Le témoignage de Damien : mari soumis s02e02 lavement

Hello 🙂
Un peu de lecture pour votre week-end 😀 Toujours un témoignage je prépare intensivement ma propre production ^_^

Les parties précédentes sont ici
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La vie sexuelle de notre couple ne se résume bien sûr pas uniquement aux facesitting, nous avons bien d’autres façons de nous amuser. Mon intention est de traiter les pratiques par ordre de « difficulté » émotionnelle.
Sur le second pallier nous trouvons une pratique assez particulière. Au départ, lorsque nous avons déterminé les conditions de ma soumission, je lui avais dit que j’aimerais qu’elle porte la ceinture dans le couple, elle m’avait répondu avec un sourire espiègle :
— Ne t’inquiètes pas, la ceinture, je vais la porter.
Même si je n’avais pas compris la signification de cette phrase sur le moment j’avais cependant l’intuition qu’il y avait un sens caché. Pour être honnête j’étais plus probablement en train de me mentir pour ne pas avoir à affronter cette idée. Après la cage de chasteté, le facesitting vous avez compris que je vais vous parler de la sodomie et des gode-ceintures.
Ce sont des pratiques assez intimidantes qui me font instantanément me sentir dociles. J’y ressens une certaine honte, c’est un peu la « dernière frontière », pour moi, même être forcé à faire des fellations à un gode n’est pas aussi intime.
Après mon entrainement de base, quand elle m’a annoncé que désormais elle allait m’apprendre tout le volet anal j’ai eu une réaction de dégonflé, probablement la pire réaction à avoir devant une femme dominante.
— Non, pas la sodomie s’il te plait.
Elle s’est approchée, envahissant mon espace.
— Attend, tu viens de dire quoi ? Il n’y a qu’une seule phrase qui peut te sauver tu ferais bien de la dire en vitesse.
Je déteste ces moments, lorsque je me rends compte que je viens de lui forcer la main et qu’elle est obligée d’aller encore plus loin pour me mater et me montrer qui commande. Non pas que je lui en veuille, c’est le jeu de rôle qui l’impose, c’est moi que je déteste pour avoir été inattentif. C’est une question de cohérence, je veux être soumis donc je dois lui obéir et pas uniquement lorsque ça me fait plaisir. La notion de contrainte est une partie fondamentale de mon plaisir, je dois sentir le poids de sa divine autorité, je dois éprouver ma détermination en pliant sous son joug et en faisant machine arrière. Ce que je veux n’a aucune importance.
À vrai dire même si parfois c’est involontaire cela m’amuse aussi de lui tenir tête pour qu’elle passe en mode « stricte », c’est jouissif de me faire remettre à ma place. J’aime faire des bêtises je ne peux pas m’en empêcher et cette situation l’amuse également. Ne la prenez pas pour autant pour une malade, bien qu’elle s’amuse d’avoir une proie qui se débat elle n’est pas folle, la règle est simple, soit je dis le safeword soit elle me force la main, ce sont les règles du jeu telles que nous les avons définies.
J’aime être son soumis et je ne veux pas dire le mot qui me ferait redevenir un homme normal, j’ai trop goutté à l’adrénaline que procure le BDSM pour m’en passer. Le safeword brise le jeu, il n’est pas censé être à usage unique mais l’utiliser c’est avoir du pouvoir sur elle et ça je ne le veux pas. Si je l’utilise ne serais-ce qu’une seule fois je n’imagine pas être capable de revenir dans le rôle, j’ai peur de tout le temps y repenser. Surtout qu’elle reste très superficielle avec moi dans l’intensité des jeux ce ne sont pas de vrais épreuves. Je sais que certains soumis aiment être poussés à bout jusqu’à devoir abandonner et prouver leur lâcheté en utilisant le safeword, ce n’est pas mon cas. Nous avons convenu qu’elle serait très progressive et modérée, je n’ai aucune raison de l’utiliser. À partir du moment où les limites sont claires il n’y a pas de risques de les dépasser.
Je dois concéder que dans des moments pareils je suis quand même heureux de savoir que ce « parachute » existe. Pour faire simple je lui avais dit « non », la lutte pour le pouvoir venait de s’enclencher et je ne pense pas avoir jamais gagné contre elle à ce jeu.
Elle venait de me dire qu’elle attendait une phrase particulière, la seule qui pourrait me tirer d’affaire, elle faisait référence à une reddition totale et instantanée. Lorsque vous vivez au quotidien avec votre dominante il est impossible d’avoir une attention de tous les instants et d’éviter une phrase de travers, il est bien plus prudent de prévoir des mécanismes de sortie. Si je m’aplatissais devant elle alors j’éviterais une trop grosse sanction. Inversement en refusant je pouvais lui faire comprendre que je voulais jouer. Je ne suis pas du genre de soumis à demander une fessée, je prends davantage de plaisir « à la mériter » même si c’est parfois artificiel. C’est une ambiance dont j’ai besoin.
Cette situation m’avait mise dans un état mental particulier, d’un côté je craignais la sanction, tenter d’usurper le trône étant au sommet de la hiérarchie des crimes, d’un autre j’avais du mal avec l’alternative, présenter des excuses est douloureux, surement à cause de ma sale fierté masculine. C’est une sensation étrange que de confesser un moment de faiblesse sachant qu’elle n’hésitera pas à l’exploiter cruellement. En même temps une fois les armes déposées je me sens protégé, c’est comme un serment d’allégeance, comme du temps de la chevalerie, « je m’engage à te servir et tu me protèges en retour ». Reste à définir ce qu’est cette protection. Je sais que je ne suis pas tout seul dans la vie, peu importe les problèmes « dans le monde extérieur » j’aurais toujours une place disponible à ses pieds tant que je n’essaye pas de fomenter un coup d’État. Elle me protège de mes travers, me donne un but dans la vie. J’ai du mal à mettre des mots sur cet aspect, je sais qu’elle est indispensable à mon équilibre sans savoir exactement comment. L’échange de pouvoir n’est pas à sens unique, c’est pour notre bénéfice mutuel même si les apparences disent le contraire.
— C’était un lapsus, mon corps t’appartient tu peux mettre ce que tu veux dans chacun de mes orifices.
— Et je ne vais pas m’en priver.
Ensuite elle m’a puni de la pire manière qu’il soit, en ne faisant rien, j’ai dû attendre pendant des jours qu’elle mette en pratique ce qu’elle m’avait annoncé. Vous avez idée du niveau du supplice qu’il y a à rentrer le soir en se sachant pas ce qui va m’arriver ? Le pire étant que je savais qu’elle attendrait que je baisse ma garde pour exercer son courroux.
Il faut bien vous mettre dans ma tête, je suis quelqu’un de classique sur le point de vue sexuel et j’allais me retrouver dans la situation de me faire sodomiser par ma femme. Pour moi lui obéir, porter une cage de chasteté et les autres marques de soumission ne remettait pas en cause mon statut d’homme. J’étais un homme inférieur à une femme mais un homme tout de même. Se retrouver avec le sexe en cage ne le détruit pas. À la limite même me faire pénétrer par un gode est une punition pas une remise en cause de ce que je suis. Par contre me faire prendre par un gode-ceinture était pour moi l’humiliation ultime. Je n’allais pas devoir faire toute les basses corvées, je n’allais pas être privé de plaisir, j’allais être « la femme » pendant l’acte. C’est toute ma conception de la sexualité qui était remise en cause, mon identité. Je n’avais pas idée de ce qui m’attendait « de l’autre côté ». Est-ce que j’allais aimer ? Est-ce que ça allait être horrible ? Qui je serais après ça ?
En même temps ces pratiques me fascinent depuis que j’en avais connaissance. Avant d’être soumis j’étais déjà en contact avec le monde BDSM via Candice qui m’en parlait. J’ai passé un temps pas possible à me repasser certaines images en tête, c’était de l’obsession. Une « femme phallique », c’est un concept tellement intimidant.
J’ai été fébrile pendant des jours, regrettant cette phrase de trop, si j’avais été moins aventureux mon initiation aurait eu lieu sur le moment et j’aurais eu une réponse à mes questions. Il avait fallu que je lui conteste le pouvoir, quel idiot j’avais été. L’attente a été une vraie torture, une leçon aussi douloureuse que nécessaire vu mon comportement, je ne critique pas sa décision.
Je me rassurais en me disant que j’avais aussi eu des aprioris négatifs sur le facesitting et pourtant j’avais aimé ça. Je devais faire confiance à Candice pour faire ce qui était bon pour nous. Elle avait raison de nous faire essayer de nouvelles pratiques, j’ai toujours eu du mal à sortir de la routine, à tenter de nouvelles choses, nous nous complétons bien sur cet aspect. Au pire je ne risquais rien, je n’aimerais pas ça et nous passerions à autre chose. À ne rien essayer de nouveau on passe à côté de bonnes idées. Des fois ça marche moins, par exemple la féminisation n’a pas bien pris avec moi, je n’ai pas eu besoin de le lui dire, bien au contraire j’étais méticuleux pour ne pas lui forcer la main. Elle l’a senti et a pris la décision adéquate, nous sommes passé à autre chose. J’ai confiance en son jugement, c’est ça la soumission. C’est justement parce que j’ai des réticences à essayer qu’elle doit m’y amener
Puis le soir tant redouté est arrivé, elle a remis l’idée sur le tapis. J’avais pensé à ce moment des dizaines, non, des centaines de fois. Comment elle allait gérer la situation ? Parfois j’essaye d’imaginer ce qui se passe dans sa tête. J’ai une angoisse à prendre des décisions nouvelles, j’ai peur de faire des erreurs. J’ai un très grand respect de cette capacité qu’elle a de prendre ses responsabilités.
Sentant mon hésitation sur le sujet elle a jugé opportun d’être très stricte, de m’imposer un cadre ferme pour ne pas me laisser de marge de manœuvre. Dans le rôle d’une sorte de sergent-instructeur elle m’a appelé sèchement comme on appellerait un chien. J’ai sursauté et me suis jeté au sol, bien conditionné à réagir à des ordres secs donnés en poussant la voix. Rien de superflu, juste un ordre à exécuter sans réfléchir. Je pensais trop à ce moment alors elle me mettait dans le rôle d’un soldat qui doit arrêter de penser. Un moyen de calmer mon angoisse. Obéir aveuglement à ses ordres est une position apaisante et moins difficile qu’il n’y parait.
— Ici !
Elle avait sa cravache à la main, j’ai tremblé. C’est un instrument qu’elle affectionne tout particulièrement et pourtant ne l’utilises pas souvent avec moi, la douleur est très vive et je la supporte mal. C’est un sacrifice qu’elle fait en général pour mon confort. En effet être soumis ne signifie pas pour autant avoir le monopole des concessions. On ne parle pas souvent des sacrifices fait par les dominas pourtant bien présents, elles n’aiment pas en parler et les soumis ne s’en rendant pas tout le temps compte.
Quoi qu’il en était la cravache était de sortie ce qui signifiait que je devais me tenir particulièrement à carreau. Comme je peux lui faire sentir quand j’aimerais qu’elle devienne plus stricte elle peut me faire sentir qu’il ne faut pas que je déconne.
— Dans la salle de bain !
L’ordre a été accompagné d’une tape à la cravache sur les flancs, pas un vrai coup, suffisamment pour que je le sente et que détale comme le trouillard que je suis. Elle m’a rejoint calmement, gardant ses escarpins aux pieds pour que j’entende ses pas résonner dans le couloir, à contre-temps elle tapait sa cravache dans sa main. Après plusieurs jours à angoisser pour avoir dit un mot de travers et sous la menace d’une cravache j’étais fermement décidé à obéir sans sourciller.
— La tête sur le sol, les mains sur la nuque et le cul en l’air !
Simultanément mes fesses venaient de se prendre un coup de cravache bien plus sévère que la tape précédente, elle me montrait qu’elle ne tolérerait plus aucune désobéissance. C’était la fermenté dont j’avais besoin.
— Ecartes les cuisses !
Encore une fois la cravache est venue préventivement me frapper. Les 2 carrés brulants créés sur ma peau me démangeaient. Si je n’avais pas eu peur d’un déluge ardent en représailles je les aurais bien frottés. C’est toujours dans ces situations, lorsque vous ne pouvez pas bouger, que vous avez « le nez qui démange ». J’ai entendu des bruits derrière moi, je n’osais pas tourner la tête pour regarder, je pesais le pour et le contre à chaque instant « est-ce que ce mouvement vaut son cout en cravache ? ».
Elle a mis une de ses mains dans le creux de mes reins pour me faire cambrer puis j’ai senti une canule me rentrer dans les fesses, sans avertissement. Elle s’est relevé, toujours sans un mot, elle n’avait pas besoin de m’expliquer la situation, je subissais un lavement et tout mouvement serait sanctionné, c’est tout ce que j’avais besoin de savoir. C’était mon premier, une sensation vraiment étrange, presque indolore au début s’en était même agréable. Sentir ce liquide chaud couler en soi n’était pas si terrible. Après quelques minutes elle m’a retiré la canule et m’a dis de rester en place. Nous avons attendu en silence. Rapidement les « bulles » ont commencés à apparaitre, des bruits dans mon ventre, la pression était en train de monter mon corps voulait expulser ce trop plein. J’avais des crampes terribles dans l’estomac, je luttais contre un ennemi intérieur, pire je luttais contre moi-même. Mon corps était idiot, il ne voulait pas comprendre qu’il devait tolérer ce liquide et se plier à cette épreuve. Rien ne devait sortir tant que la permission n’était pas donnée. Céder n’était pas une possibilité, mon corps ne faisait rien pour me faciliter la tâche, il ne pensait pas aux conséquences.
Elle m’a dit de me relever, j’ai senti le liquide se déplacer en moi. Elle a gloussé avant de me dire de sautiller sur place. J’ai commencé timidement, le liquide montait et descendait avec un temps de retard, de l’inertie. La pression anale augmentait d’autant, je ne savais pas combien de temps j’allais pouvoir tenir à ce rythme. Une sensation aussi étrange que désagréable
Après quelques mouvements elle m’a fait remettre en position. Je l’ai remercié, je craignais que la suite soit pire, j’avais raison.
Par moment la tension redescendait, c’était agréable, à d’autre la pression sur mon sphincter était terrible, j’avais envie de lâcher. Sans m’en rendre compte je gémissais de plus en plus fort au mépris des règles du jeu. Elles étaient pourtant simples, n’avoir aucun comportement qui ne m’ait pas été dicté. J’aurais dû savoir que je m’exposais à des conséquences très déplaisantes à ne pas les respecter. Comme toujours dans ces moments je m’en suis rendu compte trop tard.
— Alors comme ça tu veux gémir sans permission ? Nous allons devoir remédier à ce problème.
J’ai essayé d’étouffer un « Oh Non », elle s’est figée.
— Qu’est-ce que tu viens de dire ?
J’ai répondu sous la panique.
— Je viens de dire « pardon ».
Je croisais les doigts pour qu’elle accepte ce mensonge. Elle s’est mise au-dessus de moi.
— Tu sais ce qui va t’arriver ?
— Je vais être traité comme je le mérite. À la manière forte. Merci.
— A la chercher comme ça je suppose que tu l’aimes beaucoup. Soit, comme tu préfères.
J’étais obligé de réclamer un durcissement de ma condition, qu’aurais-je pu faire d’autre ? Lui tenir tête et qu’elle m’apprenne qui commande ? Si je voulais que tout ce passe bien je devais respecter les règles et accepter la punition.
— Ecartes les fesses !
Je les ai tirées lentement, contractant mon sphincter pour ne pas lâcher. La position était encore plus désagréable que la précédente c’était peu dire.
— Alors comme ça cet orifice ne m’est pas accessible
— Si chérie, totalement. Tu peux lui faire ce que tu veux.
— Ce n’est pas ce que tu m’as dit l’autre jour.
— Je me trompais, j’étais stupide j’en ai pris conscience.
— Ce n’est pas grave tu sais. Je n’ai rien contre les portes fermées. Je prends beaucoup de plaisir à les défoncer.
Soudain j’ai senti mon anus me bruler, je venais de me prendre un coup de cravache dessus, un vrai coup. Sous l’effet de la surprise tout mon corps s’est crispé. Déjà qu’en temps normal j’ai du mal avec la cravache alors la recevoir sur un endroit où la peau est si sensible allait m’apprendre la leçon pour longtemps. Quel idiot j’avais été, dire « non » à ma dominante, je méritais mon traitement.
Etre forcé de garder mon sphincter contracté ne faisait qu’amplifier la douleur cependant j’ai tenu bon de ce côté, par contre les larmes se sont mises à couler sur mon visage, le prix de l’émotion. Comme si cela ne suffisait pas je me suis pris un deuxième coup dans la foulée, à ce rythme j’allais tout relâcher sur le sol de la salle de bain. Je me voyais déjà être obligé de tout nettoyer. Il aurait été si simple de refermer mes fesses, désobéir une fois de plus quelle idée stupide ! Je ne gagnerais jamais à résister.
— Refuser la sodomie, c’est encore ta virilité qui te fait dire des âneries.
La cravache est descendue de quelques centimètres pour aller titiller ma cage. Ma queue était toute dure du fait de la tension dans le bassin. Candice était très sévère, elle m’apprenait la leçon comme il fallait, j’allais passer des semaines à être docile et cette pensée m’excitait au plus haut point.
— Il est temps de prendre le problème à la source.
Je n’ai pas eu le temps de répondre que déjà un coup était tombé sur mes bourses. C’était presque un soulagement, la douleur était certes présente mais ailleurs. Le répit n’a été que de courte durée, rapidement elle est repassée sur mon anus. À chaque coup je pensais être au plus bas dans la capacité à lâcher du terrain, j’étais prêt à toutes les concessions puis un autre tombait et je trouvais la force d’aller encore plus bas. Sa méthode de négociation a toujours été redoutable. J’adore me sentir fondre petit à petit. À chaque coup la douleur était plus vive avant de diffuser dans toute la zone. Je sentais la chaleur persister davantage à chaque impact et c’était excitant. Si le coup en lui-même était douloureux la chaleur résultante était tellement stimulante.
— Un dernier coup pour la route et tu pourras aller aux toilettes.
— Merci chérie !
Elle a pris son temps pour viser, je savais que ce coup allait être plus dur que les autres et je me préparais en me contractant, c’était mes dernières forces. J’avais fait le plus dur je ne devais pas céder maintenant. Je la connaissais bien, le coup a en effet était sévère. C’est le cul en feu que j’ai détalé vers les toilettes, les derniers mètres ont été les plus durs.
C’était une forme de plaisir qui m’était encore inconnue, aussi primitive que puissante, pourtant je n’ai pas d’envies ou de fantasmes scato, trop étrange pour que je dise sur le moment si je l’aimais au point de la revivre à intervalle régulier. Sentir la pression se relâcher et filer à travers mon sphincter encore chauffé et endolori par la cravache était un tel moment de soulagement que j’en avais des larmes de bonheur sur le visage.
En apparence elle était méchante avec moi mais c’était ce que voulais ressentir, ne la prenez pas pour une mauvaise personne, ce qu’elle me faisait subir était nécessaire à mon plaisir. Plus elle me traite durement plus je prends du plaisir ensuite, il y a un rapport de proportionnalité. Jouer avec elle est une épreuve mais j’aime ça, si ce n’était pas le cas le safeword serait là pour me sauver la mise.

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