Week-end avec 3 soumis juin 2014 #19 : torture partagée

Hello 🙂

Voilà le post prévu plus tôt que j’avais repoussé pour le reprendre. Lorsque je vois la version actuelle je ne regrette pas mon choix, en comparaison l’autre était vraiment confuse et moins honnête.

Avant de commencer je me sens obligée de faire un rappel sur les règles de base du BDSM : ne jamais reproduire aveuglement des scénarios sans les adapter aux participants. J’étais avec un soumis expérimenté avec lequel j’avais une complicité bien installée ce qui m’a permis de monter dans la sévérité des jeux, ce n’est pas comme si je le découvrais.
Malgré les apparences de contrainte il y a toujours un safeword. Il ne faut pas confondre ambiance du jeu et réalité.
Avec l’habitude vient la confiance réciproque, pas uniquement de lui vers moi mais surtout dans l’autre sens, j’ai besoin de savoir qu’il connait ses limites.
Parfois je tombe sur des soumis qui ne savent pas faire la part des choses et n’osent pas me dire quand quelque chose ne va pas. Je crains leur silence. Il faut savoir que nous pouvons faire mal à un soumis sans le vouloir il suffit d’un lien trop serré, d’une mauvaise position. En apparence je répondrais « tant mieux tu mérites de souffrir » alors même que je prendrais en compte l’info. J’ai besoin d’une interaction avec mon soumis et le jeu de rôle « je suis toute puissante » ne doit pas les dissuader de parler. Parfois je dis que je punis un soumis pour son insolence alors qu’en réalité je lui fais la même chose que j’avais initialement prévue, le discours c’est juste de l’ambiance les soumis se prennent parfois trop au sérieux.

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Sommaire du récit
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Après avoir décagé mon soumis il était temps de jouer avec ses émotions, je ne suis pas cruelle au point d’imposer des périodes de chasteté et ne pas les utiliser derrière. Un soumis doit autant avoir envie de perdre sa cage que d’y rester à l’abri.
J’adore observer les soumis après un retrait, ils sont si pathétiques à regarder leur petit truc sortir de sa prison. Leur sexe est tout ratiné et fripé à cause de la sévérité de son régime et ils se demandent, inquiets, s’il est encore fonctionnel. Vous connaissez le dicton : « la détention change un homme » ? C’est la même chose pour une queue en cage de chasteté. Après une bonne session il n’y a plus rien de fier ou d’arrogant dans leur attitude, simplement la volonté de bien se conduire pour ne plus se retrouver au bagne.
Malheureusement les mauvaises habitudes reprennent rapidement le dessus, j’ai profité de ces quelques instants de docilité totale. Cette apparente innocence a pris fin lorsque j’ai soulevé sa queue à l’aide de ma ceinture. En un instant son corps a semblé comme parcouru par des décharges électriques. J’imaginais sans peine que son cerveau était assaillis de messages venant de son sexe « je suis libre, utilises-moi ! ». Preuve s’il en est qu’il vaut se méfier de ce qui à l’air inoffensif.
L’extrême sensibilité est une sensation inhabituelle, il semblait la redécouvrir avec crainte, il ne savait que trop bien ce que j’allais en faire. Je ne faisais rien pour l’aider ceci-dit, je l’ai regardé avec un sourire arrogant.
— Elle te démange ?
— Un peu maitresse.
J’ai croisé les bras.
— Un peu ? Tu penses que c’est le moment idéal pour me mentir ?
Mon ton strict l’a fait se contracter de nouveau, j’imaginais sans peine les fantasmes qui l’assaillaient.
Un réflexe idiot aurait été de me répondre « je n’ai pas menti ». Une leçon importante pour les soumis est d’apprendre à répondre correctement à mes questions, elles sont souvent pleines de sous-entendus et en l’espèce je l’accusais ouvertement de mentir. Il était obligé de me le confirmer sinon il me contredisait, ce qui n’est pas tolérable, un soumis doit être d’accord avec sa dominante. J’entends déjà les réactions « ce n’est pas juste ! ». Il faut vous réveiller ! Le BDSM n’est pas juste. C’est regarder en face sa dominante et dire « j’ai fait une bêtise » et ne pas chercher à avoir raison. On se moque de la vérité, nous avons raison parce que nous sommes intouchables. Ce n’est pas sain pour un soumis de commencer à douter de notre supériorité, tout ce que cela va lui apporter c’est une envie d’insolence que nous réprimerons durement.
— Il n’y a jamais de moment idéal pour vous mentir maitresse. Pardon. Je vous ai manqué de respect c’est impardonnable. Je ne recommencerai plus.
Je voyais dans son attitude qu’il souffrait, il pensait à toutes les tortures que j’allais pouvoir infliger à sa queue et plus le temps passait plus son esprit était imaginatif. Chétif était masochiste, je pouvais le menacer du fouet sans qu’il panique, par contre si je prononçais l’expression « tease and denial » il me faisait un malaise. Chaque soumis à ses forces et faiblesses et j’en joue. Pour lui éjaculer devant moi était l’humiliation suprême, si je voulais le punir pour quelque chose de grave c’était la meilleure solution. La récompense étant de lui permettre de se toucher en privé. Comme d’autres hommes il subit une période de dépression après le plaisir ce qui le rend vulnérable, il angoissait que je puisse en être témoin et que je m’en serve contre lui. Tout ce qui pouvait le mettre en danger d’éjaculer lui faisait peur donc en quelque sorte porter une cage de chasteté en ma présence le rassurait.
— Alors on recommence. Elle te démange ?
Il a soupiré.
— Oui maitresse ma queue me démange terriblement.
J’ai souri.
— La vilaine. Elle veut te tenter ?
— Oui maitresse.
— Elle veut de détourner du chemin vertueux de la chasteté ? T’inciter à désobéir à mes consignes ?
— Oui maitresse elle essaye mais je ne me laisserais pas faire quoi qu’elle fasse.
Malgré la douleur il semblait déterminé, plutôt content de lui jusqu’à ce qu’il se rende compte que je pouvais prendre sa phrase comme un défi. Je l’ai vu hésiter à rectifier le tir, il ne voulait pas mettre en lumière cet aspect au cas où je ne l’aurais pas vu. Qu’il se rassure, ou s’inquiète, nous avons un don pour repérer les double sens. Coup de chance pour lui je n’avais envie que de lui faire mal physiquement.
— Ce n’est pas le problème. Comment dois-je réagir lorsque quelqu’un essaye d’inciter mes soumis à se rebeller contre mes ordres ?
Il a dégluti.
— Si quelqu’un essaye d’inciter vos soumis à faire des bêtises en utilisant une de nos nombreuses faiblesses vous devez lui en faire passer l’envie par tous les moyens disponibles.
— Exactement ! Si ta pitoyable queue me cherche, elle va me trouver. Je vais la chatouiller à ma façon. Crois-moi elle va retenir la leçon.
Je lui ai mis une main sur la joue pour montrer mon empathie.
— Je sais qu’indirectement tu vas souffrir mais je veux que tu saches que ce n’est pas ma faute. Si je pouvais la punir sans te faire mal je le ferais crois-moi. C’est elle la vilaine pas toi.
J’ai eu du mal à rester sérieuse devant l’énormité de ce que je racontais. Lui aussi.
— Merci de votre considération maitresse. Je sais que vous êtes parfois amené à faire des choix difficiles.
Du sarcasme ? J’avais laissé passer le premier défi, j’allais mordre à celui-là. En tout cas verbalement.
— Comme tu sembles courageux je vais même doubler sa punition. Comme ça nous serons sûrs qu’elle te laissera tranquille après. Qu’est-ce qu’on dit ?
Les hésitations de sa voix ont trahi son stress.
— Merci maitresse. J’en ai de la chance. Vous êtes si douce avec moi.
Ce n’était que du vent, je n’allais pas doubler sa punition pour de vrai. De toute façon je ne lui avais pas annoncé le nombre de coup donc je pouvais dire ce que je voulais. Il ne faut pas hésiter à recourir au bluff, s’entendre dire qu’il allait avoir une double punition pour son comportement était un élément d’ambiance intéressant. Au fond de lui il savait que ce n’était que des mots mais il voulait y croire.
Je l’ai embrassé sur la joue.
— Je sais. Crois-moi, ça va me faire autant de mal qu’à toi.
Puis je suis partie en fou-rire.
— Non je rigole, tu vas déguster et je vais m’amuser.
J’aime beaucoup ces petits moments de complicité avant une punition, c’est comme des préliminaires, le piège étant d’en abuser. Il est de notre responsabilité de dominante de ne pas perdre de vue notre objectif. Cette complicité ne doit pas dégénérer en familiarité, ce qui arrivera si nous laissons le soumis tenter de retarder le passage à l’acte. Il est de notre devoir d’y mettre un terme assez tôt, idéalement par un ordre sec pour ne pas laisser d’ouverture à la discussion. Tout le monde doit rester à sa place.
— Debout ! Rétracte le prépuce !
Ce changement de ton lui a provoqué un nouveau frisson dans le corps, il l’a désorienté ce qui a coupé court à tout réaction autre que l’obéissance.
— Oui maitresse.
Il a d’ailleurs semblé apprécier ma fermeté, il n’a rien dit mais j’ai ressenti comme de la considération dans son attitude générale, il devait être heureux que je ne le tourmente pas sexuellement.
Pour continuer dans cette préparation mentale à la douleur j’ai fait claquer la ceinture dans mes mains, le message était « arrête de penser à des plans pour esquiver je ne laisserais rien passer ». Il n’est pas facile de se résigner à être puni, nous les aidons en étant strictes.
Il semblait hésitant sur la position de ses mains, je n’ai rien dit immédiatement pour voir s’il allait faire le bon choix. Sa première réaction avait été de les mettre derrière la tête. Il savait pourtant que ce n’était pas la bonne option mais semblait vouloir attendre l’ordre de maintenir sa queue en place pendant les coups, comme pour gagner du temps avant la punition, comme si les quelques secondes qu’il me ferait perdre étaient significatives. Retarder l’inévitable est parfois une réaction de soumis, une mauvaise réaction, ils savent très bien que j’aime les marques de coopération pendant les punitions et qu’au contraire j’ai tendance à adoucir les sentences lorsque les soumis sont sages. La raison l’a emporté et il a finalement abdiqué en prenant spontanément son sexe fermement en main, il acceptait de l’immobiliser pendant le châtiment pour ressentir l’impact au plus fort. J’ai apprécié ce sacrifice volontaire, c’était une marque de respect envers moi, même si elle était tardive.
J’ai ricané devant ses hésitations, pas de manière artificielle pour l’humilier mais bien involontairement. Je glousse quand je commence à être excitée. Ne croyez pas que c’était contre-productif bien au contraire, établir un contraste entre lui et moi était utile. Il était tendu et stressé, j’étais décontractée et à l’aise. Ce m’a donné une aura d’autorité sur lui.
Avant de frapper j’ai testé sa docilité en le tourmentant pour voir s’il allait montrer de l’agacement, notamment je n’ai pas pu m’empêcher de donner des petits coups d’ongle sur son gland. Il est stoïque, il était fin prêt pour se faire punir.
En temps normal je préfère frapper les fesses d’un soumis mais il faut savoir varier les plaisirs, surtout si ça leur plait, je ne vais pas le leur refuser les tortures du sexe, je suis quelqu’un de très serviable vous le savez bien.
— Bien, bien, bien. Tu vas être puni par là où le péché arrive qu’est-ce que tu en dis ?
— C’est une zone sensible…
— Justement ! C’est bien une réflexion d’homme… Penser que la sensibilité de leur sexe est destinée à leur plaisir. Quel non-sens ! Toi je t’ai éduqué donc tu connais la vérité. Elle sert à quoi en vrai ?
Il a récité sa leçon.
— Elle est destinée à rendre les punitions mémorables.
La situation semblait l’exciter au plus au point.
— Exact. Ton sexe est une zone sensible uniquement destinée à ton dressage. Tu ne dois pas détourner son usage comme les vilains garçons. Tu n’es pas un vilain garçon pas vrai ?
— Non maitresse. Je suis un minable mais je sais que vous obéir est bon pour moi. Vous seule savez ce qui est bon pour moi. Ma queue ne veut me faire faire que des bêtises je ne dois pas l’écouter.
— Bien. Tu vas compter les coups.
J’ai armé mon bras et j’ai frappé sans aucune pitié.
Au début d’une punition les soumis ont une attitude volontaire, Chétif ne faisait pas exception, il a voulu annoncer le compte immédiatement comme exigé mais a dû s’interrompre, le souffle coupé par un relent de douleur. Le bégaiement d’un soumis qui a mal vaut tous les discours sur la prétendue soumission de certains. Après avoir surmonté sa souffrance il a annoncé.
— 1, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
J’adore cette phrase, elle est très ritualisée et me rend toute émoustillée à chaque fois, je dois lutter pour ne pas m’oublier dès qu’un soumis la prononce.
La dernière fois je rappelais l’importance de faire parler les soumis pendant les jeux, en voici un exemple parfait. Je pouvais sentir la douleur dans les déraillements de sa voix, ce n’était pas encore des sanglots mais ça y glissait lentement. Ce ne sont pas des mots en l’air, parfois je tombe sur des soumis trop silencieux, ils ne me permettent pas de partager leur souffrance et c’est un vrai problème. Il y a toute une éducation à leur donner et ils n’ont pas intérêt à parler de leur plaisir tant qu’ils ne se sont pas améliorés ! Un bon soumis doit savoir mettre en scène sa douleur, il doit en rajouter un peu sans que cela se voie, il doit rester crédible. C’est tout un art, surtout quand je leur demande de rester sage. Ils sont obligés de me la communiquer par des réactions subtiles, des soupirs, des frissons.
Le moins que je puisse dire c’est que Chétif n’avait pas à en rajouter il ressentait exactement ce qu’il fallait pour me plaire.
C’était en un sens ironique qu’il ait dû passer des jours et des jours en cage pour être mis à fleur de peau alors qu’il avait suffi d’une phrase pour me mettre dans le même état. J’ai soupiré en fermant les yeux et en laissant tomber les épaules. Je n’en pouvais plus, je voulais qu’il recommence et comble du bonheur j’avais ce pouvoir entre mes mains. J’ai agrippé fermement le cuir de la ceinture et je l’ai abattu sur son sexe. J’ai fermé les yeux en attendant ma récompense. Après un gémissement plaintif elle est arrivée.
— 2, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Que c’était bon. J’ai rigolé, si les sanglots arrivaient déjà c’était parfait. Qu’il réagisse aussi vivement aussi vite ne pouvait signifier qu’une chose : sa queue avait dû souffrir de sa privation de plaisir et était devenu sensible au-delà de toutes mes espérances. La douleur que je lui infligeais ne pouvait que le mettre dans un état d’excitation indescriptible. Son corps devait être en feu.
Le côté négatif est que j’allais devoir arrêter rapidement. Lorsque vous êtes dans des émotions si fortes le simple fait d’arrêter trop tard la douleur peut être source d’orgasme pour le soumis et je ne le voulais pas. C’était en quelque sorte ma faute, dommage pour moi, j’avais mal dosé la période de chasteté préalable. C’est tout un art et je me suis dit que la fois prochaine je la raccourcirai pour me ménager une marge de manoeuvre plus importante.
Il n’y a pas de généralités certains soumis ont besoin de 2 semaines d’abstinence pour être au top, d’autres le sont en 5 jours. C’est une affaire d’expérimentation. Difficile de tomber juste du premier coup. C’est comme pour une simple fessée ou les pinces, tout le monde n’a pas les mêmes besoins. Il ne faut pas nous en vouloir si nous ne trouvons pas les choses au premier essai.
Frustrée par la prévision d’une interruption rapide du jeu j’ai frappé nerveusement son sexe et dans ma précipitation j’ai tapé un peu à côté. Avec un certain soulagement dans la voix il a fait le décompte espérant passer à la suite sans que je me rende compte de mon erreur.
— 3, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Mon esprit luttait de plus en plus contre le plaisir qui montait en moi ce qui me déconcentrait, j’étais en train de devenir folle, je devais me ressaisir. Une domina doit être attentive au plaisir de son soumis et je ne pouvais pas l’être avec l’esprit embué. Plutôt que d’assumer ma responsabilité dans ce travail mal fait j’ai passé ma culpabilité sur lui.
— Tu comptes ça comme un vrai coup ? Il a à peine touché ta queue. Tu essayes de m’arnaquer ?
— Pardon maitresse j’avais cru que …
— Que ? Que tu allais t’en tirer à bon compte ? Tu n’as pas trouvé bizarre qu’il soit moins fort que les autres ?
— Si maitresse.
— Tu veux de la discipline a minima ?
— Non maitresse.
— Alors pourquoi tu l’as compté ?
— Je ne sais pas maitresse.
— Tu connais la règle en cas d’erreur de compte ?
— Oui maitresse.
Les mots étaient sortis de ma bouche avant même que j’ai eu le temps de réfléchir. La règle en cas d’erreur était de rajouter 5 coups. À quoi étais-je en train de penser ? Je ne pouvais pas me permettre de lui rajouter 5 coups ! Je ne savais pas s’il allait les supporter. En tout cas moi je n’allais pas me contenir tout ce temps, j’étais déjà à la limite d’exploser et rien qu’au son du prochain impact je pouvais me retrouver hors service. Je m’étais coincée toute seule et je continuais pourtant à le chercher. J’étais en colère contre la mauvaise personne.
— Et puis ce n’est pas ma faute, il est difficile de viser une zone si petite. Pas vrai qu’elle est petite ?
Je faisais une référence à une séance passée où il avait essayé de me tenir tête en disant qu’il y avait plus petit comme modèle. Je l’avais forcé à alterner masturbation et coups. Je lui avais asséné des « alors tu es fier de ta grosse queue ? ». Il avait « détesté » ce traitement, j’entends par là qu’il avait retenu la leçon. Certains soumis ont du mal avec le mélange du plaisir et de la douleur. Pour lui c’était un jeu trop cruel, chacun ses faiblesses.
Cette fois ci il a répondu avec précaution.
— Pardon maitresse c’est entièrement ma faute. Si ma queue n’était pas si petite vous n’auriez pas autant de mal à me discipliner. Je mérite mes 5 coups bonus pour vous avoir compliqué la tâche.
Vu comme il en a rajouté ce discours devait l’exciter. Vous allez trouver ça cliché mais je trouve que les hommes sont énervants avec leur taille. Au début je ne pensais pas que j’aurais si fréquemment besoin de leur rabattre le caquet sur le sujet. Vous ne pouvez pas savoir le nombre de candidatures pour des places de soumis où ils se contentent de m’envoyer une photo de leur engin comme seul argument.
Sincèrement je n’ai encore jamais rencontré une femme qui trouvait séduisant un discours du type « j’ai 20 cm d’argument pour te convaincre », surtout pas lorsqu’il émane d’un prétendu soumis. Sans parler qu’en matière de domination féminine il est plus fréquent que ce soit nous qui les pénétrions que l’inverse.
En parlant de ça, hier je marchais dans la rue et j’ai capté des bribes de discussion entre ouvriers sur un chantier. Je n’y faisais pas attention jusqu’à ce que j’entende « gode-ceinture » dans une phrase. Sur le coup je me suis demandée si c’était juste mon imagination qui avait entendu ce qu’elle voulait entendre mais non, ils parlaient bien de ça. Je ne savais pas que c’était devenu un sujet de discussion banal 🙂 C’est plutôt une bonne chose 😀 C’est si humiliant d’inverser totalement les rôles dans le couple.
Revenons au sujet. Entre la douleur et l’humiliation la queue de Chétif ne pouvait s’empêcher de prendre en volume, pas besoin de masturbation pour faire grossir le sexe d’un homme.
Je l’ai frappé à nouveau, de manière impeccable cette fois.
— -2, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
J’adore faire repartir les comptes à l’envers avec des nombres négatifs, être en dessous de 0, comme si la souffrance qu’il ressentait ne valait rien. Il y a tout un aspect psychologique à s’éloigner de l’arrêt de la punition.
En réalité comme je n’avais pas prévu de nombre fixe pour la fin cela ne changeait pas grand-chose. Il fallait juste que je dépasse le nombre précédent et je pourrais dire que ce serait suffisant.
— -1, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Je frémissais d’anticipation pour le prochain coup, j’avais une idée en tête, une petite phrase à sortir pour l’occasion et j’étais fière de ma trouvaille.
— 0, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
En rigolant par avance j’ai dit.
— Pourquoi une telle grimace ? Nous n’en sommes toujours pas au premier coup. La punition n’a même pas encore commencée ! Tu n’as pas encore à être mal à l’aise. Pas tout de suite.
Sans se démonter il a répondu en se retenant de sourire.
— Vous êtes tellement efficace dans vos punitions maitresse que j’ai mal avant même le premier coup.
Quand mes soumis se montrent mordants j’y vois un encouragement, un défi à les remettre à leur place. Vous pouvez dire ce que vous voulez les soumis ne sont pas des victimes, même après plusieurs coups de ceinture sur le sexe il me répondait avec brio. Il était dans son élément.
— Ne t’inquiètes pas pour ça. La punition va désormais être « pour de vrai ».
Je savais qu’il était déjà loin dans la douleur et pourtant je ne pouvais pas m’empêcher d’en remettre une couche, c’était une façon d’être sûre que je contrôlais bien la situation, de jouer avec ses limites pour me faire peur.
J’ai frappé et il a bien mis 10 secondes avant de surmonter la douleur.
— 1, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Je l’aurais bien titillé des doigts pour établir un contraste plaisir douleur mais je me suis retenue. Il n’avait pas besoin de moi pour être excité.
Pour me changer les idées j’ai décidé de taper par en dessous, il faut savoir se renouveler de temps en temps et les petits éléments de surprise apportent du piment à la punition. Un soumis doit rester sur le qui-vive, ne pas s’endormir à cause de la routine. Comme il fermait les yeux il n’a pas vu venir le changement ce qui l’a fait sursauter. Je ne peux jamais m’empêcher de glousser quand un soumis fait un bond à cause d’un de mes coups, j’étais fière de moi.
— 2, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Mes coups ne semblaient pourtant pas être la plus grande épreuve à laquelle il faisait face. Sa lutte contre le plaisir semblait être sa préoccupation principale, cela nous faisait une chose en commun, j’avais moi aussi une forte envie entre mes cuisses. Mon corps me faisait savoir qu’il était prêt à délivrer la fameuse récompense si je prenais la décision d’effleurer d’une main mes zones sensibles. Ce n’était pas bon je le savais, le plaisir précoce n’est pas acceptable même en tant que dominante. Je devais suivre le plan et faire taire cette envie. Je devais me concentrer et synchroniser mon plaisir avec mon partenaire. Je lui avais annoncé le fouet et je ne pouvais pas me sortir du jeu avant. C’était bien trop tôt de quoi aurais-je eu l’air ?
Les soumis se plaignent parfois que nous les laissons trop dans le noir, c’est une mesure de sécurité, en ne promettant rien nous nous permettons de changer les plans ni vue ni connue. La j’avais un cheminement annoncé donc une certaine allure à respecter.
Je savais ce qu’il fallait faire et pourtant ces quelques bouffées de chaleur suffisait à annihiler toute raison, je n’en pouvais plus. J’ai lentement dérivé ne me rendant compte que trop tard que j’étais prise dans un courant dangereux. J’ai eu une poussée d’adrénaline lorsque je me suis rendue compte que j’étais en train de faire l’inventaire mental des sextoys que j’avais amenés avec moi, je pensais à leur taille, leur texture, leurs modes de vibration. La proposition que je me faisais était si simple, 5 min de break dans ma chambre et ma petite affaire était finie, ni vu ni connu. Mon corps me tentait en m’envoyant des souvenirs agréables. On aurait presque dit que mes envies étaient en train de saccager les rayonnages ma mémoire pour dénicher autant de souvenir excitants que possible et me les envoyer en pleine figure pour que je ne sois plus capable de me retenir. Je prenais l’eau, c’était le cas de le dire.
Je me suis hurlée intérieurement « arrête de penser à ça, tu es dingue ! ». Je devais me changer les idées, j’ai frappé.
— 3, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait.
Pas cette phrase non ! C’était démoniaque, tout se liguait contre moi. Je serrais fort la ceinture dans mes mains, presque à m’en faire mal, je devais retenir mes mains, elles devaient rester sur la ceinture.
Mon esprit s’égarait, j’étais presque jalouse de Chétif et je me suis surprise à rêver de quelques coups entre les jambes. C’était idiot, s’il y a bien quelque chose que je crains c’est bien ça. Je crois que c’était un mécanisme de compensation, je ne m’autorisais pas les caresses qui me faisaient envie donc mon corps essayait un autre angle, la « caresse » d’une ceinture me semblait désormais un ersatz acceptable.
J’ai frappé encore une fois comme pour chasser mes mauvaises pensées.
— 4, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Nous avions dépassé la situation précédente, à partir de là je pouvais m’arrêter sans perdre la face, je pouvais lui accorder une pause sans qu’il ne se doute de rien. Mon côté maniaque me poussait à atteindre un chiffre rond pour qu’il n’y ait aucun doute sur ma sévérité. Si j’allais jusqu’à 5 cela lui ferait au final 10 coups de ceinture en cuir sur le sexe. Une punition sévère surtout sur un membre sensibilisé par des jours de chasteté, je devais reconnaitre que j’avais été une putain de garce sur ce coup.
J’avais conscience que j’avais quelque chose à expier après mon comportement de la séance. Je me suis dit que j’allais demander à une copine dominatrice de me faire subir le même traitement pour compenser. Cette idée m’a faite déculpabiliser, c’était un contrat avec moi-même « je me permets ça mais en contrepartie je … ». C’était le genre d’engagement qu’il est facile de prendre mais difficile à faire respecter. C’est aller volontairement au bureau du principal après une bêtise tout en connaissant la volée de bois vert qui en résultera.
J’ai frappé à nouveau comme pour sceller cet accord avec moi-même.
— 5, merci maitresse, je l’ai bien mérité. Puis-je avoir le coup suivant s’il vous plait ?
Encore une fois il a grimacé de douleur me faisant prendre conscience de ce à quoi je m’étais engagée. Si je tenais ma parole je serais bientôt à sa place. Je pensais à l’humiliation que représentait une telle punition. Je ne sais pas pourquoi je vous dis ça, il est évident que des coups de ceinture sur le sexe sont une forme de punition où l’humiliation est très importante.
J’envisageais une confession humiliante suivie d’une pénitence pour me remettre dans le droit chemin. Quel programme ! Le pire restant encore qu’à la place de l’angoisse qu’aurait dû m’inspirer cette perspective mon corps réagissait différemment, j’étais excitée. J’ai beau être dominatrice subir la honte de la correction ne me laisse pas indifférente.
Je ne sais pas comment les hommes ressentent une punition sur le sexe mais pour moi c’est un mélange complexe. C’est dans un premier temps une forte pression qui m’apaise mais qui est rapidement suivie par une douleur qui vient tout interrompre. Le plus horrible étant que le plaisir reprend peu à peu le dessus dans un frisson chaud qui me fait perdre tout contrôle de mon sexe. Mes muscles se relâchent sans que je ne puisse rien y faire le rendant encore plus humide. C’est cruel au-delà de ce que vous pouvez penser, chez nous le plaisir fait s’écarter les lèvres et offre au châtiment des zones encore plus sensibles.
Comme si ce n’était pas déjà horrible comme ça j’ai une amie « spécialisée » dans la domination de soumises qui a perfectionné sa technique. Elle immobilise une première victime pour la frapper puis demande à une deuxième de la lécher pour l’approcher de l’orgasme avant de l’interrompre pour reprendre les coups et ainsi de suite. Elle utilise l’expression « cunnilingus du Diable » pour désigner ce mélange de plaisir et de douleur. Elle assène qu’il est important d’« essorer les lèvres gonflées par la luxure pour purifier une soumise ». J’ai déjà vu une de ses soumises trembler des jambes rien qu’à l’idée de recevoir 30 minutes de ce traitement lorsqu’elles seraient rentrées chez elle.
Après on me trouve sévère avec mes soumis 🙂 Ne sous-estimez pas le sadisme dont une femme peut faire preuve envers une autre. Je me le justifie en pensant que notre supériorité nous oblige à être irréprochable. Un peu comme le système pénal chinois ancien où les peines étaient plus sévères pour les personnes instruites.
Ma tête était complètement à l’envers, au lieu de craindre cette torture j’en avais envie. Pour me changer les idées j’ai inspecté son sexe. Il y avait des petites bulles qui s’étaient formées au bout, pas du sperme juste du liquide séminal sorti sous l’émotion. Je ne lui en voulais pas vraiment de ne pas réussir à contrôler son corps, je ne pouvais pas plus que lui réagir contre les réactions physiologiques du plaisir. Malgré la douleur nos deux corps étaient conscient du vrai but de tous ces actes.
— Tu as des fuites ? Tu veux que je te mette un bouchon, du genre sonde urinaire barbelée ?
J’ai un gros fantasme non assouvi de faire rentrer des choses dans l’urètre d’un homme mais je n’ai pas suffisamment confiance en moi. Il parait qu’il y a des risques d’infection. J’ai encore plein de choses à découvrir sur les possibilités de faire souffrir un homme.
— Faites ce que vous jugerez nécessaire maitresse.
Je reconnaissais cette attitude, celle qui ne veut pas être insolente mais qui sous-entend fortement qu’il veut une pause. Cette punition sur le sexe avait été une erreur, elle avait été trop efficace sur moi.
— Ça suffit ! À genoux ! Présentes moi tes mains.
Il s’est exécuté.
— Merci maitresse, merci beaucoup.
J’ai souri en voyant le soulagement sur son visage, c’était si risible de voir un homme heureux à l’idée de se faire frapper sur les doigts avec une ceinture en cuir.
Dès que sa queue aurait dégonflé j’allais la remettre en cage, c’était bien plus prudent comme ça. Je ne devais plus me tenter.
Je comptais sur cette nouvelle phase sur les mains pour me calmer un peu avant de passer au fouet, j’avais tort …

8 réflexions sur « Week-end avec 3 soumis juin 2014 #19 : torture partagée »

  1. Madame,
    encore un merveilleux post. Que c’est troublant de sentir, avec vous, votre plaisir affleurer. Quel cadeau pour vos soumis ! S’ils savaient !!! J’imagine la douleur affreuse du cuir sur le gland, gonflé et frustré, la rage d’être privé de jouissance. Etre obligé de souffrir la morsure de la ceinture et savoir que l’on va se retrouver à nouveau en cage !
    Et ce frisson au plus secret de vous.
    Comme j’aimerais que vous nous parliez un peu de votre homme. Savoir ce que lui doit endurer. Quels sont ses privilèges, ses obligations…. Comment supporte-t-il l’existence de votre cheptel.
    Avez-vous parfois un amant, un vrai, un qui vous pilonne et qui vous réjouit de bonne et simple manière.
    On aimerait tout savoir de vous.
    Vous êtes sublime.
    E.

    1. L’idée de me faire « pilonner » ne m’excite pas. Au contraire je me sens mieux sexuellement avec un homme soumis qui reste sur le dos pendant que je dirige.
      Je reviendrais sur ce sujet.

  2. Madame,

    Je voudrais revenir sur votre petit propos liminaire et l’utilité du « safe word ». Bien sûr, c’est important pour une pratique du BDSM entre « étrangers », « joueurs sans intimité » comme vous le sous-entendez. Mais dans une véritable relation de dominatrice à soumis, une relation dans laquelle seul importe l’amusement, éventuellement le plaisir, de la dominatrice, et que cette relation a évolué vers la confiance, la compréhension mutuelle, l’affection et l’obéissance, le « safe word » est un outil… comment dire, un artifice qui vient détruire… comment dire. Un peu comme un décor en carton pâte.
    Si je me livre à toi, chère Maîtresse, ce doit être sans réserve. Sinon, c’est un peu ridicule. Si je prends le risque d’être à ta merci, ce n’est pas pour avoir un droit de tirage spécial « passez par la case -pas mal-« . Si je me livre à ta merci, mon seul seul droit reste de te demander merci. Sinon, à quoi bon de t’avoir choisie pour Maîtresse ? Un dentiste ferait l’affaire ! Ce tremblement, cette respiration qu’on ne peut plus reprendre, disparaissent s’il me suffit de te lancer le « safe word » pour sortir de l’enfer salvateur où tu m’as plongé.
    Madame, vous aurez compris que le tutoiement du paragraphe précédent est une licence littéraire et nullement une liberté à votre endroit.
    Une dominatrice est d’autant plus belle qu’elle est inflexible. Comme une mère, bien sûr. Le BDSM avec un « safe word », c’est comme un décor en carton pâte, une épée de bois, un cheval à bascule.
    Il faut réfléchir au beau mot de capitulation.

    Je m’incline à vos pieds.
    Emmanuel.

    1. Si je ne précise pas l’utilisation du safeword je me retrouve avec des critiques « blablabla safe secure and consensual ». Des gens qui se croient supérieurs après avoir découvert l’eau froide.
      Je suis bien plus autoritaire lorsqu’il le faut ^^
      Après tout s’ils ne sont pas content la porte est ouverte.

  3. Madame,
    Je me permets de vous livrer ce commentaire sur la seconde partie de votre post « Torture partagée » où vous détaillez la correction que vous infligez à votre soumis sur le sexe.
    Pendant une correction le soumis attend toujours le moment où les coups vont atteindre son sexe, même s’il le redoute. Tout simplement parce que la plupart du temps il est dans une telle situation de frustration qu’il prend cela comme une sorte de délivrance. Je parle ici de coups sur la verge et non de « ball busting ». Or autant les femmes osent sévir extrêmement fermement sur un derrière déculotté, autant elles font preuve d’une prudence excessive quand elles s’en prennent à la petite chose des soumis.
    Voici donc deux ou trois conseils.
    Le gland est particulièrement sensible. Les coups (cravache, ceinture, règle) le marquent facilement. C’est cela qui inquiète nos Maîtresses vénérées. La douleur provoquée par des coups appuyés est affreusement aigüe mais aussi très localisée. Mais le gland est très résistant. Une bonne correction sur le gland peut donc utilement se faire avec un objet souple (ceinture, martinet) qui marquera moins, mais être donnée de manière aussi ferme que sur les fesses.
    La verge est encore moins fragile. Elle peut donc faire l’objet de toute sorte de punitions tant au dessus qu’en dessous, la partie supérieure étant cependant plus sensible. Elle aussi prend vite de belles marques zébrées tout à fait utiles pour rappeler (24 ou 48 heures au maximum) le respect que nous devons à nos Maîtresses.
    Pour un soumis « normal », je veux dire non masochiste, ce type de redressement est formateur car la douleur provoquée est telle qu’il en retient qu’il est inutile de provoquer sa Maîtresse en attirant son attention sur son petit oiseau.
    Les coups sur la verge ou le gland sont en effet d’une efficacité mentale redoutable. En effet après une telle correction, le soumis cesse d’envisager l’idée même que son sexe puisse pénétrer celui de sa dominante. Cette idée sort de son cerveau. Il devient ce pourquoi il est puni : incapable d’honorer une femme correctement. Imaginez que vous vous brûliez le doigt sévèrement, vous n’auriez plus envie de le plonger dans un pot de confiture pour y goûter. La punition du sexe a le même effet : l’envie (de confiture ou de sexe) demeure, mais l’outil pour l’assouvir est hors d’usage.
    Je conseille donc humblement à nos chères Maîtresse d’utiliser la correction sur le sexe pour faire passer à leurs soumis toute manifestation déplacée de désir à leur endroit.
    Evidemment votre manière d’administrer cette punition, en demandant au sujet de maintenir lui-même son sexe en position idoine, est exquise.
    Comment mesurer que la dose est atteinte ? A mon avis, il n’y a qu’un critère objectif : le retour à la flacidité. La débandaison peut être le fait de la douleur (dans ce cas, le but est atteint) ou d’une attitude soumise et modeste du soumis envers la dominante (et là aussi le but est atteint).
    La correction sur les testicules est très différente : la douleur est diffuse et lancinante et non immédiate et localisée. C’est le corps entier qui est ravagé par les coups. Si la morsure de la verge ou du gland par le fouet peut (dans un instant de déraison) pousser le soumis à l’insurrection, la punition des testicules le laisse dans un état d’abandon et de soumission total. Comme vous le montrez dans des post anciens, le « ball busting » peut servir à casser la résistance, alors que les coups sur le sexe tiendront lieu de punition en raison de la douleur immédiate qu’ils provoquent.
    Dans un souci d’exhaustivité je préciserai que le fouet ou le martinet sur les testicules provoquent plutôt une douleur vive et localisée que diffuse et lancinante. A assimiler donc à la correction sur le sexe qu’au « ball busting ».
    Je dois dire enfin, que le soin que vous prenez à corriger vos soumis sur des zones non érogènes (gifles, paume des mains, etc.) doit être particulièrement insupportable pour eux. J’admire.
    Vous êtes admirable.
    Emmanuel

  4. Bonjour maîtresse j’ai vraiment apprécié votre narration,je suis un homme soumis qui apprécie toutes sortes de tortures, récemment j’ai subit les aiguilles de différents modèles sur le sexe ce fut une expérience très intéressante et impressionnante car durant ce supplice j’ai gardé mon érection et il y a eu une abondance de fuite de sang surtout au niveau du gland

    1. Bonjour,
      Moi je ne supporte pas la vue du sang et des aiguilles donc ça ne m’aurait pas attiré. Mais tant mieux si vous avez apprécié.
      Faites attention tout de même, lorsqu’il y a du sang le danger n’est jamais bien loin.

      Émilie,

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