Le témoignage de Damien : mari soumis s02e05 cage de chasteté et strap-on

Hello 🙂

Comme promis voici la partie suivante du témoignage, c’est dingue comme les post-its sont aussi simples qu’efficaces.
Au programme d’aujourd’hui : comment faire pleurer un homme …. ^_^ Ce n’est pas très compliqué vous allez voir. Si vous êtes sage la prochaine fois vous saurez comment les faire hurler. Petit spoiler il n’y a pas besoin de beaucoup de matériel.
Je suis bien plus axée douleur que Candice donc j’ai découvert sa méthode avec amusement. Elle semble efficace il va falloir que je la teste …
Je vous mettrais la dernière partie samedi, probablement en début d’après-midi.

Les parties précédentes sont ici

Pour répondre à une question : il n’était pas prévu que ces témoignages soient compilés en version ebook cependant vu les demandes et les stats d’audience ça le sera peut-être. En tout cas c’est une bonne idée.

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Une fois dans la chambre elle a sauté sur le lit, prenant une pose lascive comme une allumeuse de bas étage me faisant signe de la rejoindre. Une invitation tentante qui n’aurait pas incité la plupart des hommes à la méfiance mais étant un mari soumis et en cage de chasteté j’étais davantage enclin à la mise en alerte. J’avais l’impression de devoir me rendre à l’échafaud.
Je l’ai rejoint pendant qu’elle enlevait ses collants et sa jupe, elle s’est mise sur le dos, gardant ses jambes tendues pour me tenir à distance. Le contact entre ses pieds et mon torse a augmenté la tension dans ma cage. J’ai délicatement fait remonter ses pieds jusqu’à ma bouche pour les embrasser, lançant quelques regards craintifs pour vérifier sa réaction et ne pas dépasser les limites invisibles qu’elle avait fixées.
Pendant toute l’opération elle tenait à ce que je continue de parler, que je lui dise des phrases lui rappellent ma soumission, par exemple que je la remercie, que je lui dise que j’étais son chien et pleins d’autres humiliations volontaires pour qu’elle puisse se sentir puissante.
Elle m’a fait commencer des pieds pour ensuite remonter en embrassant ses jambes jusqu’aux cuisses. Il ne fallait surtout pas que j’aille trop vite, elle devait avoir le temps de se mettre dans l’humeur adéquate, c’est tout un apprentissage pour se retenir et ne pas passer « au plus intéressant » tout de suite. Ce n’est pas la partie que je déteste le plus, c’est agréable d’être à son contact, de voir les réactions de sa peau à mes baisers, ces petites contractions comme de la chair de poule synchronisée avec ses soupirs. Elle semblait cependant moins décontractée que d’habitude, elle rigolait doucement, probablement anticipant les supplices qui allait suivre. Ce n’était pas le moment de faire une erreur alors je me suis concentré sur ma tâche. Alors que j’approchais de son sexe elle m’a repoussé des jambes.
— Ça suffit, je prends les choses en main !
Elle s’est redressé, m’attrapant par les cheveux pour me projeter à l’horizontale, dos sur le lit. Elle s’est mis à cheval sur moi, envoyant valser son haut sur le sol. Elle me regardait avec arrogance sachant l’aspect intimidant que ses seins avaient sur moi.
Elle s’est reculée en rigolant puis a commencé à donner des coups de langue sur le strapon. J’ai levé les yeux au ciel pour ne pas souffrir inutilement. Je n’allais pas être jaloux d’un morceau de plastique, elle pouvait toujours essayer. Un vulgaire jouet recevait ce dont j’avais été privé pendant des semaines pourquoi aurais-je été envieux ? De qui je me moque, bien sûr que je me mordais les lèvres pour ne pas gémir de douleur.
— Tu aimes ça pas vrai ? Je veux t’entendre jouir.
Nous y étions, elle retournait le couteau dans la plaie, elle voulait que je souffre devant le plaisir qui me passait devant le nez. Elle s’est remise à sucer le strapon en gémissant de plus belle. J’avais envie d’hurler pour extérioriser ce que je ressentais, mon corps avait comme envie de convulser, chaque muscle était douloureux. Ce manque de plaisir s’était transformé en douleur comme si on m’avait arraché une partie de moi, je sentais physiquement ce vide. Je serrais les poings, j’avais envie de les taper contre les murs. Je consumais toute ma volonté pour ne rien laisser transparaitre, je n’allais pas lui faire le plaisir de lui montrer que sa torture était efficace. Elle n’allait pas me briser !
De toute façon je préférais encore interrompre ce supplice en étant insolent, et donc en me faisant punir, que de lui avouer que j’étais à bout. C’était ça ! J’avais envie d’avoir mal pour justifier mes cris et mes pleurs. Avec le recul c’était probablement ce qu’elle voulait.
J’ai fait ce que je pouvais pour simuler ce qu’elle me demandait, comme je ressentais l’exact opposé et que je ne suis pas un très grand acteur il m’a été difficile de faire quelque chose de correct. Je devais avoir l’air lamentable ce qui la faisait rire de plus belle, c’était déjà ça de gagné.
— Qu’est-ce qu’il y a chaton ? Tu n’aimes pas ça ?
Elle a ricané.
— Tant mieux.
Je me sentais tout petit, faible, vulnérable, même en y mettant toute ma bonne volonté je n’y arrivais pas. Elle est repassée sur mon torse.
— Tu vas simuler ou je te mets les pointes, compris ?
J’ai hoché la tête pour lui montrer que j’approuvais. Elle faisait référence à rajouter des pointes à l’intérieur de ma cage de chasteté, non seulement j’aurais été privé de plaisir mais en plus j’aurais été puni en cas de prise de volume, ce qui était inévitable avec les gémissements qu’elle poussait. C’est un supplice assez dur qu’elle n’emploie pas souvent, il faut que je la fâche vraiment pour qu’elle y ait recours. Elle me faisait comprendre que si le jeu était basé sur l’échec autant je devais me battre pour « échouer le moins possible ».
Elle est sadique en temps normal alors quand je la contrarie je le sens passer. Je devais me ressaisir, être humilié n’était pas marrant mais c’était toujours mieux que d’être humilié et avoir mal. Elle voulait jouer avec mes nerfs et elle en avait pleinement le droit. La coopération à la torture est une de ses règles de base, pas la plus simple à vivre.
Elle a repris sa fellation, pourquoi je ne lui avais pas tenu tête quand j’en avais eu l’occasion ? Pourquoi je ne lui avais pas répondu « je m’en fou » lorsqu’elle avait parlé des pointes ? J’aurais été puni ça m’aurait soulagé.
Elle avait mis mon plaisir en cage et je voulais désespérément la clé, elle m’apprenait à quel point la frustration pouvait être dure et à quel point j’étais faible, je n’avais pas les couilles de lui tenir tête.
Mon esprit essayait de trouver des exutoires pour rendre la situation tenable. J’ai pensé un instant que dès qu’elle aurait fini de me torturer je me mettrais en quête d’une partenaire d’infidélité pour me soulager. Je me suis rappelé que ma queue était en cage, que j’étais prisonnier des autorisations de ma femme et d’elle seule.
Ses règles étaient dures mais elles étaient encore la voie la plus rapide vers l’orgasme. Je devais lui obéir quoi qu’il m’en coute et justement je payais le prix fort. Ces dans des moments comme ceux-là que je regrette de ne pas avoir été plus sage plus tôt. Si je ne jouais pas au con avec elle je serais moins souvent puni. Il faudra qu’un jour je le comprenne.
Un discours un peu contradictoire à vrai dire, j’étais justement en train de mal me comporter et j’allais aggraver ma situation, je ne m’en rendais pas compte, ma tête était un foutoir pas possible. Je me promettais de toujours bien agir alors même que j’allais m’en ramasser une à cause de mon comportement. Ça n’a pas manqué d’ailleurs, après quelques minutes de patience elle m’a recadré.
— Alors ? Pas envie d’être joueur ce soir ? Tu veux que je change de ton ? Parce que c’est ce que tu viens de gagner !
Je venais de me rappeler pourquoi je n’osais pas être insolent pour faire cesser ma torture, soudainement je me souvenais que ses corrections étaient sévères. Je ne faisais plus du tout le malin. Je suis resté silencieux, je n’avais rien à dire, rien d’intelligent en tout cas. Elle avait exigé de moi que je change d’état d’esprit, je ne l’avais pas fait j’étais forcément en tort. C’était sévère mais elle m’avait laissé une chance d’ajuster mon attitude, je ne l’avais pas saisie je devais assumer. Je savais ce qu’il m’attendait, je suis allé décrocher le martinet du mur, je lui ai tendu, elle l’a pris brusquement.
— Ça sera un bon début.
Un bon début ? Pour moi le martinet est au sommet des instruments de correction. Je l’avais mise en colère au-delà de ce que j’avais imaginé. Après tout je n’avais peut-être pas saisi toute la scène correctement et j’avais surement mérité ce qui m’arrivait.
Je me suis penché en avant les mains sur les genoux, écartant les jambes pour exposer la fente de mes fesses au châtiment que j’avais mérité. J’offrais mon postérieur à une douleur sévère parce ce que c’était ce à quoi j’avais été condamné. Je ne suis pas le meilleur des soumis mais je respecte l’autorité de ma femme, lorsqu’elle décide de me punir je n’ai rien à dire, c’est sa décision.
Dans cette position j’avais le strapon en pleine figure, une humiliation de plus.
Au départ le contact des lanières a été un soulagement, leur brulure m’aidant à évacuer la frustration que j’avais accumulée. Je savais cependant que ça ne durerait pas et que tôt ou tard leur morsure allait m’en faire voir.
Ça n’a pas manqué, au bout de quelques minutes chaque coup était devenu plus insupportable que le précédent. Mes fesses et mes cuisses étaient devenues brulantes, Candice était en train de me flamber l’arrière-train pour m’apprendre que lorsqu’elle me donne un ordre difficile à accomplir ce n’est pas une raison pour ne pas essayer de réussir. Lorsqu’elle m’avait dit de simuler un orgasme alors que j’étais contracté au possible à cause de la frustration ce n’était pas un conseil ou une option facultative.
Le point positif c’était que la tension dans ma cage était redescendue, on se console comme on peut.
Après quelques dizaines de coups supplémentaires elle s’est arrêtée.
— Fini l’échauffement il est temps de passer au sérieux.
J’avais envie de lui hurler que j’avais retenu la leçon, que je ferais de mon mieux si elle me redonnait une chance. En réalité j’ai réagi comme le gros lâche que je suis.
— Merci chérie.
Elle est partie chercher quelque chose, me laissant seul quelques instants. Je n’ai pas pu résister, je me suis un peu frotté les fesses. C’était bon, trop bon, il fallait que j’arrête avant de me faire prendre. Après tout j’avais peut-être besoin de ce pallier supplémentaire pour m’apprendre à rester sage, je n’avais pas su rester immobile comme j’aurais dû. Elle doit me connaitre mieux que moi.
Elle est revenue avec un paddle en bois, un grand modèle pouvant couvrir la totalité des fesses, sans l’avoir connu je pouvais néanmoins dire qu’il avait l’air sacrément douloureux.
— Prêt ?
— Oui, merci chérie.
Je serrais fort mes mains sur mes genoux, je me préparais à recevoir ma punition. Il y a eu un bruit sourd lors de l’impact puis une onde de choc me faisant perdre l’équilibre et me projettent vers l’avant. Ça avait été plus impressionnant que douloureux. Je me suis rapidement remis dans ma position initiale, évitant soigneusement de croiser son regard.
— Je suis désolé chérie puis-je recevoir le double en compensation.
Je sais qu’elle est intransigeante sur la tenue de la position, je suis obligé de demander le double en cas de mouvement involontaire sinon elle considère que c’est de la rébellion envers son autorité et le tarif est bien plus cher.
J’ai tenu bon lors du deuxième coup et le fait de ne pas amortir le coup en partant en avant l’a rendu bien plus douloureux. D’autant plus qu’elle m’a enchainé le coup bonus dans la foulée. Toute la surface de mes fesses était punie, les coups se superposant je n’avais aucun répit, la douleur était totale.
— Ça fait mal pas vrai ? Tu la sens la leçon qui rentre ?
Entre deux sanglots j’ai répondu :
— Oui chérie, je n’ai que ce que je mérite je n’aurais jamais dû faire exprès de te désobéir.
Si je voulais que ma punition cesse je devais m’écraser, lui donner ce qu’elle voulait et croiser les doigts pour que ça suffise. À vrai dire je ne savais pas ce que je voulais, la fin de la punition signifiait la reprise de la frustration, alors que la faire continuer s’était m’exposer à des douleurs de plus en plus fortes. Un conflit impossible à résoudre.
— Redresses-toi. Les mains sur la tête.
Elle a intercepté une de mes mains pour faire tenir le strapon vertical et révéler ma cage de chasteté dessous.
Elle a profité que ma queue se soit ratatinée en position de repos pour mettre les pointes dans ma cage. J’avais pourtant été prévenu que ça allait arriver. Rien qu’à l’idée d’être puni en cas d’érection j’avais un début de poussé. C’est dingue comme l’interdiction donne envie.
Elle m’a dit avec un grand sourire :
— On y retourne ?
J’ai essayé d’être aussi enjoué qu’elle, ayant retenu la leçon qu’elle venait de me donner.
— Avec plaisir !
J’en pleurais déjà. De son côté elle ricanait bêtement. Elle s’est mise sur le dos, ne pouvant retenir quelques étirements pour se mettre à l’aise.
— Vas-y prend moi. Pas la peine de lubrifier je mouille déjà comme une collégienne devant un boyband.
Je me suis approché, elle avait écarté les cuisses, son sexe m’était offert. Les pointes de ma cage ont commencé à s’enfoncer dans ma queue, même cette douleur n’arrivait pas à me détourner de l’envie. J’ai positionné le strapon à l’entrée de son vagin. J’ai serré les dents alors que je commençais à la pénétrer. Je voyais le latex disparaitre entre ses lèvres humides, elle ne mentait pas, elle était très excitée par la situation. J’imaginais ce qu’elle ressentait, le plaisir, ce que j’aurais éprouvé si ça avait été ma queue qui avait été au contact. Je rêvais des frottements de mon sexe contre sa peau la plus intime, les replis, la pression. J’en avais tellement envie et je ne ressentais rien, si ce n’est une douleur de plus en plus vive dans ma cage. Au fur et à mesure que ma queue tentait de prendre en volume les pointes s’enfonçaient plus profondément me rappelant l’interdiction sacrée. Entre deux soupirs elle m’a dit :
— Interdiction de détourner le regard !
Elle m’avait devancé, elle avait senti que j’allais regarder ailleurs pour atténuer mon tourment. Désormais je n’avais plus le choix, la fessée cuisante que j’avais reçu quelques instants auparavant m’avait rappelé ce qu’il advenait lorsque je ne respectais pas ses directives. Je fixais le mouvement de piston que je faisais faire au strapon, c’était la seule chose possible.
Les gémissements de Candice étaient de plus en plus fort et fréquents, il en devenait des râles puissants. Entre deux elle a trouvé le temps de remettre une couche d’humiliation.
— Qu’est-ce que c’est bon le plaisir sexuel ! Heureusement que je le mérite. C’est tellement bon d’être une femme.
Rapidement elle a été au summum de l’excitation. Elle se tordait sous le plaisir, elle avait la bouche ouverte le souffle coupée, je savais qu’elle en rajoutait mais j’imaginais son orgasme, ses capteurs du plaisir devaient être stimulés au-delà des limites habituelles par ce pénis géant en plastique, un état dans lequel je ne pourrais jamais la mettre. En quelque sorte j’étais castré, je ne ressentais plus le plaisir pendant la pénétration. C’était le vide absolu. Je ne sais pas quelle comparaison je pourrais faire, c’était comme regarder quelqu’un manger alors que l’on est affamé. Il faut l’avoir vécu pour comprendre.
J’essayais de penser à autre chose, ce n’était qu’une humiliation de plus, je ne devais pas y accorder d’attention. Plus facile à dire qu’à faire. J’étais obligé de continuer le mouvement de piston que j’avais reçu l’ordre d’accomplir, je devais fixer la pénétration comment pouvais-je penser à autre chose ? J’avais les larmes aux yeux, j’étais poussé aux limites de ma volonté. J’aurais pu m’arracher la queue si j’avais eu la certitude que cela pouvait atténuer ma souffrance. Si j’avais pu violer Candice pour de vrai je l’aurais fait. Ce n’était plus la raison qui parlait mais la bête en moi, celle que Candice voulait justement mater. Le combat était violent et j’avais l’impression d’être une victime collatérale. J’avais envie d’hurler pour apaiser cette frustration dévorante, je devais me ressaisir.
Continuer à imprimer des mouvements d’aller-retour en elle en devenait de plus en plus douloureux alors même que physiquement ce n’était pas possible.
À force de lutter intérieurement je ne faisais plus trop attention à ma tâche. Une erreur grave que j’allais payer plus tard. Candice a pris le dessus, elle devait vraiment vouloir un orgasme et je n’étais pas assez concentré pour être au bon rythme, elle allait se le donner toute seule.
Une fois sur le dos avec elle sur moi je me suis retrouvé à fixer le plafond, comme si j’avais été extérieur à la scène, ne plus être obligé de bouger le bassin pour la pénétrer était un soulagement. J’aurais pu prendre un magazine pour le lire, j’aurais dû, ça m’aurait aidé à penser à autre chose. Elle m’a mis quelques gifles.
— J’ai dit regarde !
Elle n’allait pas me laisser m’en tirer à si bon compte, j’allais devoir souffrir jusqu’à la fin. J’ai remis mon regard vers son sexe.
Les larmes se sont remises à couler, je voulais que ce soit ma queue qui soit à la place du strapon, je voulais son corps tellement fort. Le sexe féminin m’attire en temps normal, à ce moment-là c’était à un point qui défiait l’entendement. Je ne ressentais rien alors que j’étais présent pendant l’acte, c’était en quelque sorte un viol, pas au sens juridique bien sûr. Je n’en pouvais plus d’être passif, je voulais faire quelque chose, ne serait-ce que laper son sexe comme le bon chien que j’étais. À la place je la fixais, impuissant, alors qu’elle prenait du plaisir.
J’avais compris ce qu’elle voulait, que la chasteté devienne dure au point que je la supplie de me libérer, que j’avoue que j’étais à bout. Elle voulait que je craque et que je prouve à quel point j’étais faible. Je me retenais de toutes mes forces, je ne voulais pas lui donner le plaisir de la supplier de me laisser avoir un orgasme. Je ne devais pas m’abaisser à ça ! Je la voyais déjà tirer profit de la situation en négociant je ne sais quoi. Elle m’aurait fait consentir à ce que je n’avais jamais voulu faire en échange d’un orgasme de quelques secondes. Elle pouvait rêver ! Je disais ça sur le moment, quelques minutes plus tard mon discours aurait pu changer radicalement. À ce rythme j’allais la supplier d’accepter un marché en ma défaveur sous peu. Je n’avais jamais été aussi prêt de craquer. Je n’arrivais plus penser à autre chose : orgasme, orgasme, orgasme, plus aucun autre concept n’existait dans ma tête. J’ai désespérément essayé de penser au boulot, à la météo. Impossible. Je continuais de fixer ses mouvements du bassin alors qu’elle faisait des aller-retours de plus en plus rapide sur ce manche géant. Elle haletait, poussant une multitude de petits soupirs, je sentais le point de non-retour arriver. La douleur de ma cage devenait de pire en pire, le contraste me rendait fou.
Elle s’est soudainement figé sur le strapon, la tête en arrière et la bouche grande ouverte pendant que son corps était parcouru d’une grosse secousse. Elle y était, elle défaillait pendant que je ne ressentais rien. Elle est restée immobile alors que son corps était encore agité par quelques soubresauts. Elle était visiblement à la limite de la perte de connaissance. Elle ne simulait peut-être pas après tout, tant mieux pour elle. J’ai vu quelques larmes couler, des larmes de bonheur. Je voulais me retrouver dans cet état, j’étais prêt à tout.
Elle s’est allongé sur le côté, silencieuse, savourant les suites de son orgasme, serrant l’oreiller contre elle. Je n’osais pas bouger ni faire un bruit, tout ce que je voulais c’était penser à autre chose pour que la pression dans ma cage redescende et que les pointes arrêtent de pénétrer ma chair.
Après quelques minutes elle a réouvert les yeux.
— Alors ? Convaincu par ma démonstration ?
Elle s’est accoudé sur mon torse.
— Tu sais que quoi que tu fasses je trouverais toujours un moyen de te faire souffrir davantage ?
J’ai hoché la tête, les larmes sont reparties. J’avais pensé que me faire sodomiser était le comble de l’humiliation, je venais de découvrir qu’être forcé de faire l’amour à ma femme avec strapon pendant que ma vraie queue était en cage était pire. Elle m’a regardé puis a rigolé, je devais faire involontairement des grimaces de douleur.
— Elle est si dure à supporter ta cage ?
— Oui. Je regrette tout ce que j’ai fait et dis.
— Tu regrettes toujours après et pourtant ça ne te dissuade pas de te comporter comme un imbécile.
— Je ne recommencerais plus. Je te le promets.
— Chut, chut, chut. Gardes les excuses pour la fin.
La fin ? Que voulait-elle dire ? Elle a souri devant mon désarrois.
— Si tu crois que j’en ai fini avec toi c’est que tu n’as pas compris la leçon que je voulais que tu comprennes.
Je me suis rendu compte que j’avais recommencé, j’avais pensé avoir touché le fond et elle allait me prouver qu’elle pouvait creuser encore plus profond la tombe de mon plaisir.

La suite est par ici.

Le témoignage de Damien : mari soumis s02e06 tease and denial avant la libération

Hello 🙂
J’espère que vous passez un aussi bon week-end que moi 🙂 Voici de quoi lire pour la soirée ^_^ La dernière partie du témoignage.
La semaine prochaine j’enchainerais avec quelques posts sur mes débuts et puis je me lancerais dans l’histoire de l’été (déjà !).

Les parties précédentes du témoignage sont ici

Bonne lecture

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Vivre en tant que mari soumis avec une femme dominatrice est un jeu du chat et de la souris permanent. À chaque instant je dois être attentif pour essayer de regagner ne serait-ce qu’un peu de contrôle sur la situation. À chaque fois que je baisse ma garde, et je ne peux que m’en prendre à moi-même pour cela, elle en profite pour me mettre un coup. En y repensant cela doit être épuisant pour elle aussi, elle doit être attentive pour ne rien laisser passer. C’est un genre de relation très exigeant pour les deux partenaires.
J’aurais dû voir venir le piège, pour avoir dit que le strapon était le summum de l’horreur elle m’avait fait vivre une expérience désagréable bien qu’enrichissante. Pour avoir dit que cette expérience était le maximum j’allais recevoir la même peine, elle allait me montrer les cartes qu’elle avait encore dans son jeu. Pourquoi avais-je été bête au point de faire en chaîne la même erreur deux fois ? Parfois les raisons qu’elle invoque pour me punir relèvent davantage du subterfuge, je ne dis rien j’aime quand elle me punit, c’est un jeu de dupe. Cette fois-là je me sentais réellement idiot, j’aurais dû le voir venir.
Elle s’est levée pour aller prendre du matériel. En tout moment j’essaye d’être positif, parfois c’est difficile, le peu auquel je pouvais me rattacher à ce moment était qu’au moins j’allais savoir ce qu’elle allait me faire immédiatement, je n’allais pas attendre toute la journée.
Elle a posé des liens sur le lit.
— Je prends des précautions. Pour la suite tu ne vas pas pour t’empêcher de gigoter comme le misérable asticot que tu es. Tu vas vouloir lutter contre ce que tu mérites. Je sais ce que tu penses « c’est un comportement honteux de fuir la justice » mais nous savons tout deux que tu es un minable et que ça serait bien ton genre.
Elle s’attendait que je la rejoigne sur ce point, que je lui dise que j’étais un minable. J’avais autre chose en tête.
— Qu’est-ce que tu vas faire ?
Elle a ricané.
— Je vais te faire hurler mon gros bébé.
Je la regardais, inquiet. La perte de la liberté de mouvement implique une profonde confiance en l’autre, c’est une question qui arrive forcément « est-ce que je me laisse attacher ? Sachant qu’il n’y a pas de retour possible, une fois à sa merci ça sera trop tard pour me débattre ». C’est comme faire face au noir, perdre la capacité de bouger est une peur primitive. Ce n’était pas elle qui me faisait peur mais faire face à l’inconnu. Elle jouait avec mes nerfs, la situation m’échappait et j’avais peur de ne pas être capable de tenir mon rôle. Elle m’a dit quelques mots pour m’aider à me calmer.
— Je vais bien m’occuper de toi ne t’inquiètes pas.
Ce qui m’inquiétait c’était surtout sa définition des « bons traitements ». Avec elle je m’attends toujours au pire, elle m’a amené tellement loin du point de départ.
Une fois qu’elle a eu finie elle a testé la solidité de l’ensemble puis s’est mise à cheval sur mon torse, elle allait pouvoir m’utiliser comme elle le voulait.
— Tu as l’air bien calme, l’information n’est pas encore montée au cerveau ? Ha pardon c’est vrai j’oubliais tu es un homme tu n’en as pas.
Elle s’est penché contre moi pour me murmurer à l’oreille.
— Je vais te faire souffrir fais-moi confiance. Après ça j’aurais un petit toutou docile à ma disposition. Tu n’as pas idée des dégradations que tu seras prêt à accepter pour ne plus jamais revivre ça.
Elle joue à ce jeu souvent, exagérer la situation pour que j’ai peur. J’ai beau savoir qu’elle en rajoute c’est efficace sur ma tension. Elle s’est penchée pour attraper quelque chose sur la table de chevet, j’avais ses seins contre le visage. J’avais envie de les embrasser, ne me retenant que par crainte que ça n’arrange pas mon affaire. Ce contact m’a déstabilisé et j’ai mis du temps à réagir à ce qu’elle avait pris. Mon corps a été parcouru de frissons quand j’ai compris qu’elle avait ma clé à la main. Alors que j’étais tétanisé elle l’a déverrouillée. Immédiatement ma queue s’est dressée, ma respiration était rapide, j’essayais de refouler ce que je voyais venir. Elle a décalotté mon prépuce pour exposer mon gland. Elle lui a mis une pichenette en ricanant.
Elle n’avait pas besoin de me faire un dessin, elle allait me faire subir du tease and denial. Effectivement j’allais me débattre et effectivement j’allais hurler.
Il y avait donc bien pire qu’être exclu de l’orgasme, il y avait l’interruption. Elle allait me faire monter et me laisser en plan pour me prouver que je n’étais rien face à elle.
Alors que j’aurais été prêt à la supplier de me laisser avoir du plaisir il y a quelques minutes désormais je voulais juste qu’elle remette ma queue en cage et que j’aille faire la lessive.
Elle a attendu que je prenne conscience de la portée de ce qu’elle allait faire avant de continuer. Quand elle a bougé j’ai eu une poussée d’adrénaline, ça y était, j’allais y passer. Elle a tapé de l’index sur ma queue.
— Elle veut un orgasme ?
Lors du précédent jeu j’avais lutté pour ne pas la supplier, voyant arriver la tempête j’allais immédiatement abandonner cette lutte inutile.
— Oui pitié.
— À quel point ?
— Plus que tout.
— Depuis combien de temps elle n’en a pas connu ?
— Longtemps.
— Alors tu ferais mieux de me parler plus poliment.
— Oui maitresse.
C’est rare que je m’adresse à elle de cette façon, je lui parle respectueusement mais pas au point d’utiliser des « tournures inhabituelles ».
— Ça fait combien de temps que moi je n’ai eu d’orgasme rappelle-moi ?
— Quelques minutes.
— Jaloux ?
— Toujours, jaloux de votre perfection maitresse.
— Tu es fier de ta queue ?
J’ai desserré les dents pour répondre rapidement. J’essayais d’être au taquet pour ne pas aggraver ma situation.
— Non elle est minable !
— Ça tu peux le dire. Alors comme ça c’est elle qui est ton centre de réflexion ? C’est le symbole de ce que tu es ? Un abruti se dressant fièrement pour s’offrir au châtiment ? Tu vois comme elle est conne ? Toute contente d’être droite.
Elle n’avait pas tort, je n’aurais pas dû être autant excité par la promesse d’un plaisir interrompu.
— Pourquoi tu la laisses diriger ta vie ?
— Parce que je suis stupide comme elle.
Elle s’est rapproché de ma tête, me mettant son sexe au-dessus du visage.
— Ça c’est beau et intelligent !
J’ai hoché la tête pour acquiescer. Elle a baissé son bassin, j’ai tendu la langue par réflexe, avec un peu de chance si je la satisfaisais mon supplice ne durerait pas trop longtemps.
Elle ne m’a pas laissé faire.
— Tu vois ça te donne envie de lécher, ça a du pouvoir pas comme ton truc.
Elle a joué avec mes nerfs en descendant et remontant rapidement avant que j’ai eu la possibilité de la toucher. Après plusieurs fois elle s’est finalement laissée faire. Je me suis mise à lécher vigoureusement. Si je lui donnais un orgasme mes problèmes seraient réglés, c’était ce qu’elle voulait obtenir, peu importe c’était mon intérêt.
— Ça c’est un bon chien !
J’aurais dû m’attendre à ce qu’elle ne me laisse pas le temps de finir, j’avais tenté ma chance c’était déjà pas mal.
— Tu sais quoi ? J’ai décidé …..
Elle a tapé de nouveau de l’index sur mon gland. Je sentais ma queue était « chargée », je la sentais prête à partir et … rien. J’étais comme bloqué au milieu de la route, comme s’il y avait un bouchon et que je sentais la pression augmenter de l’autre côté.
— Elle est sensible ? Oh la pauvre chérie
Elle a soufflé dessus, j’ai eu comme un mouvement de départ puis il s’est arrêté net. Si mes mains n’avaient pas été attachées je me serais masturbé pour évacuer cette charge douloureuse.
Elle avait eu raison de m’entraver, se gémissait et me débattait autant que possible. Il n’y avait plus de dignité qui comptait, je devais accélérer la fin du jeu.
— Pitié chérie, je ferais ce que tu veux.
— Ce que je veux c’est te voir souffrir.
— Tout ce que tu veux.
— Qu’est-ce qu’elle mérite ?
— Etre traitée durement, je ne mérite que ça. Pitié puni moi.
— Oh ça oui elle est vilaine. Vilaine queue !
Elle lui a mis une gifle, une vraie, puis encore une de l’autre côté.
Sur le moment la douleur m’avait soulagé, pendant un instant c’était comme si l’impact allait faire sauter le bouchon, il y avait eu une sorte de contraction qui m’avait fait penser à celle du départ d’un orgasme. Rapidement cependant l’envie était revenue, pire encore. J’aurais aimé rester figer au stade de la douleur.
— S’il te plait puni moi encore !
Les coups étaient douloureux mais ils étaient une échappatoire acceptable de mon point de vue. Candice ne s’est pas faite prier, elle aime quand je la supplie de me faire du mal. Plus elle tapait fort plus j’en redemandais. Après quelques minutes elle s’est lassée à mon grand désarroi.
— Je crois que je ne suis pas gentille au point de vouloir continuer. Je préfère passer à ….
Elle a attrapé une plume, son contact avec mon gland endolori a été horrible, un supplice indescriptible. Je me débattais autant que possible, j’ai bien cru que j’allais casser les montants du lit. Je pleurais, j’hurlais, plus rien ne comptait il fallait que j’évacue cette frustration. De son côté elle rigolait tant et plus.
— Prochain jeu. Tu préfères le martinet ou que je te caresse ?
J’ai répondu immédiatement, il n’y avait aucune hésitation possible.
— Pitié le martinet !
— Tu es sûr ? C’est agréable les caresses.
Elle a pris mon sexe en main pour commencer à me masturber. Entre deux sanglots j’ai répondu.
— Pas la privation d’orgasme s’il te plait ! Je serais sage. Passes-moi la queue au martinet s’il te plait.
J’alternais entre l’espoir idiot qu’elle me laisse aller jusqu’au bout et l’envie d’être puni pour être le plus loin possible de l’orgasme interdit. Ma queue me brulait, comme pendant la période réfractaire après l’orgasme, c’était goutter à ce dont j’allais être privé. Un échantillon de ce que je ne pouvais pas me payer, la séparation n’en serait que plus dure.
Lorsqu’elle s’est arrêté j’ai été soulagé, le répit n’a été que de courte durée puisqu’elle a commencé à me chatouiller le sexe avec les lanières, elle les passait doucement. J’ai fermé les yeux pour essayer de regagner un peu de contrôle sur la situation, c’est le moment qu’elle a choisi pour donner le premier coup. Il est arrivé comme une délivrance, ma queue me brulait donc j’allais être à l’abri du plaisir pendant un temps.
Elle m’a crié dessus :
— C’est qui le faible ici !
En pleurnichant j’ai répondu.
— C’est moi, je suis minable, pitié.
Mes pleurs ont redoublé quand elle a arrêté de frapper, je savais que l’envie allait revenir. Elle a saisi ma queue à pleine main, c’était un mélange de chaleur des lanières, de douleur de la pression, de plaisir. Je ne savais plus où j’étais, j’avais la tête qui tournait et l’envie de vomir.
— Voilà ce qui arrive aux vilains chiens qui n’ont plus peur de leur maitresse.
— J’ai peur de ma maitresse.
— Maintenant oui.
Elle a mis sa tête au-dessus de la mienne, me mettant ses cheveux dans la figure.
— Tu es à moi ! Rien qu’à moi. Pour toujours.
Qu’est-ce qu’elle était belle à me dominer alors que je me sentais minable. Elle était le centre du monde, celle qui pouvait me libérer de mon tourment. J’aurais pu faire n’importe quoi pour la satisfaire.
— Tu as envie de me pénétrer ?
— Oui.
Elle s’est reculé, mettant son sexe contre le mien, en l’appuyant juste. Elle a fait quelques mouvements d’avant en arrière. J’ai senti mon plaisir monter puis elle s’est arrêté. Elle allait me rendre dingue.
— Qu’est-ce que tu penses ? Que rien ne peut être pire ? Ou tu as appris la leçon ?
J’ai essayé de rassembler le peu de conscience qu’il me restait pour donner la bonne réponse. Je n’allais pas me faire avoir une fois de plus.
— Ça peut toujours être pire.
Elle a rigolé.
— Ça par exemple.
Elle a mis ma queue à l’entrée de son vagin, je sentais couler son liquide le long de ma queue, elle était excitée par mon supplice.
— Ou ça.
Elle a commencé à me faire glisser en elle. Après avoir connu les pointes et les coups ma queue était devenue très sensible. A vrai dire je ne me rappelle plus trop de la suite, c’était trop fort pour mon cerveau puisse mémoriser.
Ce que j’aime chez elle c’est sa capacité à me surprendre, après m’avoir fait peur avec un dernier supplice elle m’avait autorisé l’orgasme. J’avais lutté contre le plaisir qui finalement c’est mis à m’envahir. C’était l’orgasme libérateur, c’était l’inattendu. Ma vision était brouillée par les larmes de bonheur. Je n’étais plus dans mon corps, je flottais à côté.
Je crois que sous l’émotion je me suis endormi juste après, c’était trop pour moi. Je me rappelle que nous avons refait l’amour après, plus tendrement, j’étais motivé pour lui montrer à quel point je l’aimais et qu’elle méritait toute mon attention. Il n’y a rien dans ce monde que je ne ferais pas pour elle. Pour ces quelques moments très intenses je suis prêt à subir toutes les tortures, elle est le centre de mon univers.
Le lendemain matin j’étais bien, satisfait, puis j’ai pris conscience que cet état d’apaisement n’allait pas durer. Que le sevrage après l’orgasme est difficile, d’ici 3 jours j’allais de nouveau être tendu. Peu importe ça valait la peine. Alors que j’allais me lever elle m’a dit :
— Chaton ?
— Oui.
— Je suis désolé.
— Pourquoi ?
— Pour t’avoir baisé au point que tu ne tiennes plus debout pendant 48 heures. Tu vas être une vraie carpette et c’est à cause de moi.
J’avais très bien compris le sous-entendu. Elle m’avait fait un cadeau je ne devais pas la chercher et me considérer en terrain conquis. J’allais passer le week-end à marcher par terre. Ce n’était pas injuste, je devais obéir en passant que ce que je faisais commencer à compter sur l’ardoise des points pour le prochain orgasme. De toute façon je ne méritais rien de plus que de regarder le sol, je me sentais honteux de la façon dont je m’étais comporté, j’avais hurlé pour avoir un orgasme, un comportement pitoyable mais tellement excitant.