Dressage bdsm sévère pour un soumis débutant 55 : préparation à la négociation “équitable” =D

Hello 🙂

Aujourd’hui je reprends la main !
J’ai bien conscience que l’alternance d’histoires va rentre la lecture compliquée, je m’inquiète peut-être pour rien après tout, il faut me comprendre, je sais que des soumis lisent ce blog j’essaye de faire attention, avec leurs capacités intellectuelles limitées je ne voudrais pas les perturber.
Ah non, ma pause ne m’a pas rendu moins piquante ^^ et puis quoi encore !
Ici c’est chez moi je fais ce que je veux ne venez pas me contredire, si je veux être une peste je le suis 🙂 Ils aiment ça de toute façon je le sais bien

Je vais me remettre à publier de manière plus régulière, c’est tellement plus simple de fuir les difficultés mais je n’ai pas été élevée comme ça. Je mènerai de front tous les aspects de ma vie et sans me plaindre !
Je vais cependant reprendre doucement avec quelques posts thématiques, mes débuts, ma pire séance … J’ai plein de choses à traiter en vrac.
À vrai dire je n’avais pas totalement cessé d’écrire pendant cette pause, avec mes débuts professionnels on m’a offert un stylo plume accompagné d’un carnet tout aussi joli, un format A5 qui se tient facilement en main. Cela faisait longtemps que j’étais essentiellement au clavier d’ordi ou au Bic basique sur des feuilles sorties de la ramette de l’imprimante ou des Post-it. L’exact opposé en termes de coût et ça marchait très bien ! J’avais une approche très utilitariste, si ça marchait pas besoin de chercher plus loin. Sur le coup j’ai trouvé inutile de mettre autant d’argent dans un outil aussi quotidien, pour autant c’était un cadeau je n’allais pas le refuser. Pour vous donner une idée cette plume vaut plus cher que ma tablette et pourtant elle n’est pas donnée. Au départ je me suis dit que ça ferait joli sur le bureau ou pour signer les documents les plus solennels mais j’ai rapidement redécouvert le plaisir d’écrire pour écrire. Je n’irais pas jusqu’à dire faire de la calligraphie, simplement faire courir la plume sur le papier. Je trouve que c’est extrêmement stimulant, il y a un côté physique dans la relation, ce ne sont pas que des pensées il y a une interaction avec le support. J’ai comme des envies de travaux manuels en ce moment.
Tout ça pour dire que j’ai un carnet presque rempli, et pas que sur des thèmes BDSM d’ailleurs, il va me falloir un secrétaire pour tout taper.

Pour ma reprise je vais faire ce que j’aurais dû faire il y a longtemps, finir ma précédente histoire. J’avais laissé Simplet dans une situation embarrassante, je ne vais pas dire en mauvaise posture je sais que plein de soumis auraient rêvé d’être à sa place. Il était nu a l’entrée de la pièce, à la vue de tous, recouvert de son propre sperme et portant un panneau avec un texte le ridiculisant.

Pour faire du rattrapage dans l’histoire allez faire un tour sur le sommaire.

Je pensais faire un seul post de clôture mais il s’avère que c’est plus long que prévu, je post la moitié aujourd’hui et la suite probablement demain. Je ne suis pas sûre que ce soit le plus logique puisque les actions s’enchainent. C’est plutôt pour me forcer la main 😀 Vous pouvez attendre d’avoir les 2 parties pour les lire en une seule fois.

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Il avait donc l’air d’un chien abandonné sur le bord de la route avec un panneau « adoptez-moi », si j’avais eu un coeur il aurait pu fondre. Non ! Je ne vais pas tricher dès la première phrase, la vérité c’est que je craque littéralement lorsque je vois un être blessé que je pourrais prendre sous mon aile. J’aime les hommes perdus, ceux qui ont conscience d’être pitoyable, qui ont des ressources mais sont incapables de les exploiter. Alors certes j’étais responsable de son aspect mais mon esprit ne s’embarrassait pas de telles considérations pratiques.

C’est important de laisser les soumis seuls par moment, mettre en scène l’angoisse de la séparation. Après autant d’émotions fortes Simplet, je vais finir par oublier son vrai nom à toujours utiliser son surnom, tant pis pour lui il le mérite. Simplet avait besoin de prendre un moment pour reprendre ses esprits et recharger son niveau de désir. Il y a toujours une période réfractaire après un orgasme, c’est un rythme à respecter même si je donnais l’apparence de n’en faire qu’à ma tête. En le laissant tranquille je m’assurais qu’il soit pleinement réceptif à la suite des opérations.

Après 10 bonnes minutes d’humiliation publique j’ai décidé de passer au mouvement suivant. Plus je m’approchais de lui plus je voyais sa tension remonter. Je dis souvent qu’un soumis ne doit pas montrer son appréhension où je vais profiter de ses faiblesses, la vérité c’est que j’adore ça. Voir les yeux se baisser, les corps frémir rien qu’à ma présence, je me sens puissante. De son côté il devait ressentir un curieux mélange de crainte et d’envie, il devait avoir honte d’aimer les humiliations que je lui infligeais et peur de ce que je pouvais bien lui réserver pour la suite. L’amour et la haine, la peur et l’envie ne sont souvent pas très loin l’un de l’autre. La vie est dure, nous ne pouvons pas vraiment être satisfait seuls il faut intégrer « l’autre » dans nos fantasmes, un moment d’angoisse nécessaire. Je n’échappe pas à la règle, moi aussi j’ai peur d’être cassée en plein fantasme par un soumis qui abandonne, je respecterais son choix bien entendu, il n’empêcherait que j’en serais frustrée.
— La leçon t’a plu ?
— Je crois maitresse
— Tu crois ?
— Je ne sais pas trop où j’en suis maitresse.
— Quand je ne suis pas là pour penser à ta place tu n’y arrives pas tout seul. Je comprends.
Plaisanterie mise à part c’est effectivement addictif d’être soumis, de ne plus connaitre l’angoisse du choix. Laisser l’autre diriger apporte une sérénité qui peut créer une dépendance. En théorie je n’aime pas ça, c’est de la paresse de se laisser faire, mais comme c’est à mon avantage je ne dis rien. Lorsque mon soumis baisse les armes et me laisse le champ libre pour décider ce qu’il pense je ne vais pas râler.
— Tu as apprécié être loin de moi pendant un moment ? Où tu préfères que je te frappe ?
Son anxiété est montée d’un cran, j’en ai rajouté une couche en le pressant.
— Je crois t’avoir posé une question !
— Quand vous me frappez maitresse c’est que je l’ai mérité, que je me suis mal conduit, je ne peux pas aimer vous décevoir.
— Ça c’est la théorie, avec ton esprit perverti je ne suis sûre de rien.
Il a repris avec davantage d’aplomb.
— Je suis sûr que je n’aime pas vous décevoir.
— Pourquoi ?
— Parce que je sais que dans le cas contraire vous ne vous laisserez pas faire et que j’en payerais forcément le prix.
— Donc c’est important de me satisfaire ?
— Si je ne veux pas souffrir oui !
J’ai souri pour marquer mon approbation.
— Tu vois, j’avais raison d’insister. Tu as beau être handicapé tu finis par apprendre les bases.
— Merci de votre patience maitresse.
— C’est éprouvant d’être mon soumis ?
— Un peu maitresse.
Il s’est vite repris.
— C’est être idiot en votre présence qui est éprouvant. J’en suis totalement responsable. Si j’étais obéissant ma condition serait plus douce. C’est ma faute si je suis puni.
Il avait failli faire un faux pas, il méritait un peu de condescendance émasculante en représailles.
— Oh ! Il fatigue le bébé ?
Je lui ai pincé les joues, il a frémi à mon touché.
— Il a les yeux qui se ferment tout seuls ? Que c’est choux. Il est adorable. Il a giclé et veut dormir maintenant. Le repos du guerrier c’est ça ? Il ne doit pas s’inquiéter le grand garçon, il va bientôt avoir son biberon avant d’aller au lit, je ne suis pas un monstre.
J’ai titillé son sexe de la main.
– Par contre je vais devoir mettre son doudou en cage. Il ne va même pas demander pourquoi, il connait déjà la réponse.
Je n’ai pas pu me retenir de rigoler, il était si pitoyable à regarder. J’ai croisé les bras en soupirant.
— Pathétique, même pas capable d’encaisser et ça se prétend soumis.
J’étais dure avec lui, ce n’est pas facile de débuter et j’étais en train de le traiter comme un soumis expérimenté, ce n’était pas juste. Il faut dire que j’ai tendance à devenir agressive lorsque je ne suis pas satisfaite. Mon plaisir doit être comblé c’est un impératif pour que je reste relativement calme. J’ai totalement conscience d’exiger certaines choses de mes soumis alors même que je suis incapable de les supporter. J’impose la frustration sexuelle alors même qu’elle me rend dingue. Si j’ai envie de plaisir je le veux tout de suite, je suis très capricieuse sur ce point. Je me rassure en me disant que les soumis aiment ça et que je ne fais que leur donner ce qu’ils attendent.
Pour l’anecdote, c’est un comportement retrouvé dans le règne animal (attention je passe en mode reportage animalier) si vous prenez certaines espèces, par exemple chez le lapin, lorsque la femelle est en chaleur elle cherche les mâles et ne leur laisse pas le choix. Cela pose problème avec la cohabitation en environnement domestique, lorsque le mâle est castré pour éviter que la famille soit envahie de petits. En apparence cela peut sembler une bonne idée. En réalité la femelle devient agressive à voir ses avances refusées et elle peut aller jusqu’à tuer le mâle. La nature est belle vous ne trouvez pas ?
Bref j’ai parfois un comportement de lapine à ceci près que j’ai conscience de l’être.
J’ai de la satisfaction à être injuste, à mal me comporter et que personne ne me dise rien. Je les imagine penser « pour qui elle se prend celle-là ? ».
Je vais vous dire, si personne ne me conteste c’est que je me prends pour celle que j’ai le droit d’être. Si vous n’êtes pas content venez me le dire en face ou arrêtez de marmonner. Le pouvoir ça se prend, si les gens sont trop faibles pour chercher le conflit c’est leur problème pas le mien.
Comme nous étions en fin de soirée et que le climax avait été franchi il était temps de passer à une phase de bilan, de préparation de la suite. Simplet avait raison de dire qu’il était fatigué, nous l’étions tout les deux, je voulais simplement le faire fantasmer sur la prochaine fois.
Pendant notre petite discussion il n’avait pas essayé de me résister ce qui était un bon signe, pourtant ce n’était pas optimal, s’il se sentait trop en sécurité je n’allais pas pouvoir négocier correctement. Une séance BDSM est une lutte de pouvoir, si je voulais faire pencher la balance de mon côté je devais le persuader que c’est la seule solution. Le truc étant de réussir à exiger le maximum du soumis sans qu’il ne trouve la situation injuste.
Ne sous-estimez pas la puissance d’un consentement oral avant de passer un cap. Si vous arrivez à faire dire au soumis « je suis d’accord que la prochaine fois doit être plus dure » vous pourrez le lui ressortir en boucle, il aura une sorte d’obligation morale de tenir sa parole.
Pour le faire prononcer les engagements qui seraient les plus profitables de mon point de vue je devais l’angoisser un peu, je devais le mettre dans un état plus propice à la négociation.
Quand vous voulez un accord en votre faveur ne faites surtout pas de compliments à l’autre, à moins que vous vouliez lui faire baisser sa garde avant de taper. Il faut faire en sorte de surévaluer ce que l’on apporte. La valeur n’est pas une notion objective, si un soumis est persuadé qu’il a de la chance de m’avoir comme maitresse je pourrais lui faire faire ce que je veux. Très cynique mais tellement réaliste.
Ce n’est pas si facile, il faut trouver le bon équilibre entre être une peste et être indispensable. Savoir ne pas dépasser les limites.
Vous ne pouvez pas savoir les compromis que j’arrive à arracher aux soumis avec un peu de technique. Il suffit que je commence à monter le ton en public et ils me déroulent un tapis rouge pour que je me calme. Je vais ça fréquemment avec les hommes. Ils savent que si j’ai envie de faire une scène devant tout le monde je ferais ma scène. C’est un peu comme dans un western, le premier qui craque au bluff de l’autre.
Ne me prenez pas pour un monstre pour autant, les soumis ont peur pour un rien, si je les laissais mener le jeu ils resteraient sur place, pétrifié par leur honte. C’est aussi pour leur bien que je leur mets des coups de pied au cul. Il n’y a qu’à voir le nombre qui ne donne pas suite après un premier contact. Et ne croyez pas que nous ne nous échangeons pas les coordonnées de ces personnes ! Ils se font du mal à long terme en étant impoli.
— Tu as compris la leçon ?
J’ai froncé les sourcils.
— Où je t’envoie dehors dans cette tenue pour méditer ?
La réponse a fusé.
— Oui j’ai compris la leçon maitresse.
Je n’ai pas pu m’empêcher de ricaner en sachant ce que j’allais dire.
— Laquelle ?
— Je dois être un bon soumis.
Je lui ai attrapé l’oreille d’un geste vif, je l’ai tiré vers le sol pour le forcer à se courber. J’ai continué d’une voix calme.
— Tu me forces la main. Tu sais très bien que si tu n’apprends pas tes leçons je suis obligée de te punir comme annoncé. C’est toi qui te fais du mal.
J’ai commencé à marcher vers la porte de sortie.
— Tu vas finir nu à la vue de tous c’est bête. C’est dommage d’être aussi borné.
Je sentais bien l’adrénaline monter dans son corps, il semblait y prendre un certain plaisir d’ailleurs.
— Pardon maitresse. C’est ma faute.
Il ne savait pas quoi dire d’autre, son esprit devait chercher quelque chose d’intelligent à dire sans trouver. Je me suis arrêtée devant la porte, sa tête était presque collée dessus, je voulais qu’il sente le danger. J’ai repris d’une voix plus sèche.
— Maintenant que tu as eu ton plaisir ce n’est pas le moment de me chercher. Tu sais que tu as une dette envers moi ?
— Oui maitresse.
Je jubilais, je le martyrisais tant et plus et pourtant il reconnaissait qu’il avait une dette envers moi. J’aime cette sensation de puissance, de supériorité sur l’autre, elle me fait me sentir unique. Comme je l’ai dit plus haut, si en théorie nous sommes égaux en droit dans la pratique nous avons la valeur que les autres nous donnent. J’aime m’entourer de personnes qui me vénèrent pour accroitre mes pouvoirs, des personnes qui ont juste cette petite tendance à l’insolence de temps en temps pour que je puisse me faire les dents.
J’ai continué, sceptique envers sa réponse.
— Pourquoi ?
— Parce que mon plaisir ne doit pas passer avant le vôtre.
— Pardon ?
J’ai marmonné, lui faisant ressentir qu’il avait dit une ânerie. J’ai explicité mes pensées.
— Tu te rends compte des énormités que tu dis ?
J’étais en train de lui jouer la partition de l’indignée désespérée, celle qui ne sait plus comment aborder le problème tellement il est fréquent.
— Ce qui ne va pas dans cette situation ce n’est pas simplement que tu es eu du plaisir avant moi ! C’est l’existence même de ton plaisir ! Ce n’est pas un droit que tu as. Que tu te crois autorisé à jouir et est soi une énormité. Ton plaisir ne devrait pas exister. C’est une erreur de conception de la nature. Tu devrais avoir honte d’en prendre ! Moi je suis parfaite j’ai le droit d’atteindre le nirvana. Toi tu es …
J’ai fait la moue.
– … toi. Soit honnête, tu dois rester dans l’ombre et souffrir. Ce n’est que justice ! Penser autrement est une aberration. Tu n’es pas con à ce point ?
Le couplet de la honte, il ne fait que rendre le plaisir encore plus attractif et vu que j’allais lui imposer une nouvelle période de chasteté je prenais mes précautions pour qu’elle soit la plus dure possible.
J’ai attrapé sa main et j’ai passé ses doigts sur son torse et son visage, sur les coulées de sperme. J’ai mis ses doigts devant ses yeux.
— C’est quoi ça ?
— De la saleté maitresse.
— Tu en as honte ?
— Oui maitresse.
À voir son excitation montante il en était surtout stimulé à s’en rappeler.
— Lèche !
— Oui maitresse.
— Tu crois que tu as mérité ton orgasme parce que tu as fait 2 – 3 efforts c’est ça ? Si tu crois que tu es un bon soumis c’est que tu es un putain d’attardé !
Je l’ai repoussé vers le sol en lui mettant une tape derrière la tête.
— Tu es un mauvais soumis. Un bon soumis ça n’existe pas ! Tu peux toujours faire mieux ! Ne pense jamais autrement !
— Pardon maitresse, pardon. Je suis un mauvais soumis.
J’étais contente de moi, la négociation sur les jeux de la prochaine fois allait pouvoir avoir lieu dans de bonnes conditions. J’avais la certitude qu’il n’allait pas demander grand-chose en contrepartie de ce que j’allais exiger. J’allais peut-être même pousser le vice jusqu’à lui faire reconnaître que le peu que j’allais lui laisser était de la bienveillance.
— Va te rhabiller. Il est tard et je n’aime pas être la dernière à partir.
J’allais le laisser mariner un peu, qu’il ressasse son incompétence.
Il est parti en se déplaçant rapidement à quatre pattes, il n’avait pas osé se relever en ma présence. C’est ça être dominante, le soumis n’ose même plus exister en votre présence. Pas besoin d’ordre il comprend la hiérarchie.

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La suite ici

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4 réflexions sur « Dressage bdsm sévère pour un soumis débutant 55 : préparation à la négociation “équitable” =D »

  1. Une contrainte dominante est la seule façon de faire admettre l’emprise sur un soumis qui encore l’ignore , donc oui , il faut pousser a l’extrême l’emprise du pouvoir en lui prouvant son abandon face a sa propre ignorance de la jouissance qu’il n »a pas encore éprouvée (et avouée ) avant cette expérience

    1. Une évidence qui échappe encore à de nombreux soumis et dominants.
      Et une sacrée responsabilité pour le dominant qui l’accepte.

    2. Madame, j’ai un soumis très docile, mais voila il est fétichiste de laine, moi cela me fait rigoler, mais bon , il est vrai que quand je lui met de la laine, il deviens très soumis, aurriez vous des idées comment le punir avec la laine, car je vous avoue je suis un peu perdut…

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