Week-end avec 3 soumis juin 2014 #23 : humiliations improvisées

Hello 🙂

Il est encore tôt mais je prends déjà des bonnes résolutions pour l’année à venir. Finies les publications erratiques je vais me forcer à respecter un planning. Si à la date prévue je n’ai écrit que 10 lignes alors 10 lignes ce sera. Une sorte de marche forcée rédactionnelle, une ligne après l’autre. Comme je suis aussi stricte avec moi qu’avec mes soumis ça sera un traitement de choc : mardi, jeudi et samedi, parce qu’aucune difficulté n’est insurmontable lorsqu’on y met les moyens. N’y voyez pas une prise de risque, plus le challenge est grand plus je suis motivée. C’est quand je suis débordée qu’il faut que je redouble mes efforts pour réussir.
C’est un cliché mais j’ai une tendance à la procrastination, ça doit être inclus dans le package de base de l’auteur débutant 😀 Si je me laisse des délais j’en abuse.
Pour joindre les actes à la parole voici en l’état le prochain post. Initialement cette partie devait servir d’introduction au post sur le fouet mais puisque c’est le jour de publication obligatoire je l’isole en post indépendant. Vous aurez donc le fouet jeudi (enfin le post, le fouet c’est Chétif qui l’a eu ^^).
Quoi qu’il en soit au programme du jour un peu d’humiliation, ça fait toujours du bien, enfin à moi en tout cas … 🙂 D’ailleurs pourquoi je dis « un peu » ? C’est tout sauf « un peu » ! J’en ai mis plein la gueule à ma malheureuse victime.

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Sommaire du récit
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Pour vous remettre dans le bain de mon tête-à-tête avec Chétif. La première phase (la ceinture sur les mains) avait pour but de l’échauffer et de me fournir un prétexte pour me mettre en colère. La deuxième phase (sur le chevalet une longue série de coups sur les fesses) devait le faire passer en mode « encaissement », le préparant ainsi au fouet tant promis. Lorsque vous jouez avec un masochiste aimant les activités intenses il faut respecter une certaine progressivité dans les jeux. Cette notion de rythme a été un des aspects les plus compliqués à maitriser à mes débuts. Lorsque vous dédiez un week-end au plaisir, parce que le BDSM n’est qu’une façon particulière d’en avoir, il est difficile de ne pas se laisser emporter par toutes les possibilités qui s’offrent à vous. Si vous ne vous fixez pas un planning la situation peut vite dégénérer. Il est tellement simple de se laisser griser par le pouvoir. Par définition une dominatrice doit avoir le contrôle de la situation, donc également d’elle-même, sinon elle arrivera aux limites de ses soumis trop tôt et tout retombera comme un soufflet mal cuisiné.
Avec les soumis il faut savoir temporiser et quand certains râlent, parce qu’il y en a toujours au début, je leur montre mon côté « intense » pour leur faire comprendre ce dont je suis capable s’ils me cherchent. J’estime que si un soumis ne peut pas passer 30 minutes au coin sans se faire remarquer c’est qu’il n’a pas bien assimilé qui commande. De toute façon s’il n’est pas content de la façon dont je le traite je ne l’empêche pas de partir. Pas mal de soumis ne sont en définitive que des gamins gâtés qui ne savent pas ce que se soumettre veut dire. Ils ont été habitués aux prestations tarifées à la carte (pour rester polie) où ils ont tout ce qu’ils veulent, tout de suite et sans effort (autre que financier). Lorsque ces personnes tombent avec une femme qui n’en fait qu’à sa tête ça les énerve. Par exemple les fétichistes ne comprennent pas pourquoi ils doivent attendre des semaines avant d’approcher leurs lèvres de mes pieds, ils considèrent qu’en disant qu’ils sont soumis ils ont fait assez d’effort pour me mériter. Non ! J’ai besoin de preuves.
Peu importe, ce week-end était l’occasion rêvée de s’amuser avec des pratiques difficiles à mettre en place en temps normal. Chétif avait mérité que je sorte le fouet (ce qui pour lui était une récompense je le rappelle) et cela tombait bien j’en avais envie aussi. J’ai une réaction bizarre avec le fouet, il m’excite et en même temps je l’utilise peu. Dans mon esprit c’est l’instrument d’esclavage par excellence, il symbolise l’arrogance des propriétaires sur des êtres réduits au rang d’outils dociles.
Beaucoup de maitresses vous dirons qu’elles préfèrent avoir une relation plus profonde avec leurs soumis, qu’elles veulent être en couple avec eux. J’ai bien sûr cette envie mais j’ai toujours ce fantasme de « harem masculin », de dominer en masse. Je rêve de régner en maitresse sur mon domaine, idéalement dans un pays tropical, où mes principales occupations seraient de me prélasser à l’ombre, gardant un oeil sur un groupe de mecs torse nu et musclé, bien sûr tous en sueur à force de travailler en plein soleil. Je les fouetterais régulièrement et généreusement pour améliorer la productivité. Un fantasme un peu particulier, ce qui n’est pas un critère pour le rejeter. Qui sait, un jour j’arriverais peut-être à la réaliser. Je me demande si vous seriez intéressé une fiction sur ce thème, d’un autre côté j’ai déjà tant de chose à finir.
Je m’égare, ce qui arrive souvent lorsque je pense au fouet, mais comment ne pas être en transe dès que vous entendez son claquement si magique, rien qu’à y penser j’en ai des étoiles plein les yeux.
Revenons au fouet, pour l’administrer correctement j’avais prévu d’aller dehors, une séance réussie ne se base en effet pas que sur des critères matériels mais également sur une ambiance. J’ai du mal à imaginer comment je pourrais administrer le fouet ailleurs qu’en plein air, à l’ombre d’un arbre. Pour mon fantasme ce serait impossible. C’est ce qui explique que je ne le sorte pas souvent, les arbres disponibles sont assez rares à Paris.
J’ai fait signe à Chétif d’arrêter d’embrasser mes chaussures. Il est resté la tête au-dessus, hésitant à voler un baiser de plus quitte à faire face aux conséquences. Heureusement pour lui il s’est rappelé à temps que ce qui l’attendait était suffisamment dur pour qu’il ne cherche pas à en rajouter. Je lui ai mis un collier avec un anneau dans lequel j’ai fait passer une laisse que j’ai laissée continuer jusqu’à l’arrière de sa cage de chasteté. J’allais pouvoir le tenir en laisse tout en tirant sur ses bourses s’il résistait.
Je n’étais pas si méchante que ça, ce système n’est pas le plus dur que je possède, j’en ai un qui fait saillir des ergots à l’intérieur de la cage à chaque fois que la laisse se tend. Je peux vous assurer que les soumis respectent mes directives et restent à mes pieds lorsqu’ils la portent. Je la sors dès qu’un soumis croit qu’il est malin de jouer au chien têtu, lorsqu’il refuse d’avancer.
Chétif n’était pas de ceux-là, il n’aimait pas être traité en chien mais sur le moment il craignait davantage ma colère. Il m’a suivi à quatre pattes, je l’ai complimenté.
— Ça c’est un bon garçon.
Je pense qu’il n’était de toute façon plus en état de marcher après la correction que je venais de lui mettre, ou tout du moins il ne s’en sentait plus digne. Il restait le nez au ras du sol pour éviter d’avoir l’air provocateur, il ne voulait pas que je le perçoive comme une menace à mater.
J’aime bien tenir un homme en laisse, c’est une pratique qui n’est pas impressionnante et pourtant elle symbolise parfaitement la relation que j’ai avec mes soumis. Je lui ai fait faire quelques tours de la pièce, j’étais contente de moi, je devais avoir l’air idiote avec le large sourire de bécasse que j’ai lorsque je suis heureuse. C’est une constante avec moi et ce jour là n’a pas échappé à la règle, plus je mets les soumis minable plus je deviens arrogante. Je me conduisais comme si avoir un homme en laisse était usuel. Lorsque je suis dans mon monde je m’épanouis. La confiance en soi c’est dans la tête et uniquement là, il n’y a pas de secret.
Nous sommes repassés par le salon avant de sortir, Chétif aurait tellement aimé qu’il n’y ait pas de témoin à son humiliation … Raté ! Mes deux autres soumis allaient pouvoir apprécier sa mise en laisse, ses fesses rouges et sa mine déconfite. Il baissait les yeux pour dissimuler qu’il avait pleuré. Il était mal à l’aise mais c’était pour son bien. Que serait une séance bdsm sans humiliation ? La honte est un composant essentiel de la soumission.
Mes deux autres soumis regardaient Chétif avec inquiétude, surtout après avoir vu le fouet enroulé dans mon autre main, ils devaient penser « faisons profil bas comme si nous n’avions rien vu ». Leur stress a augmenté d’un cran lorsque je me suis approchée d’eux.
— Alors les suceuses ça va toujours ? Non, ne répondez pas vous avez mieux à faire de votre sale bouche.
Dans ce genre de situation les soumis ont une réaction que j’adore, ils ont une petite voix dans leur tête qui voudrait les faire arrêter de sucer leur plug par fierté, ou tout du moins leur faire ralentir le rythme, et en même temps leur bon-sens leur dit de baisser les yeux et de ne pas se faire remarquer. C’était si pathétique de les voir supporter mes moqueries alors qu’ils continuaient leur mouvement de piston sur les godes, comme s’ils acquiesçaient à ce que je disais. C’était un bon coup de pied dans leur virilité, tout ce qui fallait pour m’exciter davantage.
— Jaloux ? Ou vous êtes bien à votre place ? Parce que je suis sûre que Chétif préférerait être à la vôtre.
Ce n’était pas vrai mais qu’importe.
— Je n’entends pas beaucoup de bruits de succion. Vous savez à quel point les hommes aiment sentir de l’aspiration au bout de leur queue. Vous vous souvenez de ce que ça fait d’augmenter la pression sur le gland pas vrai ?
Ils étaient ridicules à grimacer en imaginant être la cible d’un tel traitement, faire sucer un mec ce n’est pas simplement provoquer un inconfort c’est donner du plaisir alors qu’ils aimeraient en recevoir, c’est de la frustration.
— Chétif ? Soit un ange et va te mettre en place dehors. Trouve une branche assez solide pour passer les liens et attend moi. Je vais m’occuper de ces deux là d’abord.
— Oui maitresse.
Obliger un soumis à préparer son propre supplice est une torture très agréable je dois le reconnaitre mais mon objectif était surtout de gagner du temps pour pouvoir les ridiculiser.
Je me suis approchée du Chiot, sans rien dire je lui ai mis un pied sur la nuque pour l’inciter à aller plus bas et à rester plus longtemps en profondeur.
— Ça fait mal ?
Ayant un gode jusqu’au fond de la bouche et mon pied sur la nuque pour l’empêcher de remonter il n’a pu que grogner en réponse. J’ai intensifié ma pression pour le faire progresser de quelques millimètres, le petit surplus qui lui manquait pour vraiment gouter à la sensation de pénétration forcée. Le soumis doit accepter cette présence désagréable pour comprendre sa vraie place. J’ai continué à lui faire la morale.
— Lorsque l’on s’engage à donner du plaisir à une autre personne il ne faut pas bâcler sa tâche. Si tu étais en train de me lécher tu serais aussi peu motivé ? Tu penses qu’il y a une différence ? Moi pas ! Au contraire tu connais mieux le fonctionnement d’un sexe masculin donc tu devrais savoir comment rendre plus intense les effets. Tu ne dois pas expédier tes corvées si elles ne t’apportent pas de plaisir personnel, ce n’est pas ça la soumission. Un soumis se donne à fond dans tout ce qu’on lui demande de faire, son propre plaisir n’est que secondaire, ce n’est qu’une récompense qu’il doit mériter.
J’ai enlevé mon pied et il a pu relever la tête pour prendre sa respiration.
— Tu as mal à la mâchoire ?
— Un peu.
— C’est de l’inconfort ou une blessure ?
— De l’inconfort je crois.
— Alors en quoi cela t’empêche de bien sucer ?
Il a baissé les yeux sans répondre, je lui ai mis une gifle pour capter son attention.
— Eh ! C’est à toi que je parle ! C’est quoi le problème ici ? Ton attitude ou mon ordre ?
Il faisait la moue, il n’avait pas aimé être pris en défaut, et malgré la douleur de la gifle qui lui brulait la joue il résistait pour ne pas me donner la satisfaction de le voir pleurer. Il a marmonné craignant de s’en prendre une seconde.
— Mon attitude.
— Alors tu vas la rectifier ?
— Oui.
— Tu vas faire des efforts pour sucer sans faire ressentir que c’est une corvée ?
— Il est trop gros.
J’ai écarquillé les yeux.
— Quoi ? Ça ? Tu es sérieux ?
Son visage était sans expression, il savait que j’allais l’humilier sur la taille de son sexe et voulait me faire croire que ça le laissait indifférent, tous les hommes ont cette réaction et je la trouve hilarante. Il faut dire à leur décharge qu’ils n’y peuvent rien, c’est la nature qui a décidé pas eux. En un sens moi qui suis petite je comprends leur frustration, je n’aurais pas dit non à quelques centimètres de plus, c’est énervant de devoir se mettre sur la pointe des pieds à tout bout de champ dès que vous voulez attraper un truc un peu haut. Sans oublier que je dois lever les yeux pour regarder les gens qui me parlent c’est frustrant. Quoi qu’il en soit s’il espérait me faire lâcher prise il avait mal calculé son coup, je le prenais comme un défi personnel, j’allais le mettre très mal à l’aise. J’ai enchainé.
— 4 centimètres de diamètre et 20 centimètres de longueur, ce n’est pas gros, c’est normal. C’est représentatif d’un homme moyen en érection. Ce n’est pas parce que ta queue est petite que tu dois croire que vous êtes tous handicapés de la sorte.
Je sais très bien mentir en regardant dans les yeux, je n’ai aucun remord et ça terrorise les hommes de penser que je peux avoir raison. Après tout nous sommes les seules juges de la taille adéquate, il ne pouvait rien me rétorquer.
— C’est comme dans les attractions dans les parcs, il y a une taille minimale pour pouvoir entrer. Les mecs les plus petits devraient rester dehors. Vous ne méritez pas de connaitre le plaisir d’être à l’intérieur de notre corps, c’est nous insulter que de le faire. C’est ça, tu as insulté toutes les femmes que tu as pénétrées. Je veux bien croire que tes précédentes copines ont préféré ménager ta sensibilité en te mentant mais au fond de toi tu connais la vérité. Au fond de toi tu sais pourquoi ce sont des ex. Les orgasmes qu’elles ont simulés ne l’ont été que par pitié envers toi et uniquement pour ça. Et ne pense pas que tout ce qui est petit est mignon ou que c’est la façon dont on s’en sert qui compte. Un sexe c’est un outil. S’il n’ait pas fait pour ça peu importe ce dont il a l’air ou la façon dont tu t’en sers. Tu ne dévisseras rien avec un marteau peu importe qu’il soit mignon ou comment tu t’y prends.
Je me suis rendue compte que j’étais en train d’y aller fort avec lui, j’étais dure, l’humiliation peut vraiment faire mal si on n’y prend pas garde. Je me suis dit que je lui remonterais le moral un peu plus tard en lui disant que ce n’était qu’un jeu pour provoquer de la honte et non pas la vérité.
— Ce n’est pas grave. Tu ne dois pas t’en faire. Tu pourras compenser ton manque de puissance avec l’agilité de ta langue. Mais que ce soit bien clair, tu dois oublier l’idée de prendre du plaisir avec nous, tu ne pourras que nous en donner. C’est comme ça. Je ne suis pas bâtie pour faire du rugby donc je n’en fais pas. C’est logique. Tu n’es pas bâti pour nous pénétrer donc tu ne dois pas le faire. Il ne faut pas aller contre la nature. Alors maintenant tu arrêtes tes délires et tu apprends à te servir de ta bouche.
— Mais elle n’est pas faite pour ça, maitresse. J’ai une petite bouche. Je ne peux pas prendre tout ça. C’est trop dur.
J’ai soupiré avant de me reprendre à la volée, souriant après avoir eu une idée bien sadique.
— Si c’est trop gros pour l’entrée principale on peut toujours le faire passer par l’entrée de service.
Je l’ai provoqué d’un haussement de sourcil ce qui n’a fait que l’inquiéter davantage. Pour éclairer mon propos je lui ai mis une tape sur les fesses. Il ne voulait pas comprendre mon sous-entendu. Je me suis éloignée quelques instants pour aller chercher plusieurs objets. Lorsqu’il les a vus ses espoirs d’avoir mal compris se sont envolés.
— Voici 2 strap-on, des godes-ceintures, un petit et un gros. Les deux rentrerons en toi mais je te laisse le choix de l’endroit. Si tu es capable de complètement gober le gros avec ta bouche tu auras le petit dans les fesses. Ou vice versa …. Ne t’inquiètes pas avec du lubrifiant tout rentre.
Les soumis il faut savoir les motiver et e crois que j’avais trouvé un bon moyen.
— Vas-y avec la langue, glisse la tout doucement en faisant des petits cercles avec le bout.
J’avais machinalement mimé dans le vide ce que je voulais qu’il fasse et je ne m’en suis rendu compte que lorsqu’il a viré au rouge. J’ai ricané devant son embarra.
— Tu as imaginé que je te faisais une fellation c’est ça ? Tu veux que je t’en fasse une ?
Il a hésité avant de répondre.
— C’est une question piège maitresse ?
Je me suis approchée de lui en essayant d’être la plus sensuelle possible.
— Pourquoi ? Tu n’aimerais pas sentir ma langue sur ta queue. Un dernier plaisir avant ta mise en cage. Elle doit être en feu non ? Regarde-la comme elle est dressée. Elle n’attend qu’une petite stimulation pour faire tirer. Imagine ma langue glissant contre elle.
Il a réprimé son envie de plaisir du mieux qu’il a pu, je crois que ça a été douloureux. Je me suis relevée.
— Bien sûr que je rigole ! Tu ne crois quand même pas que je vais m’abaisser à te donner du plaisir. Il n’y a que les minables comme toi qui donnent du plaisir sans rien réclamer en retour.
À voir sa tête je supposais qu’il était en train de mourir d’envie de se caresser et tentait de toutes ses forces de résister.
— Pas de plaisir pour toi. Recommence à sucer tu as un challenge à relever. Bon entrainement !
Je l’ai laissé dans un état émotionnel intense. Je crois même qu’il claquait légèrement des dents. J’étais plutôt contente de mon effet.
Petit point d’anatomie avant de passer à autre chose, le vagin a une profondeur moyenne de 8 centimètres (extensible jusqu’à 12 cm à pleine excitation) et les zones sensibles sont à l’entrée. Au fond vous avez le col de l’utérus et il est fermé en temps normal. Si vous voulez aller plus loin il faut le déchirer et ce n’est probablement pas agréable (sa dilatation au moment de l’accouchement n’étant pas plus douce). Donc les délires masculins de pénétration profonde n’ont aucune réalité matérielle. Quoi que vous fassiez vous ne pourrez pas aller plus loin que 8 à 12 cm, le reste ne sert à rien. Nous ne sommes pas toutes des actrices porno ayant été tellement défoncées que nous pourrions accepter n’importe quoi. J’insiste sur ça au risque de casser le rythme du texte mais c’est important. Plus jeune j’ai été tenté par essayer des sextoys volumineux, pour voir si c’était vraiment mieux, et je peux vous assurer que si je n’ai rien contre un modèle un tout petit plus gros que la nature j’ai rapidement atteints mes limites. Si vous faites une double pénétration à une femme normale elle saigne, elle ne prend pas son pied. Tout ce que vous voyez dans les porno n’est pas à reproduire il faut savoir garder le sens des réalités. C’est également valable en BDSM.
Il ne faut pas s’inquiéter la nature est bien faite et même des « petites queues » sont tout à fait capable de nous donner du plaisir. Le reste ce n’est que du fantasme. Je dirais même qu’au contraire les hommes qui se croient les moins gâtés compensent en étant plus attentionnés. D’ailleurs j’ai rapidement compris que j’avais tout à gagner à ne pas les complimenter. Sur le moment ils sont vexés par un « peut mieux faire » mais il ne faut pas se laisser submerger par la culpabilité d’avoir été directe, la fois d’après vous voyez la différence.
Précision faite, retour au récit. J’ai posé mon regard sur Chouchou, il n’avait rien perdu de la scène.
— Toi je ne te fais pas passer à plus gros. T’es tellement une salope que tu serais capable d’aimer ça pour de vrai.
— Oui maitresse. Je suis une grosse salope.
Il essayait de se rattraper en étant coopératif à l’extrême. Il n’est pourtant pas si facile d’obtenir mon pardon. J’ai attrapé une paire de pinces à sein. J’ai posé la première sans ménagement. Il a sursauté, je lui ai mis une gifle.
— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as un problème ?
— Non maitresse, pardon.
J’ai posé la deuxième pince encore plus violemment.
— Continue de sucer !
Fini la rigolade je lui signifiais que j’allais bientôt le punir pour sa bêtise précédente, il avait eu assez de temps pour réfléchir, une fois fini avec Chétif ce serait son tour.

Dressage bdsm sévère pour un soumis débutant 54 : l’humiliation finale !

Hello 🙂

Un des derniers posts de la série, en tout cas de cette soirée. J’ai essayé de le rendre intéressant mais je n’arrive pas à me mettre dans l’état d’esprit adéquat. Tant pis je ne vais pas vous laisser sur votre faim l’action en elle-même est intéressante et rattrapera mon manque de style.

Sommaire de mon histoire en cours pour rattraper les parties précédentes si nécessaire.

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Je lui avais annoncé de l’humiliation, après une grosse douleur comme celle du fouet elle permettait de laisser son corps se reposer tout en le soumettant à une autre forme de torture. Pour faire un peu de sémantique il y a une différence entre l’humiliation et la dégradation. La première consiste à forcer le soumis à faire face à une situation embarrassante, c’est le mettre mal à l’aise. La deuxième est plus extrême et consiste à le réduire à un statut inférieur, lui faire faire des actes répugnants, c’est bien plus compliqué à surmonter. Ayant affaire à un soumis débutant j’allais le ménager, l’humiliation « simple » serait bien suffisante je n’allais pas chercher à le détruire. Chaque chose en son temps et une dominatrice responsable doit parfois ronger son frein pour garder des cartouches pour les sessions suivantes, je ne pouvais pas griller toutes mes cartes dès le départ.
L’humiliation consiste donc à mettre le soumis mal à l’aise, ce qui pose un problème puisque malgré tous les supplices que je lui inflige il y a une certaine complicité qui s’installe entre nous. Il s’habitue à ce que je porte sur lui un regard méprisant et sait que je ne lui veux pas autant de mal que j’essaye de lui faire croire. C’est pour cela qu’une bonne humiliation ne se fait pas en privé, elle devrait toujours avoir lieu aux yeux d’un maximum de personnes pour être efficace. Il y a toute une excitation à agir de manière impudique à la vue de tous, ne plus pouvoir dissimuler nos vilains secrets, c’est un effort sur soi-même assez difficile donc la récompense est à la hauteur. Comme nous étions dans une soirée cet paramètre n’allait pas être compliqué à mettre en place.
Nous étions de retour dans la salle principale à la recherche d’une alcôve où nous installer pour la suite. Au départ l’ambiance des soirées est un peu froide, il faut du temps pour que tout le monde se lance mais comme nous étions en fin les autres participants s’affairaient dans des pratiques très intéressantes. J’ai pris un moment pour observer, je suis toujours à la recherche de nouvelles idées.
En fond sonore il y avait un peu de musique électronique, il m’arrive aussi d’en mettre pour me canaliser. Par moments j’ai vraiment beaucoup d’énergie à revendre, j’aime danser, bouger en rythme, ça évite que je me défoule trop sur un soumis. Je suis d’accord que ça peut gêner la concentration et l’ambiance, question d’équilibre entre les effets à obtenir. En tout cas à ce moment-là elle me permettait d’avoir un pas plus léger et ainsi de contraster avec la démarche de mes soumis. Ils étaient bien plus crispés, surtout Simplet, un mélange d’appréhension et d’impatience. C’est tout un plaisir de savoir que vous allez passer entre les mains de votre dominant. Il n’y a pas de rejet bien au contraire les soumis deviennent très serviables.
Sur le chemin les regards scrutaient les marques sur le corps des victimes de la soirée, ce sont des « blessures de guerre » enviées qui font l’objet d’admiration. Il faut voir comme les soumis font les fiers entre eux. Ça ne me dérange pas, au contraire, c’est un contraste avec leur réaction face à moi, je ne m’en sens que plus forte.
Lorsque nous avons trouvé un coin où nous installer la tension est montée d’un cran. Il y avait un plan de travail équipé avec de quoi entraver une victime. Je me suis approchée pour descendre la hauteur de la table au plus bas, de façon à ce que la tête d’un soumis allongé dessus soit au niveau de mes genoux.
— Simplet, toujours d’accord pour un peu d’humiliation ?
— Je crois maitresse.
— Ne t’inquiètes pas, je suis là pour prendre les décisions à ta place et je suis sûre de ce que je veux.
J’ai claqué des doigts.
— Sur le dos.
Il s’est mis timidement en position, n’osant pas montrer de résistance. J’imaginais qu’il avait les jambes en coton, je pouvais sentir les tremblements dans ses membres. D’une manière symétrique je gagnais en vigueur, je dois être une sorte de sangsue émotionnelle, j’aspire la force de mes soumis pour en gagner, j’allais dire une vampire mais je ne voudrais pas être associée aux niaiseries de Twilight. J’ai regardé les deux autres soumis, il m’en manquait un qui était toujours en train d’apprécier un facesitting, ils étaient impatient de savoir quel rôle j’allais leur attribuer.
— Attachez-le.
Les mains de Simplet ont été liées aux coins de la table, ses chevilles l’ont été à des chaines en hauteur grâce à des pylônes.
— Mettez un coussin sous son dos pour l’aider à monter les fesses.
Une fois qu’ils ont eu finis je me suis approchée à mon tour, j’ai inspecté les liens. Ce n’était pas techniquement nécessaire mais cela fait partie du rituel, faire prendre conscience au soumis qu’il est bien attaché, vulnérable. J’ai hoché la tête satisfaite du travail.
— Confortable ?
Il a failli répondre « oui » avant de se reprendre. C’est dangereux pour un soumis de dire que sa position est agréable, c’est un appel à davantage d’inconfort.
— J’ai déjà assez de chance d’être à vos côté maitresse je n’ai pas à me plaindre.
J’ai passé ma main sur son torse pour y chercher ses tétons. J’y ai accroché des pinces reliées par une longue chaine.
— C’est pour plus tard.
Je me suis éloignée pour aller prendre un harnais en cuir.
— Tu sais ce que c’est ?
— Non maitresse.
J’ai souris.
— Bien, ça sera donc une surprise.
Je lui ai mis autour de la taille, c’était un attirail destiné à maintenir son sexe dans une position déterminée, j’allais le faire pointer vers son visage. Là, je crois que vous me voyez venir, lui aussi d’ailleurs. J’ai rigolé en voyant l’expression de son visage, il avait eu une bouffée d’angoisse. Avec un coussin sous ses fesses et les chevilles attachées en hauteur j’avais un angle parfait à disposition pour ajuster le tir. Il a essayé de tester ses liens pour voir s’il pourrait esquiver au dernier moment, trop tard i pétait pris au piège.
— Alors ? Qu’est-ce que ça fait d’avoir un canon chargé pointé sur son visage ? C’est un petit calibre mais tout de même.
Il n’a pas su quoi répondre. Le pire dans tout ça c’est qu’à l’idée de se tirer dessus il prenait en volume. Je lui ai mis une tape sur la joue.
— Courage, ce n’est pas un petit facial de rien du tout qui va te tuer.
De manière très compatissante les deux autres soumis et les spectateurs, parce qu’il y avait déjà du monde qui était venu regarder, se moquaient de sa situation. Je suis allée chercher un strap-on, un beau gode-ceinture suffisamment gros pour l’intimider.
J’ai pris un moment pour l’observer, une victime offerte en sacrifice à la déesse que j’étais, j’ai savouré l’instant. Il était immobile, le corps tétanisé, presque dans un état second. J’adore la détresse dans les yeux des soumis à la vue de ce phallus en plastique qui va bientôt les prendre. J’ai pincé une de ses marques sur les cuisses.
— Toujours sensible ?
Il avait les yeux humides, retenant quelques larmes.
— Oui merci maitresse.
J’ai pris ses hanches d’une main douce.
— Je suis fière de toi.
J’ai écarté ses fesses pour sortir l’oeuf vibrant qui l’avait travaillé toute la soirée en tirant sur sa ficelle.
— Détends-toi, plus tu lutteras plus tu auras mal.
J’ai commencé à m’enfoncer en lui. Après avoir puni l’extérieur de son corps je prenais possession de l’intérieur. Il a levé les yeux vers le plafond en me sentant glisser dans son fondement.
— Regardes ta queue. Je veux que tu voies le coup partir.
— Oui maitresse.
Je voulais également qu’il me voit au-dessus de lui en train de le prendre, une vue très excitante à n’en pas douter.
— Je te promets que je te fais mal si tu ne le fais pas.
J’ai tiré sur la chaine qu’il avait sur les tétons, il a eu un soubresaut avant de réunir assez de volonté et de regarder son sexe en face. J’ai intensifié mes vas-et-vient.
— Et puis tu ne la verras pas de sitôt hors de sa cage. Combien tu voulais déjà ? Deux mois sans libération ? Profites bien de ce dernier plaisir tu n’en auras pas avant longtemps. Une salope comme toi n’y a pas droit. Je suis la seule qui suis assez responsable pour s’amuser à volonté sans oublier ses obligations.
Entre deux souffles il a répondu.
— Merci maitresse. Je sais que votre plaisir est plus important que le mien.
J’aime maintenir le dialogue pendant une humiliation, ne pas laisser le soumis partir dans sa tête, qu’il garde un pied dans la réalité.
— De quoi tu as peur ? Ce n’est rien, les hommes font ça souvent aux femmes. Tu n’es pas aussi courageux qu’une femme c’est ça ?
Il a frémi en imaginant la scène.
– Regardes ta queue, la charge monte. Plus que quelques instants.
Il fallait voir son regard apeuré en direction de son sexe, c’était très excitant. Plus il se tendait plus il avait peur et plus il prenait du plaisir, un cercle infernal.
— Tu es ma chose. Je vais faire ce que je veux de toi et pour mon seul plaisir. Je vais faire de toi ma salope tu n’as encore rien vu.
J’ai donné un coup de rein plus fort pour le sortir de sa torpeur.
— Petit à petit, jour après jour, session après session, je vais faire de toi un soumis bien docile. Tout ça va devenir ton quotidien. C’est ce que tu veux, pas vrai ?
Il se tortillait, les chaines qui retenaient ses chevilles se balançait sous mes aller-retours en lui. Nos corps vibraient à l’unisson.
— Oui maitresse.
— Oui quoi ?
Je lui ai pincé les fesses pour raviver la douleur du fouet, il a eu une contraction au niveau du ventre. Quand le plaisir monte il ne faut pas lâcher le soumis, il faut qu’il revendique son statut, l’orgasme n’en sera que plus intense.
— Oui maitresse je veux être une salope.
Les spectateurs étaient désormais plus nombreux et regardaient en rigolant, encourageant Simplet pour voir arriver le dénouement. J’ai rigolé au moment où j’ai décidé de le provoquer un peu plus.
— Tu ne vas pas les décevoir. Tu vas nous sortir une bonne grosse charge pas vrai.
Il a répondu d’une petite voix entre deux contractions.
— Oui maitresse.
Il se retenait, trop craintif pour se laisser aller, c’était à moi d’entrer en scène pour le forcer à relâcher ses efforts. Je lui ai crié dessus.
— Alors ? C’est qui la dominante ici ? Et c’est qui la salope ?
Sa respiration s’est accélérée sous la surprise.
— C’est moi maitresse.
J’ai redoublé d’effort dans mes assauts.
— Dis le plus fort. Revendiques -le !
Il a pris une inspiration.
— Je ne suis rien qu’une salope !
— Encore !
— Je suis votre salope !
Il a eu une grosse contraction dans le ventre au moment où le premier coup est parti sur son visage. Il avait fermé les yeux par réflexe et avait eu un soubresaut au moment de l’impact. Ce premier tir avait été rapidement suivi de plusieurs spasmes finissant d’expulser ce qu’il avait en stock.
J’ai rigolé pendant qu’il reprenait ses esprits, ralentissant le rythme un instant. J’ai regardé le public avant de retourner vers Simplet.
— Je crois que ce n’est pas assez. Il en reste dans le chargeur.
J’ai pris à parti le public pour qu’il m’encourage. Simplet les regardait les joues rouges, le liquide gluant et chaud encore sur son visage.
— On continue alors, voyons un peu ce qu’il reste.
J’ai repris mon action. Il a fait une grimace.
— Si tu crois que je vais te ménager. Je suis ta maitresse pas ta copine, je suis là pour t’en faire baver.
Je me suis arrêtée.
— D’ailleurs je vais te pilonner avec plus gros.
Il était peu probable que je le refasse éjaculer après ça mais je voulais qu’il profite de l’humiliation, des rires, de sa perte de contrôle sur son corps. Il a eu un moment de recul quand je me suis approchée avec un strapon bien plus volumineux. Je l’ai saisi d’une main ferme, c’était moi qui commandait il n’avait pas intérêt à essayer de m’esquiver.
J’ai repris mon mouvement, il a écarquillé les yeux en sentant le gode rentrer en lui.
— C’est ça. Sent ma puissance.
Le pire dans la situation c’est qu’il y prenait du plaisir, c’était paradoxal, il était perdu, humilié, sans contrôle sur la situation et pourtant il prenait son pied. Je ne pensais pas qu’il tirerait une seconde salve mais après quelques minutes il l’a quand même fait. Il devait réellement s’amuser malgré son air apeuré. Les prises de plaisir sous l’humiliation sont mémorable.
Je suis sortie de son corps et je lui ai laissé quelques instants pour qu’il reprenne ses esprits.
— Tu as apprécié ? C’est bien ancré dans ta mémoire ? J’espère parce que tu ne risques pas de le ressentir de nouveau pendant au moins 2 mois. C’est long 2 mois tu le sais ? C’est quoi ton record sans masturbation depuis que tu es ado ?
— Je ne sais pas maitresse.
J’ai rigolé.
— Bientôt tu pourras dire 2 mois. Je te ferai un certificat que tu pourras exhiber fièrement.
J’ai regardé les deux autres soumis.
— Détachez le. Faites attention qu’il ne s’essuie pas.
J’ai retiré mon strap-on.
J’ai pris une feuille de papier et un marqueur qui trainaient. J’ai préparé quelque chose sans le lui montrer.
— Viens avec moi.
Nous nous sommes dirigés vers l’entrée, sur le chemin tout le monde regardait en rigolant les traces sur son visage, comme il était debout son sperme coulait de son visage jusqu’à son torse le rendant encore plus pitoyable.
Je me suis arrêtée juste avant la porte de sortie.
— Mets-toi ici. Dos au mur.
Je lui ai pris les mains pour lui faire tenir la feuille de papier que j’avais préparée, comme s’il était un panneau indicateur. J’ai fait un pas en arrière pour observer le résultat. Sur la pancarte j’avais écrit « attention, ne pas toucher, jeune soumis sensible qui décharge au moindre contact ».
J’ai rigolé.
— Je te laisse ici. Je viendrais te reprendre à la fin quand tout le monde aura vu ta pancarte. Restes sage en attendant.

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