Le témoignage de Damien : mari soumis s02e01 facesitting cuni tease and denial

Hello 🙂

Alors le temps de trouver un moment pour écrire par moi-même (je suis surchargée de boulot en ce moment) je publie quelques témoignages. Je vais profiter du week-end pour m’y remettre vous aurez ça la semaine prochaine.

C’est donc reparti pour les témoignages d’hommes soumis, et comme on ne change pas une équipe qui gagne je pioche dans les écrits de Damien (qui en avait déjà écris 3) . C’est en plusieurs parties, c’est sur la vie sexuelle dans un couple soumis.

Sa série précédente se trouve ici
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Pour ce nouveau témoignage je voudrais revenir sur un nouveau aspect de la sexualité de notre couple. Il ne faut en effet pas s’y tromper, être astreint à la cage de chasteté ne signifie pas que nous abandonnons notre vie sexuelle, bien au contraire, tout cela n’est qu’un jeu pour arriver à une autre forme de satisfaction. Il ne s’agit pas tant de m’émasculer que de me forcer à mettre mon plaisir de côté tant que madame n’est pas comblée, c’est un moyen de contrôle qu’elle a sur mon comportement comme le sont les menottes pour les mouvements ou l’interdiction de regarder la télé avant d’avoir fini ses devoirs pour un enfant. La privation de plaisir n’est qu’une conséquence collatérale pas une fin en soi.
Avant que je lui demande de me traiter comme un soumis notre vie sexuelle était très classique, à ceci près qu’elle tenait à avoir le dessus ce qui n’était pas pour me déplaire. Comme souvent il y a des plus et des moins à chaque situation, être en couple avec une dominatrice est certes difficile cependant je ne peux que concéder qu’une femme entreprenante a aussi ses avantages. Il faut avouer qu’elles sont des tigresses au lit, s’en est presque intimidant. Qu’est-ce que c’est bon d’être avec une partenaire qui montre autant d’implication. Avant elle je n’avais pas connu de femme qui s’investissait autant dans nos relations sexuelles. Quand j’entends des potes critiquer leurs copines parce qu’elles sont trop coincées et que ça gâche leur plaisir je me dis que j’ai de la chance avec la mienne.
C’est aussi un avantage à double tranchant, savoir qu’elle me fera pleurer de bonheur au lit rend la frustration d’être en cage encore plus forte, c’est une sacrée motivation à respecter ses règles. J’en viens presque à préférer les châtiments corporels, après tout même si ce sont des mauvais moments à passer ils sont relativement brefs. Lorsqu’elle met les mains sur les hanches alors que je viens de la contredire je lui propose systématiquement de consentir à une fessée pour tenter d’échapper aux mots fatidiques « x semaines supplémentaires ». À y réfléchir cela doit être l’effet recherché. Cela ne signifie pas que ses fessées sont douces bien au contraire, simplement que l’alternative est terrible, la frustration est un supplice difficilement inimaginable.
Tous mes collègues d’infortune sauront à quel point certaines situations peuvent être difficiles à vivre, lorsque notre keyholdeuse joue avec nos nerfs et que nous ne pouvons que nous approcher du piège comme un moustique qui va se faire électrocuter. Ces moments où nous savons que quelque chose va de travers mais où nous ne pouvons pas résister à l’appel du plaisir. Pour vous donner un exemple lorsqu’elle m’a posé pour la première fois ma cage de chasteté elle m’a demandé si je voulais une dernière fellation pour la route, je savais qu’il y avait un piège, elle en fait rarement elle n’aime pas ça. Quand elle a attrapé 2 élastiques pour se faire des couettes, battant des cils, jouant la jeune fille innocente, se mettant même à genoux à mes pieds. Je savais que je ne devais pas aller sur cette voie, la tentation était trop forte, j’étais trop faible. Vous voyez arriver la suite, après m’avoir fait monter proche du plaisir elle s’est arrêté, se relevant avec un sourire malicieux.
— Mains sur la tête. Reste sage, nous allons attendre qu’elle redescende avant de la mettre dans sa cage. Avec un peu de chance tu auras la fin de cet orgasme d’ici quelques semaines. La frustration ne fait que commencer, je vais t’apprendre à réclamer de la chasteté.
Elle m’a mis son index sur les lèvres.
— Si j’entends autre chose que « merci chérie » je peux t’assurer que ces semaines deviendront des mois.
Elle venait de m’interrompre en pleine montée de plaisir se comportant comme une peste, j’aurais eu toutes les raisons de la critiquer, au moins de me montrer sarcastique. Vous savez ce que j’ai dit ?
— Merci chérie.
Sans la moindre once de virilité dans la voix de peur qu’elle mette sa menace à exécution. Comme elle le dit souvent « un homme ça se tient par les couilles », je peux vous assurer qu’elle a une sacrée poigne pour tenir les miennes.
Sur le moment je pensais être au summum de la souffrance, je pensais bêtement qu’une période d’abstinence n’était rien face à un orgasme interrompu, je la sous-estimais, les semaines suivantes se sont enchainées dans ma plus grande impuissance à maitriser quoi que ce soit, chaque jour amenant son lot d’épreuves. Motivée par mon insistance à devenir chaste elle ne m’a rien épargné, elle avait décidé que pour ma première période je ne serais libéré que lorsque j’aurais compris la leçon, sans m’en dire vraiment le contenu. Elle avait mis un calendrier sur le frigo pour matérialiser le temps qu’il restait à purger dans la cage, chaque fois que je commettais un impair elle levait la main, non pas pour me frapper mais m’indiquer combien de jours supplémentaire je venais de me prendre, 1, 2, 3, 4 voire 5. Je devais rajouter des croix pour repousser l’échéance, si je contestais c’était immédiatement 5 jours de plus. Je peux vous assurer qu’elle ne m’a fait aucun cadeau, je m’en suis pris des enchainements, au bout de 6 semaines j’étais un agneau.
Pendant toute la période elle n’a pas lésiné sur les moyens, les vêtements moulants, les poses langoureuses pendant qu’elle se prélassait sur le canapé, j’ai tout eu. Elle tenait à s’assurer que la détention de ma queue soit la plus dure possible. Il faut dire que de mon côté je n’ai rien fait pour l’alléger, vous n’allez peut-être pas comprendre cet aspect mais j’ai toujours insisté pour qu’elle soit cruelle avec moi. D’une part car c’est ce qu’elle aime et je ne veux pas qu’elle réfrène son plaisir. D’autre part car plus elle est impitoyable avec moi et plus je la désire. J’ai toujours trouvé les femmes résolues magnifiques.
S’il y a bien une chose à savoir sur moi c’est que je veux son bonheur. J’ai dû lui répéter plusieurs fois que je voulais qu’elle me critique sexuellement, non pas que j’aime cette sensation de castration, je peux retourner le problème dans tous les sens il n’en reste pas moins que la critique est le seul moyen de progresser. Si elle ne me dit pas ce que je dois améliorer je ne pourrais pas le rectifier.
De son côté elle trouvait que c’était trop castrateur, qu’elle ne voulait pas me dégouter du sexe, au fond elle est bien plus gentille qu’elle veut bien le reconnaitre. Je l’ai supplié pour qu’elle ne laisse rien passer, qu’elle mette son plaisir au-dessus de tout et elle a fini par craquer. Depuis elle a fait mon éducation sexuelle « à la dure ».
J’avais certes sous-estimé la douleur que peut engendrer le fait d’avoir à présenter des excuses pour une piètre performance, c’était un jeu dangereux auquel je voulais jouer par défi. C’est une notion que les gens ont parfois du mal à comprendre, me demandant si j’ai vraiment conscience qu’il y a un déséquilibre, s’il y a vraiment de l’amour. Je m’en moque. Je veux la rendre heureuse, elle peut me faire ce qu’elle veut ça ne changera rien, elle pourrait ne pas m’aimer que ça ne ferait pas de différence. Si me mettre en pièce peut la faire jouir qu’elle le fasse. Je la vénère, à mes yeux elle mérite ce qu’il a de mieux. Il n’y a pas de « tu en fais déjà assez » je ne ferais jamais trop de choses pour son bonheur. Tous les jours quand je la vois je n’ai qu’une envie, me dévouer encore davantage pour la rendre heureuse quoi qu’il m’en coute. Je défie quiconque d’y trouver une logique, il n’y a aucune raison rationnelle à ce comportement c’est uniquement de la passion, de la dévotion. Certains dédits leur vie à un dieu moi j’ai décidé de la dédier à ma femme. Certains sont capables de se priver, de se sacrifier pour le bien être de leur enfants, moi c’est pour elle. Je n’y ai aucun intérêt personnel si ce n’est la satisfaction d’être utile, d’avoir un but. Je n’agis pas par nécessité, je ne suis pas soumis pour obtenir quelque chose, il n’y a aucune logique à vouloir faire un bilan gain sur perte, elle n’est pas un placement boursier.
Je suis heureux avec elle, j’aime qu’elle me récompense pour mon dévouement envers elle cependant ce n’est pas la condition de ma soumission, juste un bonus (et quel bonus !).
Avant elle j’avais toujours eu une vie sexuelle très classique, je n’étais pas très au courant des méthodes alternatives pour amener une femme au nirvana. J’étais un ignorant, je me considère encore comme un débutant d’ailleurs. Si un jour j’arrive à maitriser les méthodes les plus efficaces pour les mener au plaisir ce serait un accomplissement dont je serais très fier. C’est une ambition qui peut vous paraitre risible mais c’est la mienne.
Ayant été rendu impuissant par ma cage (temporairement pas définitivement) j’ai dû me focaliser sur d’autres moyens de la combler. Elle ne m’a rien épargné dans l’apprentissage, j’ai ramassé des corrections magistrales pour des erreurs d’inattention. J’ai parfois trouvé qu’elle abusait, je ne voulais surtout pas reconnaitre que je n’avais pas réussi à la satisfaire. C’est très dur de l’accepter, il est plus simple de penser que l’autre se trompe.
L’équation est pourtant plutôt simple, l’autre sait s’il a pris du plaisir ou pas. Il n’y a pas de « ça aurait dû marcher j’ai fait ce qu’il faut » qui tienne, c’est binaire « oui » ou « non » et le seule juge c’est l’autre. Dans un cas tout va bien, dans l’autre j’apprends le coût de la déception d’une femme. C’est ce que je voulais, ce que j’avais demandé, je serais mal placé pour la critiquer.
Même si vous allez me prendre pour un rétrograde je dois confesser qu’avant d’être son soumis je n’avais jamais tenté le sexe oral, j’avais un apriori négatif sur le fait de poser ma langue sur le sexe d’une femme. Elle le savait donc ça a été son premier chantier. Pour ne rien laisser au hasard elle a attendu quelques jours que je m’habitue à la cage puis elle m’a rougi les fesses préalablement, sans me dire pourquoi d’ailleurs, de façon à ce que je ne sois pas tenté de m’opposer à ses directives. Elle m’a envoyé dans la chambre, j’étais intimidé de ne pas savoir à quelle sauce j’allais être mangé. Ce n’était pas inhabituel en soi, elle tient à ce que je sois stressé quand nous faisons l’amour, elle trouve qu’être sur la défensive me coupe toute envie d’initiative et c’est ce qu’elle veut, que je sois passif. L’amour avec une femme dominante est particulier, il faut absolument être inactif tant que je n’ai pas sa permission pour agir, je dois lui démontrer que je ne représente aucun danger, je ne dois prendre aucune initiative, je suis sa proie. J’aime ça, quand elle est assise sur mon torse et qu’elle me prend de haut. Elle a jeté son top avant de venir sur le lit. Elle portait un soutient-gorge noir push-up donnant à son décolleté un aspect fier, arrogant. J’en ai d’autant plus envie que je ne peux le toucher que rarement. Comme la plupart du temps je suis en dessous et qu’elle n’aime pas que mes mains se baladent sans sa permission je ne peux jouer avec ses seins que lorsqu’elle me les mets sous le nez. C’est frustrant d’avoir autant envie de les toucher, de les avoir à quelques centimètres mais de devoir attendre qu’elle le veuille. Le moins que l’on puisse dire c’est que son corps ne m’appartient pas et elle me le fait comprendre.
Je reconnais que le corps d’une femme est une merveille qui mérite les traitements les plus doux. Je me sens coupable à chaque fois que je caresse sa peau, j’ai peur de l’abimer.
Elle avait une présence qui m’a apaisé, elle était si déterminée, si puissante. Quoi qu’il arrive je savais qu’elle avait la situation en main, je n’avais qu’à jouer ma partition sous sa direction.
Elle a enlevé son short et s’est mise sur moi. J’avais la tête entre ses cuisses, à quelques centimètres du « triangle » féminin, je trouve cette zone fascinante, elle symbolise la différence qu’il y a entre nous. Elle m’a fait embrasser l’avant de sa culotte en signe de respect. J’avais des frissons rien qu’à toucher son mont de vénus à travers le tissu.
— Chaton tu vas faire ce que je te dis. Je vais t’apprendre, te dire pas à pas ce qu’il faut faire. Je ne veux pas d’initiative, nous reprenons tout depuis le départ n’essayes pas de sauter des étapes.
J’étais encore hypnotisé par son triangle.
— Oui chérie.
— Tu n’es qu’un outil au service de mon plaisir et les objets sont faits pour être utilisé, pas pour agir tout seul, nous ne sommes pas dans un film de fantôme.
— Non. Je ne suis pas un fantôme, je t’assure que je n’ai rien d’un esprit.
Elle a rigolé. J’ai pris une inspiration, je me suis dit que ça ne serait qu’un mauvais moment à passer. Comme convenu elle allait s’amuser, pas moi. Je lui avais demandé de me traiter en mari soumis il fallait que j’assume le rôle.
Pour être honnête C’est facile de dire que l’on veut faire passer le plaisir de l’autre avant le sien lorsque nous sommes loin du passage à l’acte, le faire est autrement plus intimidant. À nous écouter nous sommes tous des modèles de générosité, d’altruisme d’héroïsme. Lorsqu’il faut en venir aux actes les solutions sont bien moins évidentes.
Elle a retiré sa culotte, j’ai embrassé tendrement son mont de Vénus. D’abord en effleurant à peine sa peau puis, après quelques minutes, en la plissant entre mes lèvres. J’avais révisé mes leçons en cherchant sur le net. Voir son corps réagir à mes caresses était très excitant, elle haletait et alternait les phases de contraction et de relâchement. J’avais une partie de moi qui voulais l’accompagner sur le chemin du plaisir, ce n’était pourtant pas mon rôle, je devais rester concentrer sur elle. Ressentir du plaisir nous rend moins efficace et c’est pour cela qu’elle m’avait astreint au port de la cage de discipline, celle avec des pointes, celle qui réprime douloureusement tout laisser-aller. Au début il est difficile de se contrôler alors que notre partenaire gémi, comme tout échec se traduit par une douleur très vive vous apprenez très vite à vous concentrer uniquement sur votre tâche.
Pour l’instant je n’embrassais que le pourtour de la zone cible, notamment ses cuisses en partant de l’extérieur pour créer un gradient pointant vers son sexe. Je redoutais le contact son entrejambe. En temps normal cette petite zone rose qui s’humidifie est une invitation à la pénétration, un signe très excitant. Pour moi qui n’avais jamais eu l’occasion d’y goutter c’était davantage la peur de l’inconnu. En même temps avoir son sexe au-dessus de mon visage était très excitant. Je pouvais voir son clitoris de près, c’était en quelque sorte ma cible du jour.
Elle a avancé son bassin, fini les préliminaires je devais passer dans le vif du sujet.
— Prêt ?
Je me suis ressaisi, lécher se liquide ne me faisait pas envie mais ça lui ferait du bien je devais passer outre, je le devais pour elle.
— Oui
Elle a dit ce qu’il fallait pour éliminer toute démotivation de ma part.
— Tu recules je te démonte. Tend la langue.
Ce n’était pas à moi de me déplacer, en étant au-dessus elle gardait le contrôle de la situation, c’est elle qui décidait les zones auxquelles j’avais accès.
— Pour le premier contact donne un grand coup de langue, racle bien la totalité du la surface. La langue bien à plat ou tes fesses expérimenterons une nouvelle nuance de rouge cramoisi.
C’était mieux comme ça, un grand saut dans le vide plutôt que de stagner sur le bord. J’ai fait ce qu’elle m’avait dit et contrairement à ce que je redoutais ce n’a pas été désagréable. J’ai eu l’air un peu idiot en me rendant compte que même si son plaisir était prioritaire ce n’était pas si déplaisant pour moi. Nous avons parfois des aprioris négatifs sans vraies raisons. Pour avoir fait des recherches par la suite j’ai découvert que il y a tout un système « d’incitation » naturel, un peu comme des phéromones. C’est vrai que le sexe ne doit rien avoir de répulsif si l’on veut perpétuer l’espèce. Désormais c’est presque une addiction, j’essaye d’être le plus parfait possible pour la faire mouiller, c’est un renversement total de situation.
J’ai continué d’explorer de la langue les moindres replis extérieurs de son sexe pour être sûr de ne laisser aucune zone sous-stimulée. Sous ses directives, j’ai écarté ses lèvres pour aller plus profondément en elle, collant littéralement mon visage contre son sexe. Elle m’a guidé pour me positionner comme il fallait. J’ai appris par la suite que l’anatomie féminine n’est pas fixe, il n’y a pas de point G a un endroit donné mais un centre nerveux quelque part, il n’est pas au même endroit pour toutes les femmes. Vous ne pouvez pas faire une carte « les points sensibles » valable pour toutes les femmes, il y en a forcément mais pas aux mêmes endroits d’une à l’autre. La seule personne à pouvoir vous aider à le trouver est votre partenaire, en se mettant au-dessus elle gardait assez de liberté pour ajuster mes stimulations.
Comme elle était sur moi je ne pouvais pas voir ce que je faisais, je naviguais uniquement au toucher. C’est curieux d’explorer son partenaire de cette façon, de découvrir son corps dans ses moindres recoins. Vous prenez des points de repères mentalement. Les creux, les zones plates. Parfois vous touchez un endroit et vous entendez un gémissement plus prononcé. Je ressentais les contractions de son corps du bout de la langue et sur le visage du fait qu’il soit collé entre ses cuisses. De part ses gémissements je l’imaginais la tête en arrière la bouche ouverte. Comme j’étais empêché d’y prendre du plaisir j’ai pu me concentrer pour me synchroniser avec elle, j’appuyais plus fortement quand elle se relâchait et inversement l’interrompais mes stimulations quand elle montait trop pour la laisser reprendre son souffle. Il y avait une forme de complicité entre nous, ce n’était pas si égoïste, nous étions à deux pour arriver à un but commun.
Il y a une forme de gratification à déclencher un orgasme, cela fait plaisir d’arriver au résultat, ça me fait devenir perfectionniste, c’est un défi sans cesse renouvelé.
J’ai toujours trouvé les orgasmes féminins fascinants, j’ai un peu l’impression qu’ils sont douloureux, cette façon de soupirer, de pleurer, comme une sorte de décharge électrique qui transpercerait leur corps. En tout cas j’ai la conviction qu’ils sont différents des nôtres.
Elle s’est allongé sur le côté pour reprendre son souffle, visiblement elle était très bien. De mon côté j’allais devoir m’endormir sans avoir eu d’orgasme, une situation assez étrange. Je pris conscience du problème, de ce que ressente les femmes qui font parfois l’amour sans atteindre le sommet. En quelque sorte j’avais comme une sensation de manque. Une sorte de douleur entre mes jambes.
Je n’étais pas bête au point de lui demander un orgasme mais je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander ce qu’elle avait pensé de ma prestation. Elle a grogné, elle voulait savourer le moment après l’orgasme et je la déconcentrais.
— J’allais dire perfectible mais pas mal pour une première, 2 jours de malus, mais vu que tu me cherches ça sera 1 semaine.
J’ai eu l’impression de me prendre un coup de poing entre les jambes. Je pensais avoir été castré par la privation de plaisir, j’ai compris ce qu’elle voulait dire par douleur de la vérité. J’étais pourtant fier de moi, c’était ma première fois, j’ai été vexé que mes « mérites » ne soient pas reconnus. Je suis compliqué, je veux qu’elle soit honnête et en même temps je suis blessé quand elle l’est. Je veux tout et son contraire. S’il y a bien une chose dont je suis certain c’est que je suis masochiste.
Je lui en ai voulu sur le moment puis j’ai compris l’intérêt. Après des jours de pratique lorsqu’elle m’a réellement complimenté je me suis senti bien, je savais qu’elle ne mentait pas pour me ménager.
J’ai pris sur mon égo pour m’améliorer et désormais ce que je redoutais avant de l’essayer est devenu la forme la plus fréquente d’orgasme pour elle. Environ 2 à 3 fois par semaine j’y passe. Parfois elle se laisse même aller à me laisser guider, elle se met sur le dos et me donne les commandes. C’est très gratifiant.

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La suite ici.

Le témoignage de Damien : mari soumis s02e02 lavement

Hello 🙂
Un peu de lecture pour votre week-end 😀 Toujours un témoignage je prépare intensivement ma propre production ^_^

Les parties précédentes sont ici
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La vie sexuelle de notre couple ne se résume bien sûr pas uniquement aux facesitting, nous avons bien d’autres façons de nous amuser. Mon intention est de traiter les pratiques par ordre de « difficulté » émotionnelle.
Sur le second pallier nous trouvons une pratique assez particulière. Au départ, lorsque nous avons déterminé les conditions de ma soumission, je lui avais dit que j’aimerais qu’elle porte la ceinture dans le couple, elle m’avait répondu avec un sourire espiègle :
— Ne t’inquiètes pas, la ceinture, je vais la porter.
Même si je n’avais pas compris la signification de cette phrase sur le moment j’avais cependant l’intuition qu’il y avait un sens caché. Pour être honnête j’étais plus probablement en train de me mentir pour ne pas avoir à affronter cette idée. Après la cage de chasteté, le facesitting vous avez compris que je vais vous parler de la sodomie et des gode-ceintures.
Ce sont des pratiques assez intimidantes qui me font instantanément me sentir dociles. J’y ressens une certaine honte, c’est un peu la « dernière frontière », pour moi, même être forcé à faire des fellations à un gode n’est pas aussi intime.
Après mon entrainement de base, quand elle m’a annoncé que désormais elle allait m’apprendre tout le volet anal j’ai eu une réaction de dégonflé, probablement la pire réaction à avoir devant une femme dominante.
— Non, pas la sodomie s’il te plait.
Elle s’est approchée, envahissant mon espace.
— Attend, tu viens de dire quoi ? Il n’y a qu’une seule phrase qui peut te sauver tu ferais bien de la dire en vitesse.
Je déteste ces moments, lorsque je me rends compte que je viens de lui forcer la main et qu’elle est obligée d’aller encore plus loin pour me mater et me montrer qui commande. Non pas que je lui en veuille, c’est le jeu de rôle qui l’impose, c’est moi que je déteste pour avoir été inattentif. C’est une question de cohérence, je veux être soumis donc je dois lui obéir et pas uniquement lorsque ça me fait plaisir. La notion de contrainte est une partie fondamentale de mon plaisir, je dois sentir le poids de sa divine autorité, je dois éprouver ma détermination en pliant sous son joug et en faisant machine arrière. Ce que je veux n’a aucune importance.
À vrai dire même si parfois c’est involontaire cela m’amuse aussi de lui tenir tête pour qu’elle passe en mode « stricte », c’est jouissif de me faire remettre à ma place. J’aime faire des bêtises je ne peux pas m’en empêcher et cette situation l’amuse également. Ne la prenez pas pour autant pour une malade, bien qu’elle s’amuse d’avoir une proie qui se débat elle n’est pas folle, la règle est simple, soit je dis le safeword soit elle me force la main, ce sont les règles du jeu telles que nous les avons définies.
J’aime être son soumis et je ne veux pas dire le mot qui me ferait redevenir un homme normal, j’ai trop goutté à l’adrénaline que procure le BDSM pour m’en passer. Le safeword brise le jeu, il n’est pas censé être à usage unique mais l’utiliser c’est avoir du pouvoir sur elle et ça je ne le veux pas. Si je l’utilise ne serais-ce qu’une seule fois je n’imagine pas être capable de revenir dans le rôle, j’ai peur de tout le temps y repenser. Surtout qu’elle reste très superficielle avec moi dans l’intensité des jeux ce ne sont pas de vrais épreuves. Je sais que certains soumis aiment être poussés à bout jusqu’à devoir abandonner et prouver leur lâcheté en utilisant le safeword, ce n’est pas mon cas. Nous avons convenu qu’elle serait très progressive et modérée, je n’ai aucune raison de l’utiliser. À partir du moment où les limites sont claires il n’y a pas de risques de les dépasser.
Je dois concéder que dans des moments pareils je suis quand même heureux de savoir que ce « parachute » existe. Pour faire simple je lui avais dit « non », la lutte pour le pouvoir venait de s’enclencher et je ne pense pas avoir jamais gagné contre elle à ce jeu.
Elle venait de me dire qu’elle attendait une phrase particulière, la seule qui pourrait me tirer d’affaire, elle faisait référence à une reddition totale et instantanée. Lorsque vous vivez au quotidien avec votre dominante il est impossible d’avoir une attention de tous les instants et d’éviter une phrase de travers, il est bien plus prudent de prévoir des mécanismes de sortie. Si je m’aplatissais devant elle alors j’éviterais une trop grosse sanction. Inversement en refusant je pouvais lui faire comprendre que je voulais jouer. Je ne suis pas du genre de soumis à demander une fessée, je prends davantage de plaisir « à la mériter » même si c’est parfois artificiel. C’est une ambiance dont j’ai besoin.
Cette situation m’avait mise dans un état mental particulier, d’un côté je craignais la sanction, tenter d’usurper le trône étant au sommet de la hiérarchie des crimes, d’un autre j’avais du mal avec l’alternative, présenter des excuses est douloureux, surement à cause de ma sale fierté masculine. C’est une sensation étrange que de confesser un moment de faiblesse sachant qu’elle n’hésitera pas à l’exploiter cruellement. En même temps une fois les armes déposées je me sens protégé, c’est comme un serment d’allégeance, comme du temps de la chevalerie, « je m’engage à te servir et tu me protèges en retour ». Reste à définir ce qu’est cette protection. Je sais que je ne suis pas tout seul dans la vie, peu importe les problèmes « dans le monde extérieur » j’aurais toujours une place disponible à ses pieds tant que je n’essaye pas de fomenter un coup d’État. Elle me protège de mes travers, me donne un but dans la vie. J’ai du mal à mettre des mots sur cet aspect, je sais qu’elle est indispensable à mon équilibre sans savoir exactement comment. L’échange de pouvoir n’est pas à sens unique, c’est pour notre bénéfice mutuel même si les apparences disent le contraire.
— C’était un lapsus, mon corps t’appartient tu peux mettre ce que tu veux dans chacun de mes orifices.
— Et je ne vais pas m’en priver.
Ensuite elle m’a puni de la pire manière qu’il soit, en ne faisant rien, j’ai dû attendre pendant des jours qu’elle mette en pratique ce qu’elle m’avait annoncé. Vous avez idée du niveau du supplice qu’il y a à rentrer le soir en se sachant pas ce qui va m’arriver ? Le pire étant que je savais qu’elle attendrait que je baisse ma garde pour exercer son courroux.
Il faut bien vous mettre dans ma tête, je suis quelqu’un de classique sur le point de vue sexuel et j’allais me retrouver dans la situation de me faire sodomiser par ma femme. Pour moi lui obéir, porter une cage de chasteté et les autres marques de soumission ne remettait pas en cause mon statut d’homme. J’étais un homme inférieur à une femme mais un homme tout de même. Se retrouver avec le sexe en cage ne le détruit pas. À la limite même me faire pénétrer par un gode est une punition pas une remise en cause de ce que je suis. Par contre me faire prendre par un gode-ceinture était pour moi l’humiliation ultime. Je n’allais pas devoir faire toute les basses corvées, je n’allais pas être privé de plaisir, j’allais être « la femme » pendant l’acte. C’est toute ma conception de la sexualité qui était remise en cause, mon identité. Je n’avais pas idée de ce qui m’attendait « de l’autre côté ». Est-ce que j’allais aimer ? Est-ce que ça allait être horrible ? Qui je serais après ça ?
En même temps ces pratiques me fascinent depuis que j’en avais connaissance. Avant d’être soumis j’étais déjà en contact avec le monde BDSM via Candice qui m’en parlait. J’ai passé un temps pas possible à me repasser certaines images en tête, c’était de l’obsession. Une « femme phallique », c’est un concept tellement intimidant.
J’ai été fébrile pendant des jours, regrettant cette phrase de trop, si j’avais été moins aventureux mon initiation aurait eu lieu sur le moment et j’aurais eu une réponse à mes questions. Il avait fallu que je lui conteste le pouvoir, quel idiot j’avais été. L’attente a été une vraie torture, une leçon aussi douloureuse que nécessaire vu mon comportement, je ne critique pas sa décision.
Je me rassurais en me disant que j’avais aussi eu des aprioris négatifs sur le facesitting et pourtant j’avais aimé ça. Je devais faire confiance à Candice pour faire ce qui était bon pour nous. Elle avait raison de nous faire essayer de nouvelles pratiques, j’ai toujours eu du mal à sortir de la routine, à tenter de nouvelles choses, nous nous complétons bien sur cet aspect. Au pire je ne risquais rien, je n’aimerais pas ça et nous passerions à autre chose. À ne rien essayer de nouveau on passe à côté de bonnes idées. Des fois ça marche moins, par exemple la féminisation n’a pas bien pris avec moi, je n’ai pas eu besoin de le lui dire, bien au contraire j’étais méticuleux pour ne pas lui forcer la main. Elle l’a senti et a pris la décision adéquate, nous sommes passé à autre chose. J’ai confiance en son jugement, c’est ça la soumission. C’est justement parce que j’ai des réticences à essayer qu’elle doit m’y amener
Puis le soir tant redouté est arrivé, elle a remis l’idée sur le tapis. J’avais pensé à ce moment des dizaines, non, des centaines de fois. Comment elle allait gérer la situation ? Parfois j’essaye d’imaginer ce qui se passe dans sa tête. J’ai une angoisse à prendre des décisions nouvelles, j’ai peur de faire des erreurs. J’ai un très grand respect de cette capacité qu’elle a de prendre ses responsabilités.
Sentant mon hésitation sur le sujet elle a jugé opportun d’être très stricte, de m’imposer un cadre ferme pour ne pas me laisser de marge de manœuvre. Dans le rôle d’une sorte de sergent-instructeur elle m’a appelé sèchement comme on appellerait un chien. J’ai sursauté et me suis jeté au sol, bien conditionné à réagir à des ordres secs donnés en poussant la voix. Rien de superflu, juste un ordre à exécuter sans réfléchir. Je pensais trop à ce moment alors elle me mettait dans le rôle d’un soldat qui doit arrêter de penser. Un moyen de calmer mon angoisse. Obéir aveuglement à ses ordres est une position apaisante et moins difficile qu’il n’y parait.
— Ici !
Elle avait sa cravache à la main, j’ai tremblé. C’est un instrument qu’elle affectionne tout particulièrement et pourtant ne l’utilises pas souvent avec moi, la douleur est très vive et je la supporte mal. C’est un sacrifice qu’elle fait en général pour mon confort. En effet être soumis ne signifie pas pour autant avoir le monopole des concessions. On ne parle pas souvent des sacrifices fait par les dominas pourtant bien présents, elles n’aiment pas en parler et les soumis ne s’en rendant pas tout le temps compte.
Quoi qu’il en était la cravache était de sortie ce qui signifiait que je devais me tenir particulièrement à carreau. Comme je peux lui faire sentir quand j’aimerais qu’elle devienne plus stricte elle peut me faire sentir qu’il ne faut pas que je déconne.
— Dans la salle de bain !
L’ordre a été accompagné d’une tape à la cravache sur les flancs, pas un vrai coup, suffisamment pour que je le sente et que détale comme le trouillard que je suis. Elle m’a rejoint calmement, gardant ses escarpins aux pieds pour que j’entende ses pas résonner dans le couloir, à contre-temps elle tapait sa cravache dans sa main. Après plusieurs jours à angoisser pour avoir dit un mot de travers et sous la menace d’une cravache j’étais fermement décidé à obéir sans sourciller.
— La tête sur le sol, les mains sur la nuque et le cul en l’air !
Simultanément mes fesses venaient de se prendre un coup de cravache bien plus sévère que la tape précédente, elle me montrait qu’elle ne tolérerait plus aucune désobéissance. C’était la fermenté dont j’avais besoin.
— Ecartes les cuisses !
Encore une fois la cravache est venue préventivement me frapper. Les 2 carrés brulants créés sur ma peau me démangeaient. Si je n’avais pas eu peur d’un déluge ardent en représailles je les aurais bien frottés. C’est toujours dans ces situations, lorsque vous ne pouvez pas bouger, que vous avez « le nez qui démange ». J’ai entendu des bruits derrière moi, je n’osais pas tourner la tête pour regarder, je pesais le pour et le contre à chaque instant « est-ce que ce mouvement vaut son cout en cravache ? ».
Elle a mis une de ses mains dans le creux de mes reins pour me faire cambrer puis j’ai senti une canule me rentrer dans les fesses, sans avertissement. Elle s’est relevé, toujours sans un mot, elle n’avait pas besoin de m’expliquer la situation, je subissais un lavement et tout mouvement serait sanctionné, c’est tout ce que j’avais besoin de savoir. C’était mon premier, une sensation vraiment étrange, presque indolore au début s’en était même agréable. Sentir ce liquide chaud couler en soi n’était pas si terrible. Après quelques minutes elle m’a retiré la canule et m’a dis de rester en place. Nous avons attendu en silence. Rapidement les « bulles » ont commencés à apparaitre, des bruits dans mon ventre, la pression était en train de monter mon corps voulait expulser ce trop plein. J’avais des crampes terribles dans l’estomac, je luttais contre un ennemi intérieur, pire je luttais contre moi-même. Mon corps était idiot, il ne voulait pas comprendre qu’il devait tolérer ce liquide et se plier à cette épreuve. Rien ne devait sortir tant que la permission n’était pas donnée. Céder n’était pas une possibilité, mon corps ne faisait rien pour me faciliter la tâche, il ne pensait pas aux conséquences.
Elle m’a dit de me relever, j’ai senti le liquide se déplacer en moi. Elle a gloussé avant de me dire de sautiller sur place. J’ai commencé timidement, le liquide montait et descendait avec un temps de retard, de l’inertie. La pression anale augmentait d’autant, je ne savais pas combien de temps j’allais pouvoir tenir à ce rythme. Une sensation aussi étrange que désagréable
Après quelques mouvements elle m’a fait remettre en position. Je l’ai remercié, je craignais que la suite soit pire, j’avais raison.
Par moment la tension redescendait, c’était agréable, à d’autre la pression sur mon sphincter était terrible, j’avais envie de lâcher. Sans m’en rendre compte je gémissais de plus en plus fort au mépris des règles du jeu. Elles étaient pourtant simples, n’avoir aucun comportement qui ne m’ait pas été dicté. J’aurais dû savoir que je m’exposais à des conséquences très déplaisantes à ne pas les respecter. Comme toujours dans ces moments je m’en suis rendu compte trop tard.
— Alors comme ça tu veux gémir sans permission ? Nous allons devoir remédier à ce problème.
J’ai essayé d’étouffer un « Oh Non », elle s’est figée.
— Qu’est-ce que tu viens de dire ?
J’ai répondu sous la panique.
— Je viens de dire « pardon ».
Je croisais les doigts pour qu’elle accepte ce mensonge. Elle s’est mise au-dessus de moi.
— Tu sais ce qui va t’arriver ?
— Je vais être traité comme je le mérite. À la manière forte. Merci.
— A la chercher comme ça je suppose que tu l’aimes beaucoup. Soit, comme tu préfères.
J’étais obligé de réclamer un durcissement de ma condition, qu’aurais-je pu faire d’autre ? Lui tenir tête et qu’elle m’apprenne qui commande ? Si je voulais que tout ce passe bien je devais respecter les règles et accepter la punition.
— Ecartes les fesses !
Je les ai tirées lentement, contractant mon sphincter pour ne pas lâcher. La position était encore plus désagréable que la précédente c’était peu dire.
— Alors comme ça cet orifice ne m’est pas accessible
— Si chérie, totalement. Tu peux lui faire ce que tu veux.
— Ce n’est pas ce que tu m’as dit l’autre jour.
— Je me trompais, j’étais stupide j’en ai pris conscience.
— Ce n’est pas grave tu sais. Je n’ai rien contre les portes fermées. Je prends beaucoup de plaisir à les défoncer.
Soudain j’ai senti mon anus me bruler, je venais de me prendre un coup de cravache dessus, un vrai coup. Sous l’effet de la surprise tout mon corps s’est crispé. Déjà qu’en temps normal j’ai du mal avec la cravache alors la recevoir sur un endroit où la peau est si sensible allait m’apprendre la leçon pour longtemps. Quel idiot j’avais été, dire « non » à ma dominante, je méritais mon traitement.
Etre forcé de garder mon sphincter contracté ne faisait qu’amplifier la douleur cependant j’ai tenu bon de ce côté, par contre les larmes se sont mises à couler sur mon visage, le prix de l’émotion. Comme si cela ne suffisait pas je me suis pris un deuxième coup dans la foulée, à ce rythme j’allais tout relâcher sur le sol de la salle de bain. Je me voyais déjà être obligé de tout nettoyer. Il aurait été si simple de refermer mes fesses, désobéir une fois de plus quelle idée stupide ! Je ne gagnerais jamais à résister.
— Refuser la sodomie, c’est encore ta virilité qui te fait dire des âneries.
La cravache est descendue de quelques centimètres pour aller titiller ma cage. Ma queue était toute dure du fait de la tension dans le bassin. Candice était très sévère, elle m’apprenait la leçon comme il fallait, j’allais passer des semaines à être docile et cette pensée m’excitait au plus haut point.
— Il est temps de prendre le problème à la source.
Je n’ai pas eu le temps de répondre que déjà un coup était tombé sur mes bourses. C’était presque un soulagement, la douleur était certes présente mais ailleurs. Le répit n’a été que de courte durée, rapidement elle est repassée sur mon anus. À chaque coup je pensais être au plus bas dans la capacité à lâcher du terrain, j’étais prêt à toutes les concessions puis un autre tombait et je trouvais la force d’aller encore plus bas. Sa méthode de négociation a toujours été redoutable. J’adore me sentir fondre petit à petit. À chaque coup la douleur était plus vive avant de diffuser dans toute la zone. Je sentais la chaleur persister davantage à chaque impact et c’était excitant. Si le coup en lui-même était douloureux la chaleur résultante était tellement stimulante.
— Un dernier coup pour la route et tu pourras aller aux toilettes.
— Merci chérie !
Elle a pris son temps pour viser, je savais que ce coup allait être plus dur que les autres et je me préparais en me contractant, c’était mes dernières forces. J’avais fait le plus dur je ne devais pas céder maintenant. Je la connaissais bien, le coup a en effet était sévère. C’est le cul en feu que j’ai détalé vers les toilettes, les derniers mètres ont été les plus durs.
C’était une forme de plaisir qui m’était encore inconnue, aussi primitive que puissante, pourtant je n’ai pas d’envies ou de fantasmes scato, trop étrange pour que je dise sur le moment si je l’aimais au point de la revivre à intervalle régulier. Sentir la pression se relâcher et filer à travers mon sphincter encore chauffé et endolori par la cravache était un tel moment de soulagement que j’en avais des larmes de bonheur sur le visage.
En apparence elle était méchante avec moi mais c’était ce que voulais ressentir, ne la prenez pas pour une mauvaise personne, ce qu’elle me faisait subir était nécessaire à mon plaisir. Plus elle me traite durement plus je prends du plaisir ensuite, il y a un rapport de proportionnalité. Jouer avec elle est une épreuve mais j’aime ça, si ce n’était pas le cas le safeword serait là pour me sauver la mise.

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