Discipline domestique 005 – Halloween 2014 – Partie 2

Originalement publié en novembre 2014. Version remaniée juillet 2015.

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Halloween J-23 :

J’avais passé un contrat avec mon homme, s’il réussissait à tenir 15 minutes d’une séance de ballbusting avant sa mise en cage de chasteté il aurait droit à une fellation à la sortie. Joueur et dépendant aux émotions fortes il avait accepté. Nous étions en train de descendre au sous-sol de l’immeuble en direction de la cave où j’ai installé un mini-donjon.

Nous étions devant la porte, je l’ai déverrouillé, il a voulu entrer mais j’ai bloqué le passage tout en le repoussant pour le plaquer contre le mur. J’ai sorti mon téléphone pour le mettre en mode chronomètre, une fois réglé sur 15 minutes j’ai mis le doigt sur le déclencheur.
— Je te laisse une dernière chance d’abandonner. Une fois le chrono lancé tu n’auras plus le choix. Ça sera, tenir 15 minutes avant d’avouer tes bêtises, ou te prendre 3 ans de chasteté. La victoire ou la défaite complète. Pour toi bien sûr, moi je gagnerais dans tous les cas.
C’est comme au casino, la banque gagne toujours.
— J’aurais plutôt dit « c’est comme au casino, tu vas y laisser toutes tes plumes ». Et à la différence qu’au casino les joueurs en ressortent à sec et que toi, dans 3 semaines, tu auras plutôt les bourses plutôt bien pleines.
Il a rougi d’embarra. J’ai désigné le chronomètre du regard, il a répondu avec détermination.
— Plus tôt on aura commencé plus tôt …
Je l’ai coupé.
— … Plus tôt tu auras perdu.
— Non.
J’ai appuyé sur le déclencheur du chronomètre et j’ai relâché mon étreinte pour qu’il puisse passer la porte.
Ce que j’appelle mon donjon est en réalité bien loin des clichés du genre. Le fonctionnel l’emporte sur la déco. Il s’agit d’une petite pièce insonorisée avec des étagères et des armoires pour ranger le matériel.
J’ai lancé mon premier ordre.
— Déshabille-toi, garde juste le caleçon, puis met toi en position de ballbusting. Tu as 30 secondes pour exécuter ou tu te prendras 5 minutes supplémentaires.
Je connais les soumis, si vous ne leur mettez pas des règles claires dès le départ ils en profitent.
— Et ne commence pas à râler c’est fairplay comme malus d’anti-jeu !
J’ai profité qu’il se déshabille pour m’attacher les cheveux, rien de plus désagréable qu’être dérangée par une mèche rebelle en travers de la figure lorsque vous donnez des coups de pied.
Avant la fin des 30 secondes il a dit :
— Je suis prêt.
Je me suis retournée pour le regarder, il était bien à genoux par terre, dans son petit boxer rose, j’insiste pour qu’il porte des sous-vêtements humiliants à tout moment, le genre avec des coeurs ou des choses comme ça, c’est un autre de mes petits plaisirs quotidiens.
J’aime bien pratiquer le ballbusting en faisant garder un caleçon au soumis, en tout cas dans un premier temps. De cette façon je garde la totalité du paquet bien groupé et ça facilite le tir.
Surtout que ça laisse un sentiment de protection au soumis, comme ça lorsque, dans un deuxième temps, je lui fais enlever cette maigre protection il a une sensation d’exposition renforcée. Les soumis s’attachent vite aux petits privilèges.
J’ai continué de trainer de manière désinvolte parmi les étagères de matériel. J’utilisais une méthode de torture classique, alors même que le temps défilait je le laissais courir au lieu de me lancer immédiatement dans la bataille. Je voulais lui faire croire que j’étais tellement sûre de moi que je pouvais me permettre de perdre du temps. L’effet psychologique était très intense et il luttait déjà contre l’envie de mettre ses mains contre son sexe pour se masturber violemment.
Lorsque je me suis finalement approchée de lui je n’ai pu que rire face à son air inquiet.
— Tu t’attendais à quoi ? Que je me jette sur toi pour me battre ? Le combat est inégal, j’ai 15 minutes pour te faire avouer, 15 minutes tu te rends compte ? Tu crois que j’avais vraiment besoin de tout ce temps pour te les briser encore et encore ? 5 minutes à faire virevolter tes grelots et je te fais demander grâce.
J’ai passé ma main sur son corps nu en remontant jusqu’à sa nuque pour toucher ses mains.
— Ces deux là vont rester bien sagement derrière ta tête. Si elles bougent ça sera 5 minutes supplémentaires par seconde de mouvement. Compris ?
Il a hoché la tête.
— À chaque fois que je secourais ton hochet tu auras surement le souffle coupé. Tu pourras te rouler par terre sans rien risquer. Par contre si tu traines à te remettre en place ou que tu te protèges avec les mains ça sera le malus de temps. Je serais intraitable sur les règles. D’accord ?
Il a dit doucement :
— Tu ne pourrais pas plutôt me les attacher s’il te plait ?
Il y avait en effet de grandes chances qu’il ne résiste pas au réflexe, ce qui n’était pas mon problème mais le sien.
Toute fière j’ai répondu :
— Tu veux déjà commencer à négocier ta reddition ?
Il a insisté :
Juste les mains s’il te plait, je ferais ce que tu veux en échange.
— Je crois que tu n’as pas bien compris la situation. Je vais déjà faire de toi tout ce que je veux. Pendant au moins 3 semaines c’est ce qui va se passer. Qu’est-ce que tu pourrais me donner de plus que je n’ai pas déjà ?
Il a pris une seconde pour réfléchir, il devait trouver un angle d’attaque qui aurait une chance de fonctionner.
— Je ne suis qu’un homme face à une femme, le combat est déjà inégal par nature. Cette petite aide rééquilibrerait un peu les chances en ma faveur.
J’ai ricané.
— En clair tu veux que je marque un but contre mon camp pour que tu aies une chance ?
Il m’a regardé un souriant.
— Si tu es si sûre de toi ça ne changera rien.
Le petit malin ! Je dois reconnaitre que c’était bien joué. Il n’avait aucune chance de m’avoir sur la pitié alors il jouait la corde du défi.
J’ai hésité, est-ce que je lui laissais ce point ou non ? Mon objectif était de gagner la guerre pas toutes les batailles.
Je ne lui ai pas donné la satisfaction de lui dire qu’il avait gagné, j’ai pris un collier en cuir et des contentions sur une étagère pour lui attacher les mains derrière la tête. Désormais il n’y avait plus de risque qu’elles s’interposent pendant l’interrogatoire. Il essayait de ne pas sourire après la victoire qu’il venait de remporter. Rassurez-vous j’avais déjà prévu de me venger.
Sèchement j’ai dit :
— Prêt ?
Anticipant la douleur il a répondu avec une grimace :
— Oui.
Désormais il était bien moins déterminé que quelques minutes auparavant. Il s’est mis en position, à quatre pattes et le cul relevé, écartant les cuisses pour afficher la bosse à l’avant de son caleçon.
Avec autorité j’ai dit :
— Bien, commençons. As-tu été un vilain garçon ?
Il a pris une inspiration et m’a menti comme le scénario le prévoyait.
— Non. J’ai toujours été un gentil mari obéissant à sa femme.
En finissant sa phrase il avait fermé les yeux et avait tourné la tête comme si ça allait adoucir l’impact. Ne s’entant rien venir il a réouvert les yeux. J’avais bien amorcé mon pied mais rien n’était encore parti.
— Tu sais quoi ? Cette jupe gêne un peu mes mouvements je vais plutôt me mettre en short. Ne bouge pas.
Une réplique un peu inattendue et qui ne témoignait pourtant pas d’un manque d’anticipation de ma part, bien au contraire, j’avais eu cette idée il y a plusieurs minutes. Elle faisait partie de mon plan pour le torturer, je voulais qu’il appréhende le premier coup en le faisant languir jusqu’à l’excès.
Je me suis changée devant lui pour le narguer, il n’a pas pu se retenir et a regardé. Je suis revenue vers lui avant de m’arrêter.
— Je crois que je vais même mettre des escarpins. Attends-là.
Encore une fois je l’ai tenté en les passant juste devant son nez.
— Tu peux fermer la bride s’il te plait.
En grognant il a répondu.
— J’ai les mains attachées.
Avec un grand sourire j’ai répliqué.
— Oh ! Quel dommage ! Je vais devoir le faire moi-même. Qui a eu l’idée idiote de t’attacher les mains ?
J’aurais eu le temps je lui aurais imposé de les fermer avec les dents. Après l’avoir fait moi-même je suis passée derrière lui.
Bien. Je suis pas mal comme ça qu’est-ce que tu en penses ?
— Tu es toujours très jolie.
— Merci. Je ne me lasserais jamais des effets de la chasteté sur les hommes. Tu n’es même pas encore en cage que tu montres déjà un respect prononcé envers notre corps.
— On pourrait en rester à ce stade si tu veux.
À son intonation je pouvais me rendre compte que son stress avait progressé.
— Mais non ! Tu sais bien à quel point je t’aime. Je ne dois pas reculer devant l’effort si ça peut te faire autant de bien.
— Je ne voudrais pas que tu te fatigues.
— Comme c’est touchant ! Je vais te rendre la gentillesse.
J’ai tapé des talons sur le sol pour l’angoisser davantage et j’ai armé mon pied.
Cette fois-ci j’ai vraiment frappé, sans aucune pitié. Sa respiration est devenue haletante. Il parait que je suis très sévère lorsqu’il s’agit de ballbusting. Il est vrai que je prends le sujet au sérieux cependant je n’ai pas l’impression qu’il y ait d’autres façons de faire. Si vous ne frappez pas pour de vrai où est l’intérêt ? Il faut appeler un chat un chat, si vous voulez des caresses du pied sur votre queue ne dites pas que vous voulez du ballbusting. Si vous avez ce fantasme assumez-le.
Alors qu’il avait à peine récupéré du premier coup j’ai annoncé avec froideur :
— As-tu fait une bêtise ?
Il n’avait pas d’autres choix que de répondre, la punition pour un silence serait bien pire que celle pour un « non ».
Après avoir pris une inspiration il a répondu :
— Non.
Un autre coup est parti. Dans ce type de moment vous vous rendez compte à quel point votre position est simple, il est tellement facile de donner des coups de pied entre les jambes d’un mec et pourtant l’effet est spectaculaire. Je me sentais si puissante, il n’était qu’un insecte que je pouvais écraser d’un simple mouvement.
— 3 ans de chasteté ne semble plus être une mauvaise option c’est ça ? Tu veux déjà abandonner ?
Il était prêt à pleurer sous l’émotion.
Non.
— Il faut que je répète ma question ?
— Non
— Et ?
— J’ai été sage je te le promets.
— Ça je ne crois pas.
J’ai donné un coup sec entre ses jambes. J’ai attendu qu’il se remette en position pour m’approcher de lui. J’ai frotté mon escarpin contre l’avant de son caleçon, j’ai pu sentir son érection. Il est toujours rassurant de savoir que l’effet recherché est en place. J’ai déplacé sa queue du pied pour que le bout dépasse du boxer et qu’il puisse sentir le contact direct avec le cuir lisse de ma chaussure.
— Es-tu un vilain garçon ?
Il a marmonné :
— Non.
J’ai dit calmement.
— Menteur.
Il a répondu en gémissant.
— Non.
Comme il s’y attendait j’ai reculé pour prendre de l’élan avant de faire s’abattre un nouveau coup. Plus la session progressait moins il pouvait contenir ses gémissements.
— Tu ne vas pas me faire croire qu’au bout de 4 coups tu en as marre ! Je t’ai connu plus endurant. Ne crois pas que cela va changer quoi que ce soit, il t’en reste une bonne centaine derrière.
Il respirait de plus en plus fort, ses épaules se levaient et se baissaient au rythme de ses halètements.
— Quand je te disais que j’allais te les briser ce n’était pas des mots en l’air ! Tu ferais mieux d’avouer, la punition ne peut pas être pire que ça.
Il a essayé de dire quelque chose mais il était dans un état émotionnel trop intense pour prononcer quoi que ce soit de construit. J’y étais allée un peu fort sur la mise en scène j’allais être obligée de lui laisser quelques secondes de répit.
À vrai dire je crois que je ne suis pas tant douée pour le ballbusting que pour l’ambiance. J’arrive à convaincre le soumis qu’il va vraiment perdre ses couilles même sans taper fort. Il y a une différence entre le ressenti et la vérité.
J’ai ramassé le téléphone pour regarder le chrono. Je me suis exclamée :
— Oh ! Tu sais quoi ? Il reste bien plus de temps que je ne le pensais. Quelle chance !
Ayant récupéré son souffle il a demandé :
Il reste combien de temps ?
— Largement de quoi te faire craquer mon grand 100 fois mon grand.
En réalité le temps s’écoulait plutôt vite, je voulais simplement meubler la discussion pendant qu’il reprenait ses esprits et faire monter la tension.
Finalement j’ai repris.
— As-tu étais un vilain garçon ?
Malgré le prix qu’allait lui couter cette réponse il a dit :
— Non.
Il parait que les coups après une pause sont toujours plus douloureux, en tout cas celui-ci n’a pas échappé à la règle, les gémissements ont repris de plus belle. J’ai pris le partis de hausser le ton.
— Tu te crois malin à me résister ?
— Non, je dis la …
Avant même qu’il ait fini sa phrase la sentence était tombée droit sur sa cible. Le temps défilant j’avais accéléré le rythme de mes coups.
— Tu crois que ça fait de toi un homme ?
Désormais je n’attendais même plus ses réponses et je l’attrapais par les cheveux pour le faire se remettre en position plus rapidement. Je lui criais dessus.
— Tu crois que me tenir tête prouve que tu as des couilles ?
Le coup suivant a provoqué l’apparition d’une petite tâche liquide sur son boxer, au bout de sa queue. Une tâche blanchâtre, toute petite pas une éjaculation juste une perte réflexe.
— Moi je vais te dire : continue de me résister et tu pourras littéralement dire que je t’ai cassé les couilles.
La peur de perdre son sexe est bien ancrée dans la psyché masculine. Avant qu’il ait eu le temps de répondre quoi que ce soit un coup s’est abattu.
— Mais ce n’est pas grave, je te garderais quand même pour que tu t’occupes de la maison. Bien sûr il faudra que je trouve un nouvel homme pour s’occuper de moi lorsque ta langue ne suffira plus. Une femme a des besoins que seul un homme avec un sexe en état de fonctionnement peu combler.
Je l’ai frappé à nouveau.
— Toujours pas ? Je voulais être gentille en n’y allant pas fort au début. Je voulais te laisser une chance par gentillesse. Tant pis tu ne me laisses pas le choix. Tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même. Debout !
Il s’est levé avec difficulté. D’une main ferme j’ai baissé son caleçon jusqu’aux chevilles.
Je me suis écriée :
— Oh ! Tu ferais mieux de ne pas regarder. Ce n’est pas joli-joli … Je n’ai pas été si gentille que ça apparemment.
C’était un mensonge, son sexe allait bien, mais c’était le genre de mensonge auquel il voulait croire. J’ai rigolé en le voyant serrer les dents. J’ai haussé les épaules.
— Qu’importe la suite sera pire. Remet-toi en position.
Vu de derrière ses bourses pendouillaient, elles étaient prêtes à recevoir leur traitement. Je me suis accroupie pour les prendre en main et les soupeser. Il a gémi en me lançant un regard inquiet.
— Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as peur qu’elles soient cassées ? Rassure-toi ça ne fait aucune différence, tu n’en auras pas l’utilité avant longtemps.
Je me suis redressée.
— Regarde-les bien agoniser. Elles vont souffrir par ta faute c’est le moins que tu puisses faire.
En étant à quatre pattes la tête contre le sol il pouvait voir venir mon pied ce qui allait rendre le supplice bien plus excitant.
J’ai armé mon pied et je me suis faite plaisir en frappant violemment. Le truc pour faire vraiment mal ce n’est pas de viser les bourses mais la zone derrière, là où est le clitoris chez une femme. Chez l’homme c’est également une zone sensible.
Voyant que le temps était presque écoulé, ce qu’il ignorait, j’ai essayé de le raisonner.
— Tu devrais sérieusement considérer la possibilité d’accepter quelques années sans plaisir. Penses-y vraiment, c’est une option intéressante. Au moins tu aurais la certitude de retrouver tes couilles intactes à la fin. Continues de résister comme ça et je ne te garantis rien. À ce rythme tu seras libre dans 3 semaines mais dans quel état…. Enfin c’est ton corps et ton plaisir tu fais ce que tu veux. Mais bon, quand tu vois leur état alors que nous n’en sommes mêmes pas à la moitié du chrono ça ne leur laisse que peu de chance de finir entières.
— J’ai été sage je te le promets.
A peine avait-il décliné ma proposition que je lançais les représailles.
— Non ? Toujours pas.
Les gémissements se sont transformés en grognements. Lorsqu’au début il m’avait demandé de lui attacher les mains pour rééquilibrer les chances je pensais qu’il plaisantait. En y réfléchissant c’était peut-être vraiment le cas. À cette étape il aurait probablement craqué et mis les mains entre les jambes. C’était mieux comme ça.
— C’est bien, laisse sortir la douleur que je puisse encore en rajouter une couche derrière.
J’ai enchainé une courte série de coups jusqu’à ce que l’alarme retentisse. Il l’avait fait, il avait tenu 15 minutes d’interrogatoire en me mentant. Je me suis penchée pour lui embrasser la joue.
— Dis-le pour te soulager.
La voix tremblante il a dit :
— J’ai fait des bêtises. J’ai eu des fantasmes inappropriés envers les femmes je dois être mis en cage.
J’avais désormais une voix bien plus douce. J’avais allumé l’incendie et maintenant j’allais l’éteindre.
Ça fait du bien de pouvoir le dire pas vrai ?
— Oui.
— C’est toujours agréable de pouvoir dire la vérité.
J’ai glissé ma main le long de son torse ce qui lui a provoqué des frissons.
— Vois le bon côté des choses. Tes couilles vont avoir le temps de se reposer pendant ces quelques semaines.
Une maigre consolation si vous voulez mon avis.
Je l’ai détaché pour qu’il puisse se rhabiller. Il a enfilé son caleçon avec un millier de précautions, ce qui n’a pas semblé suffire vu les grimaces qu’il faisait. Nous sommes remontés à l’appartement, moi d’un pas léger et lui en marchant en canard. Il ne faisait pas exprès mais ça m’a fait rire.
En passant la porte je lui ai dit.
— Il est temps de mettre le prisonnier en cage.

5 réflexions sur « Discipline domestique 005 – Halloween 2014 – Partie 2 »

  1. Pour l’instant, je n’ai lu que les articles concernant le ballbusting et le tout premier (votre présentation). Je vous félicite pour votre qualité d’écriture, Melle Emilie. On ressent votre passion, votre humour, l’osmose entre Vous et vos soumis 🙂 Quant à la qualité de vos coups de pied, ce sont sûrement les couilles de vos soumis qui en parlent le mieux 🙂 Au plaisir de vous lire.

    1. Merci 🙂
      Et je suis tout à fait d’accord, on juge une domina aux résultats pas aux prétentions qu’elle affiche 😀

  2. Bonsoir EMILIE

    Je ne suis pas fan du ballbusting, contrairement aux pinces,à la cire, à la cravache et même au fouet qui peuvent être sensuels et exciter certaines zones érogènes, je le trouve barbare et dégradant, et pour avoir pris , en jouant au foot, les pieds de mes adversaires dans cette partie sensible de mon anatomie, la douleur ressentie est absolument atroce, horrible, vous ne pouvez pas vous imaginer à quelle point ; l ‘expression se tordre de douleur prend ici tout son sens. Sinon votre récit est encore une pure merveille, j ‘adore, comment vous dominez votre homme, je l’imagine, une fois ses corvées ménagères terminées venir a vos pieds comme un animal de compagnie comme vous dites ( j aime cette image, encore une petite phrase dont vous avez le secret, vous savez être humiliante comme personne) quelle chance il a, mon rêve, d ‘ailleurs, n est ce pas la place de nous les hommes , AUX PIEDS DES FEMMES.

    Merci EMILIE

    1. Bonjour,
      C’est le lot commun du BDSM, certains soumis adorent des choses et en détestent d’autres. Certains aiment le fouet et pas le ballbusting et vice-versa. Il faut aider les soumis à sauter le pas mais il faut bien faire la distinction entre ce qu’ils n’osent pas faire et ce qu’ils ne veulent pas faire.

  3. Bonjour,
    Je pratique peu le Ballbusting, tenant à mes boules 😉 Par contre, lorsqu’une Femme Dominatrice le pratique contre moi, c’est toujours très intense !!!
    Comme vous le dites si bien, la tension avant le 1er coup est vraiment intense pour le soumis !
    Comment la Domina l’a fait: Elle m’a dit de me mettre nu, puis rester debout jambes écartées et mains dans le dos… et petit détail « innocent », être appuyé contre le mur, mains entre mes fesses et le mur ! Elle m’avait à sa disposition, m’observait bien et commençait à viser pour bien porter son coup… Elle prenait son temps et s’amusait de mes tressaillements à chacun de ses mouvement… Elle fait des essais en approchant un pied contre mes couilles… jusqu’à… Elle prend son élan et son pied atteint mes couilles plein pot ! L’innocence de me faire appuyer contre le mur a « juste » servi à ce que je ne puisse reculer par réflexe et toute la force du coup est allée dans les testicules ! Douleur fulgurante, mais à ma surprise j’ai bien résisté. Les coups se sont poursuivis et ma résistance a été vite réduite: au 10 coup, je me suis retrouvé au sol, me les tenant entre les mains et gémissant ! Elle m’ordonne de reprendre position car Elle a envie de jouer (!!!) Après environ 50 coups, j’étais « mort » et ai abandonné !!! Heu, 3 jours plus tard, j’avais toujours mal… je lui ai dit et Elle a ri en me disant qu’Elle était impatiente de recommencer… J’ai mis plus d’un an avant d’accepter.
    Mais voir la Dame prendre son temps pour bien ajuster son coup, et apprécier de faire mal, c’est vraiment intense côté émotion…
    Merci pour ce récit 🙂

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