Confession #4 : ça chauffe … et pas qu’un peu !

 

conf2Hello 🙂

Voici le post du week-end, je l’envoie assez tôt puisque je pars me changer les idées ailleurs 😀
Je n’arrête pas de sautiller, il n’y a pas 5 minutes j’étais en train de sauter en hurlant sur mon lit, j’ai besoin de me défouler et j’ai des idées sur comment faire ! ! ^_^

Cette fois-ci place à ma deuxième expérience en tant que soumise. Si je suis un peu longue pour arriver à ma phase femdom c’est qu’il y a une raison faites-moi confiance j’ai une vue d’ensemble. Il y a une progression dans ma construction et certaines leçons apprises en tant que soumise ont eu des répercussions en tant que dom (et je ne dis pas que mon chemin est un exemple, c’est un témoignage pas un ouvrage de théorie générale). Et puis difficile de vraiment dissocier les 2, ce sont deux aspects d’une même personnalité.
Tant que j’en suis aux avertissements il va y avoir un discours plutôt macho cette fois-ci, ne montez pas sur vos grands chevaux cela fait partie du rôle, je fais bien la même chose avec les hommes.

Si vous voulez reprendre mes confessions depuis le début la première partie est ici.

J’étais donc restée sur ma faim avec mon premier test en réel, je n’avais eu rien d’autre qu’un aperçu de ce que cela pouvait donner comme sensation et cela me frustrait. J’avais aimé ce début et il m’en fallait plus, j’étais une sorte de droguée en manque, il me fallait ma dose. C’était un vrai comportement de gamine capricieuse, il me fallait ma fessée tout de suite ou je piquais une crise ! Pour le coup je méritais bien une déculottée pour me calmer.
Cette impatience s’est ressentie dans ma seconde annonce qui a été bien plus agressive que la première, je ne pouvais pas masquer ma nervosité. La seule constante entre les deux a été le flot de réponses stupides qu’elles ont engendrées, je ne reviendrais pas sur cet aspect. Parmi les réponses correctes mon choix s’est porté sur quelqu’un de plus expérimenté, je n’allais pas faire les mêmes erreurs deux fois d’affilé.
Le jour du rendez-vous j’ai continué sur ma lancée en mettant un jeans pour ne pas paraître trop sexy, c’était une bonne idée. J’étais bien moins angoissée et pire moins excitée, je me préparais déjà à être déçue une nouvelle fois.
Quand je suis arrivée au jardin public il m’attendait tranquillement en lisant un livre. Je lui ai dit bonjour. Sans me regarder il m’a fait signe de l’index d’attendre, il devait vouloir finir son chapitre. J’ai trouvé cette réaction très impolie, elle m’a même vexée. J’étais prête à tourner les talons et lui dire d’aller se faire voir. Pour qui il se prenait ? Quand il a finalement posé son livre il a croisé les bras et m’a regardé de haut en bas.
— Rappelles moi tu es un homme ou une femme ?
J’ai répondu plein de dédain.
— Une femme.
Mon ton semblait dire « si tu ne le vois pas c’est que tu es un abruti ». J’étais passablement remontée et je me précipitais la tête la première dans le conflit. Je reconnais que je faisais preuve d’une arrogance très peu à propos pour une soumise. C’était involontaire, l’expression d’une certaine frustration. J’avais bien sûr des raisons de réagir de cette façon, il me manquait de respect, il ne me traitait pas comme son égale et j’étais légitimement offensée. C’était une lutte de pouvoir et je ne voulais pas me laisser marcher sur les pieds, c’était un réflexe. Il a pointé mon jeans de l’index.
— C’est une nouvelle forme de jupe ? Les femmes ne sont bonnes qu’à être belle et toi tu n’en es même pas capable ?
Il m’avait pris de court, je marmonnais dans ma tête « c’est moi qui décide comment je m’habille. Si je veux je peux me faire belle je le fais », en un mot j’étais humiliée et prise en défaut. J’avais un air contrarié, c’était vrai que je n’avais fait aucun effort et je m’en sentais coupable. Je lui en voulais pour avoir appuyé là où ça pouvait faire mal. J’avais fait une erreur et ce n’était pas grave, j’étais une débutante il aurait pu être tolérant, les attaques vestimentaires c’était petit. J’étais prête à bouder.
J’ai bredouillé.
— Je savais pas.
— Ce n’est pourtant pas compliqué. Même toi tu devrais comprendre. Tu appartiens au sexe faible tu dois porter les vêtements qui vont avec et pas tenter de te travestir en homme. Tu n’as pas les qualités requises.
J’étais prête à laisser passer la première attaque mais il continuait. Je lui ai répondu sèchement.
— Je ne me travestis pas !
J’avais à peine finie ma phrase que je me ramassais une tarte, et pas une petite, je n’ai pas réagi à cause de la surprise. J’avais la joue en feu, la bouche sèche et le coeur qui battait fortement dans mon torse
— Il va y avoir du travail pour te discipliner. Tu n’acceptes même pas la faiblesse de ton sexe. Tu es en plein déni.
Cette fois-ci c’était décidé je boudais. Il a continué.
— Tu n’aimes pas ça ? Ici c’est moi qui décide ce que tu aimes ! Tu crois qu’une salope a son mot à dire ? Je vais te dresser et à la dure !
Le mot « dresser » ma fait frissonner toute la colonne vertébrale, le choix des mots est important dans mes fantasmes. Je ne disais plus rien, j’observais comment les choses allaient évoluer. J’étais la petite fille face à son père alors qu’il prend la grosse voix. J’étais instinctivement sage comme une image.
Il m’a fait signe de tourner sur moi-même. J’ai obtempéré sans résister.
— Pas de talons non plus ?
Je baissais la tête, je semblais dire « pardon, je ne recommencerais plus ».
— Mets-toi sur les pointes et restes-y.
Il était ferme dès le départ et me faisait craindre une seconde gifle. Je n’osais même plus penser.
— Plus haut. Les mains dans le dos. Je te conseille d’apprendre à aimer cette position tu vas y passer du temps. Tu as envie d’être éduquée fermement ?
J’ai répondu d’une petite voix.
— Oui monsieur.
Il a rigolé.
— Tu ne fais plus la fière tout d’un coup, ça va te faire du bien. Désormais tu vas t’habituer à porter des talons. Ils sont douloureux et c’est bien, une femme doit avoir mal pour lui rappeler son infériorité.
Il a continué en modérant son discours.
— Ne le prends pas trop à coeur. Ce n’est pas que ta faute. C’est cette satané libération sexuelle. Ils t’ont mis des mauvaises idées dans la tête. Une femme devrait toujours rester sous l’autorité d’un homme. On voit le résultat quand vous tentez de prendre des décisions. Si ça ne tenait qu’à moi vous resteriez des mineures toute votre vie.
C’était des âneries et pourtant je ne disais rien, j’étais passablement excitée par la situation, par sa voix grave, il avait de la prestance, il était sûr de lui. Il n’y avait pas une once d’hésitation quand il parlait, les ordres étaient secs. C’était une sorte d’aura qui me neutralisait. Je me sentais toute petite face à lui, je serrais les cuisses pour les frotter discrètement l’une contre l’autre. Il ne me tenait pas qu’à la menace d’une punition, ce qu’il me proposait incluait du plaisir d’être soumise. J’avais envie de l’écouter, de me laisser faire. Il m’avait immédiatement mis dans le bain en ne laissant rien passer.
— Je t’écoute. Acceptes que tu es du sexe inférieur et dis que tu n’es qu’un fardeau qui a besoin d’un dressage sévère.
J’étais dans un état second, j’obéissais non pas parce que j’étais d’accord avec sa vision mais parce qu’il semblait savoir ce qu’il faisait, s’il avait d’autant d’expérience dans ses châtiments ils allaient être délicieux, je le sentais. Je pouvais jouer le jeu qu’il voulait pour y accéder.
— Je suis du sexe faible et j’ai besoin d’un dressage sévère. S’il vous plait éduquez-moi sévèrement monsieur.
Il me tenait en respect, je n’en pouvais plus d’attendre la suite.
— Tu connais la raison d’être d’une femme.
— Non monsieur.
— La raison d’être d’une femme se trouve entre ses jambes. Elle doit toujours être en capacité de s’offrir.
L’effet de la gifle commençait à se dissiper, j’ai osé dire.
— Je ne veux pas de sexe.
Il a tenté de se montrer diplomate mais je voyais bien qu’il avait été fâché que je réponde.
— Et il n’y en aura pas ! Ça ne t’exonère pas d’avoir un comportement conforme à ton sexe ! Il va falloir que tu apprennes à écarter les cuisses. Tu dois paraitre baisable à tout instant. Je vais y veiller à partir de maintenant.
— Bien monsieur.
Je n’aimais pas la perspective d’être un objet sexuel, de l’être vraiment, par contre qu’est-ce que c’était excitant de l’imaginer !
— Tu as beaucoup à apprendre sur comment te comporter.
Il m’a tourné par les hanches pour me changer de direction et me faire avancer. J’ai marché sans rien dire, toujours sur la pointe des pieds, j’étais attentive. Il m’a amené vers un bar, il s’est installé dans un coin reculé de la salle.
— Vas aux toilettes et retires ta culotte.
— Oui monsieur.
Je n’ai pas demandé mon reste. Une fois seule j’ai pu reprendre mon souffle. J’ai rigolé et laissant couler une larme sous l’émotion. Le stress que je n’avais pas ressenti en venant était en train de monter. Il était encore trop tôt pour dire si j’aimais ça, c’était au minimum une expérience intense. Trêve de rêveries il fallait que j’obéisse. J’ai déboutonné mon jeans, je l’ai fait glisser accompagné de ma culotte jusqu’aux chevilles. Me déshabiller dans « un lien presque public » était excitant. J’avais l’entrejambe qui me démangeait, si seulement j’avais eu un peu de temps pour me satisfaire.
J’ai hâté le pas pour revenir vers lui, je voulais bien me conduire et ne plus me montrer négligente. Je me suis assise en face de lui en souriant. Il m’a regardé froidement.
— Je t’ai donné la permission ?
Je me suis redressée comme un ressort.
— Non monsieur pardon.
Je n’avais qu’une envie c’était le supplier de me dire quoi faire pour avoir un comportement qui le satisferait. J’avais trouvé une personne avec qui je voulais rester et j’avais peur de le perdre en étant trop cruche. J’étais sincère en disant que je voulais être éduquée.
— Depuis quand une femme a le droit de prendre ses propres décisions ?
J’ai répondu toute penaude.
— Je ne sais pas monsieur.
— Tu trouves normal qu’une femme puisse prendre des décisions ?
— Non.
— Pourquoi ?
J’avais bien appris ma leçon.
— Parce que nous sommes le sexe faible.
— Tu vois quand tu veux t’en donner la peine tu sais dire des choses un peu moins connes.
J’ai souri, c’était idiot comme compliment et pourtant j’étais fière d’avoir donné la bonne réponse.
— Merci monsieur.
— Tu sais ce qu’il arrive aux femmes qui passent leur temps assises ?
J’ai répondu en rougissant.
— Elles se font fesser.
Il a rigolé.
— Non ça c’est le traitement pour les dissuader de le faire. Les femmes qui restent assises grossissent. Est-ce que c’est bien pour une femme de ne pas avoir la ligne ?
— Non monsieur.
— Alors tu vas rester debout en toute circonstance si tu n’as pas ma permission c’est clair ? Ça affermira ton postérieur.
— D’accord.
— Les fesses fermes ça se travaille et votre paresse naturelle n’aide pas. Si vous n’avez pas un homme derrière pour vous tanner la peau vous ne savez pas trouver la motivation nécessaire pour rester jolies. C’est triste.
— Je vais faire des efforts je vous le promets.
— Non. Ne t’inquiètes pas. Ce n’est pas ta faute. C’est l’homme dont tu dépends qui doit prendre ses responsabilités. Si tes fesses ne sont pas douloureuses tu vas oublier que tu ne dois pas t’asseoir. Ce n’est pas ta faute, si on ne te parle pas dans le seul langage que tu comprends on ne peut pas exiger de toi que tu fasses des choses bien.
Il était rien de moins qu’en train de me promettre que tant que je serais en sa présence mes fesses seraient rouges, une perspective très excitante.
— Poses ta culotte sur la table.
J’ai écarquillé les yeux, je ne pouvais pas le faire tout le monde allait la voir, c’était honteux.
— Si dans 10 sec ta culotte n’est pas sur la table je te fesse cul nu devant tout le monde.
J’ai baissé la tête pour cacher que je rougissais, la confrontation à l’autorité, la menace de la punition, j’étais en plein rêve. Je pouvais lui accorder un point, les fesses rouges sont un bon moyen de motivation. J’ai posé ma petite culotte sur la table, en tas informe pour que les gens puissent se méprendre sur ce qu’elle était. Il ne s’est pas fait avoir par ce jeu de dupe et l’a déplié lui-même pour qu’il n’y ait pas de confusion possible. Il a ensuite passé de longues minutes à me détailler sa philosophie et le régime auquel j’allais être soumise. J’avoue ne pas avoir écouté, je voulais partir de ce café au plus tôt, tant que personne n’avait vu ce qu’il y avait sur la table. J’aurais pu consentir à n’importe quoi. J’ai ressenti un immense soulagement quand il a proposé que nous passions chez lui. Même l’humiliation de devoir continuer à marcher sur la pointe des pieds n’a pas gâché ce moment.
À peine la porte de son appartement passée il m’a sèchement dis de me déshabiller. J’étais tétanisée par un ordre aussi sec. Devoir me mettre entièrement nue devant un homme que je connaissais à peine.
— Qu’est-ce que je viens de dire, tu es conne ou quoi. À poil.
Dans la foulée je me suis ramassé une tarte, elle m’a motivé à passer rapidement à l’acte. Ne vous méprenez pas je n’avais pas besoin de douceur mais de fermeté. Ne pas avoir le choix me facilitait grandement les choses.
Il s’était assis dans le canapé, il m’a regardé enlever vêtement après vêtement. Une fois fini il a levé la main.
— Tu as été trop lente. Viens ici chercher ta gifle !
Dans un état second je me suis dirigé vers lui. Sans surprise il s’est levé et je m’en suis pris une. Pendant que j’étais encore sonné il a posé un de ses pieds sur un tabouret puis m’a empoigné fermement et avant que je n’ai le temps de comprendre j’avais voltigé par-dessus sa jambe, me retrouvant le cul en haut et la tête en bas. Ni mes pieds ni mes mains ne touchaient le sol, je me sentais totalement vulnérable.
— Voici donc ce que tu essayais de cacher. C’est le coeur du problème. Tes fesses sont trop blanches ce n’est pas normal. Pas la peine de chercher mdi à quatorze heures. Tant qu’elles seront comme ça tu auras un comportement de gamine. C’est scientifique, les femmes ont besoin d’avoir les fesses rouges, il ne faut pas en avoir honte c’est votre nature vous en avez besoin. Tu es prête à te faire soigner ?
J’ai émis un gémissement voulant dire « oui ». C’était si simple de dire, d’exiger même une fessée, j’allais me la prendre et c’était intimidant. Les coups ont commencé à s’abattre sur mes fesses, à la main, au bout de 2 ou 3 coups mon cul était déjà en feu et ça n’allait pas s’arrêter là il s’échauffait à peine. La douleur montait rapidement et si j’étais restée immobile comme une cruche au départ du fait de la surprise la chaleur était montée trop vite pour que je puisse rester figée. Il n’a pas fallu quelques minutes pour que je me mette à pleurer à chaudes larmes, j’avais les nerfs qui lâchaient. Que c’était bon, c’était tellement relaxant d’évacuer tous mes problèmes. Toute cette tension qui me pesait disparaissait à grande vitesse. Je n’étais plus une adulte indépendante et stressée mais un bébé pleurant à chaudes larmes, une bonne fessée ça fait circuler le sang. Les coups volaient de plus en plus vite et de plus en plus fort en faisant un bruit dément. Pendant un instant j’ai pensé aux voisins qui allaient entendre tout ça. Il faut dire que ce n’était pas la seule source de bruit, je couinais tant et plus, je pense que c’est le mot décrivant le mieux les sons que j’émettais. Ce n’était encore que le cadet de mes soucis, mon cul se ramassait une rouste comme je n’en avais jamais connue ou imaginée et ça me faisait drôle.
Je n’avais aucun appui, aucun moyen d’échapper à la tannée et elle a été longue. Je gigotais de plus belle n’arrivant même pas à le gêner dans sa tâche. Rien qu’à m’imaginer dans cette position j’en pleure de rire, je devais être d’un grotesque à battre des pieds dans le vide, cherchant désespérément à atteindre le sol du bout des doigts, comme si ça avait pu changer quelque chose. Je devais vouloir détourner mon esprit en me concentrant sur autre chose.
Je me suis débattue en vain, sa prise était trop ferme et j’ai fini par me résigner à mon triste sort, n’étant plus secouée que par des sanglots. J’avais voulu tester la fessée avec quelqu’un d’expérimenté et mes fesses subissaient le traitement complet. Quelle idiote j’avais été de demander à être traitée « comme une grande ».
— Tu te souviens ce que j’ai dit tout à l’heure ? Si tu n’attrapes pas tes genoux avec tes bras pendant une fessée je ne commence pas à compter.
J’ai eu une poussée d’adrénaline, je ne l’avais pas écouté un peu plus tôt, j’avais la tête dans mes pensées. Etait-il sérieux ? Tout ce que je venais de subir n’avait pas compté ? Je m’en suis tellement voulu. Je me suis précipitée pour enlacer mes genoux et je n’ai plus bougé, espérant que mon bon comportement arrangerait les choses.
Après une bonne dizaine de minutes de claquage soutenu et ininterrompu toute la surface de mes fesses et le haut de mes cuisses y est passé. J’étais à bout physiquement, c’est un véritable sport de se prendre des fessées je vous l’assure. Il m’a reposé sur le sol. Entre deux sanglots je l’ai remercié parce que ça me semblait la chose la plus humiliante à faire sur le moment. J’avais la certitude que mes pauvres fesses ne seraient plus les mêmes après ça, j’avais l’impression qu’elles avaient doublé de volume ce n’était plus le moment de jouer les gamines espiègles.
J’étais presque en état de choc, je l’avais attendue tellement longtemps cette fessée et elle avait été parfaite, une vraie délivrance.
Les fesses fumantes je me demandais pourquoi j’avais été bête à ce point, pourquoi j’avais fait ces bêtises, pourquoi je n’avais pas cherché à être prise en main plus tôt, tellement de regrets dans tous les sens. La jupe n’était bien sûr qu’un prétexte, si j’en avais mis une il aurait trouvé une autre critique à me faire, c’était le jeu. Peu importe la façade j’avais plein de choses à expier, personne n’est parfait et j’avais en tête tout un tas de raisons d’être dans cet état. Ne vous y trompez pas c’était une expérience positive, je rétablissais un équilibre. Côté spirituel je penche pour certaines philosophies asiatiques basées sur l’équilibre, en acceptant d’être punie je pouvais rayer certaines choses du mauvais côté de la balance. C’est comme s’autoriser une pâtisserie après avoir fait du sport.
J’allais sortir de l’expérience épuisée mais apaisée. C’était un nouveau départ, et j’avais payé le prix fort pour pouvoir repartir de zéro.
Il m’a mis une claque sur les fesses qui m’a tirée de mes pensées.
— Sur les pointes !
Malgré toutes mes bonnes résolutions je faisais encore des bêtises.
— Pardon monsieur.
En me tenant sur les pointes les muscles des fesses se contractaient faisant ressortir la douleur.
Il a essuyé mes larmes avec ma culotte puis l’a passé entre mes jambes.
— Tu la garderas comme ça. Un petit souvenir de ta première vraie fessée.
J’avoue ne pas l’avoir fait, je ne suis pas fétichiste de ce genre de chose.
Il m’a regardé avec tendresse.
— Tu es calmée maintenant ?
Je me suis contractée, je ne savais pas quoi répondre. Je n’avais pas estimé m’être trop mal comporté avant, en tout cas je ne voulais pas faire de mal. J’avais très bien compris l’équation, si je n’acceptais pas sa vision des choses je repasserais par la case correction. J’ai vraiment eu peur de me prendre une seconde rouste. J’ai hoché la tête rapidement.
— Ça sera le même tarif à chaque fois que tu te présenteras travesti en homme devant moi. Cette fois j’ai été gentil ça n’a pas été devant tout le monde. J’espère que tu savoures ta chance.
Je me suis dépêchée de répondre
— Oui merci.
J’ai eu un frisson en m’imaginant subir sa fessée devant tout le monde, quelle horreur cela aurait été ! Si je montrais la moindre once de résistance je n’ose imaginer les représailles que mes fesses auraient subies.
Il n’aimait pas les soumises en pantalon et me l’avait fait comprendre, ça s’appelait mettre les points sur les i je ne peux que le reconnaitre. Bizarrement ça a été efficace je ne me suis jamais représentée devant lui en pantalon. C’est ce qui s’appelle une leçon bien apprise.
Il m’a attrapé par les hanches pour me déplacer vers un meuble haut. Je me suis laissée faire, il n’avait plus besoin de me menacer j’avais assimilé le système. Il m’a donné des feuilles et un stylo.
— Tu vas me copier 300 fois « je fais partie du sexe faible je dois avoir un comportement adapté et ne plus faire de caprices ». Nous verrons après si tu as retenu quelque chose. Dans le cas contraire j’ai d’autres méthodes éducatives en réserve.
J’étais dans un état où je pensais ce qu’il me disait de penser. S’il voulait que je sois une femme soumise alors femme soumise je serais.
Les premières lignes ont été très approximatives à cause de ma vision troublée par mes larmes et les tremblements des sanglots. J’ai sagement fait mes lignes sur la pointe des pieds.
Cela faisait désormais plus d’une heure que j’étais dans cette position et elle en devenait douloureuse, pourtant je n’imaginais pas désobéir, je crois que mes fesses encore fumantes y étaient pour quelque chose.
Quand j’ai repris mes esprits la première chose que j’ai pensé c’était : « ça c’était une vraie fessée ! » c’était ce que je voulais et je l’avais eu. J’avais envie de laisser courir mes doigts entre mes cuisses, j’imaginais que ce n’était pas un comportement autorisé, l’envie était pourtant très forte.
Ce n’était que le début de la session il était plus sage de ne pas me faire remarquer davantage.


La suite par ici.

Une réflexion sur « Confession #4 : ça chauffe … et pas qu’un peu ! »

  1. Souvenir d’enfance chez ma tante, j’étais chez tante et oncle car ma maman avait du travail à sa ferme , tout se passait bien ,le matin ma tante venait me chercher pour le petit déjeuner ,elle ne manquait pas de vérifier le lit,
    un matin tante trouvait que j’avais mouillé le lit ,elle m’attrape puis elle me met tout tout nu ,puis elle me fit accroupi pour la fessée, elle frappait tellement fort sur mes fesses ,j’ai crié ,rien n(y fait , puis elle m’a mis au mur tout nu toute la matinée
    Malgré cette fessée j’aimais bien tante, tante aussi m’aimait ,j’ai continué séjourné chez tante

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