Week-end avec 3 soumis juin 2014 #37 : on enchaine les gifles

Re-bonjour 🙂

J’ai envoyé à la suite deux posts donc faites attention de les lire dans le bon ordre (le précédent est par ici). J’ai hésité à vous poster cette partie, je ne fais que répéter ce que j’ai fait dans la précédente mais comme elle était déjà écrite autant que je l’envoie.

Ce dernier jeu m’avait mis dans une situation très inconfortable, sans que je m’y attende mon plaisir était monté au point de presque me faire perdre la tête et j’étais plutôt hésitante à le répéter avec les deux autres soumis comme je l’avais prévu. La sagesse aurait voulu que je passe à autre chose pour me changer les idées et pourtant il était si tentant de recommencer encore et encore.
Alors ? Sagesse ou plaisir ? Qui allait l’emporter ?
Question idiote, la sagesse n’a pas eu l’ombre d’une chance !
C’est débordante d’énergie que j’ai posé un pied sur le parpaing où je venais d’écraser la virilité de Chétif, les mains sur les hanches et le regard hautain je faisais la fière comme jamais. Après tout j’étais sortie victorieuse de la confrontation.
Avec un hochement de tête j’ai dit :
— Le traitement intéresse quelqu’un d’autre ? Qui va être la prochaine paire de couilles à y passer ?
Dans une réaction lamentable digne des froussards qu’ils étaient ils ont baissé la tête pour éviter de répondre. J’attends d’un soumis qu’il se tienne prêt à subir les pires outrages sans jamais fuir le danger et non pas qu’il me force à le trainer pour avancer. Ce genre d’attitude fuyante m’incite toujours à y aller plus fort pour les broyer comme ils le méritent. Ce que j’allais faire au sens littéral d’ailleurs.
J’ai repris.
— Les garçons je crois que vous m’avez mal comprise. Je ne vous demandais pas votre avis. Je veux une autre paire de couilles sous mes semelles ou vous allez prendre encore plus cher !
J’avoue que j’avais du mal à imaginer ce qui aurait pu être pire que de se faire écraser le sexe sans aucune pitié tout en se ramassant des gifles et en remerciant pour ce traitement. Ce n’était pas un vrai problème, j’aurais pu trouver l’inspiration s’il avait fallu, j’ai de la ressource.
J’ai tapé du pied sur le sol.
—Tout de suite !
Lorsque je fais sembler de piquer une colère comme une gamine capricieuse j’ai toujours du mal à me retenir de partir en fou-rire. J’ai presque failli rajouter « sinon j’arrête de respirer » en me gonflant les joues comme un hamster mais je ne l’ai pas fait, le cliché aurait été un peu gros. Il m’arrive parfois de forcer le trait à ce point mais c’est davantage pour inciter ma victime à se montrer trop familière et pouvoir le lui reprocher ensuite.
Je n’ai pas eu à déployer ce genre de stratagème puisque Chouchou a craqué face à ma sommation et s’est avancé vers le lieu de l’exécution. Sans un mot ni un regard il a posé sa queue sur l’échafaud comme une bonne petite victime consentante.
Avec un air satisfait j’ai dit.
— Enfin quelqu’un de raisonnable.
Pensant immédiatement « ça c’est sûr que ce n’est pas toi qui vas les rattraper sur ce point ».
Chouchou a répondu :
— Si maitresse veut m’émasculer elle en a le droit. Ma place est de toute façon sous vos pieds.
J’ai ricané.
— Pour que je puisse t’émasculer il faudrait d’abord que tu aies ce qu’il faut pour être considéré comme un homme.
Le piège était gros, s’il avait stupidement répondu « j’ai ce qu’il faut » je l’aurais traité plus durement mais il n’était pas bête à ce point, il a préféré reconnaitre qu’il était un sous-homme ce que j’ai trouvé très divertissant.
J’étais si impatiente de le frapper que j’en trépignais sur place. Il faut dire que la scène était très alléchante, une paire de couilles offerte sur un plateau, prête à être pulvérisée sans retenue. Qu’est-ce qu’une dominatrice pourrait demander de plus ?
Petite rectification, il y avait une ombre au tableau, vous allez dire que je pinaille mais le Chiot s’était décontracté en poussant un soupir de soulagement en voyant que ce n’était pas son tour. C’était inacceptable ! Je l’ai regardé froidement pour lui faire comprendre que je l’avais pris en flagrant délit.
— Tu te crois tiré d’affaire ?
Il a bégayé une réponse :
— Euh, non maitresse. Je ne crois pas.
Ma réponse a fusé.
Au moins tu as compris que tu dois répondre le contraire de ce que tu penses ! Pitoyable ! Tu t’es mis dans une très mauvaise situation tu n’as pas idée. Passer le dernier est toujours pire. Sais-tu pourquoi ?
— Non maitresse. Parce que vous vous serez échauffée ?
— Non. Parce que lorsque j’exige quelque chose en claquant des doigts j’estime normal d’être servie instantanément. Et comme je suis juste je récompense les bons comportements pas les mauvais. C’est comme au restaurant, je laisse un meilleur pourboire aux serveurs efficaces. Là c’est pareil, le soumis qui est volontaire est récompensé et celui qui passe le dernier se ramasse une punition à la hauteur de sa médiocrité. Lorsque l’on a la chance de pouvoir me servir on ne doit pas manquer de motivation tu devrais le savoir. Tu aurais dû te battre pour passer avant Chouchou ! Tu ne l’as pas fait donc tu assumes. Tu auras une double dose c’est automatique point final. Ça te motivera peut-être à être plus rapide la prochaine fois.
Il n’a pas su quoi répondre, après tout il était en tort. Même en étant de mauvaise foi il ne pouvait que reconnaitre qu’il avait été un soumis indigne de sa place. Il aurait dû se précipiter pour me servir et non pas être soulagé que quelqu’un se dévoue à sa place.
Son silence m’a donné une occasion d’en remettre une couche. Je me suis approchée de lui avec un regard noir.
— Tu n’as pas oublié de me dire « merci » ? Tu ne trouves pas la sanction juste et appropriée ?
Je tiens tout particulièrement à ce que mes soumis me remercient à chaque fois que je fais quelque chose. C’est une preuve de respect à laquelle je suis attentive et ils l’apprennent souvent à leurs dépens. Au pied du mur il a dit la seule chose qui pouvait limiter les dégâts.
— Pardon maitresse. Je suis très ingrat dans mon attitude je le reconnais. Merci de me donner une double dose pour m’apprendre à être plus rapide à l’avenir.
Le truc bien avec des soumis qui ont le sexe en liberté c’est qu’il peut servir de baromètre. Lorsqu’il arrête de pointer vers le sol et qu’il grossit c’est le signe qu’il faut persister dans cette voie. C’était le cas.
Je suis restée sceptique sur son changement d’attitude.
— Tu parles, je vois clair dans ton jeu. Je vais te mater comme les autres. Si tu crois que tu es spécial tu te trompes, tu n’es pas le premier à jouer au con avec moi et pour l’instant j’ai toujours gagné. T’as de la chance que je n’ai pas pris des chaussures avec crampons. Ça t’aurait fait un bien fou. J’y penserais la prochaine fois. Enfin, pour le prochain soumis. Pour toi il sera un peu tard, la « prochaine fois » il ne restera plus rien à massacrer…
Je n’ai jamais piétiné la queue d’un homme avec des crampons, je pense qu’au-delà de la douleur ça doit être dangereux, et puis c’est tellement moins sexy qu’avec des escarpins que je n’ai même pas envie d’essayer. Mon intention était surtout de le faire angoisser pendant la mise au supplice de Chouchou de façon à ce qu’il soit à point lorsque son tour viendrait. Pour la forme je lui ai fait prendre une position douloureuse. Je voulais qu’il trouve le temps long.
— Mets-toi à 4 pattes. Sur les coudes et les genoux. Les mains derrière la tête et les pieds touchant les fesses.
Comme il avait du mal à replier les jambes je l’ai aidé.
— Voilà. Après 15 minutes comme ça tu devrais avoir appris la politesse.
J’ai légèrement appuyé du pied sur son dos pour être sûre qu’il ait compris le message.
— Tu sens la leçon qui rentre ?
Il tremblait déjà, visiblement il ne connaissait pas ce supplice, encore une première.
Oui maitresse. Merci.
— Tu vois ton attitude s’améliore déjà. Tu deviens poli.
Je trouve que les mises au coin et les positions douloureuses sont sous-estimées dans l’éducation des soumis. Elles sont pourtant très efficaces. C’est comme les lignes à copier et à faire signer. Ce sont de vraies punitions testant les soumis sur leur point le plus faible, la volonté. Bref.
Je l’ai laissé en plan pour revenir sur Chouchou. Il n’avait rien perdu du spectacle et regardait avec attention mes escarpins, je devrais plutôt dire qu’il les dévorait du regard. Avec lui je finis souvent les sessions par une permission d’éjaculation sous la pression de mes semelles, il n’en était pas encore question bien entendu. Après des semaines de chasteté forcée il devait pourtant en être obsédé.
J’ai claqué des doigts pour récupérer son attention.
— Content de passer après que le Chiot m’ait mise en colère ?
Cachant mal sa contrariété il a répondu :
— La seule raison d’être de ma queue est de servir de dévouloir pour les femmes, maitresse. Je suis heureux qu’elle puisse vous aider à reprendre le sourire.
Encore un peu agacée par l’attitude du Chiot j’ai répondu.
— Alors pourquoi tu fais la tête ? Tu devrais être content que ta queue serve pour ce à quoi elle est destinée. Est-ce que moi je fais la gueule ? Non ! je suis heureuse d’être à ma place tu devrais l’être aussi.
Facile à dire pour moi. Malgré l’ironie de ma réponse il s’est forcé à sourire. Il ne voulait surtout pas faire de vagues qui auraient pu justifier que je le renvoie contre le mur sans avoir subi le piétinement. Pas besoin de chercher bien loin, si vous voulez faire pleurer de désespoir un fétichiste des escarpins privez le d’un broyage de son sexe sous vos semelles. Il savait que j’en avais conscience et que je n’aurais pas hésité une seconde à le punir de la sorte.
Il a répondu.
— Comme toujours vous avez raison, maitresse. Je ne suis pas assez reconnaissant de tout le bien que vous me faites.
J’ai repris mon cérémonial. J’ai d’ailleurs pu constater à quel point son excitation était forte lorsqu’il a été nécessaire d’augmenter la pression pour compenser son érection. J’ai même dû aller jusqu’à mettre mes deux pieds l’un sur l’autre pour que tout le poids de mon corps puisse reposer sur son sexe. Je n’allais refuser aucun effort pour l’assouplir en beauté !
Pour le troubler encore davantage j’ai alterné les phases de pression et de relâchement pour créer des vagues de plaisir. Je pensais « vas-y fait lui associer le plaisir et l’humiliation pour qu’il soit un bon soumis ». Si vous voulez rendre un soumis facile à manipuler il faut trouver ce qu’il aime et l’associer à une humiliation. Ainsi conditionné il aura tendance à renforcer son côté soumis pour revivre ce petit moment de bonheur que vous lui avez fait goutter. Bien sûr avec le temps vous espacez les récompenses, il ne faudrait pas oublier qui doit tirer le plus grand profit de la relation 🙂 En écrivant ceci j’ai un gros sourire sadique vous vous en doutez.
Chouchou n’étant plus un débutant il n’était pas question qu’il aille jusqu’à l’extase pour l’instant, il allait rester frustré encore un bon moment. Lorsque j’en ai eu assez de jouer avec son désir j’ai enchainé avec l’application des gifles comme pour Chétif. Pas exactement en réalité, pour compenser la plus grande satisfaction qu’il avait eue en première phase il fallait que les gifles soient encore plus cinglantes pour lui, en tout cas sur son échelle. Avec moi tout se paye et au prix fort. De toute façon je suis souvent très généreuse lorsqu’il s’agit de distribuer des tartes, c’est mon côté altruiste.
J’ai reposé un de mes pieds sur le sol pour récupérer un équilibre stable puis j’ai abattue ma main dans un mouvement vif.
Cette phase a été moins agréable que la précédente avec Chétif, mon esprit était surtout occupé par ce que j’allais faire au Chiot, c’était la victime que j’attendais. Pour la première fois il allait avoir littéralement sa queue sous mes semelles, une expérience puissante, vous ne pouvez pas mieux représenter la domination féminine que par une queue sous un escarpin. Le symbole de la virilité écrasé par un de la féminité. Je m’attendais à ce que ses réactions soient très fortes et communicatives.
Lorsque les joues de Chouchou ont atteint un rouge satisfaisant je lui ai fait signe d’honorer mon sexe avant de le faire retourner contre le mur.
J’ai annoncé avec fermeté.
— Au dernier de ces messieurs !
Le Chiot a quitté sa position avec difficulté, il avait les membres engourdis, le signe d’une méthode éducative efficace si vous voulez mon avis. Alors qu’il grimaçait et gémissait je lui ai demandé s’il avait un commentaire à faire. D’une petite voix il a répondu :
— Non. Merci maitresse.
J’étais plutôt contente de mon effet, je trouve les hommes intimidés terriblement sexy. J’ai tapoté du pied sur le parpaing, le Chiot s’est approché et y a posé ses couilles sans résister. J’ai dit :
— Tu vois que les punitions sont utiles, elles te rendent docile. Je ne vois pas pourquoi tu grognes à chaque fois.
Il n’avait pas l’air d’être rassuré, le cérémonial devait l’impressionner au point qu’il ne réagissait même plus à mes piques. Par précaution je l’ai fait réaffirmer sa détermination.
— Tu n’as plus l’air sûr de ce que tu veux …
— Si maitresse, j’ai juste peur.
— La peur est mauvaise conseillère. Qu’est-ce que tu crains ? Tu as peur d’avoir mal ?
— Non maitresse. Je sais que c’est un passage obligé. C’est ne pas être assez fort pour vous satisfaire qui m’angoisse maitresse.
— Pour ça je ne peux rien pour toi. Tu es assez fort pour être soumis ou tu ne l’es pas. De toute façon on va vite le savoir.
Avec douceur j’ai posé mon pied sur la longueur de sa queue. Malgré mes menaces je n’allais le piétiner qu’assez légèrement pour ne pas le faire fauter avant sa mise en cage.
De toute façon je voulais qu’il se relâche pour qu’ensuite je puisse le surprendre en enchainant par un déluge de gifles, vous connaissez ma méthode.
Alors que j’étais passée aux roulements latéraux j’imaginais sa queue parcourue de vagues d’envie qui ne faisant que croitre. J’ai lentement fait rouler sa verge de droite à gauche, pressant fortement le dessus puis le dessous, toujours sur la longueur, je préférais éviter son gland pour l’instant il y a trop de zones sensibles à cet endroit pour un débutant. D’ailleurs je n’avais pas besoin d’y recourir à ce que je pouvais constater, ce traitement même léger lui avait fait gagner en vigueur. Mélanger le plaisir et la douleur procure des sensations incomparables si vous êtes capable de les encaisser je ne le dirais jamais assez.
J’ai attendu qu’il ferme les yeux pour le tirer de sa transe par un revers de la main bien placé. Sous la surprise il a failli tomber sur le côté, heureusement que je l’ai retenu en étant ferme sur sa queue.
J’ai ricané.
— Même pas capable de se prendre une gifle et ça se prétend soumis.
J’ai attendu qu’il reprenne sa position en gardant la main levée. Il la regardait avec un mélange de crainte et de respect. Il ne voulait pas avoir mal et en même temps il savait que ne pas se mettre dans son alignement lui ferait plus de mal que de bien. Vous imaginez ce qui se passait dans sa tête ? Alors que sa queue était sous mon pied il a mis sa tête en position pour se faire gifler, un bon comportement docile comme on peut l’attendre d’un soumis.
Et je ne parle même pas de ce que je ressentais, j’étais si fière de mon petit Chiot bien dressé.
Malgré ma satisfaction je peux vous assurer que ce qui a suivi lui a remis les idées en place. J’apprécie administrer des gifles, elles sont rapides, nettes et précises, rien de mieux pour faire obéir un homme. Après une bonne fessée les hommes ont un air renfrogné alors qu’après une bonne gifle ils ont mécaniquement les yeux qui pleurent et ils se sentent humilié. J’adore les enfoncer sur ce point.
— Regarde-toi ! Tu pleurniches comme un enfant. Totalement impuissant devant une femme. Le pire c’est que tu aimes ça !
J’ai écrasé plus violemment sa queue ce qui l’a mis dans une sorte d’état second. Il était totalement dépassé par les événements, écartelé entre le plaisir de sa queue, la douleur des gifles et l’humiliation générale. Il n’était plus en état de se rebeller j’aurais pu faire ce que je voulais de lui.
J’ai intensifié les coups en rigolant.
Lorsque je l’ai pris il n’avait pas d’expérience dans l’encaissement des gifles et je l’avais prévenu qu’en un week-end j’allais lui faire rattraper son retard. Je ne lui avais pas menti. Par sécurité lors de notre entretien préalable je lui en avais même mis une double paire en travers du visage pour m’assurer de son consentement à s’en prendre des dizaines. À la tête qu’il avait faite je crois qu’il ne s’était pas attendu à ce que cela fasse aussi mal mais il avait clairement dit qu’il était d’accord. Désormais la douleur était son problème plus le mien. Contrairement à ce que je dis souvent je ne considère par les hommes comme des enfants, s’ils consentent à quelque chose ils assument leur parole.
Lorsque j’ai mis fin à son supplice ses joues avaient pris une très jolie coloration écarlate. J’imaginais son visage parcouru par les picotements spécifiques aux gifles. Rien de mieux pour faire battre le coeur bien plus fort. En lui caressant la joue j’ai dit :
Tu vois ce n’était pas si terrible.
— Non maitresse.
Il reniflait un peu, il semblait soulagé que ça soit fini ce qui a rendu la phrase suivante très excitante à prononcer.
— Dommage que tu aies fait le con tout à l’heure et que tu mérites une double dose.
Vous ne pouvez pas imaginer la satisfaction que j’ai eue à remettre mon pied sur son sexe alors qu’il encaissait la nouvelle. Il est si cruel de faire de fausses joies aux soumis, c’était jouissif !
Le sourire satisfait qu’il avait eu pendant un instant s’était effacé pour laisser place à un air inquiet. J’ai repris mon sermon.
— Tu aurais été volontaire tout à l’heure on en serait resté là. Tu te rends compte de ta bêtise ? Tes joues sont déjà hypersensibles pourquoi as-tu voulu t’infliger une série supplémentaire ? Tu es complètement con ! Et ne pense pas que c’est ma faute, tu assumes tes erreurs tu es le seul responsable. Tu n’aurais pas fait l’andouille tout à l’heure tout se serait bien passé et un autre aurait été le dernier. Tant pis pour toi, avec un peu de chance ça te servira de leçon et tu comprendras qu’être attentif à mes envies est préférable.
J’adore tenir ce type de discours « je suis juste l’instrument de la punition ce n’est pas ma faute », je le considère comme une humiliation supplémentaire pour le soumis.
Il a finalement réussi à articuler quelque chose.
Pardon maitresse.
— Pardon pourquoi ?
— Pour vous forcer à me punir à cause de mon comportement. Je mérite d’être puni sévèrement.
— Parce qu’en plus tu veux que j’y aille plus fort cette fois ?
— Non, ce n’est pas ce que je voulais dire.
— Ça ne me dérange pas le moins du monde. Bien au contraire.
Il avait un regard suppliant « pitié je ferais tout ce que vous voulez ». Comme si ça allait suffire à m’apitoyer !
J’ai de nouveau pris tout mon temps pour piétiner son sexe, je voulais que ses joues refroidissent un peu et qu’il puisse angoisser à la perspective du retour des gifles.
La seconde série a été plutôt courte, malgré ma légendaire cruauté je sais mettre des limites aux abus que je leur fais subir. De toute façon il avait compris le message.
Lorsque j’ai saisi sa tête pour l’approcher de mes hanches son corps a été parcouru par un frisson. Il était intimidé par le fait de devoir me toucher, surtout à cet endroit. Même si j’avais un pantalon la symbolique restait forte.
Tout d’un coup j’ai comme eu l’impression qu’il aurait bien aimé que la série de gifles soit un peu plus longue.
Après avoir déposé son baiser il a levé les yeux pour chercher ma réaction. J’ai été froide.
— Pas très doué. Typique des mecs qui ont encore l’usage de leur queue. Vous n’apprenez pas à vous servir de votre langue pour compenser. Elle est pourtant plus précise pour faire le job.
Il a commenté.
— C’est moins agréable.
J’ai intensifié la pression sur sa queue pour le punir de sa réponse arrogante. Il a tenté de rectifier au plus vite.
— Seul le plaisir des femmes compte ! Je vais apprendre à me servir de ma langue je vous promets !
— Ne t’inquiètes pas pour ça je vais te donner des leçons … Tu apprendras à la dure.

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Week-end avec 3 soumis juin 2014 #36 : un soumis à l’échafaud

Hello 🙂

J’ai mis du temps pour la relecture de cette partie du texte, je n’arrivais pas à être satisfaite mais désormais je pense être arrivée à un point final. La deuxième partie arrivera assez vite, peut-être même dans la journée.

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Sommaire du récit
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Le Chiot ayant monopolisé mon attention lors du précédent jeu les deux autres soumis étaient devenus jaloux, surtout Chétif. Pour redevenir le centre d’intérêt il avait usé du moyen le plus évident à sa disposition : me provoquer en me répondant en étant à la limite de l’insolence. Je n’étais pas fâchée pour autant, un des avantages à la domination en groupe est que les soumis se battent presque pour me donner des raisons de les punir. J’aime être gâtée de la sorte vous vous en doutez bien. N’étant pas du genre à laisser un soumis espiègle impuni j’allais donc me faire un plaisir de lui donner satisfaction à ma façon. Sans me laisser déstabiliser j’ai donc répondu à sa mise au défi.
— Encore une fois je constate que tu as appris tes leçons de travers. Rappelle-toi bien ce que j’ai dit : la tête d’un homme est vide de toute intelligence. Je n’ai jamais dit qu’elle était totalement vide ! Au contraire elle est pleine de saletés et c’est justement le problème. Tu imagines le boulot que j’ai pour déblayer tout ce dépotoir ? Je vais devoir vous « presser » pour « éjecter » toutes ces mauvaises pensées. Et toi le premier puisque tu sembles le plus atteint.
Nous avons échangé des regards amusés, il était comme un garnement se demandant à quel point j’avais mordu à son hameçon. Pour mieux l’amener dans mon piège j’ai préféré le laisser croire qu’il menait le jeu, ça ne serait que bien plus tard qu’il se rendrait compte à quel point je peux être rancunière. Pour parfaire l’illusion j’ai fait semblant de chercher une idée comme si j’avais été prise de court, mon plan était pourtant établi depuis bien longtemps, avoir spontanément des idées géniales impressionne souvent les soumis et je m’en sers en dissimulant que j’ai de longues phases de préparation.
J’ai fini par lancer les hostilités.
— Tu vois ce parpaing ? Va le chercher et met-le à mes pieds.
Un ordre plutôt énigmatique même s’il n’augurait rien de bon. Il est toujours amusant de laisser les soumis s’imaginer le pire et c’est un moyen très efficace de les stimuler. Il est cliché de dire qu’une femme doit savoir garder du mystère et pourtant même en BDSM c’est vrai. En tant que dominatrice nous avons le contrôle de la situation et nous devons l’avoir de manière exclusive, personne d’autre ne doit venir nous concurrencer.
Il a déposé le parpaing devant moi, on aurait dit un échafaud pour une exécution publique. D’ailleurs il n’y avait pas besoin d’être un génie pour se douter que ce n’était pas une tête que j’allais couper …
Chétif est retourné à sa place parmi les autres soumis, un peu comme si son rôle allait s’arrêter là. J’ai joué le jeu en le laissant croire quelques instants que cette mise en scène n’était pas pour tout de suite, la chute n’en serait que plus brutale.
En étant honnête je pense que c’était davantage une projection de ce que j’aurais aimé qu’il ressente plutôt que la vérité. J’aurais préféré qu’il soit une victime mais son état d’esprit devait être totalement différent, les soumis sont plus résistant et joueurs que cela, ils cherchent à rallonger leur supplice en attendant avec fébrilité que leur nom soit appelé plutôt que d’y plonger la tête la première. Ils aiment faire durer le plaisir.
En définitive qu’importe que nos recherches aient été différentes puisqu’elles étaient compatibles.
Je l’ai attrapé par l’épaule.
— Il va bien valoir te résoudre aux évidences. Tu sais à quel point je valorise la coopération des soumis.
— Bien sûr maitresse. Il est de mon intérêt de coopérer. Je connais mes leçons.
— Hum, pas assez si tu veux mon avis.
J’ai senti sa nervosité augmenter d’un cran lorsqu’il s’est avancé vers l’échafaud improvisé. En tendant l’oreille vous auriez pu entendre une marche funèbre accompagnant son avancée, en tout cas c’est ce qu’il y avait dans ma tête. Il s’est mis à genoux, attendant que je donne l’ordre tant redouté. J’ai dit d’une voix sévère.
— Tu sais très bien ce qui va se passer. Ne fais pas l’enfant.
Le Chiot regardait avec intérêt, découvrant les règles d’un supplice qui lui serait appliqué un jour ou l’autre, plus tôt qu’il ne pouvait l’imaginer d’ailleurs. Chétif s’est résigné à poser sa verge sur le parpaing devant lui. Il était nerveux, le fameux regard du condamné avant l’application de sa sentence. Désormais il était trop tard pour reculer, trop tard pour regretter d’avoir fait une bêtise. Quoi qu’il fasse son destin était déjà tout tracé. Je dramatise, il était exactement là où il voulait être. Les soumis font exprès de se retrouver dans cet état de fébrilité avancé parce qu’ils l’adorent. En un sens tant mieux pour moi je m’amuse autant d’être le bourreau qu’eux aiment être des victimes.
Chétif étant expérimenté il savait que ce n’était que le début et qu’il ne devait pas baisser sa garde, je lui réservais forcément des surprises et il ne voyait pas encore lesquelles.
J’ai posé mon escarpin droit sur son sexe.
— Une dernière chose à dire ?
Il a fait « non » de la tête, j’imagine qu’il avait la bouche sèche à cause de l’émotion. À moins qu’il n’ait été trop focalisé sur mon pied pour accorder de l’attention à ce que je disais. Quoi qu’il en soit je me suis permis un commentaire ironique.
— Crois-moi tu ne vas pas rester silencieux longtemps.
Il n’a pas su quoi répondre. D’ailleurs qu’aurait-il pu dire ? Lorsque votre sexe est à quelques secondes de se faire broyer entre un parpaing et un escarpin vous avez d’autres préoccupations que de répliquer à votre bourreau qui se moque de votre situation. À titre personnel je serais très vulgaire mais ce ne serait pas très intelligent, c’est mon côté suicidaire.
Sous mon pied j’ai senti son sexe se durcir, j’ai souri, plus il y a de résistance plus mon plaisir est grand. Malgré la semelle je ressens ces choses il ne faut pas croire.
Après avoir tâté le terrain, littéralement, j’ai mis la sentence à exécution en aplatissant lentement sa verge.
J’ai toujours trouvé étonnant la capacité du sexe masculin à tolérer la déformation alors même qu’il est dur, rien qu’avec mon faible poids je peux provoquer une pression suffisante pour le mettre à l’épreuve. C’est presque comme si la nature avait prévue cette utilisation. Je m’égare.
Arrivée au maximum j’ai lentement fait tourner le bout de mon pied comme pour écraser une cigarette, essayant de montrer le plus grand dédain même si ce faisant je me mordais la lèvre inférieure d’excitation.
Une simple pression aurait été bien sûr indigne d’un soumis aussi expérimenté que lui, je devais m’appliquer pour être à la hauteur. D’ailleurs je ne le prenais pas en traitre, tout était prévu, Chétif aimant être mis à l’épreuve et il savait que je n’avais pas l’intention de lui épargner quoi que ce soit, il était d’ailleurs là pour ça. La perspective de se faire torturer le sexe pour le pousser dans ses derniers retranchements devait être aussi cruelle qu’excitante.
Je ne sais pas ce qui de la torsion ou de l’humiliation de voir son sexe ainsi méprisé a été la plus efficace mais son trouble a semblé passer un pallier. C’était probablement le mélange, en tout cas j’avais atteint mon premier but.
Je lui ai relevé le menton, je ne voulais pas rater son air larmoyant et suppliant, il fallait bien que je m’amuse moi-aussi. Je n’ai pas été déçue de ce que j’ai trouvé, ses yeux étaient si expressifs qu’ils m’ont donné l’envie de broyer son sexe encore plus fort pour leur faire conserver ce magnifique éclat à tout jamais. On dit souvent que les hommes ne savent pas exprimer leurs émotions, j’ai envie de répondre « c’est que vous n’y allez pas assez fort ! ».
Il faut dire que j’avais préparé mon plan avec minutie, étudiant tous les aspects dans les moindres détails. Par exemple j’avais choisi un matériau rugueux comme support pour que le contraste avec mes semelles soit le plus fort possible. En faisant rouler son sexe sur le côté j’alternais ainsi sur son gland les caresses de mes escarpins et la froideur du contact avec le parpaing. Tout était fait pour maximiser l’effet et rendre l’expérience inoubliable.
Au bout d’un moment ses émotions sont devenues si fortes qu’il a fermé les yeux, on aurait dit qu’il était à moitié conscient. Il était surtout à point pour la phase 2.
Alors qu’il ne faisait plus attention j’ai levé ma main et sans qu’il ne se doute de rien je l’ai giflé. Sous la surprise son corps s’est contracté, il a soupiré avant de lâcher un « merci maitresse » de rigueur.
Je lui ai laissé quelques instants pour qu’il puisse profiter de la sensation si particulière de la dissipation d’une gifle, un mélange de frisson superficiel sur la peau et de chaleur. La sensation de pression de la main reste d’ailleurs imprimée bien plus longtemps sur les joues que sur les fesses par exemple, c’est vraiment particulier. Lorsqu’un soumis porte la marque d’une précédente gifle il sait qu’il est en période probatoire, il vous regarde en étant conscient que si dans les minutes à venir il vous remet en colère la prochaine gifle au même endroit sera bien plus douloureuse, c’est un moyen de négociation très efficace.
Vous vous doutez bien que je n’allais pas m’arrêter là, une seule gifle n’est pas un traitement digne pour un soumis expérimenté, par contrat il était prévu que je me lance dans une très longue série.
Je veux bien me reconnaitre plein de défaut mais je suis honnête, lorsque je m’engage dans un contrat je l’exécute à la lettre, il avait été clair sur le fait qu’il voyait la soumission comme un défi, il voulait que je le maltraite jusqu’à ses limites et je n’allais pas me faire prier pour lui accorder ce souhait.
Gifle après gifle j’ai été sans pitié, j’ai mis tout mon coeur pour imprimer la marque de mes mains de chaque côté de son visage. Chétif subissait sans rien dire, il savait que j’étais amatrice du bruit que font les coups et ne voulait pas gâcher mon plaisir en étant trop démonstratif. Je n’accepte les larmes d’un soumis que si elles sont sincères sinon elles ne me déclenchent rien bien au contraire. Lorsque je vois des vidéos où les acteurs font clairement semblant je reste totalement froide.
Chétif avait beau avoir de la volonté ce genre de bonne résolution ne peut pas durer bien longtemps, il vient toujours un moment où la douleur devient insupportable. Petit à petit le bruit des gifles a été concurrencé par des gémissements de douleur.
Lorsque même des soumis masochistes ont mal c’est que vous faite votre boulot correctement.
Une fois épuisée par l’effort, gifler est une activité bien plus physique qu’on ne le croit, j’ai pu observer le résultat de mon travail. Je pouvais être fière de moi, ses pauvres petites joues étaient d’une rougeur exquise au point de me faire craquer. Je trouve que les hommes sont très mignons avec le visage écarlate et les yeux larmoyants, ils ont l’air si vulnérables que j’ai envie de les consoler. Mes mains se sont posées avec douceur sur ses joues et j’ai parcouru ses pommettes des pouces, sentant la douce chaleur se propager. C’était si agréable que j’en avais des envies terribles. J’ai glissé mes mains vers l’arrière de sa tête pour saisir avec fermeté sa nuque. Ainsi contraint il n’a pu que se laisser faire lorsque je l’ai forcé à se rapprocher de mon bassin. Après ce qu’il venait de prendre le contraire aurait été étonnant. Etant d’un naturel reconnaissant lorsqu’un soumis est coopératif je l’ai récompensé en relâchant la pression que mon escarpin imposait à son sexe. D’une voix froide dissimulant tant bien que mal mon excitation j’ai ordonné :
— Rend hommage à ma supériorité.
Il a répondu dans un soupir de plaisir.
— Bien, maitresse.
En guise d’introduction il a embrassé avec douceur mes hanches, enchainant ensuite en posant ses lèvres en leur centre, en plein sur mon mont de Vénus, provoquant ainsi de douces chatouilles intimes. J’ai soupiré à mon tour, il y a des hommes qui savent y faire.
Quelque part j’étais contente d’avoir un pantalon pour établir une protection bien heureuse face aux assauts de mon soumis. Sans barrière de défense je n’aurais pas pu rester stoïque face à un contact direct de ses lèvres sur ma peau, j’aurais pu perdre le contrôle et me laisser aller à des émotions très fortes. J’aurais pu me montrer vulnérable face à des soumis en liberté.
Lorsque j’accepte qu’un soumis me donne du plaisir je prends toujours des précautions, c’est presque une nécessité pour que je puisse me détendre. Il faut que je sois certaine que mon partenaire sache qu’il prend un très gros risque si je ne suis pas satisfaite. S’il fait le boulot à moitié il devra s’attendre à subir des conséquences très fâcheuses. Juste pour vous donner un exemple : vous n’avez pas idée de la compétence qu’acquiert un soumis lorsqu’il s’agit de faire usage de sa langue lorsqu’il a un collier électrifié de dressage pour chien autour du sexe et que j’ai la télécommande en main. C’est dur pour lui comme traitement mais qu’est-ce que c’est bon pour moi… Il oublie complètement son plaisir pour se focaliser sur le mien.
N’allez pas imaginer une scène horrible, ce genre de collier n’envoie que de petites décharges pour signifier mon mécontentement, ce n’est pas une séance de torture. Cependant ils sont très efficaces pour conditionner les soumis.
Alors que j’étais dans mes pensées il m’a embrassé une deuxième fois, avec bien plus de vivacité ce qui m’a pris par surprise. Mon corps a été parcouru par une vague de plaisir inattendue et comme à chaque fois où j’ai l’impression de perdre le contrôle j’ai des réflexes défensifs. Je l’ai repoussé sans ménagement pour lui administrer une gifle.
— Avec plus de douceur ! Ce n’est pas ton sale sexe que tu touches ! Recommence.
Réaction injuste je vous l’accorde. Il ne faisait qu’être efficace et je rejetais mon trouble sur lui. Je n’ai jamais dit que j’étais facile à comprendre. Ce n’était d’ailleurs pas que ma faute, il faut savoir que chez nous les orgasmes sont potentiellement plus forts que chez les hommes et qu’il faut donc manipuler notre plaisir avec douceur pour ne pas nous brusquer.
De toute façon peu importe que ma réaction ait été injuste nous n’étions pas dans un état rationnel et il n’y avait pas besoin que nos comportements soient censés. Je suis sûre qu’il avait apprécié se ramasser cette gifle de toute façon.
Pour la troisième fois il a déposé une série de longs baisers entre mes hanches les accompagnant cette fois-ci de quelques mots.
— Merci maitresse de me laisser rendre hommage à votre féminité. C’est ce qu’il y a de plus précieux en ce monde.
C’était si bon ! Le moins que je puisse dire c’est que ce jeu n’allait pas améliorer mon complexe de supériorité.
J’ai répondu avec un brin d’espièglerie dans la voix.
— Tout à fait, mon sexe est précieux pas comme le tient.
À peine ma phrase finie j’ai piétiné à nouveau son sexe avec intensité en arborant un sourire sadique. Je donnais des à-coups en appuyant de toutes mes forces avant de relâcher tout aussi brutalement. J’ai répété ce mouvement plusieurs fois d’affilé. Il a inspiré pour absorber la douleur puis a répondu.
— Oui merci maitresse de le traiter comme il le mérite.
J’ai relevé mon pied droit, Chétif a jeté un coup d’oeil inquiet pour voir dans quel état j’avais laissé son sexe. Il allait bien je vous rassure, il avait repris sa forme comme si de rien n’était. Si le corps d’une femme est une machinerie complexe qu’il faut manipuler avec douceur celui d’un homme est un machin très résistant je veux bien le reconnaitre. Vous avez d’un côté une belle voiture de luxe italienne et de l’autre un 4×4 boueux mais increvable. Chacun sa spécialité.
J’ai exposé la semelle de mon escarpin en gardant appui du talon sur le parpaing. Il a compris de lui-même ce que j’attendais de lui. Avec délicatesse il s’est penché pour l’embrasser. Lorsqu’il s’est rendu compte que son sexe l’avait sali en perdant quelques gouttes de liquide séminal pendant l’écrasement il s’est mis à la lécher en s’excusant.
À titre personnel devoir s’abaisser à nettoyer les traces de son excitation fait partie de mes limites, j’entends par là lorsque je subis cette humiliation, c’est si cruel. Pourtant cela ne semblait pas le déranger. Je m’imaginais la honte qu’il ressentait, à sa place je n’aurais jamais pu regarder le dominant dans les yeux après une telle dégradation. En le regardant faire je me sentais très orgueilleuse, lui était capable de s’abaisser à le faire. Le pire était peut-être que je n’en avais pas encore fini avec lui, j’allais pousser le vice jusqu’à lui imposer une remise en cage sans libération. Je frissonnais déjà en pensant à ce qu’il allait éprouver en me remerciant lorsque je verrouillerais son cadenas.
D’un geste méprisant de la main j’ai désigné les deux autres soumis et je lui ai dit.
— Retourne avec les autres minables de ton espèce.

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