Week-end avec 3 soumis juin 2014 #24 : le fouet pour un soumis ambitieux

Hello 🙂
Je passe d’un post sur le ballbusting à un sur le fouet … que des pratiques intenses, vous allez finir par croire que je suis violente 🙂
Je ne suis pas des plus fières du résultat de ma rédaction, je trouve que l’émotion ne ressort pas. Le fouet est un instrument que j’adore et je n’arrive pas à trouver les mots pour vous communiquer cet intérêt. Mais j’ai dit que je me mettais en marche forcée pour prendre un bon rythme donc je publie 😀
Un peu à la manière de Chétif dans ce post il est parfois préférable d’avoir l’impression de ne pas avoir le choix. Je pense que c’est un rythme à prendre, il faut qu’écrire devienne une seconde nature.
Je vais simplement me permettre de changer un détail de ma déclaration de l’autre jour, je ne publierais pas samedi mais dimanche, pour me laisser le temps de me reposer en fin de semaine ^^
Il est tard (tôt), j’espère ne pas avoir fait trop de fautes.

———————-
Sommaire du récit
———————-

Il est très plaisant de se moquer d’un homme qui n’a pas le cran de vous répondre. Au tout départ j’étais plutôt timide, je n’osais pas, mais en voyant l’inertie des soumis j’ai progressivement pris confiance en moi et j’ai laissé sortir les pires répliques qui me passaient par la tête. C’était drôlement bon.
Je savais bien que profiter des faiblesses du Chiot ne me grandissait pas et pourtant je suis sortie de la maison avec un sourire satisfait. J’aurais eu du mal à culpabiliser alors même qu’ils étaient volontaires après tout.
Après ce délicieux entracte il était temps de passer au morceau principal, le fouet. Je devais me mettre en situation, un des esclaves du domaine s’était mal comporté et c’était à la maitresse des lieux d’agir. Pour me mettre dans l’état d’esprit adéquat j’ai mis des lunettes de soleil, prenant la pose et la démarche d’une diva. Je sais bien qu’il n’y avait pas ce genre d’accessoire à l’époque coloniale mais ne me cassez pas mon trip elles me donnaient l’impression de sublimer mon arrogance. Surtout que je n’étais pas en train de mettre en scène une reconstitution historique.
Je me suis avancée vers Chétif, conformément à mes ordres il avait passé une sangle sur une branche en hauteur et s’y était pendu par les poignets. Ses pieds touchaient à peine le sol, il ressemblait à un punching ball, un vrai sac à patates prêt à voltiger au moindre coup. Nu et ainsi étiré il semblait si vulnérable. Cela me choque à chaque fois, le mot est trop fort, je vais plutôt dire que je me fais souvent la remarque lorsque je mets un soumis à nu que le corps humain s’avère grossier. Dans une soirée lorsque nous mettons toutes nos victimes en rang contre le mur, les mains derrière la tête, le regard baissé et dans le plus simple appareil, j’ai l’impression d’avoir affaire à des animaux capturés. Sans leurs vêtements ils sont si primitifs.
À mi-chemin j’ai bifurqué pour ramasser un sceau que j’ai rempli à un robinet extérieur. Ce détour n’était pas prévu j’avais improvisé en voyant une opportunité. Chétif me regardait faire avec un air mi-intéressé, mi-inquiet. Avec un peu de difficulté j’ai pris le sceau rempli avec moi pour l’amener à quelques mètres de lui. Il semblait avoir hésité à me proposer son aide, ne sachant pas si je le prendrais mal.
— Pff, c’est lourd. C’est de l’eau froide. C’est pour quand tu perdras connaissance.
Il n’a pas su quoi répondre, la perceptive que je sois aussi sévère avec lui le troublait. D’un côté il adorait cette idée et en même temps il ne se sentait pas capable de physiquement en sortir vivant. Ce n’était évidemment que de la mise en scène, je ne comptais pas en arriver à ces extrémités. Je ne suis pas folle je n’allais pas le maltraiter à ce point, je n’envisageais même pas de le faire saigner. Je créais une ambiance rien de plus. J’ai continué.
— J’en fais des efforts pour toi tu ne te rends pas compte.
Il a lancé une boutade pour tenter de détendre l’atmosphère.
— C’est l’avantage d’être nu, la transpiration ne reste pas il n’y a pas de risque que je me mouille ma chemise.
Avec un regard espiègle j’ai répondu.
— Je vois bien une façon …
Je me suis éloignée de quelques pas pour ramasser le tuyau d’arrosage qui trainait à côté du robinet. J’ai ouvert la pression et après un dernier regard provocateur je l’ai aspergé des pieds à la tête d’eau froide en insistant bien sur sa cage puis son visage. Lorsque j’ai arrêté il a toussé quelques instants.
— L’eau ça doit aller dans l’estomac pas dans les poumons, tu es con à ce point ?
— Je crois bien, maitresse.
C’était une vision de rêve, un soumis nu suspendu et trempé, vulnérable comme à la sortie de la douche. J’ai repris mon fouet, l’étirant entre mes mains pour tester sa flexibilité.
— Tu as envie de fuir ?
— Un peu maitresse, mais je ne le ferais pas.
J’ai ricané.
— Pendant un instant j’ai cru qu’il y avait finalement un espoir. Qu’il y avait un semblant de jugeote dans ta sale tête. Fausse alerte ce n’était qu’un mirage.
J’ai relevé sa tête en me servant du fouet que j’avais de nouveau enroulé.
— Tu préférerais que je sois stricte ou que je sois douce ?
Après avoir respiré profondément il a répondu.
— Je préfèrerais ne pas avoir de choix.
Je l’ai regardé avec un air narquois.
— Pourquoi ?
— Parce que je ne suis qu’un lâche et que je suis incapable de prendre une bonne décision. Si vous me laissez le choix je ferais une erreur et je le regretterais.
J’ai levé les yeux au ciel.
— Du calme ! On dirait que je vais te marquer au fer rouge. Ce n’est que le fouet. Il va juste te faire circuler le sang. Pas la peine de me faire une scène !
— Pardon maitresse je suis trop faible. Mais avec tout le respect que je vous dois j’aimerais vous faire remarquer que c’est vous qui tenez le fouet. Et vous n’êtes pas connue pour rater vos coups.
J’ai gloussé en réaction à sa flatterie, j’ai tendance à rougir au moindre compliment ce qui me vexe légèrement.
— Alors pourquoi tu es ici ? Si tu as si peur de ma sévérité.
— Avoir l’honneur de vous servir compense toute la souffrance que je pourrais avoir.
— Quel dévouement !
J’observais sa réaction en scrutant ses expressions, grâce à mes lunettes de soleil j’avais l’impression que la lecture était à sens unique. J’ai repris plus sèchement.
— Ne me prend pas pour une idiote ! Je sais très bien que si tu es ici c’est parce que tu aimes ça.
Il a souri comme un mauvais garçon qui vient de se faire prendre.
— C’est un bonus maitresse, mais vous passez avant, toujours.
— Je vois ça.
J’ai empoigné sa cage, sa queue avait pris en volume et tentait encore de grossir ce qui créait des bourrelets entre les barreaux. Je trouvais ça fascinant, je me demandais si c’était douloureux. J’ai passé mes doigts dessus, enfonçant les renflements de chair. J’ai arrêté, je craignais qu’en lui pressant encore plus la cage je le fasse gicler. J’ai lancé un sarcasme.
— Tu sembles en effet souffrir le martyr à la perspective de te sacrifier pour moi.
Son niveau de nervosité grimpait en flèche. J’ai passé mes doigts sur son corps nu.
— Une peau toute douce. Ce n’est pas ce que l’on s’attendrait à trouver sur un bon esclave. Si tu te donnais vraiment à fond ton corps aurait dû garder les marques de l’effort.
— Pardon maitresse. Je ferais davantage d’efforts pour vous à l’avenir.
J’ai reculé de quelques pas.
— La vie serait bien plus simple pour tout le monde si tu acceptais ta place. Tu connais ta place ?
— Oui maitresse. Je suis du sexe inférieur et vous du supérieur.
— Donc tu sais que le rôle d’un esclave est de me servir avec diligence et discrétion. Qu’il doit être invisible pour ne pas m’empêcher de profiter de la vie.
— Oui maitresse.
Je me suis approchée de nouveau pour lui mettre une tape sur la joue.
— Alors pourquoi je dois prendre sur mon précieux temps pour m’occuper de toi ? Tu as besoin de tâter du fouet pour comprendre que je n’aime pas être dérangée ? Moi je ne demande qu’à me prélasser sur un transat pendant que tu fais tout le boulot. C’est si compliqué de comprendre la répartition naturelle des rôles ?
— Je sais que je ne mérite pas votre attention maitresse.
— Nous sommes d’accord sur ce point. Mais tu l’as voulu donc tu vas l’avoir. Je vais te le faire regretter.
J’ai fait claquer le fouet sur le sol, que c’était bon. Contrairement aux apparences ce n’était pas tant pour lui faire peur que pour ma propre excitation, le son du fouet est tellement érogène, c’est une sorte de préliminaire à mon propre plaisir. Si je ne m’étais pas retenue j’aurais gloussé, j’étais aux anges, lui semblait dans une position très inconfortable ce qui ne rendait la situation que plus excitante.
— Tu es prêt ?
Il a rigolé nerveusement mais les tremblements de son corps ne laissait aucun doute sur son état d’esprit.
— Pour l’instant ça va, ce n’est pas très douloureux maitresse.
— Tu crois que c’est le moment de faire le malin ? Parce que le prochain coup sera sur ta peau.
— Peut-être…
— Tu crois que je bluff ?
— Je n’espère pas, maitresse.
J’ai rigolé à mon tour.
— Monsieur veut faire croire qu’il a des couilles ? Fait attention à ne pas les faire dépasser du rang ou je les couperais.
— Je n’ai que ce vous m’avez laissé maitresse.
Il était tellement impatient que je commence qu’il me provoquait. Vous vous doutez bien que j’allais faire durer le plaisir rien que pour l’énerver.
— C’est qu’il me cherche le débile. Tu ne crois pas capable de te marquer durablement le corps c’est ça ?
— Je suis un homme maitresse, je suis bête je ne peux comprendre que ce que je vois.
J’ai enchainé.
— Et moi je suis une femme, je ne passe pas mon temps à mentir sur mes capacités réelles. Je n’essaye pas de prouver que j’ai les plus grosses. Je connais la vérité. Je suis capable de tenir mes promesses. Tu n’es qu’un homme, de la bonne chair à fouet. Je n’ai aucun remord à avoir ton corps est fait pour souffrir sous mon joug.
— Je suis votre soumis il est temps que je mérite mon titre. Je n’ai pas peur de ce que vous allez me faire maitresse je sais que c’est ce que je mérite.
J’ai pouffé de rire.
— Tu n’as pas peur ? C’est une affirmation ou une envie ?
Il mourrait d’envie que je passe à l’acte et comme à mon habitude je n’en faisais qu’à ma tête. Il m’a répondu.
— Je ne sais pas maitresse. Je dois apprendre.
— Tu penses qu’il te faudra combien de coup pour retenir la leçon ?
— Vous disposez de moi selon votre bon vouloir maitresse.
— Et pourquoi ça ?
— Parce que vous êtes du sexe supérieur et moi de l’inférieur. Je suis fait pour être possédé.
— Bien, mais ça ne répond pas à ma question.
Il a hésité avant de répondre.
— 5 ?
— Hum. Je pensais plutôt à 10. Faisons un compromis, 15.
J’adore les logiques débiles pendant les punitions, cela renforce le côté arbitraire de l’autorité. Surtout que lorsque je demande son avis à un soumis j’attends de lui qu’il me donne un chiffre raisonnable. Il avait voulu se moquer de moi en donnant un chiffre très bas il allait le regretter.
— C’est une bonne idée maitresse.
Il se souvenait du bonus qu’il avait reçu précédemment pour m’avoir repris sur mes calculs et n’avait pas envie de faire un nouveau commentaire.
— Ravie que cela te plaise. Comme bonus si tu ne tiens pas en place correctement pendant la punition tu préfères des coups supplémentaires ou simplement abandonner toute libération de ta cage pendant 1 semaine supplémentaire.
Il a immédiatement répondu
— Des coups supplémentaires.
— Les mecs et leur queue …. C’est presque trop facile.
Je me suis mise derrière lui, avant de lancer une dernière provocation.
— Tu connais le moyen le plus efficace pour moins souffrir pendant une correction au fouet ?
— Non maitresse.
— Tant mieux.
Il a tenté de rigoler nerveusement avant d’être interrompu par le premier coup. Tout son corps s’est contracté violemment lorsque la lanière l’a enroulé en laissant un sillon brulant derrière elle. Quelques secondes après l’impact ses jambes se sont mises à trembler, elles semblaient ne plus être capable de le tenir. Il serrait la lanière attachée à la branche comme si elle allait le sauver. Réaction classique, lorsque vous avez mal vous avez le réflexe de serrer les poings.
J’ai attendu qu’il reprenne en consistance puis j’ai de nouveau fait un mouvement ample du corps pour abattre mon instrument. Je devais lui faire comprendre que je n’étais pas là pour rigoler, il se prenait le fouet, il devait assumer son fantasme.
Après quelques coups j’ai fait une petite pause. J’allais ralentir le rythme pendant un moment pour faire durer le supplice.
— Alors ? Toujours envie de faire le malin ?
À bout de souffle il a répondu.
— Non maitresse, je sais que je ne dois pas faire le malin face au sexe supérieur.
— Il te reste combien de coups ?
— 10, maitresse.
— Alors serre les dents et endure.
J’ai immédiatement mis ma menace a exécution en lui infligeant un nouveau coup.
En tournant autour de lui pendant sa phase de récupération j’ai pu constater que sa queue était encore compressée dans sa cage, et même encore plus que précédemment. Il semblait prêt à exploser ce qui était problématique puisque j’avais prévu de lui faire du tease and denial à la fin. S’il était aussi excité il n’allait pas pouvoir se retenir. Je n’aime pas que mes plans soient contrariés et j’ai essayé que le coup suivant soit plus sec pour lui apprendre à me déplaire. Quand je vous dis que les soumis sont stupides je ne vous mens pas. Ne savait-il pas qu’il n’est jamais intelligent de décevoir une femme ayant un fouet à la main ?
Je n’avais pas encore dépassé la moitié de la correction et pourtant son dos avait déjà fière allure, tout zébré, rougissant. Chétif avait les larmes aux yeux, à moins que ce ne soit que le reliquat de l’arrosage que j’avais fait juste avant. Dans tous les cas il était pathétique ce qui me rendait heureuse d’être à ma place et pas à la sienne. J’étais contente de moi.
— Prêt pour le prochain ?
Il a essayé de dire quelque chose mais il avait la bouche sèche et le temps qu’il trouve ses mots j’avais déjà sévi. Son corps se contractait de plus en plus violemment à chaque coup, l’effet était magique. Lorsque l’on voit une punition être administrée au fouet on comprend pourquoi la justice de certains pays l’utilise comme moyen répressif. Quand j’entends que des femmes ont été condamnées pour adultère à 100 coups de fouet j’ai toujours cette réaction de penser que ce n’est pas possible, moi je serais à genoux après 20 coups.
— Rappelle-toi les raisons qui t’ont amené ici.
— Je n’ai pas été un bon esclave maitresse merci de me corriger. Je ne vous mérite pas.
J’ai pris une pose de diva pour le narguer.
— Je sais.
J’ai rigolé puis je me suis approchée de son dos pour passer mes doigts sur les marques. J’estime que l’on doit pouvoir compter les coups de fouet qu’un soumis à reçu directement sur sa peau sinon c’est que l’on s’y est mal pris.
— Tu aimes cette douleur ? Elle te fait du bien pas vrai ?
— Oui maitresse. Tout ce qui vient de vous est bon.
— Tu es sûr ?
— Je sais que je ne suis pas assez fort pour faire face aux conséquences de penser autrement.
— C’est vrai que désobéir ça fait mal. Tu préfères bander pas vrai ? Ah non c’est vrai tu ne peux plus !
Il trouvait la situation moins amusante que moi. J’allais frapper quand il a dit quelque chose, il voulait vraisemblablement faire durer l’interruption. Si je l’humiliais il pensait bénéficier de quelques secondes de répit.
— La douleur que vous m’infligez est bonne. Je ne dois pas lutter contre elle. Lutter contre elle c’est lutter contre vous maitresse. Je suis un bon soumis je ne lutte pas contre ma maitresse.
Je ne suis pas contrariante, si un soumis veut une pause je la fais durer jusqu’à ce qu’il me supplie de finir la punition. L’appréhension du retour de la douleur est un supplice supplémentaire que je n’hésite pas à utiliser.
— Tu sais que les fakirs et les yogis arrivent à apprendre à dominer la douleur ? Ça serait amusant que tu puisses prendre des coups à l’infini. Ça serait très intéressant pour moi. Et si je te frappais jusqu’à ce que tu y arrives ? Qu’est-ce que tu en dirais ?
— J’apprends très lentement maitresse.
— Et ?
— Je ne voudrais pas que vous vous fatiguiez maitresse.
— Je ne doute pas une seconde que ça te déplairait que je me fatigue à trop te taper dessus. Tu penses vraiment à moi c’est fou !
— Pardon maitresse.
— De ?
— De vous avoir prise pour une idiote. Je n’aurais pas dû dire ça. Il est évident que je craquerais avant vous.
Il semblait vraiment regretter ses paroles. Je crois qu’il craignait que je rajoute un bonus s’il ne revenait pas sur ses paroles. Ce n’était pas mon intention mais l’information était intéressante, il arrivait à ses limites.
J’ai armé mon bras pour faire s’abattre un coup supplémentaire. J’avais fait en sorte que le bout finisse sa course sur son ventre, le fouet doit être administré sur tout le corps pour être amusant. Il fallait que ce soir il ait du mal à dormir, que quelle que soit sa position il appuie sur des marques. La douleur du fouet doit se prolonger dans le temps pour correspondre aux attentes.
Prise d’une montée d’excitation j’ai accéléré le rythme de mes coups, son corps se contractait de plus en plus violemment et ce qui devait arriver arriva, j’ai perdu la maitrise de la situation. Il avait été tellement frustré que malgré la douleur du fouet la pression de la cage avait suffi à lui provoquer un orgasme.
La situation était tendue, je ne pouvais bien sûr pas continuer à lui administrer le fouet, après une éjaculation un homme a une période réfractaire et je n’allais pas pousser le sadisme en le punissant à ce moment-là. Mon plan de continuer de le frustrer venait de prendre du plomb dans l’aile et je devais recalculer rapidement ce que j’allais faire. De son côté il se serait bien enfui pour se cacher dans un trou de souris, il se sentait si minable de ne pas avoir été capable de se contenir. Surtout que le mouvement avait été réflexe et bien peu satisfaisant. La pression et les à-coups l’avaient fait gicler sans qu’il ne puisse rien y faire.
J’en suis rapidement arrivée à la conclusion que ce n’était pas si grave, de mon point de vue, cet obstacle sur la route ne changeait pas fondamentalement mes plans. Je suis allée devant lui.
— Tu me déçois. Tu m’avais habitué à mieux.
Il est resté planté, à ne pas savoir quoi répondre, j’ai donc continué.
— Visiblement tu t’es cru permis de prendre la récompense avant l’effort. Ok, tu me dois l’effort maintenant.
— Pardon, maitresse. Je ferais ce que vous voulez.
Sa phrase semblait bancale, il ne pensait pas vraiment ce qu’il disait, il était hors du jeu et je devais attendre quelques minutes qu’il récupère avant de pouvoir le reprendre en main. Ce n’était pas grave je n’étais pas pressée.
— Reste là. Nous aurons une explication plus tard.
Je me suis éloignée en le laissant suspendu, j’allais devoir planifier un nouveau jeu pour profiter de sa faute, j’avais déjà plein d’idées sadiques en tête.

2 réflexions sur « Week-end avec 3 soumis juin 2014 #24 : le fouet pour un soumis ambitieux »

  1. Extraordinaire post.
    Je ne comprends pas pourquoi il ne vous réponds pas que votre plaisir de le corriger est une immense satisfaction pour lui.
    Comme vous refusez de me prendre dans votre cheptel, je prends des risques.
    LE POST ORGASM TORTURE
    Trop facile de prendre une bonne dérouillée quand on meurt d’envie d »être libéré et qu’on sait qu’à la fin, clac, on crachera ses trois centilitres. Facile d’endurer la punition, facile de se convaincre de sa soumission, facile d’être respectueux. Je le suis aussi avec un client quand j’attends qu’il paie ma facture. Assez peu de soumission, là dedans. De l’excitation oui.
    C’est pourquoi je pense qu’une bonne punition peut être administrée tout à fait indépendamment du statut éjaculatoire du soumis. J’ai lu quelque part le récit d’une séance d’une jeune maitresse asiatique comme vous, chère Elodie, à la fois réellement sadique et en même temps tendre. Elle racontait qu’à peine nu, elle ordonnais au pauvre type de se masturber devant elle. Jusqu’à jouir. Ca prenait une bonne minute. Ensuite seulement elle le mettait en position de prendre sa volée de bois vert. Là, la punition prenait tout son sens, car il n’en n’avait plus envie du tout. Il devait donc s’astreindre à un véritable exercice spirituel pour accepter de passer ses poignets dans les lanières, les chevilles dans la barre d’écartement et d’écouter le jeune femme lui annoncer le nombre de coups. Et ces instants de préparation étaient incroyablement intenses.
    Ce n’était plus souffrir pour jouir lui, c’était souffrir pour sa jouissance à elle.
    Voilà.
    Respectueusement.
    E.

  2. Bonjour Emilie
    Profitez bien du week end pour vous reposez
    Non, ne soyez pas modeste, votre copie est comme d ‘habitude, parfaite, même si je préfère la séance avec Simplet, eh oui, on se refait pas!
    Post précédent, je m ‘inscrit sur la liste pour vous servir d ‘esclave dans un pays tropical, je ne suis pas trés musclé, mais endurant, étant adepte du footing. LOL
    Merci Emilie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *