Le témoignage de Damien : mari soumis s02e05 cage de chasteté et strap-on

Hello 🙂

Comme promis voici la partie suivante du témoignage, c’est dingue comme les post-its sont aussi simples qu’efficaces.
Au programme d’aujourd’hui : comment faire pleurer un homme …. ^_^ Ce n’est pas très compliqué vous allez voir. Si vous êtes sage la prochaine fois vous saurez comment les faire hurler. Petit spoiler il n’y a pas besoin de beaucoup de matériel.
Je suis bien plus axée douleur que Candice donc j’ai découvert sa méthode avec amusement. Elle semble efficace il va falloir que je la teste …
Je vous mettrais la dernière partie samedi, probablement en début d’après-midi.

Les parties précédentes sont ici

Pour répondre à une question : il n’était pas prévu que ces témoignages soient compilés en version ebook cependant vu les demandes et les stats d’audience ça le sera peut-être. En tout cas c’est une bonne idée.

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Une fois dans la chambre elle a sauté sur le lit, prenant une pose lascive comme une allumeuse de bas étage me faisant signe de la rejoindre. Une invitation tentante qui n’aurait pas incité la plupart des hommes à la méfiance mais étant un mari soumis et en cage de chasteté j’étais davantage enclin à la mise en alerte. J’avais l’impression de devoir me rendre à l’échafaud.
Je l’ai rejoint pendant qu’elle enlevait ses collants et sa jupe, elle s’est mise sur le dos, gardant ses jambes tendues pour me tenir à distance. Le contact entre ses pieds et mon torse a augmenté la tension dans ma cage. J’ai délicatement fait remonter ses pieds jusqu’à ma bouche pour les embrasser, lançant quelques regards craintifs pour vérifier sa réaction et ne pas dépasser les limites invisibles qu’elle avait fixées.
Pendant toute l’opération elle tenait à ce que je continue de parler, que je lui dise des phrases lui rappellent ma soumission, par exemple que je la remercie, que je lui dise que j’étais son chien et pleins d’autres humiliations volontaires pour qu’elle puisse se sentir puissante.
Elle m’a fait commencer des pieds pour ensuite remonter en embrassant ses jambes jusqu’aux cuisses. Il ne fallait surtout pas que j’aille trop vite, elle devait avoir le temps de se mettre dans l’humeur adéquate, c’est tout un apprentissage pour se retenir et ne pas passer « au plus intéressant » tout de suite. Ce n’est pas la partie que je déteste le plus, c’est agréable d’être à son contact, de voir les réactions de sa peau à mes baisers, ces petites contractions comme de la chair de poule synchronisée avec ses soupirs. Elle semblait cependant moins décontractée que d’habitude, elle rigolait doucement, probablement anticipant les supplices qui allait suivre. Ce n’était pas le moment de faire une erreur alors je me suis concentré sur ma tâche. Alors que j’approchais de son sexe elle m’a repoussé des jambes.
— Ça suffit, je prends les choses en main !
Elle s’est redressé, m’attrapant par les cheveux pour me projeter à l’horizontale, dos sur le lit. Elle s’est mis à cheval sur moi, envoyant valser son haut sur le sol. Elle me regardait avec arrogance sachant l’aspect intimidant que ses seins avaient sur moi.
Elle s’est reculée en rigolant puis a commencé à donner des coups de langue sur le strapon. J’ai levé les yeux au ciel pour ne pas souffrir inutilement. Je n’allais pas être jaloux d’un morceau de plastique, elle pouvait toujours essayer. Un vulgaire jouet recevait ce dont j’avais été privé pendant des semaines pourquoi aurais-je été envieux ? De qui je me moque, bien sûr que je me mordais les lèvres pour ne pas gémir de douleur.
— Tu aimes ça pas vrai ? Je veux t’entendre jouir.
Nous y étions, elle retournait le couteau dans la plaie, elle voulait que je souffre devant le plaisir qui me passait devant le nez. Elle s’est remise à sucer le strapon en gémissant de plus belle. J’avais envie d’hurler pour extérioriser ce que je ressentais, mon corps avait comme envie de convulser, chaque muscle était douloureux. Ce manque de plaisir s’était transformé en douleur comme si on m’avait arraché une partie de moi, je sentais physiquement ce vide. Je serrais les poings, j’avais envie de les taper contre les murs. Je consumais toute ma volonté pour ne rien laisser transparaitre, je n’allais pas lui faire le plaisir de lui montrer que sa torture était efficace. Elle n’allait pas me briser !
De toute façon je préférais encore interrompre ce supplice en étant insolent, et donc en me faisant punir, que de lui avouer que j’étais à bout. C’était ça ! J’avais envie d’avoir mal pour justifier mes cris et mes pleurs. Avec le recul c’était probablement ce qu’elle voulait.
J’ai fait ce que je pouvais pour simuler ce qu’elle me demandait, comme je ressentais l’exact opposé et que je ne suis pas un très grand acteur il m’a été difficile de faire quelque chose de correct. Je devais avoir l’air lamentable ce qui la faisait rire de plus belle, c’était déjà ça de gagné.
— Qu’est-ce qu’il y a chaton ? Tu n’aimes pas ça ?
Elle a ricané.
— Tant mieux.
Je me sentais tout petit, faible, vulnérable, même en y mettant toute ma bonne volonté je n’y arrivais pas. Elle est repassée sur mon torse.
— Tu vas simuler ou je te mets les pointes, compris ?
J’ai hoché la tête pour lui montrer que j’approuvais. Elle faisait référence à rajouter des pointes à l’intérieur de ma cage de chasteté, non seulement j’aurais été privé de plaisir mais en plus j’aurais été puni en cas de prise de volume, ce qui était inévitable avec les gémissements qu’elle poussait. C’est un supplice assez dur qu’elle n’emploie pas souvent, il faut que je la fâche vraiment pour qu’elle y ait recours. Elle me faisait comprendre que si le jeu était basé sur l’échec autant je devais me battre pour « échouer le moins possible ».
Elle est sadique en temps normal alors quand je la contrarie je le sens passer. Je devais me ressaisir, être humilié n’était pas marrant mais c’était toujours mieux que d’être humilié et avoir mal. Elle voulait jouer avec mes nerfs et elle en avait pleinement le droit. La coopération à la torture est une de ses règles de base, pas la plus simple à vivre.
Elle a repris sa fellation, pourquoi je ne lui avais pas tenu tête quand j’en avais eu l’occasion ? Pourquoi je ne lui avais pas répondu « je m’en fou » lorsqu’elle avait parlé des pointes ? J’aurais été puni ça m’aurait soulagé.
Elle avait mis mon plaisir en cage et je voulais désespérément la clé, elle m’apprenait à quel point la frustration pouvait être dure et à quel point j’étais faible, je n’avais pas les couilles de lui tenir tête.
Mon esprit essayait de trouver des exutoires pour rendre la situation tenable. J’ai pensé un instant que dès qu’elle aurait fini de me torturer je me mettrais en quête d’une partenaire d’infidélité pour me soulager. Je me suis rappelé que ma queue était en cage, que j’étais prisonnier des autorisations de ma femme et d’elle seule.
Ses règles étaient dures mais elles étaient encore la voie la plus rapide vers l’orgasme. Je devais lui obéir quoi qu’il m’en coute et justement je payais le prix fort. Ces dans des moments comme ceux-là que je regrette de ne pas avoir été plus sage plus tôt. Si je ne jouais pas au con avec elle je serais moins souvent puni. Il faudra qu’un jour je le comprenne.
Un discours un peu contradictoire à vrai dire, j’étais justement en train de mal me comporter et j’allais aggraver ma situation, je ne m’en rendais pas compte, ma tête était un foutoir pas possible. Je me promettais de toujours bien agir alors même que j’allais m’en ramasser une à cause de mon comportement. Ça n’a pas manqué d’ailleurs, après quelques minutes de patience elle m’a recadré.
— Alors ? Pas envie d’être joueur ce soir ? Tu veux que je change de ton ? Parce que c’est ce que tu viens de gagner !
Je venais de me rappeler pourquoi je n’osais pas être insolent pour faire cesser ma torture, soudainement je me souvenais que ses corrections étaient sévères. Je ne faisais plus du tout le malin. Je suis resté silencieux, je n’avais rien à dire, rien d’intelligent en tout cas. Elle avait exigé de moi que je change d’état d’esprit, je ne l’avais pas fait j’étais forcément en tort. C’était sévère mais elle m’avait laissé une chance d’ajuster mon attitude, je ne l’avais pas saisie je devais assumer. Je savais ce qu’il m’attendait, je suis allé décrocher le martinet du mur, je lui ai tendu, elle l’a pris brusquement.
— Ça sera un bon début.
Un bon début ? Pour moi le martinet est au sommet des instruments de correction. Je l’avais mise en colère au-delà de ce que j’avais imaginé. Après tout je n’avais peut-être pas saisi toute la scène correctement et j’avais surement mérité ce qui m’arrivait.
Je me suis penché en avant les mains sur les genoux, écartant les jambes pour exposer la fente de mes fesses au châtiment que j’avais mérité. J’offrais mon postérieur à une douleur sévère parce ce que c’était ce à quoi j’avais été condamné. Je ne suis pas le meilleur des soumis mais je respecte l’autorité de ma femme, lorsqu’elle décide de me punir je n’ai rien à dire, c’est sa décision.
Dans cette position j’avais le strapon en pleine figure, une humiliation de plus.
Au départ le contact des lanières a été un soulagement, leur brulure m’aidant à évacuer la frustration que j’avais accumulée. Je savais cependant que ça ne durerait pas et que tôt ou tard leur morsure allait m’en faire voir.
Ça n’a pas manqué, au bout de quelques minutes chaque coup était devenu plus insupportable que le précédent. Mes fesses et mes cuisses étaient devenues brulantes, Candice était en train de me flamber l’arrière-train pour m’apprendre que lorsqu’elle me donne un ordre difficile à accomplir ce n’est pas une raison pour ne pas essayer de réussir. Lorsqu’elle m’avait dit de simuler un orgasme alors que j’étais contracté au possible à cause de la frustration ce n’était pas un conseil ou une option facultative.
Le point positif c’était que la tension dans ma cage était redescendue, on se console comme on peut.
Après quelques dizaines de coups supplémentaires elle s’est arrêtée.
— Fini l’échauffement il est temps de passer au sérieux.
J’avais envie de lui hurler que j’avais retenu la leçon, que je ferais de mon mieux si elle me redonnait une chance. En réalité j’ai réagi comme le gros lâche que je suis.
— Merci chérie.
Elle est partie chercher quelque chose, me laissant seul quelques instants. Je n’ai pas pu résister, je me suis un peu frotté les fesses. C’était bon, trop bon, il fallait que j’arrête avant de me faire prendre. Après tout j’avais peut-être besoin de ce pallier supplémentaire pour m’apprendre à rester sage, je n’avais pas su rester immobile comme j’aurais dû. Elle doit me connaitre mieux que moi.
Elle est revenue avec un paddle en bois, un grand modèle pouvant couvrir la totalité des fesses, sans l’avoir connu je pouvais néanmoins dire qu’il avait l’air sacrément douloureux.
— Prêt ?
— Oui, merci chérie.
Je serrais fort mes mains sur mes genoux, je me préparais à recevoir ma punition. Il y a eu un bruit sourd lors de l’impact puis une onde de choc me faisant perdre l’équilibre et me projettent vers l’avant. Ça avait été plus impressionnant que douloureux. Je me suis rapidement remis dans ma position initiale, évitant soigneusement de croiser son regard.
— Je suis désolé chérie puis-je recevoir le double en compensation.
Je sais qu’elle est intransigeante sur la tenue de la position, je suis obligé de demander le double en cas de mouvement involontaire sinon elle considère que c’est de la rébellion envers son autorité et le tarif est bien plus cher.
J’ai tenu bon lors du deuxième coup et le fait de ne pas amortir le coup en partant en avant l’a rendu bien plus douloureux. D’autant plus qu’elle m’a enchainé le coup bonus dans la foulée. Toute la surface de mes fesses était punie, les coups se superposant je n’avais aucun répit, la douleur était totale.
— Ça fait mal pas vrai ? Tu la sens la leçon qui rentre ?
Entre deux sanglots j’ai répondu :
— Oui chérie, je n’ai que ce que je mérite je n’aurais jamais dû faire exprès de te désobéir.
Si je voulais que ma punition cesse je devais m’écraser, lui donner ce qu’elle voulait et croiser les doigts pour que ça suffise. À vrai dire je ne savais pas ce que je voulais, la fin de la punition signifiait la reprise de la frustration, alors que la faire continuer s’était m’exposer à des douleurs de plus en plus fortes. Un conflit impossible à résoudre.
— Redresses-toi. Les mains sur la tête.
Elle a intercepté une de mes mains pour faire tenir le strapon vertical et révéler ma cage de chasteté dessous.
Elle a profité que ma queue se soit ratatinée en position de repos pour mettre les pointes dans ma cage. J’avais pourtant été prévenu que ça allait arriver. Rien qu’à l’idée d’être puni en cas d’érection j’avais un début de poussé. C’est dingue comme l’interdiction donne envie.
Elle m’a dit avec un grand sourire :
— On y retourne ?
J’ai essayé d’être aussi enjoué qu’elle, ayant retenu la leçon qu’elle venait de me donner.
— Avec plaisir !
J’en pleurais déjà. De son côté elle ricanait bêtement. Elle s’est mise sur le dos, ne pouvant retenir quelques étirements pour se mettre à l’aise.
— Vas-y prend moi. Pas la peine de lubrifier je mouille déjà comme une collégienne devant un boyband.
Je me suis approché, elle avait écarté les cuisses, son sexe m’était offert. Les pointes de ma cage ont commencé à s’enfoncer dans ma queue, même cette douleur n’arrivait pas à me détourner de l’envie. J’ai positionné le strapon à l’entrée de son vagin. J’ai serré les dents alors que je commençais à la pénétrer. Je voyais le latex disparaitre entre ses lèvres humides, elle ne mentait pas, elle était très excitée par la situation. J’imaginais ce qu’elle ressentait, le plaisir, ce que j’aurais éprouvé si ça avait été ma queue qui avait été au contact. Je rêvais des frottements de mon sexe contre sa peau la plus intime, les replis, la pression. J’en avais tellement envie et je ne ressentais rien, si ce n’est une douleur de plus en plus vive dans ma cage. Au fur et à mesure que ma queue tentait de prendre en volume les pointes s’enfonçaient plus profondément me rappelant l’interdiction sacrée. Entre deux soupirs elle m’a dit :
— Interdiction de détourner le regard !
Elle m’avait devancé, elle avait senti que j’allais regarder ailleurs pour atténuer mon tourment. Désormais je n’avais plus le choix, la fessée cuisante que j’avais reçu quelques instants auparavant m’avait rappelé ce qu’il advenait lorsque je ne respectais pas ses directives. Je fixais le mouvement de piston que je faisais faire au strapon, c’était la seule chose possible.
Les gémissements de Candice étaient de plus en plus fort et fréquents, il en devenait des râles puissants. Entre deux elle a trouvé le temps de remettre une couche d’humiliation.
— Qu’est-ce que c’est bon le plaisir sexuel ! Heureusement que je le mérite. C’est tellement bon d’être une femme.
Rapidement elle a été au summum de l’excitation. Elle se tordait sous le plaisir, elle avait la bouche ouverte le souffle coupée, je savais qu’elle en rajoutait mais j’imaginais son orgasme, ses capteurs du plaisir devaient être stimulés au-delà des limites habituelles par ce pénis géant en plastique, un état dans lequel je ne pourrais jamais la mettre. En quelque sorte j’étais castré, je ne ressentais plus le plaisir pendant la pénétration. C’était le vide absolu. Je ne sais pas quelle comparaison je pourrais faire, c’était comme regarder quelqu’un manger alors que l’on est affamé. Il faut l’avoir vécu pour comprendre.
J’essayais de penser à autre chose, ce n’était qu’une humiliation de plus, je ne devais pas y accorder d’attention. Plus facile à dire qu’à faire. J’étais obligé de continuer le mouvement de piston que j’avais reçu l’ordre d’accomplir, je devais fixer la pénétration comment pouvais-je penser à autre chose ? J’avais les larmes aux yeux, j’étais poussé aux limites de ma volonté. J’aurais pu m’arracher la queue si j’avais eu la certitude que cela pouvait atténuer ma souffrance. Si j’avais pu violer Candice pour de vrai je l’aurais fait. Ce n’était plus la raison qui parlait mais la bête en moi, celle que Candice voulait justement mater. Le combat était violent et j’avais l’impression d’être une victime collatérale. J’avais envie d’hurler pour apaiser cette frustration dévorante, je devais me ressaisir.
Continuer à imprimer des mouvements d’aller-retour en elle en devenait de plus en plus douloureux alors même que physiquement ce n’était pas possible.
À force de lutter intérieurement je ne faisais plus trop attention à ma tâche. Une erreur grave que j’allais payer plus tard. Candice a pris le dessus, elle devait vraiment vouloir un orgasme et je n’étais pas assez concentré pour être au bon rythme, elle allait se le donner toute seule.
Une fois sur le dos avec elle sur moi je me suis retrouvé à fixer le plafond, comme si j’avais été extérieur à la scène, ne plus être obligé de bouger le bassin pour la pénétrer était un soulagement. J’aurais pu prendre un magazine pour le lire, j’aurais dû, ça m’aurait aidé à penser à autre chose. Elle m’a mis quelques gifles.
— J’ai dit regarde !
Elle n’allait pas me laisser m’en tirer à si bon compte, j’allais devoir souffrir jusqu’à la fin. J’ai remis mon regard vers son sexe.
Les larmes se sont remises à couler, je voulais que ce soit ma queue qui soit à la place du strapon, je voulais son corps tellement fort. Le sexe féminin m’attire en temps normal, à ce moment-là c’était à un point qui défiait l’entendement. Je ne ressentais rien alors que j’étais présent pendant l’acte, c’était en quelque sorte un viol, pas au sens juridique bien sûr. Je n’en pouvais plus d’être passif, je voulais faire quelque chose, ne serait-ce que laper son sexe comme le bon chien que j’étais. À la place je la fixais, impuissant, alors qu’elle prenait du plaisir.
J’avais compris ce qu’elle voulait, que la chasteté devienne dure au point que je la supplie de me libérer, que j’avoue que j’étais à bout. Elle voulait que je craque et que je prouve à quel point j’étais faible. Je me retenais de toutes mes forces, je ne voulais pas lui donner le plaisir de la supplier de me laisser avoir un orgasme. Je ne devais pas m’abaisser à ça ! Je la voyais déjà tirer profit de la situation en négociant je ne sais quoi. Elle m’aurait fait consentir à ce que je n’avais jamais voulu faire en échange d’un orgasme de quelques secondes. Elle pouvait rêver ! Je disais ça sur le moment, quelques minutes plus tard mon discours aurait pu changer radicalement. À ce rythme j’allais la supplier d’accepter un marché en ma défaveur sous peu. Je n’avais jamais été aussi prêt de craquer. Je n’arrivais plus penser à autre chose : orgasme, orgasme, orgasme, plus aucun autre concept n’existait dans ma tête. J’ai désespérément essayé de penser au boulot, à la météo. Impossible. Je continuais de fixer ses mouvements du bassin alors qu’elle faisait des aller-retours de plus en plus rapide sur ce manche géant. Elle haletait, poussant une multitude de petits soupirs, je sentais le point de non-retour arriver. La douleur de ma cage devenait de pire en pire, le contraste me rendait fou.
Elle s’est soudainement figé sur le strapon, la tête en arrière et la bouche grande ouverte pendant que son corps était parcouru d’une grosse secousse. Elle y était, elle défaillait pendant que je ne ressentais rien. Elle est restée immobile alors que son corps était encore agité par quelques soubresauts. Elle était visiblement à la limite de la perte de connaissance. Elle ne simulait peut-être pas après tout, tant mieux pour elle. J’ai vu quelques larmes couler, des larmes de bonheur. Je voulais me retrouver dans cet état, j’étais prêt à tout.
Elle s’est allongé sur le côté, silencieuse, savourant les suites de son orgasme, serrant l’oreiller contre elle. Je n’osais pas bouger ni faire un bruit, tout ce que je voulais c’était penser à autre chose pour que la pression dans ma cage redescende et que les pointes arrêtent de pénétrer ma chair.
Après quelques minutes elle a réouvert les yeux.
— Alors ? Convaincu par ma démonstration ?
Elle s’est accoudé sur mon torse.
— Tu sais que quoi que tu fasses je trouverais toujours un moyen de te faire souffrir davantage ?
J’ai hoché la tête, les larmes sont reparties. J’avais pensé que me faire sodomiser était le comble de l’humiliation, je venais de découvrir qu’être forcé de faire l’amour à ma femme avec strapon pendant que ma vraie queue était en cage était pire. Elle m’a regardé puis a rigolé, je devais faire involontairement des grimaces de douleur.
— Elle est si dure à supporter ta cage ?
— Oui. Je regrette tout ce que j’ai fait et dis.
— Tu regrettes toujours après et pourtant ça ne te dissuade pas de te comporter comme un imbécile.
— Je ne recommencerais plus. Je te le promets.
— Chut, chut, chut. Gardes les excuses pour la fin.
La fin ? Que voulait-elle dire ? Elle a souri devant mon désarrois.
— Si tu crois que j’en ai fini avec toi c’est que tu n’as pas compris la leçon que je voulais que tu comprennes.
Je me suis rendu compte que j’avais recommencé, j’avais pensé avoir touché le fond et elle allait me prouver qu’elle pouvait creuser encore plus profond la tombe de mon plaisir.

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