour un autre jour, j’avais accepté mais j’ai fini par lui poser un lapin par manque de courage. J’ai regretté, c’était aussi dur que bon.
J’ai eu d’autres expériences, certaines intéressantes, d’autres nulles comme tout un chacun. Je n’ai plus de moyens de contacter cette inconnue qui a été si importante dans ma vie sexuelle. Si quelqu’un reconnait son style ou si cette personne me lit j’aimerais qu’elle sache que je la remercie et que je m’excuse de lui avoir fait faux bon la deuxième fois. Sinon si vous avez envie de discuter avec moi n’hésitez pas.

* * *

L’interrogatoire d’un soumis par une maitresse sadique #4 : jusqu’au bout de l’enfer

Hello 🙂
Avant-dernière partie de cette petite histoire, très classique sur le fond mais les classiques le sont pour leur efficacité 😀
La prochaine partie sera bien plus axée sur sa “récompense”, la fin de session doit être plus satisfaisante, c’est la raison qui le motive à tenir tout le long.

– – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –tumblr_inline_n4jd5zFV081rvvo7v
Le sommaire de l’histoire est ici
– – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –

Après quelques minutes de pause il avait repris de la contenance, moi aussi d’ailleurs.
— J’ai parlé avec mes chefs, ils sont content que tu es reconnu ton implication mais ce n’est pas suffisant. Tu vas devoir donner des détails pour faciliter le procès et fournir les noms de tes complices. Rien de plus normal tu ne trouves pas ?
Il a soupiré, c’était bien l’effet escompté. Pour jouer avec l’impuissance il faut créer des effets donnant à la victime la sensation que rien de ce qu’elle pourra faire ne fera la différence. Il faut qu’il se résigne à accepter des supplices infinis. J’ai attendu qu’il ait encaissé cet aspect avant d’enfoncer le clou.
— Comme tu as avoué avoir des choses à cacher je suis autorisée à utiliser des méthodes plus radicales. Tu n’es plus un suspect mais un coupable ce qui me donne le devoir d’employer des méthodes un peu plus musclées, pour le bien de l’enquête il va s’en dire. Ça va un peu faire mal je dois te l’avouer mais ce n’est pas comme si nous avions le choix vu ton manque de coopération.
J’ai chatouillé son sexe de l’index en rigolant.
— Et oui ton petit jouet va avoir droit à sa dose, normal non ?
— Je vous ai dit tout ce que je pouvais, je ne sais rien d’autre.
— Tu dis ça maintenant mais au début c’était pareil, tu ne voulais pas reconnaitre ton implication et pourtant tu as finis par le faire.
— Qu’est-ce que vous allez me faire ?
— Ce n’est pas comme si je ne t’avais pas prévenu. On m’a demandé de passer en mode méchante et je dois reconnaitre que ce n’est pas un ordre qui me déplait, je vais pouvoir me défouler. Quelque chose à dire avant que nous commencions ?
— Je n’ai rien fait.
Je lui ai collé une gifle.
— Pardon ? Tu veux te rétracter ? Ça je ne vais pas le tolérer ! Tu veux me foutre dans la merde devant mes chefs ? M’humilier au tribunal en ne reconnaissant pas tes torts alors que j’ai garanti que tu étais prêt ?
— Je m’en fou.
— Je te le dis clairement, ça ne te sauvera pas. Avec les preuves accumulées tu finiras au trou quoi qu’il arrive. Une fois là-bas on aura l’occasion de reparler de ton manque de coopération.
— Quelles preuves bon sang ?
— Celles que l’on mettra en place ne t’inquiètes pas pour ça, c’est notre problème.
Je l’ai brutalement attrapé derrière la tête.
— Crois-moi à partir de maintenant tu vas t’en tenir à la version que j’ai donnée à mes chefs, compris ? Tu t’en rappelles ? C’est laquelle ?
Il a grogné.
— Je ne sais plus.
J’ai laissé retomber sa tête avant de sortir un dictaphone de ma poche pour lui repasser l’enregistrement de sa confession.
— Interdiction de revenir en arrière sur tes déclarations. Redis la bonne version de la phrase.
— J’ai fait quelque chose de mal.
— Bien, ne t’avises plus jamais de dire autre chose. Ne recule plus, ça ne servirait à rien à par à revivre les douleurs passées. Tu as envie que je te refasse comprendre où est ton intérêt ?
— Non madame.
— Bien.
J’ai détaché les menottes qu’il avait dans le dos pour lui attacher les poignets au-dessus de la tête.
— Tu n’es qu’un enfant capricieux et tu sais ce qu’on leur fait aux enfants mal élevés ?
— Non madame.
— On casse leurs jouets devant leurs yeux pour leur apprendre que la vie ce n’est pas tout le temps drôle.
Je lui ai relevé le menton pour qu’il puisse bénéficier de mon sourire sadique.
— Quel ton jouet le plus précieux ?
Il a baissé les yeux, j’ai rigolé.
— Tu te rappelles comme c’était amusant de l’avoir en main ? Si tu persistes à faire le vilain qu’est-ce que je vais être obligée de faire ?
— S’il vous plait madame.
— Je vais te le prendre et le casser devant toi. Tu as envie que ça arrive ?
Il y a des menaces qui font tout de suite leur effet, autant parfois je bluff, autant là il savait ce qui se profilait.
— Je peux dénoncer qui vous voulez. Je vais signer tout ce que vous voulez.
— Tu crois que je vais satisfaire ta curiosité de sale vermine ? Je te l’ai déjà dit ça ne serait pas aussi marrant si je te donnais toutes les cartes. Tu vas devoir deviner.
— Je veux coopérer je vous promet, donner moi les noms, s’il vous plait dite moi qu’elle est la vérité.
— Mais ta gueule. Gardes ton souffle pour ce qui va suivre.
J’ai enlevé mon pull pour prendre mes aises, je l’ai jeté sur la table plus loin. En dessous j’avais un débardeur plutôt sexy, suffisamment pour attraper son regard. Quand il a remarqué qu’il n’avait pas été assez discret il a baissé les yeux.
— Non, tu n’as pas à baisser les yeux tu sais. Profites-en. Tu vas passer du temps à l’ombre, d’ailleurs je suis probablement la dernière femme que tu verras de ta vie. Regardes moi bien il faut que ce souvenir dure longtemps. Tu te souviens de ce qu’est la douceur d’une femme ? De ce que ça fait de nous peloter les seins ?
Je me suis approchée de lui, jouant avec ma poitrine, la compressant pour la lui mettre sous le nez.
— Accroches-toi à ces souvenirs, ils sont tout ce qui te reste. Ils finiront par s’effacer bien sûr, c’est triste. Tu sais que ta vie ne sera que douleur maintenant.
Je l’ai enlacé, serrant mes seins contre lui.
— Voilà. Tu as bien mémorisé ? En tout cas ça semble te plaire.
J’ai souri.
— Mémorise aussi ce que ça fait d’avoir une érection. Je ne suis pas certaine que ton truc soit en état de fonctionnement après notre petite entrevue. En tout cas je ne peux pas le garantir.
Il s’est mis à gigoter.
— C’est bon ? Tu as profité de ta dernière érection ?
— S’il vous plait madame.
Toujours contre lui je lui ai dit à l’oreille.
— Justement ça me plait.
Ma phrase à peine finie je lui ai mi un coup de genoux dans le sexe, sans aucun ménagement il en a eu le souffle coupé.
J’ai gloussé devant sa réaction.
— Alors qu’est-ce que tu ressens ? Ça fait quoi de sentir ta masculinité s’envoler à jamais ?
— Pitié …
Je ne l’ai pas laissé finir, je lui ai remis un coup, lui faisant faire un petit saut en hauteur de quelques centimètre à cause de l’impact.
— Les gens comme toi ne devraient pas avoir le droit de se reproduire, et encore moins d’y prendre du plaisir.
Un nouveau coup de genoux est parti. C’est dingue la vitesse à laquelle les hommes se mettent à pleurer lorsque je tape leur entrejambe.
— Nous allons faire en sorte que ce ne soit plus possible qu’est-ce que tu en penses ?
J’ai enchainé rapidement les coups. Je me laisse souvent griser par ce type de jeu, voir la douleur sur le visage de ma victime me donne envie d’y aller de plus en plus fort. Après 3 ou 4 coups supplémentaires je l’ai laissé reprendre son souffle.
— Voilà qui fait du bien. S’il reste encore quelque chose après ça je te les finirais à la matraque.
Ses jambes ne le tenaient plus, il avait tenté de se mettre à genoux pour essayer de se protéger mais c’était sans compter qu’il était suspendu au plafond et que la barre d’écartement aux chevilles l’empêchait de trop serrer les cuisses. Il était pleinement exposé.
— Tu sais ce qu’on dit, tout doit disparaitre.
Il a essayé de se libérer de mon étreinte, comme s’il était en position de faire ce qu’il voulait, le pauvre fou. Il s’est pris deux coups rapides en représailles. Je me suis éloignée de quelques pas, en tout cas j’ai fait semblant, avant de me retourner rapidement pour lui attraper le sexe à pleine main.
— Ça fait quoi de se faire tenir par les couilles, littéralement ?
Il s’est agité.
— Je suis innocent je vous le promets.
— Nous avons déjà parlé de ça, quelle est la vérité ?
J’ai davantage serré pour montrer que la réponse ne me convenait pas, sa voix est montée dans les aigus.
— J’ai fait quelque chose de mal madame et je dois être puni pour ça.
J’ai relâché ses couilles.
— Tu regrettes le fouet ?
— Oui madame, s’il vous plait donnez-moi le fouet, je préfère le fouet.
J’ai fait mine de réfléchir, je n’avais aucune intention de ressortir le fouet mais je voulais lui créer un faux espoir.
— Le fouet c’est pour les personnes pour qui nous avons un doute sur la culpabilité. Toi tu as avoué. Nous sommes sûrs que tu caches quelque chose. Pas vrai que tu as déjà avoué ça ?
J’ai remis ma main sur ses couilles pour le motiver à bien répondre.
— Pas vrai ?
— Oui madame j’ai fait quelque chose de mal.
— Donc j’ai le devoir de stimuler tes zones les plus sensibles pour vérifier que nous avons connaissance de la totalité de tes mauvaises actions. J’ai le devoir de te taper dans les couilles, et si tu as de la chance je m’arrêterais quand tu avoueras.
Il allait dire quelque chose, probablement qu’il n’avait rien fait mais s’est ravisé quand je l’ai pointé de l’index pour le menacer.
— Actuellement je ne suis pas satisfaite. Et il se passe quoi quand je ne suis pas satisfaite ?
Il a gémi.
— Et oui davantage de douleur. Je vais te les briser.
— Je ne sais rien d’autre madame.
Je lui ai mis un coup de poing entre les jambes.
— Putain d’enfoiré, nous savons tout les deux que tu as des choses à dire. Tu vas craquer.
Un second coup de poing est parti, il s’est mis à haleter en contractant le ventre pour tenter de réduire la douleur.
Je l’ai laissé reprendre son souffle avant de continuer. Je suis allée prendre une bouteille d’eau.
— Tu as soif ?
— Oui madame.
— C’est dommage que tu n’aies pas le droit de boire.
Je me suis moquée de ses grimaces.
— On fait moins le fier maintenant.
Je l’ai enlacé à nouveau, il a tenté de résister, il savait ce que cela signifiait. Je lui ai remis un coup de genoux pour le remettre en condition. Je l’ai relâché en rigolant. Je suis allée prendre le dossier sur la table, j’en ai sorti une photo.
— Qui c’est ?
— Je ne sais pas madame.
— Mais non tu vaux mieux que ça ! Tu sais bien ce qui va t’arriver avec cette réponse.
Il a gémi alors qu’un nouveau coup de genoux partait. J’ai reposé froidement ma question.
— Qui c’est ?
— Bordel je ne le sais pas.
Nouveau coup, il s’agitait, cherchant à comprendre les règles du jeu.
— Dite moi qui c’est s’il vous plait !
Un nouveau coup aussi brutal que les précédents est venu le secouer.
— C’est ma complice.
— Mauvaise réponse.
Inlassablement je continuais à le motiver à ma manière.
— C’est ma victime.
Il a serré les dents en attendant le coup suivant, contrairement à ce qu’il attendait je ne l’ai pas puni.
— Bien, tu vois c’est plus agréable de coopérer.
Il a soupiré.
— Oui madame.
— Tu sais que ce que tu lui as fait a choqué l’opinion publique. C’est une bonne chose que le vrai responsable soit jugé devant tout le monde. Qu’il avoue pour dissiper le moindre doute sur sa culpabilité et que l’on puisse en finir avec ces vilaines rumeurs impliquants des cadres haut placés. Tu regrettes ce que tu lui as fait ?
— Oui madame.
— Qu’est-ce que tu lui as fait ?
— Je l’ai violée.
— Tu vois l’histoire te reviens en mémoire. Bon partiellement, si tu t’étais contenté de la violer ça ne serait pas allé aussi loin. Ça a été plus « bestial » tu t’en souviens ?
— Oui madame. Je m’en suis servi pour assouvir mes perversions sexuelles.
Il avait bien compris que son entrejambe resterait en sécurité tant qu’il déballerait une histoire. Une sorte de sentiment de sécurité, il pouvait se douter qu’il ne durerait pas longtemps mais il s’y accrochait. Je le laissais croire qu’il avait compris les règles et qu’il avait un espoir qu’il s’en sorte, j’attendais le bon moment pour le refaire tomber dans l’impuissance. Je l’ai regardé dans les yeux, le fixant froidement.
— Lesquelles et avec qui ?
Sa respiration a immédiatement accélérée.
— Je ne sais plus madame.
J’ai mis mes mains sur ses épaules.
— Pas le genou pitié ! Je serais sage. Je vais m’en souvenir laissez-moi quelques secondes.
— 5, 4 ,3 
— J’étais ivre je ne me souviens plus de tout.
— Eh ! C’est bien ! Bien trouvé l’idée de l’alcool, ça justifiera les petites incohérences.
Je lui ai tapé sur la joue.
— Tu vois quand tu y mets du tiens on progresse.
Je lui ai frotté les bourses.
— Elles sont douloureuses ?
— Oui madame.
— Qu’est-ce qu’on dit ?
— Merci madame.
— Bien c’est le métier qui rentre. Parce que c’est ton métier d’être une victime. C’est le seul le domaine où tu excelles.
Maintenant qu’il était à point j’allais pouvoir l’humilier verbalement, j’allais pouvoir dire tout et n’importe quoi sans qu’il ose répliquer. C’est dans ces moments que les mots impuissance et castration prennent tout leur sens.
— Une petite vie pathétique, sans contrôle sur ce qui t’arrives. Un minable arrivé là par erreur et qui ne fait que prendre de la place. Qu’est-ce que tu penses de cette définition ?
Quand j’ai tapoté des doigts sur son sexe il s’est contracté.
— C’est vrai madame, je suis un minable.
— Il faudrait de rayer de la carte non ? Ça ferait de la place. Si possible de la façon la plus douloureuse possible.
Il est resté silencieux.
— Qui ne dit mot consent. Malheureusement il y a des lois pour protéger les handicapés dans ton genre. Nous sommes trop généreux, notre bonté nous perdra.
Ce passage était aussi un test, s’il avait eu assez de ballbusting il devait se faire tout petit sinon il devait me répondre. Une façon de communiquer pour que nous soyons synchrone.
— Tu sais quel sera ton quotidien maintenant ? Ta vie sexuelle ne sera plus que de la masturbation et des sodomies, passives bien sûr. Tu seras avec des vrais mauvais garçons et tu n’auras pas une chance de prendre le dessus. Bel avenir n’est-ce pas ?
— Oui madame.
— Tu sais que tu seras forcé à faire des fellations en prison, et tu coopéreras tu peux me croire. Tu sais ce qu’ils font aux salopes qui résistent ? Elles ont les dents cassées pour ne plus pouvoir mordre. Tous les jours, après la promenade, tu reviendras dans ta cellule en te massant les joues et en tortillant du cul. Et oui, quotidiennement toute la prison te passera dans le cul. Tu auras en permanence le ventre remplis du sperme de tes codétenus. Tu te sentiras souillé intérieurement et tu iras pleurer dans ton coin en silence. Réjouissant n’est-il pas ?
J’ai rigolé, c’était une vision extrême mais cela faisait partie des dégradations sur lesquelles il fantasmait. Pas au point de les vivre, certaines choses doivent rester des fantasmes. Il a répondu d’une petite voix.
— Je ferais tout ce que vous voulez je vous promet.
— Trop tard, ton destin est scellé. Mais je peux être gentille si tu veux. Je peux t’aider à t’entraîner pour ta future fonction. Je peux aller chercher un strap-on pour te faire le cul. Histoire que tu sois entrainé à laisser passer à sec de grosses queues d’homme viril ? D’ailleurs je n’avais pas prévu ça mais c’est une bonne idée.
J’ai amené la table près de lui, après l’avoir détaché je l’ai fait s’allonger sur le ventre. Je lui ai passé un harnais à 4 points, épaules et bassin, et je l’ai suspendu dans le dos. Au passage j’en ai profité pour lier ses chevilles au bassin et lui remettre les mains dans le dos. J’ai vérifié la solidité de l’ensemble avant de retirer la table. Désormais il ne touchait plus le sol, il était suspendu à l’horizontale au niveau de mon bassin. Je l’ai fait tourner comme une toupie pour lui donner le tournis.
J’ai rigolé en le voyant impuissant à contrôler ce qu’il arrivait à son corps. Je l’ai arrêté en me plaçant derrière lui, je lui ai écarté les fesses. Le voilà ton petit trou, il se souvient de son inspection de tout à l’heure ?
— Oui madame.
— Si je l’avais épargné jusqu’à présent il va devoir y passer maintenant. Il est sensible ?
— Oui madame, très.
— Parfait. Je crois que je vais commencer par le faire rougir un peu. Quelques dizaines de coup de martinet en plein dessus l’aideront à se détendre.


La suite est par ici.