Dressage bdsm sévère pour un soumis débutant #53 : douleurs, chaines et fouet pour une soubrette ayant oubliée ses obligations

Hello 🙂

Au programme de ce post une grosse punition pour Simplet, mon soumis-soubrette en formation. De quoi rendre la soirée mémorable dans sa petite tête.

Sommaire de mon histoire en cours pour rattraper les parties précédentes si nécessaire.

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Pendant que ma consoeur faisait un peu de facesitting j’allais pouvoir m’occuper de ma soubrette. Simplet, en débutant qu’il était, n’avait pas brillé dans sa performance et dans une relation BDSM tout échec doit avoir des conséquences déplaisantes, sinon ce n’est pas amusant. Il marchait derrière moi pendant que je m’approchais du matériel.
— Simplet, Simplet, Simplet.
Je me suis retournée en pivotant rapidement sur la pointe des pieds, il s’est figé.
— Tu as aimé porter des talons et une jupe ?
Il a rougi.
— Oui maitresse.
— Et comment as-tu trouvé ta prestation en soubrette ?
Il a semblé gêné par ma question, il ne devait pas s’estimer mauvais mais ne pouvait pas me le dire tel quel, il était plus prudent pour lui de paraitre modeste.
— Pas excellente.
Je me suis éclaircie la voix.
— Pour résumer. Je te laisse le privilège de te travestir, en y mettant simplement une contrepartie insignifiante, tu devais juste me servir, je ne suis pas si difficile. Qu’est-ce que tu as fait ? Tu as trouvé intelligent de te concentrer sur ta satisfaction plutôt que de faire les efforts requis en remerciement.
En formulant ma phrase de cette façon vous comprenez bien qu’il n’ait rien trouvé à répondre.
— Tu ne me trouves pas assez généreuse pour mériter ton attention ?
— Ce n’est pas ça maitresse.
— Alors c’est quoi ?
— Je ne sais pas.
J’ai mis une main sur la hanche.
— Et après on me reproche d’être trop stricte. Comme si j’avais le choix !! C’est le seul moyen de vous gérer ! Comme ton statut inférieur le laissait présager tu n’as mis aucune bonne volonté dans ta mission, tu refuses de souffrir pour une cause qui t’es supérieure, moi.
Un discours classique mais s’il est efficace pourquoi s’en priver. Les fantasmes reposent sur des schémas classiques, cela rassure les soumis et leur donne un minimum de contrôle. Par moment je fais preuve d’originalité mais la plupart du temps je suis prévisible.
— Tu te prétends un être intelligent alors même que tu te laisses mener par ta queue ?Espèce de raté. Tu m’as déçu, et ce n’est pas une attitude que je tolère.
— Pardon maitresse
— Pourquoi tu n’as pas voulu respecter ta part du marché ?
— Je ne suis pas assez doué.
J’ai rigolé.
— C’était au-delà de tes capacités ? Laisses-moi rire. Si même en soubrette tu arrives à rater tes objectifs… Ce n’est pourtant pas si difficile. Je me demande ce qu’il va falloir inventer comme rôle si même cette tâche basique t’échappe.
Je l’ai regardé fixement pour créer un moment de silence et ainsi contraster avec ma hausse d’intonation qui allait suivre.
— Trêve de plaisanterie, il n’y avait rien de compliqué ! Tu n’as pas eu envie de le faire, pas la volonté d’affronter la difficulté, c‘est ça la vérité. Les couilles synonymes de courage ? Et puis quoi encore. Vous avez bien escroqué le monde en le faisant croire. Pour le coup c’était bien joué. Eriger la virilité en parangon de vertu a été l’arnaque du millénaire. Mais toutes les tromperies ont une fin. À un moment ou à un autre tous les mensonges s’effondrent.
J’ai soupiré en levant les yeux au plafond. J’en ai profité pour me calmer. Faire redescendre la pression pour mieux la faire remonter plus tard.
— Je dis ça mais je devrais montrer l’exemple. Je sais bien que j’essaye de me voiler la face. Je ne trompe personne. Je vais être honnête. Je vais le dire une fois pour toute. Si tu as échoué c’est ma faute. Je ne dois pas rejeter la responsabilité sur toi, c’est uniquement ma faute.
La réplique était inattendue, après avoir été classique je me permettais un peu d’improvisation. Je lui ai laissé un instant pour qu’il puisse comprendre où je voulais en venir.
— Un soumis mal dressé c’est toujours la faute de sa maitresse. Si j’étais plus stricte avec toi tu n’agirais pas comme un con. Si je ne t’avais pas épargné dès le départ tu n’aurais pas pris tes aises. J’ai été trop gentille, ça me perdra. J’ai fait une bêtise j’assume. Maintenant je me remonte les manches et je te donne un aperçu de l’enfer comme j’aurais dû le faire depuis le début. J’espère que tu es fier de toi tu viens de compromettre le sort de tous les hommes qui passeront après toi. Je ne me laisserais plus jamais avoir à ce point.
Il y avait une certaine logique, si j’avais été plus stricte il n’aurait pas osé échouer et en même temps je lui annonçais que j’allais lui en faire baver. Les menaces les plus crédibles sont celles qui sont logiques. J’essayais de faire prendre à ses quelques erreurs des proportions bibliques.
— Demi tour. Mains sur la tête.
J’ai fini de m’approcher du matériel à disposition, comme j’étais dans son dos il ne pouvait pas voir ce que j’étais en train de préparer.
— Tu sais ce qui arrive aux soubrettes pas sages ?
Il a répondu avec un stress dans la voix.
— Elles sont punies.
— Encore heureux. Et plus précisément ?
Avant même qu’il ait eu le temps de répondre j’ai fait claquer un fouet sur le sol. Une lanière simple en cuir de plus d’un mètre provoquant un bruit si particulier, un son propre à vous glacer le sang. J’étais dans son dos donc je n’ai pas pu voir la réaction sur son visage mais j’ai senti qu’il avait fermé les yeux en comprenant ce que j’avais en tête. C’était peut-être simplement mon imagination, en tout cas c’est l’effet que j’avais voulu provoquer.
— Les soubrettes pas sages tâtent du fouet. Quoi de plus normal tu ne trouves pas ?
— Oui maitresse merci.
Rien qu’au son sec du fouet contre le sol il avait déjà commencé à trembler. Je n’aime pas être loin de mon soumis pendant la punition mais le fouet est efficace pour la discipline. Du point de vue sonore la stimulation est terrible. Il ne fait pas simplement mal, il en impose, je ressens la douleur provoquée.
— Tu vas le détester. C’est un instrument de discipline très sévère et j’en abuse sur les soubrettes. Les ratés comme toi n’ont plus rien à perdre, vous êtes déjà au fond du trou. Une douleur extrême, c’est la seule chose qui reste efficace à votre niveau.
Je suis passé devant lui, à l’expression sur son visage je peux vous dire qu’il regrettait déjà son manque d’implication.
— Mais tu vas aussi le recevoir parce que je l’ai décidé, et quand je décide quelque chose qu’est-ce qui ce passe ?
— Ça arrive.
— Pourquoi ?
— Parce que vous êtes une femme et que vous dirigez le monde. Ce que vous voulez doit être fait.
J’ai enroulé le fouet et je le lui ai mis sous le nez.
— Embrasse.
Il a avancé la bouche, posant délicatement ses lèvres sur le cuir, craintif mais l’acceptant comme nécessaire. Il a parlé d’une voix étouffée.
— Je suis désolé.
J’ai gloussé.
— Comme si ça allait changer quelque chose.
Je me suis éloignée de lui.
— Les autres abrutis venez ici.
J’ai désigné Simplet du fouet.
— Déshabillez le.
Ils se sont affairés, bien content d’être à leur place et pas la sienne. Pièce après pièce sa tenue de soubrette a finie sur le sol. Sa peau était désormais totalement exposée à mon fouet.
— Une fois nu vous l’attacherez aux anneaux du plafond.
Je suis assez classique sur ce point, j’aime donner le fouet sur un soumis en Y.
Une fois qu’ils ont eu finis ils m’ont regardé, attendant la suite des instructions. Le soumis arrivé troisième s’est mis à genoux, rapidement imité par le premier. J’aime constater que les leçons finissent par rentrer dans leur petite tête de mâle.
— Allez chercher des plugs vibrants et asseyez-vous dessus par là. Assez près pour voir ce qu’il va arriver à votre camarade mais pas trop pour ne pas vous prendre des coups. C’est que c’est dangereux un fouet. Il ne faudrait pas que quelqu’un soit blessé à son contact.
J’ai regardé Simplet en souriant.
— En tout cas pas involontairement.
C’était paradoxal, il n’essayait pas de fuir, il semblait vouloir que je commence à le frapper ou plutôt il voulait vite commencer pour en finir. C’était vain, j’allais commencer quand cela me chanterait et pas une seconde avant.
Les deux autres soumis se sont mis en position comme je leur avais demandé.
— Vous allez assister à une correction. C’est un événement heureux donc je veux que vous y preniez plaisir. C’est bien de voir la justice en action, il faut s’en réjouir, c’est le bien qui triomphe. Pour être sûre que vous associez ce moment à quelque chose d’agréable je veux que vous vous masturbiez tout le long. Attention ! Pas de jouissance, juste du plaisir c’est compris.
— Oui princesse.
— Sinon il va vous arriver quoi ?
J’ai désigné un des deux soumis pour qu’il réponde.
— Je me retrouverais à sa place.
— Bien.
Je me suis mise en position, me servant de mon autre main pour guider la lanière quand elle partirait. J’aime la sensation du cuir qui file entre mes doigts. Le premier coup est parti sur ses fesses, très classique pour débuter en douceur. Sur le dos la douleur est plus difficile à supporter tout en restant acceptable, la vraie difficulté arrive lorsque le fouet commence à enlacer tout le corps, lorsque le ventre, le torse, le sexe commencent à être touchés. C’est une douleur très spéciale.
J’ai alterné les coups assez doux avec les vrais qui lui arrachaient des cris. Le fouet était plutôt moyen, 1m5/2m je dirais, en cuir ou tout du moins recouvert, il était plutôt léger. De quoi laisser des marques rouges sans blesser. Chez moi j’ai du matériel bien plus efficace, il faut ce qu’il faut pour mater des hommes.
Après quelques minutes je me suis approchée de lui pour profiter de la chaleur des marques, j’ai passé mes doigts sur les trainées rougeâtres. J’étais plutôt satisfaite de mon travail.
— Il parait que ça fait mal, je suis sûre que je peux mieux faire. Qu’est-ce que tu en dis ?
— Avec vous tout est possible maitresse.
Je ne suis pas sûre que c’était pensé comme un compliment, j’allais néanmoins le prendre comme tel.
— Nous allons jouer à un jeu. Tu vas devoir garder la bouche fermée quoi qu’il arrive. Tu peux gémir mais pas ouvrir la bouche. Le gage si tu perds sera …
Je me suis mise à réfléchir.
— Tu préfères une menace si tu échoues ou une récompense si tu réussis ? Qu’est-ce qui te motiverait le plus ?
Sur son visage je pouvais lire sa réponse « je m’en fou ». Il a soupiré.
— Je ne peux pas choisir. Une seule des options est possible. Mon statut inférieur ne me permet pas de recevoir de récompense.
— Tu es sûr de ne pas vouloir de récompense ?
— J’en ai envie mais je ne dois pas me laisser diriger par le bout de ma queue ou vous allez la punir.
— Donc tu préfères volontairement renoncer à prendre du plaisir ?
— Je préfère arrêter de le chercher, il est sans importance. Tout ce qui compte c’est la raison pour laquelle j’existe : vous servir.
— Bonne réponse.
Les soumis deviennent très motivés lorsqu’il s’agit d’éviter un supplice trop long. C’est une des techniques disponibles pour gérer la difficulté des sessions.
J’ai repris ma position de départ non sans lui donner une claque sur les fesses au passage. J’ai refait claquer mon fouet sur le sol avant de reprendre ma punition, il pliait les genoux à chaque coup pour atténuer la douleur.
Je prenais un vilain plaisir à y aller de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je le faisais danser sous les coups. J’ai fini par avoir mes cheveux en pleine figure. Une des raisons pour lesquelles je m’attache habituellement les cheveux est que sinon je finis par les manger. Je reconnais que les avoir relâchés donne un style plus « sauvageonne » mais pendant les punitions ce n’est pas pratique du tout, surtout lorsque je fais des grands mouvements.
J’ai profité de ma pause forcée pour jeter un coup d’oeil aux autres soumis, ils étaient toujours en train de s’astiquer le manche.
— Le spectacle vous plait ?
— Oui, merci princesse.
Je suis allée prendre les télécommandes de leurs plugs. J’en ai enclenché une avant d’alterner le regard entre les deux soumis pour voir lequel était stimulé. Aucun d’eux ne réagissait. J’ai pris un air contrarié, peut-être un peu trop pour être honnête…
— Le matériel c’est comme les soumis, pas très fiable.
J’ai passé la vitesse de vibration supérieure.
— Toujours rien.
À mon sourire ils se doutaient bien que je jouais volontairement à l’idiote. C’était Simplet que j’étais en train de torturer, il avait un oeuf vibrant dans les fesses depuis le début. Un peu de plaisir « accidentel » pour rendre la punition plus supportable. J’ai passé une vitesse de plus, il a commencé à se mordre les lèvres.
Je suis allée vers lui en souriant.
— Tu ne vas pas avoir la bêtise de me dire que je me suis trompée par vrai. Une femme qui se trompe ça n’existe pas. Je ne peux pas faire d’erreur. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Non maitresse.
— Donc tu vas rester stoïque pas vrai ?
— Oui maitresse.
J’ai rigolé avant de couper les vibrations.
— Bien, fini la récréation, repassons aux choses sérieuses.
Je suis allée prendre une barre d’écartement pour la lui mettre aux chevilles. J’ai ensuite détaché sa cage avec un sourire malicieux. Je voulais lui faire croire que son sexe allait y passer lui aussi.
— Où est-ce que tu veux le prochain coup ?
— Pas sur les couilles s’il vous plait.
— Pourquoi.
— Elles sont trop faibles pour le supporter.
— Tu préfèrerais qu’elles soient au chaud dans ta cage ?
— Oui maitresse s’il vous plait remettez-moi ma cage.
— Tu peux faire beaucoup mieux. J’en suis sûre. Implore-moi comme si le sort de tes couilles en dépendait. Non attend. C’est justement le cas.
J’ai rigolé de plus belle.
— S’il vous plait maitresse épargnez mes pitoyables couilles, soyez indulgente, une déesse doit être miséricordieuse envers tout ce qui est petit et fragile.
Quand un homme en vient à montrer autant de passion lorsqu’il critique son sexe c’est qu’il a vraiment peur de la menace qui pèse sur lui. Tant mieux la suite n’en serait que plus excitante. Il comprenait désormais l’utilité de la barre d’écartement, il pouvait lutter autant qu’il voulait il n’allait pas pouvoir cesser d’exposer son sexe.
— Si je te la remets ça sera pour combien de temps ?
— 1 mois !
— C’est tout ? Elles ne doivent pas être si fragile que ça après tout. Tu n’as pas l’air motivé.
J’ai négligemment fait claquer le fouet sur le sol.
— 2 mois !
— Rien que des mots. D’ici 15 jours tu en pleureras de frustration. Tu n’as pas idée de ce que tu es en train d’abandonner.
— Peu importe, je n’aurais pas le choix que de le supporter. Laissez-moi une chance s’il vous plait.
J’ai pris un instant pour agréger toutes les données. Je lui avais déjà mis une copieuse volée de coup il était à bout, à moi de finir en beauté. Comment achever cette série ? J’ai eu une idée.
J’ai mis une main sous ma jupe et j’ai fait glisser ma culotte jusqu’à mes pieds. Les deux autres soumis venaient d’arrêter de se stimuler, probablement de peur d’aller trop loin. Savoir que nous sommes sans sous-vêtement est une fantasme très efficace pour stimuler l’imagination de ces messieurs. Je connais certaines maitresses qui en mettent deux rien pour le plaisir de faire fantasmer à tort le soumis, savoir qu’elles contrôlent la situation, qu’elles ne sont pas réellement nues sous leur jupe. Jouer avec les fantasmes est amusant.
J’ai ramassé ma culotte pour l’approcher du visage de Simplet.
— D’accord pour deux mois. Je ne veux plus rien entendre à partir de maintenant. Ouvre la bouche.
Il a obéi docilement pendant que je lui enfournais ma culotte comme un bâillon. Pour la dernière série de coup j’allais entrecouper mes salves d’un sermon, pour appuyer l’humiliation et la douleur.
— 15 coups, soit sage et je m’arrêterais là pour toute la fin de soirée, plus de coups pour toi.
Le premier coup est tombé en travers de son dos, un prélude au champ de bataille que j’allais installer sur son corps.
— C’est bien les hommes.
Le second coup a claqué sur ses fesses lui faisant faire un bond avant qu’il ne reparte en arrière à cause des attaches.
— Toujours à mentir.
Cette fois-ci j’ai entouré tout son ventre.
— À cacher l’effroyable vérité.
Par provocation j’ai fait claquer un coup sur le sol pour le faire sursauter. Le coup suivant est arrivé dans la foulée avant qu’il n’ait le temps de comprendre.
— Votre queue aussi grande que votre courage.
Même avec ma culotte dans sa bouche je pouvais entendre clairement ses gémissements, ils devenaient de plus en plus intense.
— Vous préférez obéir à votre queue plutôt que de suivre nos sages conseils.
J’ai commencé à accélérer le rythme des coups, j’allais le faire danser, sautiller d’un pied sur l’autre dans très peu de temps.
— Toujours à nous déshabiller du regard.
Je me suis acharnée sur ses fesses, le coup suivant tombant également sur elles.
— À penser que nous ne sommes que des récompenses pour votre bon plaisir.
J’ai jeté un coup d’oeil aux deux autres soumis s’astiquaient de plus belle, ils ont eu comme un doute sur le moment.
— Vous êtes grossier et vous vous prétendez supérieur à des créatures aussi parfaites que nous. Où est la logique ?
Les chaines au plafond n’arrêtaient pas de cliqueter sous ses mouvements, le fouet ça brûle vraiment, il fallait bien ça pour l’immobiliser.
— Tu es fait pour ramper, te trainer au sol jusqu’à mes pieds.
Bientôt le denier coup, 15 coups c’est très court. Je montais en puissance pour qu’il garde la sensation le plus longtemps possible, quelques marques temporaires sont un joli cadeau souvenir pour un soumis qui sort d’une soirée
— Tu vois ce que c’est le vrai pouvoir ?
J’avais pris le partis d’accompagner la montée en intensité de mes coups en haussant la voix.
— Tu vois cette impuissance lorsque tu es en face de moi ?
Il gigotait de plus belle
— Tu es un homme.
Le coup suivant est passé très près de son sexe, j’avais dit que je ne le toucherais pas mais ça me faisait envie. Tout ce que je m’interdis m’attire.
— Je suis une femme.
Pour l’avant-dernier coup j’ai hésité. Ça allait être un doublé, deux coups d’affilé sur les cuisses pour qu’il s’en souvienne à chaque fois qu’il serait assis pendant l’heure qu’il restait.
— Tu me dois obéissance et respect !
Le fouet est retombé sur le sol lourdement, comme inanimé, épuisé d’avoir effectué sa tâche. Simplet avait eu un peu le même comportement, après le concert de gémissement il était désormais calme, épuisé par l’effort, sanglotant. Je lui ai enlevé ma culotte de la bouche pour l’aider à reprendre son souffle.
— N’oublies jamais que la vraie place d’un homme c’est d’être à mes pieds
— Oui maitresse.
Je l’ai détaché, il est tombé sur le sol à mes pieds, hésitant à les embrasser. Je lui ai mis un pied sur le dos comme je l’aurais fait avec une bête conquise. Je lui ai appuyé sur les marques, tournant ma semelle pour pincer sa peau, jouant avec mon talon et les rainures laissées par le fouet.
J’ai regardé les deux autres soumis.
— Bien. Vous 2 arrêtez de vous toucher, la justice a été rendue vous n’avez plus de raison de vous satisfaire.
— Bien princesse.
— Simplet tu peux me remercier et embrasser mes chaussures.
— Merci maitresse.
Je l’ai laissé faire pendant quelques minutes.
J’étais montée haut dans les niveaux de douleur, en tout cas pour un débutant, c’était la fin de soirée je devais monter les enchères, c’était le dernier sprint.
— Bon, il nous reste encore une heure à meubler, j’ai dit que je n’allais plus de frapper et je vais tenir ma parole. Cela ne veut cependant pas dire que tu es en vacances. J’ai dit que j’allais arrêter les coups, pas que j’allais te laisser tranquille. Il y a un aspect de la soumission que j’aimerais tester. Tu vois de quoi je veux parler ?
Il a secoué la tête.
— Ah. Tu n’as pas encore retrouvé ta lucidité. Je trouve que tu ne gères pas très bien l’humiliation. Tu sais ce que nous allons faire pour y remédier ? Je vais prendre 30 minutes pour te montrer que la honte ne tue pas. Crois-moi après ça tu seras vacciné contre toutes les humiliations.
Je présentais ça comme une punition mais ça allait davantage être sa récompense pour toute la soirée, un jeu mémorable que j’allais associer à une prise de plaisir. Il était chaste depuis quelques jours il avait bien mérité quelque chose.

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La suite par ici !

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