Simplet découvre le BDSM : le dressage sévère d’un débutant #10

Bonjour à tous,
Aujourd’hui une partie assez intéressante, une montée en tension qui se conclura dans l’épisode de samedi. J’aime vous laisser dans l’attente ^_^ Au pire vous n’aurez qu’à relire les parties précédentes.
Vu son attitude depuis le début il fallait bien que ça casse à un moment, je pense que personne me contredira sur ça.
Concernant l’écriture j’ai presque rattrapé mon retard, d’ici ce week-end ça devrait être bon. Ne vous inquiétez pas je ne bâcle pas le travail. Je sais qu’une des scènes est fondamentale, c’est pour cela que j’y passe du temps. Ça devrait prendre place à partir du post 15 avec un climax sur le post 17, vous pouvez marquer la date ça ne sera pas un post à rater.

* * *

En le mettant en pleine lumière mon but était qu’il se sente exposé, le plus vulnérable possible, complètement à ma merci. Son regard était braqué sur mes jambes, un bon signe, je commençais à l’hypnotiser un peu. Un soumis dans un état second est toujours plus simple à contrôler, c’est pour ça qu’il faut aussi leur interdire de se masturber avant de venir à une session. Quoi qu’il en soit il allait devoir s’habituer à cette vue, il n’aurait plus trop l’occasion de me voir sous un autre angle. Il avait les joues rouges de se confesser aussi ouvertement. Quand il a fini j’ai enchainé avec d’autres questions.

– Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue, non-tenue plutôt, dans cette position ?

– Vous me l’avez demandé, mademoiselle.

– Et tu fais tout ce que l’on te dit sans réfléchir ? Tu ne te sens pas minable de te courber comme ça devant moi ? Tu trouves normal qu’un grand garçon comme toi se retrouve dans cette position ?

– Non, mademoiselle.

– À ouais ? Ce n’est pas la place des hommes d’être soumis ? Il me semblait pourtant.

– Si mademoiselle.

– Tu dis tout et son contraire. Tu es complètement con en fait.

Je l’avais déjà averti, quand je me mets à l’humilier il doit coopérer.

– Oui mademoiselle.

– Aucune personnalité, c’est désolant. Tu te laisses balader à droite, à gauche. Un petit être pathétique tout en bas de la chaine alimentaire, la parfaite victime perpétuelle. Condamné à être un larbin toute ta vie au gré des changements de propriétaire. Ça te plait ? Tu aimes avoir mal ? Être humilié ?

– Oui, mademoiselle.

– Totalement consentant pour que ça arrive ? Qu’est-ce qui te fait rêver ? Pratiques soft ou hard ?

– Je fantasme sur la canne, mademoiselle. Mais je crois que je ne suis pas capable de la recevoir.

– Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’es pas assez courageux pour te lancer des défis ? Au moins tu restes cohérent dans ton personnage de mâle minable. Et puis tu sais ce n’est pas comme si le puni avait son mot à dire. Quand tu es convoqué pour te la prendre tu fais avec. Surtout que la recevoir ce n’est pas dur, tu devras juste rester immobile. L’administrer par contre c’est difficile. Il faut donner des coups secs, bien rectilignes, c’est tout un savoir faire. Rester passif ce n’est pas compliqué.

J’ai marqué un temps de pause.

– Bien sûr que je plaisante! Ne me prends pas pour une idiote. Je sais que c’est sévère. Ceci-dit ça a longtemps été utilisé sur les élèves pour la discipline et on ne leur demandait pas leur avis. Enfin surtout sur les petits-garçons. Les filles n’ont jamais nécessité qu’on en arrive à de tels moyens. Si des enfants ont pu le supporter il n’y a pas de raisons que tu ne puisses pas. Tu as peur des hauts niveaux de douleur ?

– Oui, mademoiselle.

– Tu sais que ce n’est qu’un apprentissage ? Une question d’entrainement. Je vais te travailler au corps tout en douceur. Progressivement, pallier après pallier je casserai tes limites. Enfin progressivement, si tu es docile, si tu me mets en colère ça sera plus brutal. Encore une fois tout dépend de toi. Mais on s’est mis d’accord, à partir de maintenant tu ne me mets plus en colère ?

– Non, mademoiselle.

– Garde bien en mémoire que si j’ai envie de punir j’utiliserais un moyen qui te fera te souvenir longtemps de ta punition.

– Merci, mademoiselle.

– Pour en revenir au sujet de départ. Tu aimes obéir ? Même à une faible femme comme moi.

– Les femmes ne sont pas faibles, mademoiselle.

– Qu’est-ce que nous sommes ?

– Nos supérieures, mademoiselle.

– Façon de dire que toi tu es ?

– Inférieur, mademoiselle.

– Donc c’est intelligent de nous obéir ?

– Oui, mademoiselle.

– Alors pourquoi tu ne le fais pas ?

– Je le fais mademoiselle.

– Dans tes rêves peut-être. Moi j’ai surtout l’impression que tu obéis quand ça t’arrange.

– C’est que vous demandez des choses trop compliquées, mademoiselle.

– Ah d’accord ! Maintenant c’est ‘ma’ faute. On progresse, pas dans le bon sens mais au moins les choses sont claires.

– Je n’ai pas dit ça, mademoiselle.

– Oui, je sais, c’est encore ‘ma’ faute. Je ne comprends rien à rien, je suis trop conne pour ça. Je ne suis qu’une folle hystérique aux attentes irréalistes. Ce n’est absolument pas toi qui es trop faible, ce n’est pas toi qui veux les résultats sans les efforts.

– Je fais des efforts, mademoiselle.

– À non. Il y a un moment où tu devras le reconnaître. Tu te mens en disant ça.

– Vous me demandez de dire des choses mais je n’ai pas d’imagination.

– Non ! Sans blague ? Tu m’apprends quelque chose. Je ne m’en étais pas rendue compte jusqu’à présent. Mais ça doit être ‘ma’ faute, l’information doit mettre trop de temps à monter au cerveau, je ne suis qu’une femme après tout.

Il s’est retenu de répondre, je m’étais approchée de lui, presque au contact, j’envahissais son espace personnel pour le provoquer. Il voulait me répondre que je déformais ses paroles mais il n’osait plus par peur des conséquences. Je trouvais pourtant la situation assez claire, je surestime peut-être les soumis débutant et leur compréhension du monde. Quand je m’acharne à déformer les paroles d’un soumis je le fais exprès, ça ne sert à rien de me dire que je me trompe, je le sais déjà, en tout cas c’est volontaire. Un soumis doit plutôt se demander où je veux en venir pour s’y plier. Quand je cherche un soumis la chose la plus stupide à faire c’est me le faire remarquer. Dans ce cas précis il était clairement dans l’erreur puisqu’il pensait que, selon ses standards, il faisait ce qu’il fallait donc que j’étais forcément en tort. Il oubliait que le seul fait de définir par lui-même ce qu’était un bon comportement était insolent envers mon autorité. Il ne m’obéissait pas, il obéissait au comportement qu’il trouvait approprié. Peu importe qu’il ait raison sur le fond, il devait apprendre à supprimer son surmoi pour le remplacer par mes ordres (pour les non-initiés de la psychologie le surmoi est une des parties de l’inconscient dictant la morale, la petite voix qui nous fait culpabiliser de mal agir selon nos standards). La soumission s’est abandonner le pouvoir de décider ce qui est bien ou mal et laisser le dominant le faire. C’est difficile mais libérateur.

– Alors ? Tu fais encore marche arrière ? Tu es grotesque. Vas y, dis la ta connerie, fait toi punir pour ça et apprends de tes erreurs. Arrête de reculer, un peu de cran, tu as des couilles ou pas ? Tu crois que tu vas arriver à quelque chose dans la vie sans courage ?Tu crois que j’ai la moindre utilité d’un soumis qui fait demi-tour à la moindre difficulté ? Tu veux me servir avec passion ?

– Oui, mademoiselle.

– Alors prouves le moi. Hurle que tu n’es qu’un minable.

Il est resté statique.

– Je n’ose pas mademoiselle.

– Tu n’oses pas ? Rien à foutre, c’est un ordre, arrête de penser à toi, il n’y a que moi qui compte. Je me sers de toi pour mes fantasmes pas le contraire ! N’inverse pas les rôles.

Il est resté silencieux.

– Un vrai bloc de glace, c’est pathétique. Tu sais comment on fait fondre un bloc de glace ?

– Non, mademoiselle.

– On le chauffe. À ton avis il va falloir que je monte la température de tes fesses à combien pour que tu commences à fondre ? Tu peux résister mais il y a un moment où ça commencera à ruisseler sur ton visage, fait moi confiance pour ça. On va voir si avec les fesses rouges tu es plus coopératif. Prend la brosse à cheveux.

Il est allé la prendre sur la table contre le mur et est venu en me la tendant. Je m’étais rassise sur la table, j’ai tapoté à côté de moi.

– T‘es un grand garçon tu connais la procédure. Con comme tu l’es tu as déjà dû en recevoir des centaines, en tout cas tu les aurais méritées. Tu te penches, attrape l’autre rebord avec les mains.

Je suis allé repositionner la caméra puis je suis revenue m’asseoir à côté de lui, sur sa gauche. Un bras pour lui maintenir les reins collés contre la table et l’autre, avec la brosse, commençant à prendre les mesures sur ses fesses. J’ai pris un ton beaucoup plus gentil.

– Toujours consentant ? Tu te rappelles du safeword ?

– Tirlipimpom, mademoiselle.

– Tu es conscient que tout s’arrêtera si tu prononces ce mot, tant que tu ne l’utiliseras pas tu ne pourras pas me reprocher de continuer d’accord ?

– Oui, mademoiselle.

– Mais tu ne l’utilises pas ok ? C’est juste pour prendre des repères. Dès que ça devient difficile tu me le dis poliment. Je veux juste m’ajuster sur tes limites d’accord ? Je n’arrêterais pas de moi-même. Tant que tu ne manifestes pas que c’est trop je continuerais. Si tu trouves malin d’intérioriser ta souffrance tu vas vite le regretter.

– D’accord, mademoiselle.

– Tu n’as pas oublié le merci ? Parce que si tu préfères je te mets une fessée punitive dès le départ.

– Pardon, merci de me fesser, mademoiselle.

– Tu aimes l’idée d’être fessé ?

– Oui, mademoiselle.

– C’est ce que je disais. T’es plus prompt à obéir quand ça t’arrange. Ça ne te fait pas peur ?

– Un petit peu mademoiselle.

– Tu sais que ce n’est pas ma première fessée, que j’ai de l’expérience, de la technique. Tes fesses vont sacrément prendre cher. Ça ne t’angoisse pas plus que ça ?

– Maintenant que vous le dite, un peu mademoiselle.

– Toujours à agir avant de réfléchir. Typique.

Je prenais un peu mon temps, j’aurai voulu laisser monter son anticipation mais je ne pouvais pas le tourmenter plus que ça. J’ai commencé à frapper mais pas d’une manière très dure. Ce n’était pas ma brosse la plus difficile, la hiérarchie se faisant en fonction de la densité des matériaux et la taille de la surface d’impact, une brosse légère et large étant la plus soft. Surtout qu’il avait son caleçon, une petite fessée pour débuter. Il faut bien commencer par quel que chose. Après quelques dizaines de coups je me suis aventurée sur ses cuisses, des zones non-protégées par du tissu, puis j’ai superposé les coups sur son caleçon pour intensifier le ressenti. Rien de bien compliqué mais il fallait bien lui rougir un peu les fesses. Au début je crois qu’il trouvait ça trop soft mais avec le temps il a pris conscience que cela commençait à devenir très inconfortable. J’ai attendu qu’il commence à grincer des dents pour faire une pause.

– ça va toujours ?

– Oui, merci mademoiselle.

– Je peux arrêter d’être douce alors ?

Il a pris une inspiration.

– Oui, mademoiselle.

– Une phrase complète.

– Oui vous pouvez arrêter d’être douce avec mes fesses, mademoiselle.

– Ne me donnes pas d’ordre ou de permission ! Tu me supplies de te punir tu ne m’y autorises pas et encore moins tu me l’ordonnes.

Il commençait à prendre peur, les soumis n’aiment pas mettre leur dominante en colère alors qu’ils ont déjà les fesses rouges. C’est bon pour eux d’approuver du remords à désobéir, c’est très instructif.

– Pardon mademoiselle, merci de passer à une fessée plus sévère.

J’adore obliger les soumis à réclamer leur punition. À la fin de sa phrase j’ai fait pleuvoir un déluge de coups jusqu’à ce qu’il se mette à gigoter. Même avec de la volonté il arrive un moment où les pieds n’arrivent plus à rester statiques. Le but était de monter en régime rapidement pour l’angoisser, lui faire battre le coeur. J’ai marqué une pause pour le laisser souffler, pas bien longue, quelques dizaines de secondes.

– Bon, on y retourne ?

– Oui, merci mademoiselle.

Il était tendu, la seconde série n’a rien arrangé. J’ai fait une nouvelle pause à partir du moment où il a commencé à trembloter.

– Pas si facile une fois qu’on y est, pas vrai ?

– Non, mademoiselle.

– On repart pour une autre série ?

– Je ne sais pas mademoiselle.

– Le retour du « je ne sais pas ». C’est une rechute, le précédent traitement n’a pas dû être suffisant. Il faut un rappel ? Je me demande si je ne vais pas rajouter cette expression sur la liste des punitions systématiques à la canne. À moins que je retente une version plus sévère du précédent traitement.

Je lui ai tapoté l’entre-jambe avec la brosse. La réaction ne s’est pas faite attendre.

– Si, si je sais, mademoiselle. Je préfèrerais faire une pause si vous m’y autorisez.

– Déjà ? Petit joueur. Une vraie fillette. Pas grave, si c’est devenu inconfortable c’est bien. La vraie fessée va pouvoir commencer. Parce que bon nous sommes bien d’accord, vu ton comportement une fessée punitive s’impose.Tu me suis ? 

Il est resté sans rien dire, il s’est juste agrippé plus fermement à la table. En y repensant j’aurai peut-être dû lui rappeler à ce moment-là la raison qui le faisait se soumettre. Il arrive que les débutants la perde de vue. Il faut bien comprendre le mécanisme de la soumission. Les soumis n’aiment pas être punis, comme tout le monde ils préfèrent les récompenses. Là où ils différent c’est qu’ils sont prêt à souffrir pour obtenir une meilleure récompense. C’est un classique : plus une récompense est dure à obtenir plus elle est satisfaisante. C’est une grande interrogation des non-initiés, comment un soumis fait pour supporter tout ça. Comment un soumis peut-il dire merci lorsqu’il se prend une correction ? Le secret c’est qu’ils ne font pas que le dire, ils le pensent. Plus je serais sévère plus ils prendront du plaisir après, c’est un mauvais moment à passer mais les bons soumis pensent à l’étape suivante, ils ne sont pas dans le moment. Ils me remercient de les aider à atteindre un objectif très difficile. Un bon soumis qui se fait punir doit se répéter en boucle dans sa tête « ce n’est qu’un mauvais moment à passer, après je prendrais davantage de plaisir, ma maitresse fait ça pour mon bien ».

– Alors, alors. Tu disais quoi tout à l’heure ? Que j’étais trop exigeante ? Que je te demandais des trucs trop durs ? Toujours de cet avis ?

– Un peu mademoiselle.

Je dois reconnaître que ça m’a surpris qu’il me réponde comme ça. Finalement il avait dû se rappeler le concept et voulait aller le plus loin possible. Ou bien il était complètement con. À peine sa phrase finie il s’est pris une série. Pas la pire, juste dans la continuité des précédentes, il faut savoir y aller progressivement dans les faits. J’avais voulu me moquer de lui en mettant en exergue un énième changement d’avis mais il maintenait sa position. Il y avait là un changement d’attitude, un ajustement en fonction de mes remarques, c’était bien. Enfin, pas de me répondre, c’était insolent, mais de me faire face pour me laisser l’opportunité de le démolir. C’est un jeu de pouvoir, un soumis ne peut pas se jeter sincèrement aux pieds de sa dominante dès le départ. Il faut qu’il perde un duel. Très masculin comme mode de pensée mais qu’est-ce que je peux y faire ? Une fois la série finie j’ai repris la discussion.

– Donc, soit je suis irréaliste soit tu n’es pas motivé pour obéir. Deux positions incompatibles. Je sais que tu es persuadé d’avoir raison et que rien ne pourrais te faire changer d’avis. De même pour moi tu t’en doutes bien, je n’estime pas que mes ordres sont le problème. Alors nous faisons quoi ? Non, non ne me réponds pas. Laisses moi deviner, ta réponse allait être ‘je ne sais pas’. Tu vois, moi j’apprends des choses sur toi. J’essaye de te comprendre, d’anticiper tes réactions, de faire en sorte que notre relation puisse marcher. Toi qu’est-ce que tu as appris sur moi depuis le début ? Rien. Pire que ça tu n’as pas cherché à apprendre. Tu ne sais rien de moi alors que je t’avais laissé la permission de me poser des questions. Qui de nous deux à une bonne attitude ? Enfin bref, face à un obstacle que devons-nous faire ?

– Je dois me ranger à votre avis, mademoiselle.

Je lui ai collé 4 coups de brosse.

– Reculer, fuir. C’est bien une attitude de minable. Ça ne marchera pas, ce sont deux positions incompatibles. Si tu n’es pas convaincu que j’ai raison on ne pourra en rester qu’à des jeux superficiels. Tu dois me faire profondément confiance. Alors que pouvons-nous faire d’autre face à ce problème ?

– Le contourner, mademoiselle.

J’ai soufflé avant de lui mettre 8 autres coups de brosse.

– J’ai un problème alors je l’évite, je l’ignore. Tu vas arrêter avec tes attitudes de lâche ! Lorsque tu es confronté à un défi tu l’affrontes. C’est la seule réponse acceptable. Je veux des soumis motivés à mon service. Ce que nous allons faire c’est faire monter les enchères.

– Comment ça, mademoiselle ?

– Celui qui arrive à convaincre l’autre lui mettra une fessée. Punition magistrale sans safeword. Egalité des armes pour le débat, je n’utiliserais pas la douleur comme moyen de pression.

Là je venais de le surprendre.

– Tu sais que notre relation n’est pas artificielle, si je commande c’est que je suis plus intelligente que toi. C’est une relation basée sur la raison. Si tu me prouves que tu es plus malin que moi je deviendrais ta soumise. Ça ne me dérange pas. Par contre si je te convaincs tu arrêteras de me chercher et tu m’obéiras aveuglement. Ok ?

– Je ne sais pas, mademoiselle.

J’ai baissé les épaules et lui ai lancé un regard las.

– Pardon mademoiselle, je voulais dire d’accord.

3 réflexions sur « Simplet découvre le BDSM : le dressage sévère d’un débutant #10 »

  1. Un récit de qualité que je me plais à relire avec envie et jalousie, au cour de ma dernière relecture j’ai remarqué une petite erreur :

    « La soumission s’est abandonner le pouvoir de décider  »
    « La soumission C’est abandonner le pouvoir de décider « 

  2. Bonsoir Mademoiselle

    Je suis Malcom, soumis de Cassenoisette Dame Atissia. Je lis vos articles avec un vif intérêt, les partageant avec ma Maîtresse.
    Votre jeunesse et votre fougue sont un spectacle vivant et j’apprends beaucoup de vos partages. Je suis un peu plus âgé et ma Maîtresse aussi, mais la valeur n’attendant pas le nombre des années, je réalise le travail immense qui m’attend pour devenir un vrai soumis. Orgueil, surmoi, lâcher prise, et j’en passe…
    Bravo, mille bravo Mademoiselle.
    Malcom

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