Simplet découvre le BDSM : le dressage sévère d’un débutant #41

J’espère que vous passez un bon week-end, le mien est excellent même s’il est trop court :’(
Le temps passe toujours trop vite lorsque vous vous amusez. Je ne sais pas si dieu existe mais si c’est le cas c’est un gros sadique ^_^

Je continu sur ma lancée et je post le passage n°40 de mon histoire. Je suis toujours sur ma lancée “découverte du monde des soubrettes”. La fois prochaine je reviendrais à mes premiers amours, faire souffrir physiquement mon soumis 🙂 J’ai beau essayer je ne suis pas d’humeur à parler de frustration, je suis de bonne humeur et épanouie ce qui ne facilite pas la projection. Vous allez devoir faire preuve d’un peu d’imagination 😛

Comme toujours je vous rappelle :

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L’important lorsque vous jouez avec une soubrette c’est de l’ignorer, ne pas la regarder, ne pas lui parler sauf exception. Une soubrette est une moins que rien, c’est un jeu sur la dévalorisation de l’autre il faut y aller à fond. Votre soumis ne doit devenir qu’un objet banal auquel vous ne faites même plus attention. Le soumis doit comprendre qu’à chaque fois qu’il se fera remarquer il sera battu. Un bruit, une gifle qui part, peu importe qu’il y ait eu une raison, une soubrette ça doit apprendre à rester passif.
Je suis donc retournée m’asseoir avec mes amies sans lui accorder la moindre attention, marchant à un rythme normal pour le forcer à se dépêcher malgré ses talons et les entraves. Une fois assise et constatant qu’il avait du retard j’ai utilisé la télécommande pour lui faire presser le pas, ce qui a remarquablement bien marché puisqu’il a rappliqué promptement. Il avait dit avoir fortement envie d’aller aux toilettes et les vibrations dans cette zone devaient être insupportable, c’est donc avec un plaisir tout à fait coupable que j’ai poussé les vibrations jusqu’au niveau 2. Comme je le dis souvent, le sadisme se cache dans les détails. Je ne parle même pas du fait que l’excitation induite par les vibrations allait être réprimée par les pointes de sa cage de chasteté. Tout concourait à le faire obéir au plus vite pour faire cesser l’inconfort. Comme quoi un soumis ne fait jamais assez d’effort, avec une stimulation adéquate ils arrivent toujours à faire mieux. C’est une notion assez dure à faire rentrer dans leur tête, à chaque fois ils se pensent au maximum de la dévotion sans même se rendre compte qu’ils ne font qu’effleurer la surface de ce dont ils sont capables.
Quand il est arrivé devant moi, je ne lui ai pas accordé un regard, j’ai dit à mes amies.
— C’est un modèle récent de repose-pieds, il a besoin d’un temps de rodage pour se mettre en place spontanément.
Dans le jeu il était tellement inférieur à moi que je ne pouvais même pas m’abaisser à m’adresser à lui directement pour lui faire comprendre ce que je voulais. Je devais ruser pour lui donner mes instructions. Il s’est mis à genoux avant de se pencher, encore une expérience intéressante pour lui, ne pas devoir bouger, regarder le sol, sentir les pieds de sa maitresse contre soi. Parfois les soumis trouvent le temps long dans cette position mais quelques secondes de vibration leur rappellent que la situation peut toujours être pire. Il se retrouvait dans une position voyeuriste, pas au sens premier puisqu’il ne voyait rien, ça me fait penser que je ne lui avais pas mis d’œillères, une variation intéressante qu’il faudra que j’essaye la prochaine fois. Il pouvait nous entendre discuter des supplices à venir pour les autres soumis, de quoi lui stimuler l’esprit et le mettre au supplice. J’étais là avec lui mais une soirée c’est aussi l’occasion de jouer avec d’autres soumis et d’autres dominas. J’allais profiter qu’il soit passé dans son rôle de soubrette, à devoir me suivre en silence, pour m’amuser avec ce qu’il y avait à disposition.
La jalousie est une autre forme de frustration, je prends d’ailleurs beaucoup de plaisir à faire ce que mon soumis aime tout particulièrement avec un autre devant lui. Surtout si je suis dans une phase comme celle-ci avec un soumis non-stimulé. Le soumis en vient à me haïr ce qui justifiera des punitions, il sait qu’il ne doit pas m’en vouloir, il sait qu’il ne faut pas être jaloux, qu’il n’a aucun titre de propriété sur moi mais les êtres humains veulent posséder c’est dans notre nature. Pour pousser le vice un peu plus loin j’ai même accepté d’aller jouer avec d’autres dominas et des soumis à des jeux dans une pièce à l’écart.
Je le connaissais déjà suffisamment pour savoir qu’ayant entendu le descriptif des jeux il avait envie d’en être. Il aurait probablement adoré que je propose de le rajouter à la liste des soumis. Il pouvait rêver, il ne serait que spectateur cette fois-ci je l’avais décidé ainsi. J’étais sûre que ça le motiverait pour le jeu suivant, qu’il accepterait tout ce que je voudrais pour ne plus être contraint de rester passif.
Nous sommes donc passés dans une autre salle pour jouer avec les-dits soumis, Simplet a dû se contenter de suivre en silence. Je me suis arrêtée sur le pas de la porte.
— Je vais me prendre un verre, qui veut quoi ? Autant se ravitailler en boissons avant de commencer. Ça donne soif de s’amuser.
J’ai noté les commandes sur un bout de papier avant de le coincer dans la ceinture de ma soubrette, toujours sans un regard puis je lui ai claqué la porte au nez. J’ai imaginé son air niais, se retrouvant face à une voie sans issue. J’allais m’amuser avec d’autres et il était tout bonnement exclu. La frustration allait monter petit à petit jusqu’à le consumer. Il m’avait trahi lors du précédent jeu en n’y mettant pas du sien j’allais le trahir à mon tour pour voir sa réaction, s’il montrait la moindre impatience je le démontais, j’avais déjà les arguments. Faire comprendre à l’autre ce que nous ressentons en le lui faisant vivre, c’est une méthode un peu radicale mais elle marche.
Même si à cet instant je pense que c’était davantage le désarroi qui prédominait, je lui avais donné une mission, c’était clair pour lui, mais comment aller chercher des consommations sans pouvoir parler et avec les mains attachées dans le dos ? Il devait se sentir perdu, je voulais qu’il associe mon éloignement et la perte de repères. Que même si j’étais dure il ressente de la sécurité à son retour auprès de moi. Un peu basique comme technique mais autant utiliser tout l’arsenal que j’ai à disposition.
J’avais bien entendu anticipé le coup il n’aurait pas dû s’en faire, il ne pouvait pas en être sûr il devait me faire confiance. Le responsable du bar savait que la commande serait coincée dans la ceinture de ma soubrette, il n’était qu’un pigeon voyageur, il devait se rendre d’un point à un autre sans autre utilité. Il y a un aspect sadique que vous ne percevez peut-être pas mais il était restreint de parole et de mouvement, pourtant le monde continuait de tourner, personne n’était gêné par ses handicaps. Je voulais qu’il se rende compte que ses compétences étaient si faibles que même en les perdants la plupart des gens ne faisaient pas la différence. Il ne devait s’attendre à aucune compassion, aucune réaction des autres participants, ce qui lui arrivait était normal dans notre petit monde.
Le barman a mis les consommations sur un chariot de service avant de le laisser en plan. Simplet allait devoir le pousser et le diriger parmi les rangées jusqu’à la pièce où nous étions. Le résultat était grotesque mais c’était le but, il n’a pas manqué à déclencher quelques rires sur le chemin. Il a commencé à le pousser tant bien que mal. Sur le trajet certaines participantes se sont mêmes laissées aller à lui mettre une tape sur les fesses pour le déconcentrer.
Pendant tout le temps j’avais un oeil sur lui même s’il ne s’en doutait pas. Soubrette ou pas il restait sous ma responsabilité. Quand j’ai estimé qu’il avait trouvé un bon rythme pour faire avancer son chariot j’ai mis le plug en mode vibration, officiellement pour montrer mon impatience mais surtout pour le déconcentrer un peu plus.
Lorsqu’il est arrivé sur place il a pu constater que les soumis que nous avions étaient forcés de danser la valse nu l’un contre l’autre. Une humiliation sans réel but que de les mettre mal à l’aise.
J’ai stoppé les vibrations du plug puis j’ai attrapé Simplet par l’arrière de la tête pour le faire se pencher en avant, lui détachant les mains du dos au passage mais les attrapant immédiatement pour les lui mettre sur les genoux. Un peu comme s’il devait recevoir la canne ou un instrument de ce genre. J’ai appuyé sur son dos pour le lui faire mettre bien droit avant de poser les verres dessus. Sans un mot je venais de lui faire comprendre que sa nouvelle affectation était d’être une table. Pas besoin de faire de longs discours il avait compris que si un verre tombait ça irait mal pour lui.
Il est resté sage malgré les tentations. C’est toujours lorsque vous ne pouvez pas bouger que votre nez vous gratte ou des choses comme ça. Cela fait partie du jeu que voulez-vous.
J’avais attendu qu’il revienne pour procéder à un petit jeu avec les autres soumis, une variante de celui auquel il avait échoué quelques jours plus tôt lorsque je lui avais piétiné le sexe. Intérieurement je lui souhaitais bonne chance pour rester stoïque face à ça. Un soumis s’est mis à genoux devant un petit tabouret, à la bonne hauteur pour poser son sexe dessus. Pour rajouter au supplice il y avait une plaque irrégulière en dessous, des petits ergots contre lesquels j’allais pouvoir faire rouler la verge pour la compresser avec mes semelles.
J’ai commencé doucement, de quoi lui faire prendre un peu de volume, piétiner un asticot est moins marrant qu’il n’y parait. Surtout que le sexe gagne en sensibilité avec l’approche de l’orgasme. J’ai fait rouler sa verge de gauche à droite sous mes semelles en augmentant la pression à chaque aller-retour. C’est agréable comme sensation, ce n’est pas difficile, il n’y a aucune résistance, vous piétinez l’attribut par excellence de la virilité masculine sans aucun effort et j’aime cette symbolique. J’aime le concept de puissance sans limite. Pas besoin de sortir de grands dispositifs pour faire mal physiquement et mentalement.

Simplet a commencé à trembler, le plaisir devait faire son chemin et le dispositif de chasteté entrait en action pour lui rappeler mon interdiction. Il avait beau détourner le regard je ne faisais qu’appuyer plus fort pour faire gémir le soumis. Simplet devait garder les mains sur les genoux il ne pouvait pas se boucher les oreilles et j’en profitais. Difficile de céder mais difficile de résister. La situation était très marrante de mon point de vue. J’essayais d’équilibrer la difficile équation de synchronisation de mon plaisir, de celui du soumis qui se faisait piétiner et de celui de Simplet. Je l’ai torturé de cette façon pendant de trop courtes minutes avant de passer le flambeau à une autre domina. Je suis allé m’accouder contre Simplet comme si c’était un bar, reprenant mon verre au passage. Il attendait les quelques mots de ma part qui lèveraient son supplice, je devais les dire mais j’avais envie de faire durer le suspens. Les dernières secondes avant une permission sont vraiment agréables. Savoir qu’il suffit de quelques mots de ma part pour déclencher des comportements m’amuse beaucoup.

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