Week-end à la campagne avec 3 soumis – juin 2014 #4 – gifles et ballbusting champêtres

Une partie un peu plus longue que la normale, je voulais finir la séquence en une seule publication. La prochaine fois j’entamerai le coeur du week-end 🙂

Le sommaire du récit est ici.

Je venais de dire à mes soumis habituels de surveiller et de balancer le petit nouveau. Le Chiot avait un mélange d’excitation et de crainte dans son regard à se sentir scruté de la sorte. Je lui ai pincé la joue.
— Qu’ils sont mignons à cet âge-là. Tu penses quoi de l’idée de porter une cage ?
Il a haussé les épaules, indifférent à l’idée.
— Elle a l’air d’être utile. Pourquoi pas.
— Pourquoi elle est indispensable dans ton éducation ?
— Elle permet de nous faire du mal et … de nous priver de plaisir et …
Je suis restée impassible devant son argumentation ce qui le déstabilisait. Il voyait bien que sa réponse n’était pas satisfaisante et essayait désespérément de rattraper le coup. J’ai attendu qu’il arrête de chercher, qu’il sente bien qu’il s’était pris les pieds dans le tapis, avant de prendre en main la situation.
— Tu dois perdre cette vilaine habitude de réfléchir. Ce n’est pas ce que j’attends de toi.
Il est resté déconfit devant ma remarque. J’ai regardé Chouchou.
— Pourquoi la cage est indispensable dans votre éducation ?
Il s’est empressé de répondre.
— Parce que vous avez dit que ça l’était et que vous avez toujours raison.
— Tu vois ? La réponse était élémentaire. Simplifies toi la vie. Pourquoi tu t’embêtes à chercher des arguments ? Ce n’est pas compliqué d’être soumis. Si je dis que tu le penses alors tu le penses.
— Ce n’est pas facile de lâcher prise.
— Et qu’est-ce qui te faciliterait la tâche ? Que je sois douce ou dure ?
Il a eu l’air embarrassé.
— Plutôt dure je crois.
— C’est bien. À défaut d’être compétent tu es au moins honnête.
— Je veux être un bon soumis.
Les deux autres larbins n’ont pu retenir un sourire, ils savaient que j’allais le faire déchanter en moins de deux. Pourtant je n’ai pas ouvert le feu à ce moment, chaque chose en son temps.
— En voilà une bonne résolution ! Il ne reste plus que la partie la plus simple, le devenir en partant de très bas.
— J’ai de la motivation.
Il était mignon.
— Mon petit ça ne dépend pas de toi. C’est moi qui décide si je te serre la bride suffisamment fort pour te faire devenir un bon soumis ou si je te laisse dans ta crasse. Tu ne peux pas le devenir tout seul, c’est clair ? Tu es un homme tu n’as pas de volonté c’est génétique.
— Oui maitresse.
Je ne pense pas qu’il ait compris ma réflexion. Devenir un soumis était pour lui un défi personnel alors que moi je le considérais comme un tas brut d’argile que j’allais modeler. Ce n’était pas grave j’allais avoir l’occasion d’y revenir plus tard. Il ne faut pas les ensevelir sous les notions au départ. Qu’il apprenne bien une chose à la fois serait déjà une avancée.
— Elle remonte à quand ta dernière fessée ?
Il a été embarrassé de répondre.
— Jamais maitresse.
Je le savais, nous en avions discuté avant lors de notre rencontre préparatoire, je le faisais juste avouer devant tout le monde.
— Et ta dernière gifle ?
— Jamais maitresse.
J’ai joué celle qui se fait attendrir devant un être pitoyable.
— Oh mon pauvre petit, tu n’as jamais été giflé ? Mais ta vie doit être triste alors. Tu ne sens pas qu’il te manque quelque chose ?
Je lui caressais la joue.
— Tu as comme une sorte de vide là, non ?
Sa queue venait de se dresser à mon contact. Une bonne occasion de me moquer de lui.
— Tu vois elle prend du volume. Elle sait ce qui est bon pour toi. Qu’est-ce qui est bon pour toi ?
Il rougissait à vu d’oeil. J’ai insisté.
— Vas-y dit le.
Pour avoir déjà été humiliée de la sorte je sais que l’on a la bouche sèche et plus aucun mot qui arrive à sortir. J’ai répondu à sa place.
— Ce qui est bon pour toi c’est qu’une fille te frappe. Pas vrai que tu fantasmes là dessus ? Tu veux que je te batte, pas vrai ? En ce moment tu m’imagines en train de te frapper, avoues !
Lui qui était intimidé par les femmes je n’allais pas améliorer son état, tout ce qu’il a pu dire pour tenter de m’échapper ça a été un timide :
— Oui.
Je me suis adressée aux autres soumis.
— Je crois qu’il va se prendre quelques gifles comme cadeau de bienvenue qu’est-ce que vous en pensez ? Ça serait généreux non ?
— Oh oui, très généreux maitresse.
Le Chiot ne savait pas comment se comporter, il allait avoir ses premières gifles, il avait attendu ce moment pendant longtemps.
— Mettez-le à genoux, immobilisez le, gardez ses bras dans le dos, tenez lui la tête droite.
Il n’en menait pas large mais ce n’était pas encore assez pour moi. Je me souviens encore de l’excitation avant ma première fessée, le pire avait été l’attente juste avant. Etant naturellement prompte à l’empathie j’allais soulager sa souffrance en y allant rapidement … trêve d’idioties j’allais plutôt jouer méchamment avec ses nerfs. Vous ne pouvez pas savoir l’excitation que j’ai à être une peste capricieuse.
— Non, vous savez quoi ? Je vais m’échauffer avant. Il ne faudrait pas que sa première fois soit ratée.
J’ai désigné Chétif de l’index.
— Toi ! Viens ici, à genoux.
La plupart de mes soumis sont excités à l’idée de que je les gifle jusqu’au moment où ils doivent se mettre en place. C’est bien les hommes ça, ils ont des couilles quand il faut se vanter puis quand il faut passer à l’acte c’est le vide. J’ai tendance à les intimider, ils savent que je n’y vais pas tendrement. Il s’est agenouillé à mes pieds. J’ai calmement pris ma position, faisant quelques coups au ralenti pour être sûre que je ne me raterais pas. Les doux moments avant la première claque, toute cette appréhension, c’est tellement de souffrance pour un soumis que je me sens obligée d’en remettre une couche.
Gifler en pleine nature est moins amusant, je préfère en intérieur quand le bruit résonne, j’en ai des frissons dans tout le corps. Dehors ce n’est pas la même acoustique. Le son a un rôle important dans mon plaisir, c’est aussi pour ça que je n’aime pas les soumis trop démonstratifs, je veux entendre l’impact, j’en ai besoin. Dans mon imaginaire si je n’entends pas le choc il n’a pas eu lieu. C’est très loin de la réalité puisque certains instruments ne sont pas très impressionnant et pourtant délivre une douleur infernale et inversement.
Selon mes critères l’instrument parfait est sonore et douloureux sans l’être trop, il ne doit pas blesser sinon je dois interrompre rapidement la séquence et je n’arrive pas à monter en excitation, il me faut bien 12-15 minutes, c’est tout un dosage.
Mon but était de faire peur au Chiot, pas de punir Chétif, j’allais donc privilégier le côté impressionnant. Je n’ai pas tant cherché à faire mal que de faire du bruit. J’ai tapé du bout des doigts sur le creux de sa joue, c’était impressionnant sans être punitif. J’exagère, il a pris cher et ça aurait fait pleurer pas mal d’hommes non-habitué à s’en prendre.
Je dois reconnaitre que je me suis un peu laissée aller à me prendre au jeu. Chétif essaye toujours de se contenir et il me donne envie d’en rajouter, c’est un jeu entre lui et moi, c’est tout un échange de regard pour se provoquer. Parfois je lui en mets une suivi immédiatement d’une autre au même endroit, je le menace d’une 3eme jusqu’à ce qu’il baisse les yeux. Pour le coup j’étais bien échauffée et je gloussais comme une adolescente. Je me suis rappelée que nous n’étions pas seuls. Le Chiot était tout pâle, intimidé par la perspective d’être le prochain. C’est cruel de voir passer les punis devant soi, il y a toute une appréhension qui s’installe, des papillons dans le ventre comme le disent les Anglais.
J’ai fait signe à Chétif de se relever et je me suis rapproché du Chiot avant de bifurquer en souriant vers Chouchou.
— À ton tour.
Bien que surpris il s’est docilement mis en place. Cette fois-ci le Chiot pouvait être certain que le prochain à y passer ce serait lui. Il pouvait être inquiet c’était mon intention, je prenais mon temps pour être sûre qu’il soit à point lorsque viendrait son tour. Avant de commencer à gifler Chouchou j’ai fait signe au Chiot d’approcher.
— Regardes ses joues de près.
Il ne comprenait pas bien où je voulais en venir, il n’était cependant pas en position pour discuter un ordre.
— Tu as bien regardé ?
— Euh oui.
Il semblait indifférent à la situation.
— Alors recule. Non pas si loin. Je veux que tu sois aux premières loges pour assister à la punition de ton camarade.
J’ai rigolé.
— Ne t’inquiètes pas, je peux te confier que d’ici quelques minutes tu auras le privilège de voir une gifle d’un point de vue beaucoup plus … intime.
J’adore voir la tête des soumis dans ces situations, quand ils sourient nerveusement alors qu’ils sont totalement impuissants, c’est tellement bon. J’ai commencé à gifler Chouchou, cette fois-ci mon intention était de le marquer le plus possible. Je lui ai collé une bonne série j’en étais essoufflée. J’ai regardé le chiot.
— Pfiou ! Ça fait circuler le sang pas vrai. Va voir la différence.
Je lui ai fait inspecter les marques rouges, il était gêné et intimidé. Falloir voir sa tête elle était impayable. Je me suis penchée à mon tour pour lui faire la visite « guidée », pinçant les joues de Chouchou pour bien exposer les délimitations.
— Tu vois les marque de mes doigts ? Regardes ici elles se détachent bien. Et encore elles sont légères cette fois. C’est un soumis expérimenté sa peau s’est endurcie. Ce n’est pas comme s’il avait une peau vierge. Qu’est-ce qu’il aurait pris sinon !
J’ai rigolé, le Chiot est resté pétrifié.
— Tu imagines ce qu’il a ressenti à l’impact ? Ce qu’il ressent maintenant ?
J’ai cru que mon petit Chiot allait se mettre à pleurer nerveusement. Il était à point pour y passer. Je me suis redressée.
— Bien. Tu sais compter jusqu’à 3 je suppose.
Il a hoché la tête et m’a demandé :
— Je me mets en position ?
Il était tout gentil et attentionné, il essayait de gagner du temps et de m’attendrir, c’est fou comme les hommes deviennent dociles à l’approche de la punition. J’ai été inflexible, j’ai pointé le sol de l’index, il a senti que ce n’était pas la peine d’essayer de négocier.
Tant que j’y pense, je ne sais pas si je vous ai fait le couplet sur le safeword ? Ne vous inquiétez pas il y en avait un, tout était consensuel. Il était intimidé mais consentant.
— Tenez-le bien. Avec son casier de délinquant multi-récidiviste je n’ai pas confiance. On ne peut jamais avoir confiance en la fiabilité d’un petit masturbateur chronique dans son genre. À tous les coups il va essayer de commettre le délit de se frotter les joues.
Dès que tout a été en place je me suis lancée. Sans plus attendre je lui en ai mis deux belles. Elles ont eu l’air de lui remettre les idées en place. Je n’ai rien dit pendant quelques instants, le laissant seul dans sa tête pour découvrir les effets par lui-même. Une gifle c’est un mélange complexe de sensations, il y a bien sûr la douleur de l’impact mais aussi la tête qui tourne un peu puis les joues qui se mettent à chatouiller. Il y a comme des picotements au fur et à mesure que les sensations reviennent. Quand la chaleur se dissipe un soumis n’a qu’une envie : que ça recommence. Je me suis approchée de lui, mettant mon front contre le sien.
— Voilà ce que ça fait de se faire gifler par une fille. Je me moque de savoir si tu aimes ça ou pas. Il va falloir t’y habituer. Lorsque je ne serai pas satisfaite de ton comportement ce sera le traitement systématique. Les deux imbéciles pourront te confirmer que je les distribue sans compter.
— Je ne vous décevrais pas maitresse.
Je lui ai montré ma main, les doigts joints, désormais il savait ce que ça signifiait et la regardait avec crainte.
— Tu lui fais un bisou avant qu’on y retourne ?
Il a approché ses lèvres doucement.
— Tu n’as pas oublié quelque chose ?
— Je ne sais pas maitresse.
— Parce que ma main est toute vexée.
Je lui ai laissé le temps de réfléchir avant de continuer.
— Non ? Tu ne vois pas ? Dommage pour toi. Si tu l’avais remerciée elle aurait été plus gentille avec toi. Si tu vexes les gens ne t’étonnes pas s’ils te traitent durement, tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même.
— Merci.
— Trop tard.
J’ai repris ma série de gifles en espaçant les coups pour être sûre que ses joues absorbent la douleur avant que le coup suivant tombe. J’avais un rythme bien plus lent que d’habitude, mon but n’était pas de le punir, je voulais le laisser savourer ses premières gifles. Surtout qu’il était débutant et que je devais l’accompagner dans la découverte de la douleur, je répétais lentement les gestes pour qu’il s’y habitue. L’épreuve pour lui était d’accepter de se laisser frapper sans réagir et non pas d’avoir mal. En définitive sur le week-end il n’y allait y avoir que quelques moments vraiment douloureux pour lui. Sa formation allait commencer par l’apprentissage des techniques pour supporter une peste. Il allait avoir droit à des punitions simplement symboliques, à part quelques-unes quand il allait me chercher. Je voulais qu’à la fin du week-end il me demande d’y aller plus fort la fois d’après. Je ne savais pas combien j’allais lui en mettre, j’ai attendu que ses yeux mouillent pour arrêter, il n’a pas fallu bien longtemps.
— Continuez de le tenir, il faut qu’il profite des effets de la douceur de ma main.
Je me suis approchée de lui, écrasant « négligemment » sa queue entre mes semelles et le gravier.
— Oui la douceur. Tu apprendras vite que mes mains savent aussi faire mal. Crois-moi il viendra un moment où tu te mettras à penser que ce que je viens de te faire n’était qu’une caresse. Tu peux me faire confiance pour ça. Pas vrai vous deux ?
— Oui maitresse, vous pouvez faire bien plus mal pour notre éducation merci.
J’ai soulevé ma semelle, comme si je venais juste de me rendre comme que j’écrasais son sexe.
— Ne t’inquiètes pas. D’ici la fin du week-end je m’occuperais de ton asticot. Pour lui fini le plaisir il va comprendre à quoi il peut réellement servir.
Je n’étais pas dure, j’avais de l’expérience, les chiots c’est comme ça qu’il faut les prendre. Je suis allée ouvrir le coffre de ma voiture pour en sortir plusieurs paquets.
— Voici vos uniformes pour le week-end. Rien de bien méchant, ils correspondent parfaitement à vos natures.
Ils ont ouvert les paquets avec méfiance, en tout cas le Chiot était inquiet tandis que les deux autres étaient bien plus résignés. Je n’ai rien dis et pourtant je n’en pensais par moins, s’il y a quelque chose que j’exècre c’est bien les soumis qui me font ressentir que m’obéir est lassant. S’ils voulaient prendre cette voie ils allaient le regretter. Ils ont trouvé dans les paquets de jolies robes légères, façon bergère, à carreaux roses et blancs. S’ils avaient eu les cheveux longs je leur aurais fait faire des couettes pour parfaire la caricature. Je ne me souviens plus si je vous avais parlé du profil de ces soumis, leur point commun était qu’ils aiment être « castré », être mis plus bas que terre par une femme, l’humiliation allait donc avoir une place centrale dans le week-end. Il y allait bien sûr y avoir de la douleur mais surtout dans le but de les faire pleurer, pour insister sur leur faiblesse à résister. Ce n’allait pas être douleur sur douleur comme avec certains soumis, en tout cas tant qu’ils étaient sage. Je n’étais pas en train de tenter de démolir leur personnalité, c’était leur fantasme d’être traité de la sorte.
Chouchou et Chétif ont rapidement enfilé leur tenue, le Chiot était plus lent, cela devait être la première fois qu’il passait une robe, au moins en extérieur.
— Vous avez l’air minable, ça vous va si bien.
J’ai froncé les sourcils, prenant une pose de styliste devant sa création.
— Ce n’est pas encore parfait. Il y a encore un brin de virilité dans votre attitude mais ne vous inquiétez pas en arrivant je vous ferais pleurer ça vous libérera. Comme nous sommes en extérieur je me suis retenue mais dès que nous aurons un peu d’intimité je me lâcherais.
J’ai ouvert la portière arrière de ma voiture en leur faisant signe de rentrer.
— Vous aimez ça quand je me lâche, pas vrai ?
Si je les avais fait rentrer dans la voiture avec des mots gentils ça n’aurait pas été la même chose, ils n’auraient pas eu ce regard d’animaux que l’on amène à l’abattoir. Mettez-vous dans leur tête, ils étaient en robe à l’air libre ils auraient trouvé agréable de venir se cacher dans ma voiture, il fallait que j’inverse la tendance. Il fallait qu’ils en viennent à penser qu’ils n’étaient pas si mal dehors. La menace d’une correction en arrivant était l’alibi parfait.
Je n’ai pas attendu qu’ils rentrent pour contourner la voiture et ouvrir la portière côté conducteur. Un plan bien huilé, pourtant je n’avais pas prévu quelque chose, Chouchou a troublé le silence.
— Maitresse ! Le Chiot vient de dire que vous n’étiez pas commode.
J’ai pensé très fort « le salopard » et je ne parlais pas du Chiot. Visiblement j’allais avoir un concurrent au titre de pire peste du week-end. Il voulait me mettre en compétition ? Pas de problème j’allais me faire les dents sur lui, il allait apprendre à ses dépens que j’ai les crocs acérés. J’ai l’habitude d’avoir un comportement de peste, et c’est totalement assumé, pourtant mes soumis m’étonnent parfois sur cet aspect, ils peuvent être si méchant entre-eux. Je les incite à le faire sans penser qu’ils oseront. Il fallait que je sois vigilante pour que la situation ne dégénère pas en règlement de compte et mauvaise ambiance.
Peu importe mes états d’âme je ne devais pas me concentrer sur cette guerre à venir, si le Chiot m’avait critiqué il allait le sentir passer. Il peut sembler innocent de faire une critique mais c’est le premier pas vers l’insolence, il ne faut jamais rien laisser passer, il n’y a pas de débutant qui tienne. Un soumis qui a des reproches à faire à sa dominante les lui fait en privé, en public c’est la cohésion absolue. Vous imaginez la honte pour moi de me faire contredire en public ? J’ai des envies de meurtre quand j’entends en soirée des soumis dire que leur maitresse est « pas mal », Non ! Leur maitresse est parfaite point final ! Vous connaissez l’expression « le linge sale se lave en famille » ? C’est pareil en BDSM, vu de l’extérieur une relation BDSM doit avoir l’air d’être parfaite.
J’ai relevé mes lunettes de soleil que je venais de remettre. Je me suis approché du Chiot.
— C’est vrai ça ? Je ne suis pas commode ?
— Je ne le pensais pas mal.
J’ai raillé sa réponse.
— À d’accord ! Expliques moi dans quel contexte ce n’est pas désobligeant ? Je t’écoute.
— Je suis désolé.
J’ai fait quelques pas pour réfléchir. J’étais dans une position difficile, il m’avait marché sur les pieds, un soumis ne doit jamais faire de commentaires négatifs sur sa domina en public c’est la règle. J’étais mise dos au mur, j’étais obligé de faire un exemple sinon les deux autres s’engouffreraient dans la brèche.
Je suis revenue vers lui sarcastique.
— Une fille normale c’est une fille soumise pas vrai ? Tu nous préfères lorsque que l’on s’accroche à ton cou en gloussant comme des poufs.
J’ai joint le geste à la parole, l’enlaçant tendrement. J’ai entortillé une mèche de cheveux avec un doigt et j’ai pris une voix énervante.
— À ouais t’es trop viril mon gars, tu veux bien me sauter ?
Je lui faisais les yeux doux, je battais des cils pour le séduire.
— Une fille qui a du caractère ce n’est pas normal pas vrai ?
Il n’a pas osé me répondre, il en avait déjà fait assez et sentait que ce n’était pas le moment de la ramener. De toute façon il n’a pas eu le temps d’y penser je lui ai mis un violent coup de genoux dans les parties. Il y a des choses avec lesquelles il ne faut pas jouer avec moi. Essayer de me faire passer pour anormale parce que je ne suis pas soumise est dangereux. Il a sauté sur place le souffle coupé avant de retomber sur les genoux. J’ai remis mes lunettes de soleil en place, le prenant de haut.
— Il va falloir que tu changes ta conception des femmes. Je ne suis pas difficile, j’ai des attentes normales. C’est toi qui dois arrêter de nous voir comme des êtres sans personnalité. Une femme qui a des exigences n’est pas difficile elle est normale.
C’était un traitement dur pour un débutant mais il l’avait mérité, je ne pouvais pas le laisser prendre l’habitude de me critiquer publiquement. Un soumis doit comprendre que s’il met sa dominante au pied du mur il doit s’attendre à quelque chose de mémorable. Je l’ai attrapé par les cheveux.
— Ceux qui ont un truc entre les jambes n’ont pas le droit de critiquer c’est clair ? Tu as le choix, soit tu arrêtes soit je te les brise.
— Je suis désolé je ne recommencerais plus, vous êtes parfaite maitresse.
— Tu ne me critiques plus jamais c’est clair ?
— Plus jamais promis.
J’ai relâché sa tête.
— Minable.
J’étais frustrée, il m’avait vraiment énervée et je ne pouvais pas me défouler davantage sur lui. Heureusement j’ai repensé à une des règles que j’avais mises en place.
— Chétif ici ! Tu te souviens de ce que j’ai dit sur la responsabilité partagée en cas de faute du Chiot ? Même traitement !
Je lui ai défait sa cage, je lui ai explosé les couilles à son tour puis j’ai refermé le tout. Qu’est-ce que c’était bon, pour moi bien entendu.
— Dans la voiture !
Je venais de jeter un froid, s’ils s’attendaient à passer un week-end détendu ils pouvaient rêver, la discipline allait être de fer. Être mon soumis est une épreuve, pas des vacances. Je suis très castratrice lorsque l’on attaque mon autorité, deux soumis venaient de se prendre un rappel douloureux. Ils sont rentrés dans la voiture en marchant courbé, se tenant le sexe des mains. Le troisième savourait sa victoire, qu’il en profite, je finirai par gagner la guerre.

La suite par ici.

Dressage bdsm sévère pour un soumis débutant #53 : douleurs, chaines et fouet pour une soubrette ayant oubliée ses obligations

Hello 🙂

Au programme de ce post une grosse punition pour Simplet, mon soumis-soubrette en formation. De quoi rendre la soirée mémorable dans sa petite tête.

Sommaire de mon histoire en cours pour rattraper les parties précédentes si nécessaire.

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Pendant que ma consoeur faisait un peu de facesitting j’allais pouvoir m’occuper de ma soubrette. Simplet, en débutant qu’il était, n’avait pas brillé dans sa performance et dans une relation BDSM tout échec doit avoir des conséquences déplaisantes, sinon ce n’est pas amusant. Il marchait derrière moi pendant que je m’approchais du matériel.
— Simplet, Simplet, Simplet.
Je me suis retournée en pivotant rapidement sur la pointe des pieds, il s’est figé.
— Tu as aimé porter des talons et une jupe ?
Il a rougi.
— Oui maitresse.
— Et comment as-tu trouvé ta prestation en soubrette ?
Il a semblé gêné par ma question, il ne devait pas s’estimer mauvais mais ne pouvait pas me le dire tel quel, il était plus prudent pour lui de paraitre modeste.
— Pas excellente.
Je me suis éclaircie la voix.
— Pour résumer. Je te laisse le privilège de te travestir, en y mettant simplement une contrepartie insignifiante, tu devais juste me servir, je ne suis pas si difficile. Qu’est-ce que tu as fait ? Tu as trouvé intelligent de te concentrer sur ta satisfaction plutôt que de faire les efforts requis en remerciement.
En formulant ma phrase de cette façon vous comprenez bien qu’il n’ait rien trouvé à répondre.
— Tu ne me trouves pas assez généreuse pour mériter ton attention ?
— Ce n’est pas ça maitresse.
— Alors c’est quoi ?
— Je ne sais pas.
J’ai mis une main sur la hanche.
— Et après on me reproche d’être trop stricte. Comme si j’avais le choix !! C’est le seul moyen de vous gérer ! Comme ton statut inférieur le laissait présager tu n’as mis aucune bonne volonté dans ta mission, tu refuses de souffrir pour une cause qui t’es supérieure, moi.
Un discours classique mais s’il est efficace pourquoi s’en priver. Les fantasmes reposent sur des schémas classiques, cela rassure les soumis et leur donne un minimum de contrôle. Par moment je fais preuve d’originalité mais la plupart du temps je suis prévisible.
— Tu te prétends un être intelligent alors même que tu te laisses mener par ta queue ?Espèce de raté. Tu m’as déçu, et ce n’est pas une attitude que je tolère.
— Pardon maitresse
— Pourquoi tu n’as pas voulu respecter ta part du marché ?
— Je ne suis pas assez doué.
J’ai rigolé.
— C’était au-delà de tes capacités ? Laisses-moi rire. Si même en soubrette tu arrives à rater tes objectifs… Ce n’est pourtant pas si difficile. Je me demande ce qu’il va falloir inventer comme rôle si même cette tâche basique t’échappe.
Je l’ai regardé fixement pour créer un moment de silence et ainsi contraster avec ma hausse d’intonation qui allait suivre.
— Trêve de plaisanterie, il n’y avait rien de compliqué ! Tu n’as pas eu envie de le faire, pas la volonté d’affronter la difficulté, c‘est ça la vérité. Les couilles synonymes de courage ? Et puis quoi encore. Vous avez bien escroqué le monde en le faisant croire. Pour le coup c’était bien joué. Eriger la virilité en parangon de vertu a été l’arnaque du millénaire. Mais toutes les tromperies ont une fin. À un moment ou à un autre tous les mensonges s’effondrent.
J’ai soupiré en levant les yeux au plafond. J’en ai profité pour me calmer. Faire redescendre la pression pour mieux la faire remonter plus tard.
— Je dis ça mais je devrais montrer l’exemple. Je sais bien que j’essaye de me voiler la face. Je ne trompe personne. Je vais être honnête. Je vais le dire une fois pour toute. Si tu as échoué c’est ma faute. Je ne dois pas rejeter la responsabilité sur toi, c’est uniquement ma faute.
La réplique était inattendue, après avoir été classique je me permettais un peu d’improvisation. Je lui ai laissé un instant pour qu’il puisse comprendre où je voulais en venir.
— Un soumis mal dressé c’est toujours la faute de sa maitresse. Si j’étais plus stricte avec toi tu n’agirais pas comme un con. Si je ne t’avais pas épargné dès le départ tu n’aurais pas pris tes aises. J’ai été trop gentille, ça me perdra. J’ai fait une bêtise j’assume. Maintenant je me remonte les manches et je te donne un aperçu de l’enfer comme j’aurais dû le faire depuis le début. J’espère que tu es fier de toi tu viens de compromettre le sort de tous les hommes qui passeront après toi. Je ne me laisserais plus jamais avoir à ce point.
Il y avait une certaine logique, si j’avais été plus stricte il n’aurait pas osé échouer et en même temps je lui annonçais que j’allais lui en faire baver. Les menaces les plus crédibles sont celles qui sont logiques. J’essayais de faire prendre à ses quelques erreurs des proportions bibliques.
— Demi tour. Mains sur la tête.
J’ai fini de m’approcher du matériel à disposition, comme j’étais dans son dos il ne pouvait pas voir ce que j’étais en train de préparer.
— Tu sais ce qui arrive aux soubrettes pas sages ?
Il a répondu avec un stress dans la voix.
— Elles sont punies.
— Encore heureux. Et plus précisément ?
Avant même qu’il ait eu le temps de répondre j’ai fait claquer un fouet sur le sol. Une lanière simple en cuir de plus d’un mètre provoquant un bruit si particulier, un son propre à vous glacer le sang. J’étais dans son dos donc je n’ai pas pu voir la réaction sur son visage mais j’ai senti qu’il avait fermé les yeux en comprenant ce que j’avais en tête. C’était peut-être simplement mon imagination, en tout cas c’est l’effet que j’avais voulu provoquer.
— Les soubrettes pas sages tâtent du fouet. Quoi de plus normal tu ne trouves pas ?
— Oui maitresse merci.
Rien qu’au son sec du fouet contre le sol il avait déjà commencé à trembler. Je n’aime pas être loin de mon soumis pendant la punition mais le fouet est efficace pour la discipline. Du point de vue sonore la stimulation est terrible. Il ne fait pas simplement mal, il en impose, je ressens la douleur provoquée.
— Tu vas le détester. C’est un instrument de discipline très sévère et j’en abuse sur les soubrettes. Les ratés comme toi n’ont plus rien à perdre, vous êtes déjà au fond du trou. Une douleur extrême, c’est la seule chose qui reste efficace à votre niveau.
Je suis passé devant lui, à l’expression sur son visage je peux vous dire qu’il regrettait déjà son manque d’implication.
— Mais tu vas aussi le recevoir parce que je l’ai décidé, et quand je décide quelque chose qu’est-ce qui ce passe ?
— Ça arrive.
— Pourquoi ?
— Parce que vous êtes une femme et que vous dirigez le monde. Ce que vous voulez doit être fait.
J’ai enroulé le fouet et je le lui ai mis sous le nez.
— Embrasse.
Il a avancé la bouche, posant délicatement ses lèvres sur le cuir, craintif mais l’acceptant comme nécessaire. Il a parlé d’une voix étouffée.
— Je suis désolé.
J’ai gloussé.
— Comme si ça allait changer quelque chose.
Je me suis éloignée de lui.
— Les autres abrutis venez ici.
J’ai désigné Simplet du fouet.
— Déshabillez le.
Ils se sont affairés, bien content d’être à leur place et pas la sienne. Pièce après pièce sa tenue de soubrette a finie sur le sol. Sa peau était désormais totalement exposée à mon fouet.
— Une fois nu vous l’attacherez aux anneaux du plafond.
Je suis assez classique sur ce point, j’aime donner le fouet sur un soumis en Y.
Une fois qu’ils ont eu finis ils m’ont regardé, attendant la suite des instructions. Le soumis arrivé troisième s’est mis à genoux, rapidement imité par le premier. J’aime constater que les leçons finissent par rentrer dans leur petite tête de mâle.
— Allez chercher des plugs vibrants et asseyez-vous dessus par là. Assez près pour voir ce qu’il va arriver à votre camarade mais pas trop pour ne pas vous prendre des coups. C’est que c’est dangereux un fouet. Il ne faudrait pas que quelqu’un soit blessé à son contact.
J’ai regardé Simplet en souriant.
— En tout cas pas involontairement.
C’était paradoxal, il n’essayait pas de fuir, il semblait vouloir que je commence à le frapper ou plutôt il voulait vite commencer pour en finir. C’était vain, j’allais commencer quand cela me chanterait et pas une seconde avant.
Les deux autres soumis se sont mis en position comme je leur avais demandé.
— Vous allez assister à une correction. C’est un événement heureux donc je veux que vous y preniez plaisir. C’est bien de voir la justice en action, il faut s’en réjouir, c’est le bien qui triomphe. Pour être sûre que vous associez ce moment à quelque chose d’agréable je veux que vous vous masturbiez tout le long. Attention ! Pas de jouissance, juste du plaisir c’est compris.
— Oui princesse.
— Sinon il va vous arriver quoi ?
J’ai désigné un des deux soumis pour qu’il réponde.
— Je me retrouverais à sa place.
— Bien.
Je me suis mise en position, me servant de mon autre main pour guider la lanière quand elle partirait. J’aime la sensation du cuir qui file entre mes doigts. Le premier coup est parti sur ses fesses, très classique pour débuter en douceur. Sur le dos la douleur est plus difficile à supporter tout en restant acceptable, la vraie difficulté arrive lorsque le fouet commence à enlacer tout le corps, lorsque le ventre, le torse, le sexe commencent à être touchés. C’est une douleur très spéciale.
J’ai alterné les coups assez doux avec les vrais qui lui arrachaient des cris. Le fouet était plutôt moyen, 1m5/2m je dirais, en cuir ou tout du moins recouvert, il était plutôt léger. De quoi laisser des marques rouges sans blesser. Chez moi j’ai du matériel bien plus efficace, il faut ce qu’il faut pour mater des hommes.
Après quelques minutes je me suis approchée de lui pour profiter de la chaleur des marques, j’ai passé mes doigts sur les trainées rougeâtres. J’étais plutôt satisfaite de mon travail.
— Il parait que ça fait mal, je suis sûre que je peux mieux faire. Qu’est-ce que tu en dis ?
— Avec vous tout est possible maitresse.
Je ne suis pas sûre que c’était pensé comme un compliment, j’allais néanmoins le prendre comme tel.
— Nous allons jouer à un jeu. Tu vas devoir garder la bouche fermée quoi qu’il arrive. Tu peux gémir mais pas ouvrir la bouche. Le gage si tu perds sera …
Je me suis mise à réfléchir.
— Tu préfères une menace si tu échoues ou une récompense si tu réussis ? Qu’est-ce qui te motiverait le plus ?
Sur son visage je pouvais lire sa réponse « je m’en fou ». Il a soupiré.
— Je ne peux pas choisir. Une seule des options est possible. Mon statut inférieur ne me permet pas de recevoir de récompense.
— Tu es sûr de ne pas vouloir de récompense ?
— J’en ai envie mais je ne dois pas me laisser diriger par le bout de ma queue ou vous allez la punir.
— Donc tu préfères volontairement renoncer à prendre du plaisir ?
— Je préfère arrêter de le chercher, il est sans importance. Tout ce qui compte c’est la raison pour laquelle j’existe : vous servir.
— Bonne réponse.
Les soumis deviennent très motivés lorsqu’il s’agit d’éviter un supplice trop long. C’est une des techniques disponibles pour gérer la difficulté des sessions.
J’ai repris ma position de départ non sans lui donner une claque sur les fesses au passage. J’ai refait claquer mon fouet sur le sol avant de reprendre ma punition, il pliait les genoux à chaque coup pour atténuer la douleur.
Je prenais un vilain plaisir à y aller de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je le faisais danser sous les coups. J’ai fini par avoir mes cheveux en pleine figure. Une des raisons pour lesquelles je m’attache habituellement les cheveux est que sinon je finis par les manger. Je reconnais que les avoir relâchés donne un style plus « sauvageonne » mais pendant les punitions ce n’est pas pratique du tout, surtout lorsque je fais des grands mouvements.
J’ai profité de ma pause forcée pour jeter un coup d’oeil aux autres soumis, ils étaient toujours en train de s’astiquer le manche.
— Le spectacle vous plait ?
— Oui, merci princesse.
Je suis allée prendre les télécommandes de leurs plugs. J’en ai enclenché une avant d’alterner le regard entre les deux soumis pour voir lequel était stimulé. Aucun d’eux ne réagissait. J’ai pris un air contrarié, peut-être un peu trop pour être honnête…
— Le matériel c’est comme les soumis, pas très fiable.
J’ai passé la vitesse de vibration supérieure.
— Toujours rien.
À mon sourire ils se doutaient bien que je jouais volontairement à l’idiote. C’était Simplet que j’étais en train de torturer, il avait un oeuf vibrant dans les fesses depuis le début. Un peu de plaisir « accidentel » pour rendre la punition plus supportable. J’ai passé une vitesse de plus, il a commencé à se mordre les lèvres.
Je suis allée vers lui en souriant.
— Tu ne vas pas avoir la bêtise de me dire que je me suis trompée par vrai. Une femme qui se trompe ça n’existe pas. Je ne peux pas faire d’erreur. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Non maitresse.
— Donc tu vas rester stoïque pas vrai ?
— Oui maitresse.
J’ai rigolé avant de couper les vibrations.
— Bien, fini la récréation, repassons aux choses sérieuses.
Je suis allée prendre une barre d’écartement pour la lui mettre aux chevilles. J’ai ensuite détaché sa cage avec un sourire malicieux. Je voulais lui faire croire que son sexe allait y passer lui aussi.
— Où est-ce que tu veux le prochain coup ?
— Pas sur les couilles s’il vous plait.
— Pourquoi.
— Elles sont trop faibles pour le supporter.
— Tu préfèrerais qu’elles soient au chaud dans ta cage ?
— Oui maitresse s’il vous plait remettez-moi ma cage.
— Tu peux faire beaucoup mieux. J’en suis sûre. Implore-moi comme si le sort de tes couilles en dépendait. Non attend. C’est justement le cas.
J’ai rigolé de plus belle.
— S’il vous plait maitresse épargnez mes pitoyables couilles, soyez indulgente, une déesse doit être miséricordieuse envers tout ce qui est petit et fragile.
Quand un homme en vient à montrer autant de passion lorsqu’il critique son sexe c’est qu’il a vraiment peur de la menace qui pèse sur lui. Tant mieux la suite n’en serait que plus excitante. Il comprenait désormais l’utilité de la barre d’écartement, il pouvait lutter autant qu’il voulait il n’allait pas pouvoir cesser d’exposer son sexe.
— Si je te la remets ça sera pour combien de temps ?
— 1 mois !
— C’est tout ? Elles ne doivent pas être si fragile que ça après tout. Tu n’as pas l’air motivé.
J’ai négligemment fait claquer le fouet sur le sol.
— 2 mois !
— Rien que des mots. D’ici 15 jours tu en pleureras de frustration. Tu n’as pas idée de ce que tu es en train d’abandonner.
— Peu importe, je n’aurais pas le choix que de le supporter. Laissez-moi une chance s’il vous plait.
J’ai pris un instant pour agréger toutes les données. Je lui avais déjà mis une copieuse volée de coup il était à bout, à moi de finir en beauté. Comment achever cette série ? J’ai eu une idée.
J’ai mis une main sous ma jupe et j’ai fait glisser ma culotte jusqu’à mes pieds. Les deux autres soumis venaient d’arrêter de se stimuler, probablement de peur d’aller trop loin. Savoir que nous sommes sans sous-vêtement est une fantasme très efficace pour stimuler l’imagination de ces messieurs. Je connais certaines maitresses qui en mettent deux rien pour le plaisir de faire fantasmer à tort le soumis, savoir qu’elles contrôlent la situation, qu’elles ne sont pas réellement nues sous leur jupe. Jouer avec les fantasmes est amusant.
J’ai ramassé ma culotte pour l’approcher du visage de Simplet.
— D’accord pour deux mois. Je ne veux plus rien entendre à partir de maintenant. Ouvre la bouche.
Il a obéi docilement pendant que je lui enfournais ma culotte comme un bâillon. Pour la dernière série de coup j’allais entrecouper mes salves d’un sermon, pour appuyer l’humiliation et la douleur.
— 15 coups, soit sage et je m’arrêterais là pour toute la fin de soirée, plus de coups pour toi.
Le premier coup est tombé en travers de son dos, un prélude au champ de bataille que j’allais installer sur son corps.
— C’est bien les hommes.
Le second coup a claqué sur ses fesses lui faisant faire un bond avant qu’il ne reparte en arrière à cause des attaches.
— Toujours à mentir.
Cette fois-ci j’ai entouré tout son ventre.
— À cacher l’effroyable vérité.
Par provocation j’ai fait claquer un coup sur le sol pour le faire sursauter. Le coup suivant est arrivé dans la foulée avant qu’il n’ait le temps de comprendre.
— Votre queue aussi grande que votre courage.
Même avec ma culotte dans sa bouche je pouvais entendre clairement ses gémissements, ils devenaient de plus en plus intense.
— Vous préférez obéir à votre queue plutôt que de suivre nos sages conseils.
J’ai commencé à accélérer le rythme des coups, j’allais le faire danser, sautiller d’un pied sur l’autre dans très peu de temps.
— Toujours à nous déshabiller du regard.
Je me suis acharnée sur ses fesses, le coup suivant tombant également sur elles.
— À penser que nous ne sommes que des récompenses pour votre bon plaisir.
J’ai jeté un coup d’oeil aux deux autres soumis s’astiquaient de plus belle, ils ont eu comme un doute sur le moment.
— Vous êtes grossier et vous vous prétendez supérieur à des créatures aussi parfaites que nous. Où est la logique ?
Les chaines au plafond n’arrêtaient pas de cliqueter sous ses mouvements, le fouet ça brûle vraiment, il fallait bien ça pour l’immobiliser.
— Tu es fait pour ramper, te trainer au sol jusqu’à mes pieds.
Bientôt le denier coup, 15 coups c’est très court. Je montais en puissance pour qu’il garde la sensation le plus longtemps possible, quelques marques temporaires sont un joli cadeau souvenir pour un soumis qui sort d’une soirée
— Tu vois ce que c’est le vrai pouvoir ?
J’avais pris le partis d’accompagner la montée en intensité de mes coups en haussant la voix.
— Tu vois cette impuissance lorsque tu es en face de moi ?
Il gigotait de plus belle
— Tu es un homme.
Le coup suivant est passé très près de son sexe, j’avais dit que je ne le toucherais pas mais ça me faisait envie. Tout ce que je m’interdis m’attire.
— Je suis une femme.
Pour l’avant-dernier coup j’ai hésité. Ça allait être un doublé, deux coups d’affilé sur les cuisses pour qu’il s’en souvienne à chaque fois qu’il serait assis pendant l’heure qu’il restait.
— Tu me dois obéissance et respect !
Le fouet est retombé sur le sol lourdement, comme inanimé, épuisé d’avoir effectué sa tâche. Simplet avait eu un peu le même comportement, après le concert de gémissement il était désormais calme, épuisé par l’effort, sanglotant. Je lui ai enlevé ma culotte de la bouche pour l’aider à reprendre son souffle.
— N’oublies jamais que la vraie place d’un homme c’est d’être à mes pieds
— Oui maitresse.
Je l’ai détaché, il est tombé sur le sol à mes pieds, hésitant à les embrasser. Je lui ai mis un pied sur le dos comme je l’aurais fait avec une bête conquise. Je lui ai appuyé sur les marques, tournant ma semelle pour pincer sa peau, jouant avec mon talon et les rainures laissées par le fouet.
J’ai regardé les deux autres soumis.
— Bien. Vous 2 arrêtez de vous toucher, la justice a été rendue vous n’avez plus de raison de vous satisfaire.
— Bien princesse.
— Simplet tu peux me remercier et embrasser mes chaussures.
— Merci maitresse.
Je l’ai laissé faire pendant quelques minutes.
J’étais montée haut dans les niveaux de douleur, en tout cas pour un débutant, c’était la fin de soirée je devais monter les enchères, c’était le dernier sprint.
— Bon, il nous reste encore une heure à meubler, j’ai dit que je n’allais plus de frapper et je vais tenir ma parole. Cela ne veut cependant pas dire que tu es en vacances. J’ai dit que j’allais arrêter les coups, pas que j’allais te laisser tranquille. Il y a un aspect de la soumission que j’aimerais tester. Tu vois de quoi je veux parler ?
Il a secoué la tête.
— Ah. Tu n’as pas encore retrouvé ta lucidité. Je trouve que tu ne gères pas très bien l’humiliation. Tu sais ce que nous allons faire pour y remédier ? Je vais prendre 30 minutes pour te montrer que la honte ne tue pas. Crois-moi après ça tu seras vacciné contre toutes les humiliations.
Je présentais ça comme une punition mais ça allait davantage être sa récompense pour toute la soirée, un jeu mémorable que j’allais associer à une prise de plaisir. Il était chaste depuis quelques jours il avait bien mérité quelque chose.

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La suite par ici !

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